Angleterre: Arsenal lâche des points, Liverpool lâche les chevaux

Arsenal a gâché un avantage de deux buts contre Aston Villa (2-2), samedi à Londres, un accroc dans la lutte pour le titre face au leader Liverpool, vainqueur à Brentford (2-0) grâce à un doublé de Darwin Nunez dans le temps additionnel.Les “Gunners” ont mené 2-0 grâce à Gabriel Martinelli (35e, 1-0) et Kai Havertz (55e, 2-0), avant de se faire rejoindre sur des buts de Youri Tielemans (60e, 2-1) et Ollie Watkins (69e, 2-2).Ils ont pris d’assaut la défense d’Aston Villa dans les dernières minutes, en vain. La VAR a détecté une main de Havertz (88e) alors que le ballon était au fond des filets, Mikel Merino a tiré sur un poteau et Emiliano Martinez a repoussé un tir de Trossard (90e+1) dans la foulée.”Nous méritions beaucoup plus, c’est clair”, a commenté l’entraîneur Mikel Arteta, en félicitant néanmoins ses joueurs, “remarquables”. “Nous ne pouvons pas encaisser les deux buts que nous avons pris après tout ce que nous avons fait”, a-t-il néanmoins regretté.Liverpool a connu un destin inverse à l’approche du coup de sifflet final, plus tôt dans l’après-midi, en soufflant Brentford grâce à Darwin Nunez, deux fois buteur en l’espace de deux minutes (90e+1, 90e+3).Les “Reds” disposent désormais de six points d’avance sur leur dauphin Arsenal (2e, 44 pts) avec, en outre, un match en retard à disputer chez le voisin Everton le 12 février.L’équipe d’Arne Slot retrouve de l’élan après deux matches nuls en championnat, contre Manchester United et Nottingham Forest, et avant d’accueillir Lille mardi en Ligue des champions.”Ce sont les grands favoris pour remporter le titre”, a déclaré l’entraîneur de Brentford, Thomas Frank. Liverpool est “un niveau au-dessus” d’Arsenal ou Manchester City, “c’est la meilleure équipe de Premier League et du monde”, a-t-il complimenté.Le capitaine des “Reds”, Virgil van Dijk, a lui tenu à nuancer: “Aujourd’hui, c’était une petite pièce du puzzle. Nous devons continuer.”- Kluivert, prénom Justin -Le quadruple tenant du titre, Manchester City (35 pts), a lui reculé au huitième rang, samedi, à la veille de son déplacement à Ipswich.Les “Citizens” ont été doublés par Aston Villa (7e, 36 pts) et par Bournemouth (6e, 37 pts), venu surprendre Newcastle 4-1 chez lui.Les “Magpies” restaient sur une longue série de victoires (neuf, dont six en championnat) avant de s’effrondrer sous les coups de Justin Kluivert, auteur d’un triplé.Le Néerlandais s’est régalé à St James’ Park où il a inscrit trois fois plus de buts (6e, 44e, 90e+2) en une après-midi, que son père Patrick en une saison de Premier League sous le maillot des “Magpies” (2004-2005).Bournemouth peut espérer se qualifier, pour la première fois de son histoire, dans une compétition européenne. “Pourquoi ne pas rêver grand et voir où nous pouvons arriver?”, a lancé Kluivert.Ils auront encore fort à faire lors des deux prochains matches, à domicile contre Nottingham Forest et Liverpool.Newcastle reste pour l’heure quatrième avec un point d’avance sur Chelsea (5e, 37 pts), opposé lundi à Wolverhampton.Dans les autres rencontres de l’après-midi, Fulham a enfoncé 2-0 l’avant-dernier Leicester, lesté par sept défaites consécutives. L’équipe de Ruud van Nistelrooy accuse deux points de retard sur l’actuel premier non-relégable, Wolverhampton, qui a joué un match en moins.Dans la zone rouge il y a deux mois, Crystal Palace pointe désormais à la douzième place après avoir battu West Ham (2-0), samedi, avec un doublé de Jean-Philippe Mateta (48e et 89e).Le vice-champion olympique français traverse une bonne phase puisqu’il a inscrit quatre buts sur ses trois derniers matches de championnat.Crystal Palace, invaincu depuis cinq rencontres (deux nuls et trois victoires) compte un point de plus que Manchester United, hôte de Brighton dimanche.

