Thousands join London pro-Palestinian rally on eve of Gaza truce

Thousands of pro-Palestinian supporters gathered in central London Saturday, on the eve of the start of a ceasefire between Israel and Hamas, hoping to put “pressure” to ensure the ceasefire holds.”We desperately want to be optimistic” about the truce, Sophie Mason told AFP.”And so we need to be out on the streets in order to make sure the ceasefire holds,” said the 50-year-old, who is a regular at the pro-Palestinian demonstrations in the British capital.The ceasefire, which comes into effect Sunday morning (0630 GMT), involves the release of Israeli hostages held by Hamas and Palestinian prisoners held by Israel, Israeli withdrawal from densely populated areas of Gaza and an increase in humanitarian aid deliveries to the war-ravaged region. The London rally took place in Whitehall, site of the main British government offices, after police rejected the route initially proposed by organisers — which the Met police said would have been in the vicinity of a synagogue.Participants held up placards bearing slogans including “Stop arming Israel” or “Gaza, stop the massacre” amid regular chants of “From the river to the sea, Palestine will be free”.- Some arrests -“Obviously, we’re delighted there’s a cease fire”, said Linda Plant, a retiree from London, however, pointing out that Israeli strikes on Gaza have continued since the ceasefire deal was announced Wednesday.”We need to make pressure to make that ceasefire hold” and for international aid to reach Gaza, said Ben, 36, a workers union member who only shared his first name.For Anisah Qausher, a student, the ceasefire is “too late, I think it’s too little”. While she hopes it will bring “temporary relief”, she believes that “we’re gonna need to do a lot more”, citing the challenge of rebuilding Gaza.Around 20-30 protesters were “being arrested” for breaching the authorised perimeter for the protest, and at least seven other protesters had already been arrested for various offences, the Metropolitan police said on X.A counter-demonstration with around 100 protesters waving Israeli flags also gathered nearby.Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel triggered the war and resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally of Israeli official figures.Of the 251 people taken hostage, 94 are still in Gaza, including 34 the Israeli military says are dead.Israel’s retaliatory campaign has destroyed much of Gaza, killing 46,899 people, most of them civilians, according to figures from the Hamas-run territory’s health ministry that the United Nations considers reliable.

Corée du Sud : Yoon a comparu devant la justice sur la prolongation de sa détention

