“Impuissant”, “hors sol”, “à bout de souffle”: les oppositions accablent Macron

Déçus par la longue intervention télévisée d’Emmanuel Macron la veille, frustrés par l’absence d’annonce sur un éventuel référendum, ses opposants de droite comme de gauche jugeaient durement mardi la prestation d’un chef de l’Etat à leurs yeux “impuissant” et “à bout de souffle”.Parole d’expert: lundi soir sur TF1, “on avait un président en fin de mandat, sans majorité parlementaire, qui se prenait pour le Premier ministre”, a résumé François Hollande sur franceinfo.Même en agitant ses prérogatives référendaires, avec son idée d’une “consultation multiple” sur plusieurs sujets “en même temps”, M. Macron n’a guère convaincu son prédécesseur. “Les questions multiples, ça n’existe pas dans la Constitution”, a balayé le socialiste.Au moins aurait-il “pu dire quels sont les thèmes sur lesquels il entend véritablement poser des questions aux Français”, a regretté Olivier Faure sur TF1.Des plus de trois heures d’émission, le premier secrétaire du PS a gardé “le sentiment d’un président qui était venu commenter sa propre impuissance”. Comme dans le dossier Arcelor Mittal où “il aurait pu annoncer que la nationalisation temporaire est possible”, au lieu de refuser ce scénario en pointant son coût.”Hier, on a bien vu que le changement de cap politique n’arriverait pas jusqu’à la fin du mandat”, a résumé Marine Tondelier sur Public Sénat. Jugeant pareillement que le locataire de l’Elysée “mettait en scène son impuissance”, la cheffe des Ecologistes lui a reproché de ne “se mettre en risque sur rien” en écartant l’option du référendum sur “tous les sujets où il risque d’être désavoué”, notamment les retraites.”C’était long et pénible”, a-t-elle insisté, déplorant d’avoir dû “attendre 23H00 pour qu’on parle un tout petit peu d’écologie”, thème à peine développé “3 minutes 46 chronomètre en main” selon la patronne des Verts.- “En dehors des réalités” -Insatisfaction partagée à droite, entre autres par un Laurent Wauquiez qui a “trouvé ça très interminable et assez vague”. Le chef des députés LR a confié sur France 2 son “impression que ce macronisme finissant est à bout de souffle pour deux ans et ne peut plus rien faire”.Particulièrement en matière d’immigration, sur laquelle le chef de l’Etat a exclu de convoquer un référendum. Veto “consternant”, alors que “c’est sans doute une de sujets les plus préoccupants pour les Français”, a souligné M. Wauquiez.L’extrême droite y voit même la confirmation que le président est “totalement en dehors des réalités des Français”, a appuyé Sébastien Chenu sur RTL, pointant “des sorties totalement hors sol” comme sur la location de places de prison à l’étranger pour lutter contre la surpopulation carcérale dans l’Hexagone.”Commentateur de ses insuffisances”, M. Macron “n’assume aucun de ses échecs” et “se défausse lorsque quelque chose ne va pas”, a matraqué le vice-président du Rassemblement national.”Il ne s’excuse pas, il ne s’explique pas (…) dès qu’un problème surgit, c’est pas lui”, a réagi dans la même veine son collègue député Jean-Philippe Tanguy, fustigeant sur BFMTV et RMC une “débâcle sur les référendums” et accusant le président d’avoir “menti quand il a dit qu’on va sauver les hauts fourneaux” d’ArcelorMittal à Dunkerque et Fos-sur-Mer.Accablé de toutes parts, le chef de l’Etat n’a guère reçu de soutien des quelques membres du gouvernement invités à commenter sa prestation dans les matinales radio et télé. “Je ne suis toujours pas macroniste”, a ainsi affirmé le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui a confessé sur Cnews et Europe 1 avoir lui aussi trouvé l’émission “longue”.”Le format ne se prêtait pas à une vision un peu structurée” qui aurait permis “d’avoir un peu plus de hauteur”, a tenté de justifier la porte-parole Sophie Primas sur Sud Radio, mais c’était “la volonté du président de la République de s’exprimer sur ce format”.