Hope and tears as youngest Israeli hostage turns two

Israelis gathered in Tel Aviv to demand freedom for hostages held in Gaza, anxious the ceasefire deal would collapse, with many dwelling on the fate of Kfir Bibas, the youngest captive whose second birthday fell on Saturday.”Today, I tried to write a birthday message for Kfir for the second time,” his aunt Ofri Bibas Levy said. “A message for a child who cannot celebrate… A child trapped in hell. A child who might not even be alive. But no words come out, only tears.”Taken alongside his now four-year-old brother Ariel and his mother and father, Shiri and Yarden, he has become a symbol of the suffering of the hostages.”I have two orange ballons on my car,” said Sigal Kirsch in Tel Aviv’s “Hostage Square”. The colour has become symbolic of the Bibas boys, both of whom are red-heads.”I don’t have the words,” she said, visibly overcome with emotion.Hamas said in November 2023 that the two boys and their mother were killed in an Israeli air strike, but the Israeli military has not confirmed their deaths.Coming together to protest barely 12 hours before the first three hostages are due to be released, many couldn’t bring themselves to believe after so much false hope that the ordeal of the hostages might finally be over.”Once they cross the (Gaza) border and they will be rejoined with their families then maybe we can breathe again,” said Shahar Mor Zahiro, the nephew of slain hostage Avraham Munder.- ‘Hell’ -Anxiety was the overwhelming mood.”This past week was hell,” said Kirsch, who had been every week to the gatherings at Hostage Square, across the road from Israeli military headquarters.”On Tuesday we were sure that the deal would be signed… and it took until last night. So we’re very, very anxious,” she said.The deal agreed between Israel and Palestinian militant group Hamas, via mediators, is broken into three phases.But, with Prime Minister Benjamin Netanyahu under pressure from far-right elements of his government opposed to a ceasefire, protesters and families of the hostages expressed fears that the deal would collapse.”In one sense (the mood) is a little more hopeful, and in another sense, it’s very sad. Because for the people who aren’t in the first phase, I can’t imagine how their hearts bleed at this point,” said Neil Trubowiz, 75, from Tel Aviv, in Hostage Square.Far-right Finance Minister Bezalel Smotrich, who opposed the deal, said he would remain in the government but that the prime minister had promised him the war would continue.Mor Zahiro demanded that what he called “extremist elements” in the cabinet be prevented from collapsing the deal.”Tell them to shut up!” he said. “Let the people come back to their loved ones.”He denounced the idea that the war could start again. “Stop the fighting. Stop the war. Stop everything. Don’t shoot another bullet, let us heal. This is really crucial, otherwise there will be hell here for the next 50 years.”- ‘Dim light’ -On Saturday night, Netanyahu gave protesters and hostage families further cause for anxiety, saying the ceasefire deal could not go ahead until Hamas handed over a list of hostages to be released.He also said in a televised address that Israel “reserved the right to return to war”.Palestinian militants took 251 people hostage during Hamas’s surprise October 7 attack, 94 of whom remain in captivity in the Gaza Strip, including 34 the Israeli military says are dead.The lengthy ceasefire process, with the first 33 hostages released in small groups over 42 days, followed by a second and third phase that are still to be negotiated, leaves multiple opportunities for the process to collapse.”We’re anticipating some good news tomorrow, but on the other hand, we’re very wary of what could happen in the meantime,” said Guy Perry, 58, also from Tel Aviv.He described the possibility of a final end to the war and the return of all hostages as a “very, very dim light” at the end of the tunnel.Despite their fears the deal could collapse at any moment, many couldn’t help but hope.”I cannot wait to see my uncle, I really hope he managed to survive,” said Efrat Machikawa, whose uncle Gadi Moses turned 80 while held hostage in Gaza.”I have to trust my hope. This has to happen, they have to come back.” 

