Ukraine : nouvelle attaque “massive” russe contre le réseau énergétique

La Russie a lancé mercredi près de 120 missiles et drones contre le réseau énergétique ukrainien, une nouvelle attaque “massive”, pendant la visite du président Volodymyr Zelensky en Pologne.Ces frappes interviennent au lendemain de la revendication par l’Ukraine de “l’attaque la plus massive” sur le sol russe depuis le début de la guerre, qui a visé, selon elle, des sites industriels et militaires dans plusieurs régions.”En plein hiver, la cible des Russes reste inchangée : notre secteur énergétique. Parmi les cibles se trouvent des infrastructures gazières et des installations énergétiques qui assurent une vie normale à la population”, a dénoncé M. Zelensky sur les réseaux sociaux.La Russie s’en prend régulièrement au réseau électrique de l’Ukraine depuis le début il y a trois ans de l’invasion de ce pays, y provoquant d’importantes coupures de courant.L’armée russe a indiqué dans un communiqué avoir attaqué “des infrastructures essentielles pour le gaz et l’énergie qui soutiennent le complexe militaro-industriel ukrainien”.Le ministère de la Défense russe affirmé qu’une des “cibles frappées avec succès” était “les structures au sol de la plus grande installation souterraine de stockage de gaz à Stryi, dans la région de Lviv”, dans l’ouest de l’Ukraine.La Russie a tiré 43 missiles balistiques et de croisière et envoyé 74 drones de combat, dont respectivement 30 et 47 ont été abattus, selon l’armée de l’air ukrainienne. Les frappes ont notamment visé les régions de Kharkiv (nord-est), de Lviv et d’Ivano-Frankivsk (ouest). – Actifs russes pour armer l’Ukraine – Plusieurs heures après cette attaque, M. Zelensky est arrivé en Pologne, une alliée de premier plan de l’Ukraine, qui vient de prendre la présidence tournante de l’Union européenne. Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a assuré que Varsovie contribuerait à “accélérer” l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne. Plus tard dans la journée, M. Zelensky a exhorté ses alliés occidentaux à dépenser 250 milliards de dollars (242 milliards d’euros) d’actifs russes gelés afin d’acheter des armes pour son pays et l’aider à combattre les forces russes. “L’Ukraine prendra cet argent, en affectera une grande partie à la production nationale et à l’importation de ces types d’armes que l’Ukraine ne possède pas”, a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse dans la capitale polonaise. Au total, quelque 300 milliards de dollars d’avoirs russes ont été gelés après le début de l’invasion de l’Ukraine. Les pays du G7 s’étaient mis d’accord en 2024 pour un prêt global de 50 milliards de dollars à Kiev, financé par les intérêts que produisent ces capitaux russes. La semaine dernière, l’UE a versé à l’Ukraine les trois premiers milliards d’euros correspondants. L’appui de la Pologne, une force motrice au sein de l’UE, est très important pour Kiev, notamment dans le contexte du retour lundi à la Maison Blanche du républicain Donald Trump et des doutes sur la pérennité de l’engagement américain vis-à-vis de l’Ukraine. Le sénateur Marco Rubio, désigné secrétaire d’Etat par Donald Trump, a appelé mercredi à une “diplomatie audacieuse” des Etats-Unis pour mettre un terme à la guerre en Ukraine.Lors de son audition de confirmation au Sénat américain, il a jugé que la Russie ne pouvait pas conquérir “l’ensemble de l’Ukraine”, mais que cette dernière ne parviendrait pas non plus à “repousser ces gens jusqu’à l’endroit où ils se trouvaient la veille de l’invasion” lancée en février 2022.L’armée russe qui avance depuis plus d’un an dans l’est de l’Ukraine, a par ailleurs annoncé mercredi la prise de la petite localité d’Oukraïnka, au sud-est de la ville de Pokrovsk, sa principale cible dans la région de Donetsk.- Vaste attaque aérienne de Kiev -Comme c’est souvent le cas, l’armée polonaise a fait décoller ses avions de chasse pendant les frappes russes de mercredi qui ont en particulier atteint la région de Lviv, frontalière de la Pologne. Dans ce territoire, “deux sites d’infrastructures essentielles ont été touchés”, a dit son gouverneur, Maksym Kozytsky. La compagnie nationale d’électricité Ukrenergo a annoncé dans la foulée des coupures d’électricité d’urgence plusieurs heures durant dans sept régions.Les bombardements russes sont survenus au lendemain d’une attaque aérienne revendiquée par l’Ukraine comme ayant été “la plus importante” sur le territoire russe depuis le début de la guerre.Avaient été visés des raffineries de pétrole et des dépôts de carburant, ainsi que des usines de produits chimiques fabriquant, selon Kiev, des composants pour le secteur militaire russe.Selon le ministère russe de la Défense, six missiles américains ATACMS et six missiles britanniques Storm Shadow ont été utilisés. La Russie a promis de systématiquement répliquer à toute frappe de missiles occidentaux sur son sol.Mercredi soir, un incendie s’est déclaré suite à la chute de “plusieurs drones” dans un dépôt pétrolier de la région russe de Voronej, dans l’ouest du pays, a déclaré sur Telegram son gouverneur Alexandre Goussev.Aucune victime n’est pour l’heure à déclarer, a-t-il indiqué. Des vidéos, publiées par des médias russes et sur les réseaux sociaux, montrent un important brasier.bur-ant-pop-led/ial/phs