Vaccins et SMS de von der Leyen: Bruxelles épinglé pour son manque de transparence

La Commission européenne n’a pas justifié de manière satisfaisante pourquoi elle refusait l’accès aux SMS échangés en pleine pandémie de Covid-19 entre sa présidente Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a estimé mercredi la justice de l’UE, infligeant un revers à l’exécutif bruxellois.Le Tribunal de l’Union européenne, basé à Luxembourg, “fait droit au recours” intenté par une journaliste du quotidien américain New York Times pour avoir accès à ces documents, et annule l’acte par lequel la Commission a refusé cette demande.La décision a été immédiatement saluée par le journal, qui y a vu “une victoire pour la transparence”. “Les communications éphémères ne peuvent échapper à la vigilance de l’examen public”, a-t-il souligné.”Cela devrait servir de catalyseur pour que la Commission modifie enfin son attitude restrictive à l’égard de la liberté d’information”, a réagi de son côté l’ONG Transparency International.La Commission européenne a dit “prendre acte” de la décision et s’est engagée à fournir des explications “plus détaillées” pour se justifier.Ces SMS, dont le contenu est toujours resté secret, ont été échangés au moment où le laboratoire Pfizer/BioNTech était le plus gros fournisseur de vaccins anti-Covid à l’Union européenne. Les contrats négociés par la Commission au nom des 27 États membres se chiffraient en milliards d’euros.Cela a valu à Mme von der Leyen d’être la cible de plusieurs plaintes, dont l’une au pénal en Belgique pour “destruction de documents publics” et “corruption”, à laquelle étaient associées la Pologne et la Hongrie. Cette plainte a été déclarée irrecevable en janvier par la cour d’appel de Liège (est de la Belgique).Dans sa décision de mercredi, le Tribunal de l’UE pointe du doigt la légèreté avec laquelle la Commission a refusé la demande de la journaliste du New York Times Matina Stevis, qui avait révélé en avril 2021 l’existence de ces échanges numériques.- “Contenu substantiel” -“Dans une telle situation, la Commission ne peut pas se contenter d’affirmer qu’elle ne détient pas les documents demandés mais doit présenter des explications crédibles permettant au public et au Tribunal de comprendre pourquoi ces documents sont introuvables”, souligne la juridiction.Elle juge aussi que la Commission n’a pas expliqué “de manière plausible” pourquoi elle aurait estimé que les messages échangés “ne contenaient pas d’informations substantielles”.Noeud du litige: Matina Stevis a souhaité se voir communiquer tous les SMS échangés entre Mme von der Leyen et M. Bourla entre le 1er janvier 2021 et le 11 mai 2022, en vertu d’un règlement européen de 2001 sur la possibilité d’accéder à des documents publics de l’UE. Le refus opposé par la Commission l’a poussée à saisir la justice européenne, avec le soutien de son journal.Pour justifier son refus, la Commission européenne a affirmé être incapable de produire ces messages, à la durée de vie “éphémère”. Ceux-ci n’ont pas été enregistrés et archivés en tant que documents publics, “faute de contenu substantiel”, avait expliqué lundi devant la presse un responsable de l’exécutif bruxellois, assurant que “les SMS ne sont pas systématiquement considérés comme des documents publics”.Le tribunal a balayé ces arguments, jugeant qu’ils n’étaient pas avancés “de manière plausible”.Lors des plaidoiries à Luxembourg en novembre, un juriste chargé de défendre la Commission avait plaidé que les textos échangés n’entraient en aucun cas dans le cadre d’une négociation sur les conditions d’achat des vaccins.- “Mise en garde claire” -L’affaire a suscité une controverse au sein même des institutions européennes.La médiatrice de l’UE, à l’époque l’Irlandaise Emily O’Reilly, avait demandé début 2022 au cabinet de Mme von der Leyen de s’efforcer de mettre la main sur les SMS.”Il est clair (qu’ils) entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents” et “le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution”, avait-elle estimé, parlant d’un dossier “problématique”.Mercredi, plusieurs eurodéputés écologistes et de gauche ont renchéri sur ce thème. La décision de justice est “une mise en garde claire contre le manque de transparence de la présidente de la Commission”, a réagi l’élu allemand Daniel Freund (Verts).Durant la pandémie de Covid-19, l’UE a acheté ou réservé plus de la majorité de ses doses de vaccin au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, même si cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins homologués par le régulateur européen.