Corée du Sud : la détention du président prolongée, des manifestants entrent dans le tribunal

La justice sud-coréenne a prolongé dimanche la détention du président Yoon Suk Yeol, suspendu de ses fonctions après son arrestation pour avoir tenté d’imposer la loi martiale, provoquant l’irruption de manifestants en colère dans le tribunal.Ces derniers ont brisé des vitres de fenêtres du bâtiment, situé dans l’ouest de Séoul, avant de s’y engouffrer, montre une vidéo diffusée en direct.”Il y a une inquiétude quant au fait que le suspect puisse détruire des preuves”, ont déclaré les juges pour expliquer leur décision de ne pas remettre en liberté le chef de l’Etat.Des dizaines de milliers – 44.000 selon la police – de manifestants qui scandaient des slogans de soutien à M. Yoon et dont certains brandissaient des pancartes sur lesquelles était écrit “libérez le président” s’étaient auparavant rassemblés devant le tribunal et s’étaient affrontés à la police. Quarante manifestants ont au total ont été interpellés à la suite de violences, notamment commises contre des membres de forces de l’ordre, a annoncé à l’AFP un responsable de la police locale.M. Yoon, qui a plongé la Corée du Sud dans sa pire crise politique depuis des décennies, s’est exprimé pendant 40 minutes devant les juges, a rapporté l’agence de presse Yonhap.- Cinq heures d’audience – Son avocat avait dit à l’AFP qu’il espérait y “rétablir son honneur”. Il “a donné des explications et répondu fidèlement sur les faits, les preuves et les questions juridiques”, a raconté Me Yoon Kab-keun aux journalistes après l’audience qui s’est terminée au bout d’environ cinq heures. M. Yoon a alors quitté le bâtiment dans une camionnette bleue du ministère de la Justice en direction du centre de détention de Séoul où il est enfermé. Le Bureau d’enquête sur la corruption (CIO), qui mène les investigations, a raconté dans un communiqué que deux véhicules transportant des membres de son équipe avaient été attaqués par des protestataires, “créant une situation dangereuse”.Le CIO va “réclamer que la police (impose) des sanctions strictes sur la base des preuves recueillies concernant ces actions”.- “Patriotisme passionné” -M. Yoon avait envoyé vendredi une lettre via ses avocats pour remercier ses partisans, parmi lesquels des chrétiens évangéliques et des YouTubeurs de droite, pour leurs manifestations, rendant hommage à leur “patriotisme passionné”.Samedi, les protestataires, qui agitaient des drapeaux sud-coréens et américains, ont occupé les principaux axes devant le tribunal.Le parti de M. Yoon est généralement favorable à l’alliance de sécurité américaine avec la Corée du Sud et rejette tout engagement avec la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire. La décision du tribunal de maintenir en détention le chef de l’Etat donne aux procureurs le temps d’officialiser un acte d’accusation pour insurrection, ce qui le rendrait passible de la prison à vie ou d’exécution s’il est reconnu coupable.Une telle accusation signifierait que M. Yoon serait probablement détenu pendant toute la durée de son procès. Il est accusé d’avoir déstabilisé son pays en instaurant par surprise la loi martiale le 3 décembre, un coup de force toutefois vite contrecarré par les députés, au sein d’un Parlement cerné par des soldats.D’après lui, cette mesure était destinée à protéger la Corée du Sud des “forces communistes nord-coréennes” et à “éliminer les éléments hostiles à l’Etat”.Il a été arrêté le 15 janvier dans sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l’Etat en exercice.L’Assemblée nationale a voté le 14 décembre une motion de destitution contre lui, provoquant sa suspension. Il reste toutefois officiellement le président, seule la Cour constitutionnelle ayant le pouvoir de lui retirer son titre.Dans cette procédure parallèle aux enquêtes en cours, cette juridiction a jusqu’à la mi-juin pour le démettre définitivement ou décider de le rétablir dans ses fonctions. 