Le président sud-coréen suspendu de ses fonctions Yoon Suk Yeol a comparu samedi pour la première fois devant la justice à Séoul, contestant la demande de prolongation de sa détention, après son arrestation pour avoir en vain tenté d’imposer la loi martiale.Des dizaines de milliers – 44.000 selon la police – de ses partisans se sont rassemblés devant le tribunal et se sont affrontés à la police, certains ayant tenté d’entrer dans le palais de justice ou agressé physiquement des membres des forces de l’ordre, ont vu des journalistes de l’AFP. Quarante manifestants ont au total ont été interpellés à la suite de ces violences, a annoncé à l’AFP un responsable de la police locale.Les protestataires scandaient des slogans de soutien à M. Yoon et plusieurs brandissaient des pancartes sur lesquelles était écrit “libérez le président”. Les juges doivent désormais décider sa remise en liberté, ce qui semble peu probable, d’après des analystes, ou bien s’ils prolongent sa détention d’une vingtaine de jours. Leur décision est attendue tard samedi ou tôt dimanche.M. Yoon, qui a plongé la Corée du Sud dans sa pire crise politique depuis des décennies, s’est exprimé pendant 40 minutes devant le tribunal, a rapporté l’agence de presse Yonhap.- “Situation dangereuse” – Son avocat avait auparavant dit à l’AFP qu’il espérait y “rétablir son honneur”. Il “a expliqué et répondu fidèlement sur les faits, les preuves et les questions juridiques”, a déclaré Me Yoon Kab-keun aux journalistes après l’audience.L’audience s’est terminée au bout d’environ cinq heures, a raconté un responsable du tribunal. M. Yoon a alors quitté le bâtiment dans une camionnette bleue du ministère de la Justice en direction du centre de détention de Séoul où il est enfermé. Le Bureau d’enquête sur la corruption (CIO), qui mène les investigations, a raconté dans un communiqué que deux véhicules transportant des membres de son équipe avaient été attaqués par des protestataires, “créant une situation dangereuse”.Le CIO va “réclamer que la police (impose) des sanctions strictes sur la base des preuves recueillies concernant ces actions”.- “Patriotisme passionné” -M. Yoon avait envoyé vendredi une lettre via ses avocats pour remercier ses partisans, parmi lesquels des chrétiens évangéliques et des YouTubeurs de droite, pour leurs manifestations, rendant hommage à leur “patriotisme passionné”.Samedi, les manifestants, qui agitaient des drapeaux sud-coréens et américains, ont occupé les principaux axes devant le tribunal.Le parti de M. Yoon est généralement favorable à l’alliance de sécurité américaine avec la Corée du Sud et rejette tout engagement avec la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire. “La probabilité que le tribunal approuve l’arrestation est très élevée et, conscient de cela, M. Yoon a appelé à une mobilisation maximale parmi ses partisans de la ligne dure”, a relevé auprès de l’AFP Chae Jin-won, de l’Humanitas College de l’université Kyung Hee. – Maintien en détention ? – Une décision du tribunal entérinant le maintien en détention du chef de l’Etat donnerait aux procureurs le temps d’officialiser un acte d’accusation pour insurrection, ce qui le rendrait passible de la prison à vie ou d’exécution s’il est reconnu coupable.Une telle accusation signifierait que M. Yoon serait probablement détenu pendant toute la durée de son procès. L’absence de prolongation de sa détention entraînerait au contraire sa remise en liberté.M. Yoon est accusé d’avoir déstabilisé son pays en instaurant par surprise la loi martiale le 3 décembre, un coup de force toutefois vite contrecarré par les députés, au sein d’un Parlement cerné par des soldats.D’après lui, cette mesure était destinée à protéger la Corée du Sud des “forces communistes nord-coréennes” et à “éliminer les éléments hostiles à l’Etat”.Il a été arrêté le 15 janvier dans sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l’Etat en exercice.L’Assemblée nationale a voté le 14 décembre une motion de destitution contre lui, provoquant sa suspension. Il reste toutefois officiellement le président, seule la Cour constitutionnelle ayant le pouvoir de lui retirer son titre.Dans cette procédure parallèle aux enquêtes en cours, la juridiction a jusqu’à la mi-juin pour le démettre définitivement ou décider de le rétablir dans ses fonctions. 

Corée du Sud : Yoon a comparu devant la justice sur la prolongation de sa détention