Vaccins et SMS de von der Leyen: Bruxelles épinglé pour son manque de transparence

La Commission européenne n’a pas justifié de manière satisfaisante pourquoi elle refusait l’accès aux SMS échangés en pleine pandémie de Covid-19 entre sa présidente Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a estimé mercredi la justice de l’UE, infligeant un revers à l’exécutif bruxellois.Le Tribunal de l’Union européenne, basé à Luxembourg, “fait droit au recours” intenté par une journaliste du quotidien américain New York Times pour avoir accès à ces documents, et annule l’acte par lequel la Commission a refusé cette demande.La décision a été immédiatement saluée par le journal, qui y a vu “une victoire pour la transparence”. “Les communications éphémères ne peuvent échapper à la vigilance de l’examen public”, a-t-il souligné.”Cela devrait servir de catalyseur pour que la Commission modifie enfin son attitude restrictive à l’égard de la liberté d’information”, a réagi de son côté l’ONG Transparency International.La Commission européenne a dit “prendre acte” de la décision et s’est engagée à fournir des explications “plus détaillées” pour se justifier.Ces SMS, dont le contenu est toujours resté secret, ont été échangés au moment où le laboratoire Pfizer/BioNTech était le plus gros fournisseur de vaccins anti-Covid à l’Union européenne. Les contrats négociés par la Commission au nom des 27 États membres se chiffraient en milliards d’euros.Cela a valu à Mme von der Leyen d’être la cible de plusieurs plaintes, dont l’une au pénal en Belgique pour “destruction de documents publics” et “corruption”, à laquelle étaient associées la Pologne et la Hongrie. Cette plainte a été déclarée irrecevable en janvier par la cour d’appel de Liège (est de la Belgique).Dans sa décision de mercredi, le Tribunal de l’UE pointe du doigt la légèreté avec laquelle la Commission a refusé la demande de la journaliste du New York Times Matina Stevis, qui avait révélé en avril 2021 l’existence de ces échanges numériques.- “Contenu substantiel” -“Dans une telle situation, la Commission ne peut pas se contenter d’affirmer qu’elle ne détient pas les documents demandés mais doit présenter des explications crédibles permettant au public et au Tribunal de comprendre pourquoi ces documents sont introuvables”, souligne la juridiction.Elle juge aussi que la Commission n’a pas expliqué “de manière plausible” pourquoi elle aurait estimé que les messages échangés “ne contenaient pas d’informations substantielles”.Noeud du litige: Matina Stevis a souhaité se voir communiquer tous les SMS échangés entre Mme von der Leyen et M. Bourla entre le 1er janvier 2021 et le 11 mai 2022, en vertu d’un règlement européen de 2001 sur la possibilité d’accéder à des documents publics de l’UE. Le refus opposé par la Commission l’a poussée à saisir la justice européenne, avec le soutien de son journal.Pour justifier son refus, la Commission européenne a affirmé être incapable de produire ces messages, à la durée de vie “éphémère”. Ceux-ci n’ont pas été enregistrés et archivés en tant que documents publics, “faute de contenu substantiel”, avait expliqué lundi devant la presse un responsable de l’exécutif bruxellois, assurant que “les SMS ne sont pas systématiquement considérés comme des documents publics”.Le tribunal a balayé ces arguments, jugeant qu’ils n’étaient pas avancés “de manière plausible”.Lors des plaidoiries à Luxembourg en novembre, un juriste chargé de défendre la Commission avait plaidé que les textos échangés n’entraient en aucun cas dans le cadre d’une négociation sur les conditions d’achat des vaccins.- “Mise en garde claire” -L’affaire a suscité une controverse au sein même des institutions européennes.La médiatrice de l’UE, à l’époque l’Irlandaise Emily O’Reilly, avait demandé début 2022 au cabinet de Mme von der Leyen de s’efforcer de mettre la main sur les SMS.”Il est clair (qu’ils) entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents” et “le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution”, avait-elle estimé, parlant d’un dossier “problématique”.Mercredi, plusieurs eurodéputés écologistes et de gauche ont renchéri sur ce thème. La décision de justice est “une mise en garde claire contre le manque de transparence de la présidente de la Commission”, a réagi l’élu allemand Daniel Freund (Verts).Durant la pandémie de Covid-19, l’UE a acheté ou réservé plus de la majorité de ses doses de vaccin au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, même si cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins homologués par le régulateur européen.

