Asian traders give mixed reaction as China’s economic growth slows
Asian markets were mixed Friday as data showing China’s economy grew slightly quicker than expected last year failed to inspire investors, with Beijing battling to revive consumption and boost the battered property sector.The five percent expansion was in line with the target set by Beijing but the weakest since 1990 — excluding the pandemic years — as leaders fought to address weak consumption and a painful debt crisis in the vast property sector.A survey of 12 economists by AFP forecast growth of 4.9 percent.A surge in the final quarter, helped by a string of stimulus measures, and a boost in retail sales were also unable to inject much optimism onto trading floors, which were already cautious as dealers prepare for Donald Trump’s second term amid fears of another China-US trade war.The 2024 growth figure came in the face of a “complicated and severe environment with increasing external pressures and internal difficulties”, the National Bureau of Statistics said.Beijing has introduced a series of measures in recent months to bolster the economy, including key interest rate cuts, easing local government debt and expanding subsidy programs for household goods.However, analysts surveyed by AFP warned it could fall to just 4.4 percent this year and even drop below four percent in 2026. One of the rare bright spots for the economy last year was trade, with exports hitting a historic high, but its massive trade surplus means Beijing may not be able to count on exports to continue to provide support.Trump, who returns to the White House on Monday, has promised to impose more hefty sanctions on China.”Amid a relentless barrage of economic pessimism, China’s economy defied expectations with a robust five percent growth last year, nailing the government’s ambitious target,” said Stephen Innes at SPI Asset Management. “This surge was fuelled by a vigorous export boom and aggressive stimulus measures that counterbalanced the sluggish domestic demand. Although slightly outpacing analyst forecasts, this growth fell just shy of the 5.2 percent expansion seen in 2023, painting a picture of an economy with both promising highs and undeniable challenges.”- Nintendo fails to impress -Lynn Song, chief economist for Greater China at ING, added: “After the success in reaching the growth target in 2024, the key question for 2025 is where policymakers will set the growth target at the upcoming Two Sessions in March.”Our baseline scenario has policymakers electing to set a target of ‘around five percent’ again or at the least a target of ‘above 4.5 percent’.”The setting of such a growth target despite likely headwinds from tariffs and sanctions would imply that we will see stronger fiscal policy support as well as continued monetary policy easing and would likely be seen by markets as a signal of confidence.”Hong Kong and Shanghai squeezed out small gains, while Seoul, Sydney, Mumbai and Bangkok fell. Singapore, Taipei, Wellington, Jakarta and Manila rose.Tokyo also dropped, with gaming giant Nintendo diving more than four percent — having shed seven percent in the morning — after it failed to impress with a brief video preview of its highly anticipated new Switch 2 console.London, Paris and Frankfurt extended Thursday’s strong gains at the open.The tepid performance in Asia followed a lacklustre day on Wall Street where investors were unable to extend Wednesday’s inflation-sparked rally.US investors were barely moved by the latest dovish comments from a top Federal Reserve official that hinted at a further easing of monetary policy this year.Governor Christopher Waller told CNBC that Wednesday’s below-forecast core inflation data was “very good”, adding that “we had a couple of bumpy months in September and October but it looks like it’s getting back to trend”.”If we continue getting numbers like this, it’s reasonable to think rate cuts could happen in the first half of the year,” he said, indicating he would not rule out a cut in March. He said the number of reductions would be data-dependent.His comments came as figures showed US retail sales grew at a slightly slower pace than expected from November to December but still at a solid increase, while the National Retail Federation forecast a bigger-than-expected rise in US holiday sales.Consumer price index figures on Wednesday fell just short of estimates, which eased concerns the Fed will keep interest rates high. – Key figures around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.3 percent at 38,451.46 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 19,584.06 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,241.82 (close)London – FTSE 100: UP 1.0 percent at 8,471.62Euro/dollar: DOWN at $1.0286 from $1.0306 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2173 from $1.2237Dollar/yen: UP at 155.59 yen from 155.17 yenEuro/pound: UP at 84.48 pence from 84.18 penceWest Texas Intermediate: UP 0.9 percent at $79.35 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.6 percent at $81.81 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.2 percent at 43,153.13 (close)