Ukraine : nouvelle attaque “massive” russe contre le réseau énergétique

La Russie a lancé mercredi près de 120 missiles et drones contre le réseau énergétique ukrainien, une nouvelle attaque “massive”, pendant la visite du président Volodymyr Zelensky en Pologne.Ces frappes interviennent au lendemain de la revendication par l’Ukraine de “l’attaque la plus massive” sur le sol russe depuis le début de la guerre, qui a visé, selon elle, des sites industriels et militaires dans plusieurs régions.”En plein hiver, la cible des Russes reste inchangée : notre secteur énergétique. Parmi les cibles se trouvent des infrastructures gazières et des installations énergétiques qui assurent une vie normale à la population”, a dénoncé M. Zelensky sur les réseaux sociaux.La Russie s’en prend régulièrement au réseau électrique de l’Ukraine depuis le début il y a trois ans de l’invasion de ce pays, y provoquant d’importantes coupures de courant.L’armée russe a indiqué dans un communiqué avoir attaqué “des infrastructures essentielles pour le gaz et l’énergie qui soutiennent le complexe militaro-industriel ukrainien”.Le ministère de la Défense russe affirmé qu’une des “cibles frappées avec succès” était “les structures au sol de la plus grande installation souterraine de stockage de gaz à Stryi, dans la région de Lviv”, dans l’ouest de l’Ukraine.La Russie a tiré 43 missiles balistiques et de croisière et envoyé 74 drones de combat, dont respectivement 30 et 47 ont été abattus, selon l’armée de l’air ukrainienne. Les frappes ont notamment visé les régions de Kharkiv (nord-est), de Lviv et d’Ivano-Frankivsk (ouest). – Actifs russes pour armer l’Ukraine – Plusieurs heures après cette attaque, M. Zelensky est arrivé en Pologne, une alliée de premier plan de l’Ukraine, qui vient de prendre la présidence tournante de l’Union européenne. Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a assuré que Varsovie contribuerait à “accélérer” l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne. Plus tard dans la journée, M. Zelensky a exhorté ses alliés occidentaux à dépenser 250 milliards de dollars (242 milliards d’euros) d’actifs russes gelés afin d’acheter des armes pour son pays et l’aider à combattre les forces russes. “L’Ukraine prendra cet argent, en affectera une grande partie à la production nationale et à l’importation de ces types d’armes que l’Ukraine ne possède pas”, a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse dans la capitale polonaise. Au total, quelque 300 milliards de dollars d’avoirs russes ont été gelés après le début de l’invasion de l’Ukraine. Les pays du G7 s’étaient mis d’accord en 2024 pour un prêt global de 50 milliards de dollars à Kiev, financé par les intérêts que produisent ces capitaux russes. La semaine dernière, l’UE a versé à l’Ukraine les trois premiers milliards d’euros correspondants. L’appui de la Pologne, une force motrice au sein de l’UE, est très important pour Kiev, notamment dans le contexte du retour lundi à la Maison Blanche du républicain Donald Trump et des doutes sur la pérennité de l’engagement américain vis-à-vis de l’Ukraine. Le sénateur Marco Rubio, désigné secrétaire d’Etat par Donald Trump, a appelé mercredi à une “diplomatie audacieuse” des Etats-Unis pour mettre un terme à la guerre en Ukraine.Lors de son audition de confirmation au Sénat américain, il a jugé que la Russie ne pouvait pas conquérir “l’ensemble de l’Ukraine”, mais que cette dernière ne parviendrait pas non plus à “repousser ces gens jusqu’à l’endroit où ils se trouvaient la veille de l’invasion” lancée en février 2022.L’armée russe qui avance depuis plus d’un an dans l’est de l’Ukraine, a par ailleurs annoncé mercredi la prise de la petite localité d’Oukraïnka, au sud-est de la ville de Pokrovsk, sa principale cible dans la région de Donetsk.- Vaste attaque aérienne de Kiev -Comme c’est souvent le cas, l’armée polonaise a fait décoller ses avions de chasse pendant les frappes russes de mercredi qui ont en particulier atteint la région de Lviv, frontalière de la Pologne. Dans ce territoire, “deux sites d’infrastructures essentielles ont été touchés”, a dit son gouverneur, Maksym Kozytsky. La compagnie nationale d’électricité Ukrenergo a annoncé dans la foulée des coupures d’électricité d’urgence plusieurs heures durant dans sept régions.Les bombardements russes sont survenus au lendemain d’une attaque aérienne revendiquée par l’Ukraine comme ayant été “la plus importante” sur le territoire russe depuis le début de la guerre.Avaient été visés des raffineries de pétrole et des dépôts de carburant, ainsi que des usines de produits chimiques fabriquant, selon Kiev, des composants pour le secteur militaire russe.Selon le ministère russe de la Défense, six missiles américains ATACMS et six missiles britanniques Storm Shadow ont été utilisés. La Russie a promis de systématiquement répliquer à toute frappe de missiles occidentaux sur son sol.Mercredi soir, un incendie s’est déclaré suite à la chute de “plusieurs drones” dans un dépôt pétrolier de la région russe de Voronej, dans l’ouest du pays, a déclaré sur Telegram son gouverneur Alexandre Goussev.Aucune victime n’est pour l’heure à déclarer, a-t-il indiqué. Des vidéos, publiées par des médias russes et sur les réseaux sociaux, montrent un important brasier.bur-ant-pop-led/ial/phs