Vaccins et SMS de von der Leyen: Bruxelles épinglé pour son manque de transparence

La Commission européenne n’a pas justifié de manière satisfaisante pourquoi elle refusait l’accès aux SMS échangés en pleine pandémie de Covid-19 entre sa présidente Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a estimé mercredi la justice de l’UE, infligeant un revers à l’exécutif bruxellois.Le Tribunal de l’Union européenne, basé à Luxembourg, “fait droit au recours” intenté par une journaliste du quotidien américain New York Times pour avoir accès à ces documents, et annule l’acte par lequel la Commission a refusé cette demande.La décision a été immédiatement saluée par le journal, qui y a vu “une victoire pour la transparence”. “Les communications éphémères ne peuvent échapper à la vigilance de l’examen public”, a-t-il souligné.”Cela devrait servir de catalyseur pour que la Commission modifie enfin son attitude restrictive à l’égard de la liberté d’information”, a réagi de son côté l’ONG Transparency International.La Commission européenne a dit “prendre acte” de la décision et s’est engagée à fournir des explications “plus détaillées” pour se justifier.Ces SMS, dont le contenu est toujours resté secret, ont été échangés au moment où le laboratoire Pfizer/BioNTech était le plus gros fournisseur de vaccins anti-Covid à l’Union européenne. Les contrats négociés par la Commission au nom des 27 États membres se chiffraient en milliards d’euros.Cela a valu à Mme von der Leyen d’être la cible de plusieurs plaintes, dont l’une au pénal en Belgique pour “destruction de documents publics” et “corruption”, à laquelle étaient associées la Pologne et la Hongrie. Cette plainte a été déclarée irrecevable en janvier par la cour d’appel de Liège (est de la Belgique).Dans sa décision de mercredi, le Tribunal de l’UE pointe du doigt la légèreté avec laquelle la Commission a refusé la demande de la journaliste du New York Times Matina Stevis, qui avait révélé en avril 2021 l’existence de ces échanges numériques.- “Contenu substantiel” -“Dans une telle situation, la Commission ne peut pas se contenter d’affirmer qu’elle ne détient pas les documents demandés mais doit présenter des explications crédibles permettant au public et au Tribunal de comprendre pourquoi ces documents sont introuvables”, souligne la juridiction.Elle juge aussi que la Commission n’a pas expliqué “de manière plausible” pourquoi elle aurait estimé que les messages échangés “ne contenaient pas d’informations substantielles”.Noeud du litige: Matina Stevis a souhaité se voir communiquer tous les SMS échangés entre Mme von der Leyen et M. Bourla entre le 1er janvier 2021 et le 11 mai 2022, en vertu d’un règlement européen de 2001 sur la possibilité d’accéder à des documents publics de l’UE. Le refus opposé par la Commission l’a poussée à saisir la justice européenne, avec le soutien de son journal.Pour justifier son refus, la Commission européenne a affirmé être incapable de produire ces messages, à la durée de vie “éphémère”. Ceux-ci n’ont pas été enregistrés et archivés en tant que documents publics, “faute de contenu substantiel”, avait expliqué lundi devant la presse un responsable de l’exécutif bruxellois, assurant que “les SMS ne sont pas systématiquement considérés comme des documents publics”.Le tribunal a balayé ces arguments, jugeant qu’ils n’étaient pas avancés “de manière plausible”.Lors des plaidoiries à Luxembourg en novembre, un juriste chargé de défendre la Commission avait plaidé que les textos échangés n’entraient en aucun cas dans le cadre d’une négociation sur les conditions d’achat des vaccins.- “Mise en garde claire” -L’affaire a suscité une controverse au sein même des institutions européennes.La médiatrice de l’UE, à l’époque l’Irlandaise Emily O’Reilly, avait demandé début 2022 au cabinet de Mme von der Leyen de s’efforcer de mettre la main sur les SMS.”Il est clair (qu’ils) entrent dans le cadre de la législation européenne sur l’accès du public aux documents” et “le public peut y avoir accès s’ils concernent le travail de l’institution”, avait-elle estimé, parlant d’un dossier “problématique”.Mercredi, plusieurs eurodéputés écologistes et de gauche ont renchéri sur ce thème. La décision de justice est “une mise en garde claire contre le manque de transparence de la présidente de la Commission”, a réagi l’élu allemand Daniel Freund (Verts).Durant la pandémie de Covid-19, l’UE a acheté ou réservé plus de la majorité de ses doses de vaccin au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, même si cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins homologués par le régulateur européen.