Le Japon marque le 30e anniversaire du séisme meutrier de Kobe, le risque toujours présent
Des milliers de personnes ont commémoré vendredi le tremblement de terre qui a tué en 1995 plus de 6.400 personnes et rasé une grande partie de la ville de Kobe, dans l’ouest du Japon, à l’heure où l’archipel voit augmenter le risque d’un “mégaséisme” dans les prochaines décennies.La secousse de magnitude 7,2 qui a frappé Kobe le 17 janvier 1995 avait conduit le gouvernement à réviser ses mécanismes de préparation aux tremblements de terre dans l’archipel, qui concentre environ un cinquième des secousses les plus puissantes au monde.Une minute de silence a été observée dans le centre-ville avant l’aube à 05H46 locales (20H46 GMT), l’heure exacte à laquelle le séisme –le deuxième plus meurtrier au Japon depuis la Seconde Guerre mondiale– a frappé la métropole portuaire.Un homme qui a perdu sa mère et sa sÅ“ur dans la catastrophe a fait part de son traumatisme à la télévision publique NHK: “Chaque fois que je vois quelqu’un qui leur ressemble, j’ai le sentiment que c’est peut-être elles… Je vis comme ça depuis 30 ans”.Le séisme a fait s’effondrer des bâtiments, ensevelissant des milliers de personnes, arraché des ponts routiers et des voies ferrées, tandis que des incendies ravageaient les maisons en bois.Les dégâts infligés à la zone portuaire, alors extrêmement dynamique, et aux infrastructures ont porté un coup dur à l’économie de Kobe, provoquant un exode de population au cours des mois et années qui ont suivi.Le Japon connaît plus de 1.000 tremblements de terre chaque année. La grande majorité sont inoffensifs, mais de puissants séismes occasionnels peuvent causer des dégâts et pertes humaines d’importance.Le Japon avait ainsi enregistré une secousse de magnitude 9, le 11 mars 2011, au large de ses côtes nord-est. Celle-ci avait déclenché un raz-de-marée qui a fait environ 20.000 morts ou disparus et provoqué l’accident nucléaire de Fukushima.Dans l’ouest, la région d’Ishikawa peine toujours à se remettre d’un séisme survenu le 1er janvier 2024, qui a tué quelque 500 personnes.-“Transmettre les leçons”-Un panel gouvernemental japonais a relevé légèrement jeudi, à une fourchette entre 75 et 82%, la probabilité qu’un mégaséisme d’une magnitude équivalente à 8 ou 9 frappe le pays dans les 30 prochaines années.Environ 530.000 personnes pourraient perdre leur logement en cas de mégaséisme au niveau de la fosse sous-marine de Nankai, qui s’étend parallèlement aux côtes orientales du pays sur 800 kilomètres, selon une estimation du média Nikkei.Au total, le gouvernement estime que 9,5 millions d’habitants pourraient être déplacés si une telle catastrophe naturelle survenait.Outre des exercices fréquents de simulation, les autorités s’efforcent de maintenir la sensibilisation du public et de rappeler les consignes pour se préparer à des séismes majeurs.Dans une récente enquête de la NHK auprès de 1.269 personnes ayant vécu le tremblement de terre de Kobe, plus de 60% des sondés ont estimé que “les souvenirs et leçons (du drame) s’estompaient”.”Nous devons transmettre nos expériences et nos leçons, notamment pour impliquer les jeunes générations nées après le séisme”, a insisté Motohiko Saito, gouverneur de la préfecture de Hyogo, où se trouve Kobe.L’ex-empereur Akihito, 90 ans, et l’ex-impératrice Michiko, 89 ans, ont assisté à une cérémonie commémorative.Le couple impérial était arrivé jeudi dans la ville portuaire, où il avait rencontré des survivants de la catastrophe. “Cela a dû extrêmement difficile”, a déclaré Akihito, selon la télévision privée TBS.
Le Japon marque le 30e anniversaire du séisme meutrier de Kobe, le risque toujours présent
Des milliers de personnes ont commémoré vendredi le tremblement de terre qui a tué en 1995 plus de 6.400 personnes et rasé une grande partie de la ville de Kobe, dans l’ouest du Japon, à l’heure où l’archipel voit augmenter le risque d’un “mégaséisme” dans les prochaines décennies.La secousse de magnitude 7,2 qui a frappé Kobe le 17 janvier 1995 avait conduit le gouvernement à réviser ses mécanismes de préparation aux tremblements de terre dans l’archipel, qui concentre environ un cinquième des secousses les plus puissantes au monde.Une minute de silence a été observée dans le centre-ville avant l’aube à 05H46 locales (20H46 GMT), l’heure exacte à laquelle le séisme –le deuxième plus meurtrier au Japon depuis la Seconde Guerre mondiale– a frappé la métropole portuaire.Un homme qui a perdu sa mère et sa sÅ“ur dans la catastrophe a fait part de son traumatisme à la télévision publique NHK: “Chaque fois que je vois quelqu’un qui leur ressemble, j’ai le sentiment que c’est peut-être elles… Je vis comme ça depuis 30 ans”.Le séisme a fait