Le président sud-coréen suspendu de ses fonctions Yoon Suk Yeol a comparu samedi pour la première fois devant la justice à Séoul, contestant la demande de prolongation de sa détention, après son arrestation pour avoir en vain tenté d’imposer la loi martiale.Des dizaines de milliers – 44.000 selon la police – de ses partisans se sont rassemblés devant le tribunal et se sont affrontés à la police, certains ayant tenté d’entrer dans le palais de justice ou agressé physiquement des membres des forces de l’ordre, ont vu des journalistes de l’AFP. Quarante manifestants ont au total ont été interpellés à la suite de ces violences, a annoncé à l’AFP un responsable de la police locale.Les protestataires scandaient des slogans de soutien à M. Yoon et plusieurs brandissaient des pancartes sur lesquelles était écrit “libérez le président”. Les juges doivent désormais décider sa remise en liberté, ce qui semble peu probable, d’après des analystes, ou bien s’ils prolongent sa détention d’une vingtaine de jours. Leur décision est attendue tard samedi ou tôt dimanche.M. Yoon, qui a plongé la Corée du Sud dans sa pire crise politique depuis des décennies, s’est exprimé pendant 40 minutes devant le tribunal, a rapporté l’agence de presse Yonhap.- “Situation dangereuse” – Son avocat avait auparavant dit à l’AFP qu’il espérait y “rétablir son honneur”. Il “a expliqué et répondu fidèlement sur les faits, les preuves et les questions juridiques”, a déclaré Me Yoon Kab-keun aux journalistes après l’audience.L’audience s’est terminée au bout d’environ cinq heures, a raconté un responsable du tribunal. M. Yoon a alors quitté le bâtiment dans une camionnette bleue du ministère de la Justice en direction du centre de détention de Séoul où il est enfermé. Le Bureau d’enquête sur la corruption (CIO), qui mène les investigations, a raconté dans un communiqué que deux véhicules transportant des membres de son équipe avaient été attaqués par des protestataires, “créant une situation dangereuse”.Le CIO va “réclamer que la police (impose) des sanctions strictes sur la base des preuves recueillies concernant ces actions”.- “Patriotisme passionné” -M. Yoon avait envoyé vendredi une lettre via ses avocats pour remercier ses partisans, parmi lesquels des chrétiens évangéliques et des YouTubeurs de droite, pour leurs manifestations, rendant hommage à leur “patriotisme passionné”.Samedi, les manifestants, qui agitaient des drapeaux sud-coréens et américains, ont occupé les principaux axes devant le tribunal.Le parti de M. Yoon est généralement favorable à l’alliance de sécurité américaine avec la Corée du Sud et rejette tout engagement avec la Corée du Nord, dotée de l’arme nucléaire. “La probabilité que le tribunal approuve l’arrestation est très élevée et, conscient de cela, M. Yoon a appelé à une mobilisation maximale parmi ses partisans de la ligne dure”, a relevé auprès de l’AFP Chae Jin-won, de l’Humanitas College de l’université Kyung Hee. – Maintien en détention ? – Une décision du tribunal entérinant le maintien en détention du chef de l’Etat donnerait aux procureurs le temps d’officialiser un acte d’accusation pour insurrection, ce qui le rendrait passible de la prison à vie ou d’exécution s’il est reconnu coupable.Une telle accusation signifierait que M. Yoon serait probablement détenu pendant toute la durée de son procès. L’absence de prolongation de sa détention entraînerait au contraire sa remise en liberté.M. Yoon est accusé d’avoir déstabilisé son pays en instaurant par surprise la loi martiale le 3 décembre, un coup de force toutefois vite contrecarré par les députés, au sein d’un Parlement cerné par des soldats.D’après lui, cette mesure était destinée à protéger la Corée du Sud des “forces communistes nord-coréennes” et à “éliminer les éléments hostiles à l’Etat”.Il a été arrêté le 15 janvier dans sa résidence officielle, une première en Corée du Sud pour un chef de l’Etat en exercice.L’Assemblée nationale a voté le 14 décembre une motion de destitution contre lui, provoquant sa suspension. Il reste toutefois officiellement le président, seule la Cour constitutionnelle ayant le pouvoir de lui retirer son titre.Dans cette procédure parallèle aux enquêtes en cours, la juridiction a jusqu’à la mi-juin pour le démettre définitivement ou décider de le rétablir dans ses fonctions. 

Trump launches his own meme coin, value soars

US President-elect Donald Trump has launched his own cryptocurrency, appropriately called $TRUMP, sparking feverish buying that sent its market capitalization soaring on Saturday to several billion dollars.In a message posted on his Truth Social platform and X, Trump unveiled the so-called meme coin, which is designed to capitalize on the popularity of a certain personality, movement or viral internet trend.Meme coins have no economic or transactional value, and are often seen as a means of speculative trading. “This Trump Meme celebrates a leader who doesn’t back down, no matter the odds,” says the coin’s official site, which makes reference to the assassination attempt against the Republican in July 2024.In the hours following the overnight launch, the crypto community posed questions about the legitimacy of the $TRUMP coin, and its actual link to the president-elect, with some fearing a scam.But the fact that the announcements came on Trump’s official social media channels seemed to reassure the market, as did the fact that Trump has used one of the companies behind the project, CIC Digital LLC, in the past to sell non-fungible tokens (NFTs).By mid-morning on Saturday, the market capitalization for $TRUMP stood at nearly $6 billion. Neither Trump nor the company managing the launch, Fight Fight Fight LLC, offered details about how much he made from the initial batch of meme coins released.The coin’s official site said 200 million meme coins were issued, with Fight Fight Fight saying an additional 800 million would be added over the next three years.At the current rate, the coins not yet on the market would be worth about $24 billion. Initially opposed to cryptocurrency, Trump made a sharp about-face during his 2024 presidential campaign, becoming a champion of the concept and promising to develop the sector, notably by loosening regulations.Before this new announcement, businessmen linked to Trump had in October put online a crypto platform called World Liberty Financial.