Tom Cruise has world guessing as he unleashes ‘Mission: Impossible’ at Cannes

Tom Cruise’s “Mission: Impossible – The Final Reckoning” powers into the Cannes film festival for its premiere on Wednesday on a steamroller of hype, with the world asking if this will be the final curtain for agent Ethan Hunt.With some fans fretting that the $400-million epic — the eighth in the high-octane franchise — could be the last, Cruise and director Christopher McQuarrie have been teasing up the tension by dropping contradictory clues about its future.What we do know is that Simon Pegg, who has played field agent Benji Dunn in six of the films, is definitely hanging up his Impossible Missions Force badge. But not before the British actor credited the franchise with saving him from depression and alcohol and helping him get sober in 2010 for his role in “Ghost Protocol”.”I felt very taken care of,” Pegg told Variety magazine Wednesday, with Cruise urging him to “get in shape” for the fourth instalment which saw his character promoted from technician to agent.For his part, Cruise, 62, has been sharing heart-stopping behind-the-scenes footage of the stunts he did for the new movie on social media, including a freefall jump from a helicopter at 10,000 feet (3,000 metres). He is seen jumping from the chopper high over a South African mountain range and putting himself into a high-speed spin with a camera strapped to his stomach.The blockbuster is set to ramp up adrenaline levels and promises to lighten the tone at Cannes.- Shadow of tariffs -The festival’s highly political opening day began with accusations that Hollywood was ignoring “genocide” in Gaza, while the conviction of French screen legend Gerard Depardieu for sexual assault in a Paris court on day one also dampened the mood.Even Cruise’s iron-clad optimism has come under stress with the industry shaken by President Donald Trump’s threat to stick tariffs on movies “produced in foreign lands”.With “Mission: Impossible” among Hollywood’s most globalised franchises, shot on a dizzying roster of exotic locations from the Arctic to Shanghai, Cruise shut down questions about the issue at a promotional event in South Korea last week.  Asked about tariffs and the franchise’s globetrotting shoots, Cruise said tersely: “We’d rather answer questions about the movie. Thank you.”In one glimmer of hope, Trump has said he will make an exception for the James Bond movies — which are mostly shot in the UK — because the late 007 Sean Connery once helped him get planning permission for his Scottish golf course.Cruise’s franchise also leans heavily on London studios.- Highly charged -Yet it is likely to be all smiles when the indomitable star bounds up the red carpet at Cannes at 6:45 pm (1645 GMT) on Wednesday for the premiere.A band will be waiting to serenade him with Lalo Schifrin’s iconic theme tune from the original Mission: Impossible TV series — a rather subdued welcome compared to the last time Cruise came to Cannes.In 2022, he was greeted by a flyover of eight French fighter jets billowing red, white and blue smoke to promote “Top Gun: Maverick”.Fans will find out if this really is the end of the road for secret agent Ethan Hunt when “The Final Reckoning” is released in Europe and the Middle East from May 21. The US and several other countries will have to wait two or three days longer. However, Indian, Australian and Korean cinemagoers will be able to see it from this weekend.Director McQuarrie, who wrote the 1995 classic “The Usual Suspects”, will also be giving a masterclass earlier in the day at the world’s biggest film festival.Veteran US star Robert De Niro will be talking about his long, illustrious career after being awarded a lifetime achievement at Tuesday’s often highly-charged opening ceremony.The outspoken Trump critic took the chance to blast the US leader as “America’s philistine president”.  He slammed Trump’s film tariff proposal — which few experts think can be carried through without creating havoc — as he picked up an honorary Palme d’Or from his friend and sometime co-star Leonardo DiCaprio.”You can’t put a price on creativity. But apparently, you can put a tariff on it,” De Niro said in a fiery speech in which he urged “everyone who cares about liberty to organise, to protest. “In my country we are fighting like hell for democracy,” he said, adding that “art embraces diversity. That’s why we are a threat to autocrats and fascists.”