s’effondrer des bâtiments, ensevelissant des milliers de personnes, arraché des ponts routiers et des voies ferrées, tandis que des incendies ravageaient les maisons en bois.Les dégâts infligés à la zone portuaire, alors extrêmement dynamique, et aux infrastructures ont porté un coup dur à l’économie de Kobe, provoquant un exode de population au cours des mois et années qui ont suivi.Le Japon connaît plus de 1.000 tremblements de terre chaque année. La grande majorité sont inoffensifs, mais de puissants séismes occasionnels peuvent causer des dégâts et pertes humaines d’importance.Le Japon avait ainsi enregistré une secousse de magnitude 9, le 11 mars 2011, au large de ses côtes nord-est. Celle-ci avait déclenché un raz-de-marée qui a fait environ 20.000 morts ou disparus et provoqué l’accident nucléaire de Fukushima.Dans l’ouest, la région d’Ishikawa peine toujours à se remettre d’un séisme survenu le 1er janvier 2024, qui a tué quelque 500 personnes.-“Transmettre les leçons”-Un panel gouvernemental japonais a relevé légèrement jeudi, à une fourchette entre 75 et 82%, la probabilité qu’un mégaséisme d’une magnitude équivalente à 8 ou 9 frappe le pays dans les 30 prochaines années.Environ 530.000 personnes pourraient perdre leur logement en cas de mégaséisme au niveau de la fosse sous-marine de Nankai, qui s’étend parallèlement aux côtes orientales du pays sur 800 kilomètres, selon une estimation du média Nikkei.Au total, le gouvernement estime que 9,5 millions d’habitants pourraient être déplacés si une telle catastrophe naturelle survenait.Outre des exercices fréquents de simulation, les autorités s’efforcent de maintenir la sensibilisation du public et de rappeler les consignes pour se préparer à des séismes majeurs.Dans une récente enquête de la NHK auprès de 1.269 personnes ayant vécu le tremblement de terre de Kobe, plus de 60% des sondés ont estimé que “les souvenirs et leçons (du drame) s’estompaient”.”Nous devons transmettre nos expériences et nos leçons, notamment pour impliquer les jeunes générations nées après le séisme”, a insisté Motohiko Saito, gouverneur de la préfecture de Hyogo, où se trouve Kobe.L’ex-empereur Akihito, 90 ans, et l’ex-impératrice Michiko, 89 ans, ont assisté à une cérémonie commémorative.Le couple impérial était arrivé jeudi dans la ville portuaire, où il avait rencontré des survivants de la catastrophe. “Cela a dû extrêmement difficile”, a déclaré Akihito, selon la télévision privée TBS.
Les Bourses européennes ouvrent en hausse
Les Bourses européennes ont ouvert en hausse vendredi, tournées vers les Etats-Unis à l’approche de l’investiture de Donald Trump et au lendemain de commentaires jugés optimistes d’un gouverneur de la banque centrale américaine (Fed) sur la politique monétaire de l’institution.Dans les premiers échanges, la Bourse de Londres avançait de 0,82%, Paris de 0,61%, Francfort prenait 0,32% et Milan 0,41%.
Foot: selon Neymar, Mbappé était “jaloux” de Messi et le PSG avait un problème “d’ego”
Pour Neymar, Kylian Mbappé est devenu “jaloux” de sa relation avec Lionel Messi quand l’Argentin est arrivé au PSG en 2021, formant un trio de stars qui n’a pas échappé aux problèmes d'”ego”, a-t-il dit jeudi dans un entretien accordé à Romario.Revenant sur sa relation avec Mbappé, Neymar a reconnu avoir eu “des problèmes avec lui” dans un entretien sur la chaîne Youtube de l’ancienne gloire brésilienne.”Nous nous sommes un peu disputés, mais c’est un gars qui, au début, quand il est arrivé, était essentiel. Je lui ai toujours dit, j’ai plaisanté avec lui, qu’il allait être l’un des meilleurs, je l’ai toujours aidé, j’ai parlé avec lui. Il venait chez moi, nous allions dîner ensemble”, a déclaré Neymar.”Nous avons passé quelques bonnes années ensemble, mais lorsque Messi est arrivé, je pense qu’il est devenu un peu jaloux” de la relation particulière que les deux anciens partenaires à Barcelone avaient. “Il ne voulait pas me partager avec quiconque et c’est alors que les disputes ont commencé, que son comportement a changé”, a continué le Brésilien de 32 ans, qui a quitté le PSG pour le club saoudien d’Al-Hilal en 2023.Neymar a par ailleurs considéré qu’un manque d’esprit d’équipe a empêché le PSG de réaliser pleinement son potentiel et de gagner la Ligue des champions.”Il faut se rendre compte que tu ne joues pas tout seul. Tu dois avoir les autres à tes côtés: ‘Je suis le meilleur, OK’, mais qui va te donner le ballon? Tu dois avoir de bons joueurs qui te donnent le ballon”, a tenté d’expliquer celui qui a été souvent taxé d’individualisme sur le terrain.”C’était les ego de tout le monde… donc ça ne pouvait pas marcher. Aujourd’hui, si personne ne court, si personne ne s’entraide, il est impossible de gagner”, a-t-il estimé.Depuis son arrivée en Arabie saoudite, Neymar a connu de nouvelles blessures et a très peu joué. S’il se dit heureux à Al-Hilal, son contrat se termine en juin et “en six mois, tout peut changer”, a-t-il souligné.