Corée du Sud : la détention du président prolongée, des manifestants entrent dans le tribunal

La justice sud-coréenne a prolongé dimanche la détention du président Yoon Suk Yeol, suspendu de ses fonctions après son arrestation pour avoir tenté d’imposer la loi martiale, provoquant l’irruption de manifestants en colère dans le tribunal.Ces derniers ont brisé des vitres de fenêtres du bâtiment, situé dans l’ouest de Séoul, avant de s’y engouffrer, montre une vidéo diffusée en direct.”Il y a une inquiétude quant au fait que le suspect puisse détruire des preuves”, ont déclaré les juges pour expliquer leur décision de ne pas remettre en liberté le chef de l’Etat.Des dizaines de milliers – 44.000 selon la police – de manifestants qui scandaient des slogans de soutien à M. Yoon et dont certains brandissaient des pancartes sur lesquelles était écrit “libérez le président” s’étaient auparavant rassemblés devant le tribunal et s’étaient affrontés à la police. Quarante manifestants ont au total ont été interpellés à la suite de violences, notamment commises contre des membres de forces de l’ordre, a annoncé à l’AFP un responsable de la police locale.M. Yoon, qui a plongé la Corée du Sud dans sa pire crise politique depuis des décennies, s’est exprimé pendant 40 minutes devant les juges, a rapporté l’agence de presse Yonhap.- Cinq heures d’audience – Son avocat avait dit à l’AFP qu’il espérait y “rétablir son honneur”. Il “a donné des explications et répondu fidèlement sur les faits, les preuves et les questions juridiques”, a raconté Me Yoon Kab-keun aux journalistes après l’audience qui s’est terminée au bout d’environ cinq heures. M. Yoon a alors quitté le bâtiment dans une camionnette bleue du ministère de la Justice en direction du centre de détention de Séoul où il est enfermé. Le Bureau d’enquête sur la corruption (CIO), qui mène les investigations, a raconté dans un communiqué que deux véhicules transportant des membres de son équipe avaient été attaqués par des protestataires, “créant une situation dangereuse”.Le CIO va “réclamer que la police (impose) des sanctions strictes sur la base des preuves recueillies concernant ces actions”.- “Patriotisme passionné” -M. Yoon avait envoyé vendredi une lettre via ses avocats pour remercier ses partisans, parmi lesquels des chrétiens évangéliques et des YouTubeurs de droite, pour leurs manifestations, rendant hommage à leur “patriotisme passionné”.Samedi, les protestataires, qui agitaient des drapeaux sud-coréens et américains, ont occupé les principaux axes devant le tribunal.Le parti de M. Yoon est généralement favorable à l’alliance de sécurité américaine avec la Corée du Sud et rejette tout engagement avec la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire. La décision du tribunal de maintenir en détention le chef de l’Etat donne aux procureurs le temps d’officialiser un acte d’accusation pour insurrection, ce qui le rendrait passible de la prison à vie ou d’exécution s’il est reconnu coupable.Une telle accusation signifierait que M. Yoon serait probablement détenu pendant toute la durée de son procès. Il est accusé d’avoir déstabilisé son pays en instaurant par surprise la loi martiale le 3 décembre, un coup de force toutefois vite contrecarré par les députés, au sein d’un Parlement cerné par des soldats.D’après lui, cette mesure était destinée à protéger la Corée du Sud des “forces communistes nord-coréennes” et à “éliminer les éléments hostiles à l’Etat”.Il a été arrêté le 15 janvier dans sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l’Etat en exercice.L’Assemblée nationale a voté le 14 décembre une motion de destitution contre lui, provoquant sa suspension. Il reste toutefois officiellement le président, seule la Cour constitutionnelle ayant le pouvoir de lui retirer son titre.Dans cette procédure parallèle aux enquêtes en cours, cette juridiction a jusqu’à la mi-juin pour le démettre définitivement ou décider de le rétablir dans ses fonctions. 

Allemagne: le Bayern et Leverkusen gardent leur train d’enfer en tête de la Bundesliga