Human Rights Watch warns of migrant worker deaths in 2034 World Cup host Saudi Arabia

Human Rights Watch on Wednesday said grave abuses were being committed on giant construction sites in Saudi Arabia and warned the risks to migrant workers could increase as the building of stadiums for the 2034 World Cup gathers pace.HRW said “scores of migrant workers in Saudi Arabia die in gruesome yet avoidable workplace-related accidents, including falling from buildings, electrocution, and even decapitation”.The NGO, which has studied nearly 50 cases of deaths in Saudi Arabia, said Saudi authorities had “failed to adequately protect workers from preventable deaths, investigate workplace safety incidents, and ensure timely and adequate compensation for families” including through life insurance policies and benefits to survivors.”The risks of occupational deaths and injuries are further increasing as the Saudi government ramps up construction work for the 2034 World Cup as well as other ‘giga-projects’,” HRW added.The Gulf kingdom was handed the right to host the 2034 World Cup at a FIFA Congress last December despite concerns about its human rights record, the risks to migrant labourers and criminalisation of same-sex relationships. It was the only candidate.The NGO called on FIFA to ensure all work-related deaths in Saudi Arabia are properly investigated and that bereaved families receive compensation.- ‘Long and burdensome’ -FIFA has committed to establishing a workers’ welfare system, which it says includes “dedicated mandatory standards and enforcement mechanisms applicable to all companies and workers involved in… World Cup-related construction and service delivery” in Saudi Arabia. But HRW said football’s world governing body did not provide “details on concrete measures to prevent, investigate, and compensate migrant worker deaths such as risk-based heat protection measures or life insurance”.The NGO claimed “FIFA is knowingly risking yet another tournament that will unnecessarily come at a grave human cost”, referencing the decision to award the 2022 World Cup to Qatar.Similar concerns over workers’ welfare dogged Qatar ahead of its hosting of international football’s showpiece tournament.Amnesty International and other rights groups claimed thousands of migrant workers died in the lead-up to the 2022 tournament, though Doha has said only 37 workers on World Cup projects perished — and only three in work-related accidents.HRW stated in its report that the majority of migrant worker deaths in Saudi Arabia are attributed to “natural causes” and are therefore neither investigated nor compensated.According to figures provided by the NGO, for example, 74 percent of 1,420 Indian migrant worker deaths recorded at the Indian embassy in Riyadh in 2023 were attributed to natural causes.HRW added “even work-related death cases categorised as such in a migrant worker’s death certificate are sometimes not compensated as they should be according to Saudi law and international labour standards”.”In migrant death cases that are compensated, the process is long and burdensome,” the report said, providing an example of one such compensation process that took a decade to be completed.”My sons are 11 and 13 years old. When my husband died, they were 11 months and two years old. If we had received compensation right after his death, it would have provided so much relief,” the wife of a deceased worker, who was not named, told HRW.In response to the report, FIFA shared with AFP a letter it sent last month to HRW from its secretary general Mattias Grafstrom.The letter says Saudi Arabia has “in the past years been investing heavily in the development of its society and economy”, using international companies.Grafstrom notes that Saudi Arabia “has taken significant steps to reform its labour laws since 2018”, including the abolition of parts of the kafala system which ties workers to their employers, and introducing standardised contracts for workers.The Saudi government, he says, has also committed to working with the United Nations’ International Labour Organization (ILO) “on the further expansion and effective implementation of these reforms”.”In line with its human rights commitments, FIFA seeks to play its part in ensuring strong protections for workers employed by third parties in the construction of FIFA World Cup sites,” Grafstrom adds.AFP has also contacted the Saudi government for comment.

Syrians hail lifting of US sanctions as start of ‘new era’

The sound of fireworks and applause rang out in Syria’s major cities overnight, as Syrians celebrated US President Donald Trump’s decision to lift sanctions on the devastated country.In Syria’s second city Aleppo, dozens of men, women and children took to the central Saadallah al-Jabiri Square, waving the new Syrian flag and singing.Hours earlier in Riyadh, Trump announced he would lift sanctions on Syria, as the country seeks to rebuild after the December ouster of longtime president Bashar al-Assad.Soap factory owner Zain al-Jabali, 54, rushed to the square as soon as she heard the news.”These sanctions were imposed on Assad, but… now that Syria has been liberated, there will be a positive impact on industry, it’ll boost the economy and encourage people to return,” she told AFP.Amid the sound of cars honking in celebration, 26-year-old Ghaith Anbi described the news as “the second joy since the fall of Assad”.”Lifting the sanctions on the Syrian people will have a very positive impact on reconstruction and rebuilding infrastructure, especially in Aleppo as an economic city,” the civil engineer told AFP.”There will be great economic prosperity for the Syrian people,” he said.- ‘Turning point’ -In the Saudi capital on Tuesday, Trump announced he was lifting the “brutal and crippling” Assad-era sanctions, in response to demands from new Syrian leader Ahmed al-Sharaa’s allies in Turkey and Saudi Arabia.Trump said it was Syrians’ “time to shine” and that easing sanctions would “give them a chance at greatness”.The Syrian foreign ministry called Trump’s decision a “pivotal turning point” that would help bring stability, draw in investment and reintegrate the country into the global economy.Finance Minister Mohammed Barnieh said Trump’s lifting of sanctions “will help Syria in building its institutions, providing essential services to the people and will create great opportunities to attract investment and restore confidence in Syria’s future”.The United States imposed sweeping restrictions on financial transactions with Syria during the brutal civil war that began in 2011, targeting the ousted president, his family members and key government and economic figures.In 2020, new sanctions came into effect under a US law known as the Caesar Act, punishing any companies linked to Assad in efforts to force accountability for human rights abuses and to encourage a political solution.”These sanctions only ever hurt the Syrian people, not the regime,” 63-year-old Taqi al-Din Najjar told AFP from Aleppo.In Damascus, dozens more gathered in the capital’s iconic Umayyad Square, chanting and singing in joy.”My joy is great. This decision will definitely affect the entire country positively. Construction will return, the displaced will return, and prices will go down,” said Hiba Qassar, a 33-year-old English teacher.Ahmed Asma, 34, expressed hopes that “now that the sanctions are lifted we can live as we did before, or even better”.”We hope this is the start of a new era for Syria,” he told AFP as he drove through the square.

China’s Tencent posts forecast-beating Q1 revenue on gaming growth

Chinese internet giant Tencent on Wednesday reported a better-than-expected increase in first-quarter revenue, propelled by growth in gaming as the firm’s strategic drive into artificial intelligence deepens.Shenzhen-based Tencent is the operator of China’s multifunctional app WeChat and a major player in the global gaming industry.The firm also has a presence in cloud computing, entertainment and AI — the latter of which has seen a boost in interest among Chinese tech giants following the shock release of advanced chatbot DeepSeek this year.Tencent’s revenue in the three months ended March 31 was 180.0 billion yuan ($25.0 billion), a filing to the Hong Kong Stock Exchange showed, up 13 percent compared to the same period last year.The figure came in slightly higher than a Bloomberg estimate of 175.7 billion yuan.In a breakdown of sales, Tencent said that revenue from domestic games increased 24 percent year-on-year, while international games saw a 23 percent rise.Net profits also charted a moderate increase during the first quarter, the results showed, jumping 14 percent year-on-year to reach 47.8 billion yuan.”AI capabilities already contributed tangibly to our businesses, such as performance advertising and evergreen games,” the firm said in a statement.Tencent added that it has ramped up spending on “new AI opportunities”, including integrated features within the WeChat app.Chinese tech giants have been funnelling resources into the competitive field of AI since the release of DeepSeek’s chatbot in January.The little-known Chinese company caused a global stir because it appeared to have developed the chatbot at a fraction of the price of Western industry leaders such as the United States’s OpenAI.Tencent this year began trialling its own AI model which it says can outpace DeepSeek.Tencent was among the tech firms caught up in a sweeping domestic crackdown that began in 2020 with officials calling off the massive, planned listing of Alibaba-linked fintech company Ant Group.Beijing has signalled renewed friendliness toward tech firms in recent months, but broad restrictions on video game access for minors still stand.