Vainqueurs respectifs de Wolfsburg (3-2) et Mönchengladbach (3-1) samedi, le Bayern Munich et le Bayer Leverkusen ont signé un troisième succès consécutifs en 2025 en Bundesliga, menant un rythme infernal en tête du championnat d’Allemagne.Au soir de la 18e journée de Bundesliga, c’est le statu quo entre le leader bavarois et son premier poursuivant rhénan. Le “Rekordmeister” (détenteur du record de titres) munichois conserve ses quatre points d’avance sur le “Meister” (champion) Leverkusen (45 contre 41).Samedi, ce sont les Bavarois qui ont été les premiers à tirer, dans une Allianz Arena pleine (75.000 spectateurs) mais anesthésiée par le froid glacial (-2 degrés), avec un victoire logique contre Wolfsburg 3 à 2, non sans se faire une petite frayeur en fin de match. Dans son histoire, le Bayern n’a jamais perdu un match à domicile contre Wolfsburg en 27 matches de Bundesliga (31 en comptant les quatre matches de Coupe), avec 25 victoires et deux matches nuls (29 victoires au total).Pour la 28e confrontation entre les deux équipes en première division, les Munichois ont dominé les débats, et ont gardé leur sang froid quand Wolfsburg a égalisé en première période (1-1, 24e), puis est revenu au score en fin de match (3-2, 88e), contre le cours du jeu.Leon Goretzka a inscrit un doublé (20e, 1-0 et 62e, 3-1) et Michael Olise a enfin retrouvé le chemin du but pour le Bayern en Bundesliga (39e, 2-1), délivrant au passage la passe décisive pour le second but de Goretzka.”On aurait dû marquer plus de buts et terminer le match plus tôt. Mais ils se sont accrochés, et ont marqué à des moments importants”, a estimé Harry Kane, meilleure réalisateur munichois (16 buts en Bundesliga) après la rencontre.- Stuttgart dans le top 4 -Trois heures plus tard, le Bayer Leverkusen a répliqué, en dominant le Borussia Mönchengladbach (3-0), grâce à Florian Wirtz, auteur d’un doublé, et Patrik Schick, auteur de son 12e but sur les neufs derniers matches de Bundesliga (15 buts toutes compétitions confondues depuis la fin octobre).Il s’agit de la onzième victoire consécutive pour Leverkusen toutes compétitions confondues, la huitième en Bundesliga. Une série qui rappelle l’excellente saison 2023/24 qui lui avait permis de remporter le premier titre de champion d’Allemagne augmenté d’un doublé avec la Coupe, avec un exercice quasi parfait et une seule défaite en finale de la Ligue Europa en 53 matches disputés. Les Munichois, 12 points en Ligue des champions, se déplaceront mercredi à Rotterdam, alors que les hommes de Xabi Alonso (13 points) iront à Madrid défier l’Atlético (12 points), avec pour objectif commun de rester dans la course au top 8 européen à l’issue de la phase de groupes de la C1.Derrière le Bayern et Leverkusen, Stuttgart intègre pour la première fois de la saison le top 4 de la Bundesliga avec 32 points, quatre de moins que l’Eintracht Francfort solide 3e (36 points), grâce à sa victoire à domicile contre Fribourg (4-0).Futur adversaire du Paris SG en C1 pour la dernière journée de la phase de groupe le 29 janvier, l’équipe souabe confirme son rétablissement sur la scène nationale.Déjà éliminé de la Ligue des champions, le RB Leipzig a enchaîné un deuxième match sans victoire en Bundesliga, contraint au match nul par la lanterne rouge Bochum (3-3) après avoir mené 3 à 0. Les hommes de Marco Rose comptent désormais 14 points de retard sur la tête du classement (31 contre 45).

Ukraine: six morts, dont trois à Kiev, dans des attaques russe

Trois personnes ont été tuées dans une attaque russe à Kiev, a annoncé samedi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, une frappe avec des missiles balistiques qualifiée d'”odieuse” par Kiev et de représailles par Moscou. Les autorités ukrainiennes ont indiqué que trois autres personnes avaient été tuées dans des frappes russes ailleurs dans le pays, et Moscou a revendiqué de nouvelles avancées sur le terrain.Selon la mairie de Kiev, les tués dans la capitale sont deux hommes, de 43 et 25 ans, et une femme de 41 ans. Kiev est fréquemment ciblée par des drones et des missiles russes, mais les victimes sont rares dans la capitale, fortement protégée par des systèmes de défense aérienne et mieux à même de repousser les attaques que partout ailleurs dans le pays.L’armée russe a de son côté déclaré avoir frappé un site militaire à Kiev en représailles à l’utilisation par l’Ukraine de missiles américains ATACMS.”Les forces armées russes ont mené une frappe groupée avec des armes à guidage de précision contre des installations militaro-industrielles ukrainiennes, notamment un site qui fabrique des missiles à longue portée”, selon le ministre russe de la Défense.- “Poutine veut la guerre” -“Encore une preuve que Poutine veut la guerre, pas la paix”, a déclaré le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga, qualifiant l’attaque d'”odieuse”.Le président russe “doit être contraint d’accepter une paix juste par la force et par une pression économique et militaire maximale”, a-t-il ajouté.”Tous ceux qui aident l’État russe dans cette guerre doivent être soumis à une pression telle qu’ils ne la ressentent pas moins que ces frappes. Nous ne pouvons le faire qu’en unité avec le monde entier”, a pour sa part déclaré le président Zelensky sur les réseaux sociaux.Plus tard dans la soirée de samedi, M. Zelensky a indiqué que les frappes avaient été effectuées par des missiles balistiques. “Nous nous efforçons constamment d’obtenir davantage de systèmes de défense aérienne pour l’Ukraine – des systèmes modernes – capables d’intercepter ce type de missiles balistiques”, a-t-il ajouté.Les missiles abattus sont “tombés” sur le quartier central de Chevtchenkivsky à Kiev, endommageant un bâtiment industriel, un passage menant au métro ainsi que des immeubles résidentiels, selon la même source, ajoutant que l’approvisionnement en eau a été temporairement impacté. Un journaliste de l’AFP à Kiev a vu des inondations dans la rue sur le lieu de l’attaque et la structure calcinée d’un McDonald’s bombardé. Les défenses aériennes ont été actives dans la capitale toute la nuit, a déclaré le maire de la ville. L’armée de l’air ukrainienne a déclaré de son côté avoir abattu deux missiles balistiques Iskander ainsi que 24 drones d’attaque russes dans la nuit.Cette attaque intervient au moment où Kiev a intensifié ses attaques aériennes contre les installations énergétiques et militaires russes au cours des derniers mois. L’armée de Kiev a récemment mené des frappes contre plusieurs dépôts pétroliers russes, notamment deux attaques majeures contre une installation proche d’un aérodrome militaire dans la région russe de Saratov, qui ont déclenché des incendies qui ont duré plusieurs jours.- “Tout le monde dormait” -Les forces russes ont par ailleurs “attaqué le centre de la ville” de Zaporijjia, dans le sud du pays, a rapporté le gouverneur local Ivan Fedorov samedi matin. Une personne a été tuée et onze blessées, selon son dernier bilan en date, et un homme de 27 ans est encore porté disparu. Trois des blessés ont été hospitalisés.La Russie a “cyniquement” ciblé le centre de la ville “alors que tout le monde dormait”, a dit Ivan Fedorov. Deux autres personnes sont mortes dans une attaque de mortier à Beryslav, dans la région de Kherson (sud), selon le gouverneur Oleksandre Prokoudine.La Russie a par ailleurs annoncé samedi avoir pris le contrôle de deux autres villages dans l’Est de l’Ukraine, dernière avancée territoriale dans son offensive. Le ministère russe de la Défense a déclaré dans un communiqué publié sur Telegram que ses forces avaient pris les villages de Vremivka et Petropavlivka, tous deux situés dans la région de Donetsk, épicentre des combats.Le ministre allemand de la Défense s’est dit pour sa part samedi ouvert à l’envoi de soldats allemands en Ukraine si une zone démilitarisée y était instaurée pour garantir le respect d’un hypothétique cessez-le-feu avec la Russie.