Trump presses Syria leader on Israel relations after lifting sanctions

US President Donald Trump asked Syria’s new leader on Wednesday to normalise relations with Israel after he offered a major boost to the war-ravaged country by announcing the lifting of sanctions.Trump, on a state visit to Riyadh, became the first US president in 25 years to meet a Syrian leader — Ahmed al-Sharaa, an erstwhile Islamist guerrilla and onetime jihadist once on a US wanted list who led the overthrow of Bashar al-Assad in December.The interim Syrian president and Trump, wearing matching suits, shook hands as they met jointly with Saudi Arabia’s de facto leader, Crown Prince Mohammed bin Salman. and, by video link, with Turkish President Recep Tayyip Erdogan, the key supporter of the new government in Damascus.Turkey and Saudi Arabia had both advocated reconciliation with Syria but the move is the latest to put Trump at odds with Israel, which has voiced pessimism over Sharaa and ramped up strikes to degrade the longtime adversary’s military capabilities.The White House said that Trump asked the Syrian leader to normalise relations with Israel by joining the so-called Abraham Accords signed by some Gulf Arab states.Trump also asked Sharaa to deport Palestinian militants and tell foreign fighters to leave the country, as well as to take control of camps for captured Islamic State group fighters, currently run by Kurdish militants opposed by Turkey, the White House said.Syria’s foreign ministry hailed the meeting as “historic”, but did not mention the Abraham Accords. Syrian state media also did not mention normalisation.The foreign ministry said the leaders discussed “avenues for Syrian-American partnership in counterterrorism efforts” and the importance of lifting sanctions and supporting reconstruction. After the longer-than-expected half-hour meeting, Trump said the Assad-era sanctions had been “really crippling” on Syria.”It’s not going to be easy anyway, so it gives them a good, strong chance, and it was my honour to do so,” Trump said, addressing Gulf Arab leaders.- Biggest applause -The former reality television host, always attuned to crowd sizes, took note of the rapturous reception when he announced the decision at a Riyadh investment forum Tuesday.”That was the thing that got the biggest applause from the room. We had a very crowded room with thousands of people,” Trump said.After the announcement, Syrians celebrated the easing of sanctions, with dozens of men, women and children gathering in Damascus’s Umayyad Square.”My joy is great. This decision will definitely affect the entire country positively,” said Huda Qassar, a 33-year-old English-language teacher.The Syrian foreign ministry called Trump’s decision a “pivotal turning point”.The United States imposed sweeping restrictions on financial transactions with Syria during the brutal civil war and made clear it would use sanctions to punish anyone involved in reconstruction so long as Assad remained in power without accountability for atrocities.Trump gave no indication that the United States would remove Syria from its blacklist of state sponsors of terrorism — a designation dating back to 1979 over support to Palestinian militants that severely impedes investment.A senior envoy of the Joe Biden administration met Sharaa in Damascus in December and called for commitments, including on the protection of minorities.In recent weeks, Syria has seen a series of bloody attacks on minority groups, including Alawites — the sect of the largely secular Assad family — and the Druze.Rabha Seif Allam of the Al-Ahram Center for Political and Strategic Studies in Cairo said easing US sanctions would help reintegrate Syria with the global economy by allowing bank transfers from investors and from millions of Syrians who fled during the civil war.”Lifting sanctions will give Syria a real opportunity to receive the funding needed to revive the economy, impose central state authority and launch reconstruction projects with clear Gulf support,” she said.- Qatar plane controversy -Trump later heads to Qatar, which has stirred controversy by offering a $400 million luxury aircraft to serve as a new Air Force One and then go to Trump’s personal use.The move raises major constitutional and ethical questions — as well as security concerns about a foreign power donating the ultra-sensitive presidential jet.Chuck Schumer, the top Democrat in the Senate, Tuesday vowed to hold up all Justice Department political appointees in protest over the move. Qatar has been a key intermediary with Hamas, helping Washington negotiate directly the release this week from Gaza of US-Israeli joint national Edan Alexander.