Ukraine: six morts, dont trois à Kiev, dans des attaques russe

Trois personnes ont été tuées dans une attaque russe à Kiev, a annoncé samedi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, une frappe avec des missiles balistiques qualifiée d'”odieuse” par Kiev et de représailles par Moscou. Les autorités ukrainiennes ont indiqué que trois autres personnes avaient été tuées dans des frappes russes ailleurs dans le pays, et Moscou a revendiqué de nouvelles avancées sur le terrain.Selon la mairie de Kiev, les tués dans la capitale sont deux hommes, de 43 et 25 ans, et une femme de 41 ans. Kiev est fréquemment ciblée par des drones et des missiles russes, mais les victimes sont rares dans la capitale, fortement protégée par des systèmes de défense aérienne et mieux à même de repousser les attaques que partout ailleurs dans le pays.L’armée russe a de son côté déclaré avoir frappé un site militaire à Kiev en représailles à l’utilisation par l’Ukraine de missiles américains ATACMS.”Les forces armées russes ont mené une frappe groupée avec des armes à guidage de précision contre des installations militaro-industrielles ukrainiennes, notamment un site qui fabrique des missiles à longue portée”, selon le ministre russe de la Défense.- “Poutine veut la guerre” -“Encore une preuve que Poutine veut la guerre, pas la paix”, a déclaré le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga, qualifiant l’attaque d'”odieuse”.Le président russe “doit être contraint d’accepter une paix juste par la force et par une pression économique et militaire maximale”, a-t-il ajouté.”Tous ceux qui aident l’État russe dans cette guerre doivent être soumis à une pression telle qu’ils ne la ressentent pas moins que ces frappes. Nous ne pouvons le faire qu’en unité avec le monde entier”, a pour sa part déclaré le président Zelensky sur les réseaux sociaux.Plus tard dans la soirée de samedi, M. Zelensky a indiqué que les frappes avaient été effectuées par des missiles balistiques. “Nous nous efforçons constamment d’obtenir davantage de systèmes de défense aérienne pour l’Ukraine – des systèmes modernes – capables d’intercepter ce type de missiles balistiques”, a-t-il ajouté.Les missiles abattus sont “tombés” sur le quartier central de Chevtchenkivsky à Kiev, endommageant un bâtiment industriel, un passage menant au métro ainsi que des immeubles résidentiels, selon la même source, ajoutant que l’approvisionnement en eau a été temporairement impacté. Un journaliste de l’AFP à Kiev a vu des inondations dans la rue sur le lieu de l’attaque et la structure calcinée d’un McDonald’s bombardé. Les défenses aériennes ont été actives dans la capitale toute la nuit, a déclaré le maire de la ville. L’armée de l’air ukrainienne a déclaré de son côté avoir abattu deux missiles balistiques Iskander ainsi que 24 drones d’attaque russes dans la nuit.Cette attaque intervient au moment où Kiev a intensifié ses attaques aériennes contre les installations énergétiques et militaires russes au cours des derniers mois. L’armée de Kiev a récemment mené des frappes contre plusieurs dépôts pétroliers russes, notamment deux attaques majeures contre une installation proche d’un aérodrome militaire dans la région russe de Saratov, qui ont déclenché des incendies qui ont duré plusieurs jours.- “Tout le monde dormait” -Les forces russes ont par ailleurs “attaqué le centre de la ville” de Zaporijjia, dans le sud du pays, a rapporté le gouverneur local Ivan Fedorov samedi matin. Une personne a été tuée et onze blessées, selon son dernier bilan en date, et un homme de 27 ans est encore porté disparu. Trois des blessés ont été hospitalisés.La Russie a “cyniquement” ciblé le centre de la ville “alors que tout le monde dormait”, a dit Ivan Fedorov. Deux autres personnes sont mortes dans une attaque de mortier à Beryslav, dans la région de Kherson (sud), selon le gouverneur Oleksandre Prokoudine.La Russie a par ailleurs annoncé samedi avoir pris le contrôle de deux autres villages dans l’Est de l’Ukraine, dernière avancée territoriale dans son offensive. Le ministère russe de la Défense a déclaré dans un communiqué publié sur Telegram que ses forces avaient pris les villages de Vremivka et Petropavlivka, tous deux situés dans la région de Donetsk, épicentre des combats.Le ministre allemand de la Défense s’est dit pour sa part samedi ouvert à l’envoi de soldats allemands en Ukraine si une zone démilitarisée y était instaurée pour garantir le respect d’un hypothétique cessez-le-feu avec la Russie.

Le milieu de terrain allemand de Moenchengladbach, Robin Hack, le défenseur néerlandais du Bayer Leverkusen, Jeremie Frimpong, et le défenseur brésilien du Bayer Leverkusen, Arthur, se disputent le ballon lors du match de football de Bundesliga à Leverkusen, le 18 janvier 2025

Le milieu de terrain allemand de Moenchengladbach, Robin Hack, le défenseur néerlandais du Bayer Leverkusen, Jeremie Frimpong, et le défenseur brésilien du Bayer Leverkusen, Arthur, se disputent le ballon lors du match de football de Bundesliga à Leverkusen, le 18 janvier 2025