Survivors count the mental cost of Los Angeles fires

When the Pacific Palisades neighborhood of Los Angeles went up in smoke, Alexander Swedelson lost his apartment, but also a bit of his identity: the flames ravaged the businesses he loved, the trails he ran, and even the place he fished.”It’s just been the most heartbreaking thing I’ve ever seen in my life. Man, it’s just like a war zone,” the 39-year-old photographer told AFP, standing in the ruins of what was once one of the most desirable bits of real estate in the country.The awful sight of a place where familiar landmarks have been erased has re-opened old wounds for Swedelson.”I’m probably gonna restart therapy,” sighed the recovering alcoholic, who has been sober for six years. For the past week, the former volunteer firefighter has been doing his part to help his community. Armed with a water pump and a chainsaw, he first tried — in vain — to save his parents’ house, before fighting the spread of embers in the neighborhood. Then, he delivered food and air filters to the elderly who had not evacuated. Sleep has been a rarity.”I think I hit my limit,” he said, his eyes misty, sitting in a pickup truck covered in pink retardant dropped by the firefighting planes.As a one-time drug rehab counselor who has seen first responders grapple with trauma in the aftermath of a tragedy, he knows enough to see that he is at risk now.”I just kind of stirred up a dormant beast in me, and I’m just gonna have to be really careful.”- Get treatment early -With at least 24 people dead and tens of thousands displaced by fires that continue to smoulder, the last eight days will leave a lasting mark on America’s second biggest city.From the initial panicked evacuation to the terrible firefight that saw hydrants run dry, the opening day of the disaster was just the beginning.Thousands of people have seen their homes reduced to ashes. And even those whose homes were spared have been heartbroken by the ruin of their neighborhoods.Psychotherapist Sonnet Daymont said the mental health impacts will also extend to teenagers in the city who have been glued to rolling imagery of the unfolding carnage, or to people who live outside the diaster zone but who have watched their city burn.”There is such a thing as survivor’s guilt and vicarious trauma,” she told AFP in her Pasadena office, where she offers free sessions to those affected.”The sooner you get treatment, the better, so that you can learn the skills you need to bring your body down, cope and calm, and get strategic about your next steps as you rebuild,” she said.A study by Canada’s Laval University followed survivors of a fire that afflicted Alberta in 2016. A year after the disaster, a third of them suffered from depression, anxiety, drug addiction or post-traumatic stress. – Eco-anxiety – “The impact of wildfire unfolds over time,” said Kathryn Andrews, a 51-year-old artist who lost her mobile home in the flames that wrecked Pacific Palisades. Tragically, this is not the first time she has been through the devastation.In 2020, her house was razed by a fire in Juniper Hills, an hour and a half drive northeast of Los Angeles. “I developed a creative block for about a year and a half,” she said.”When I make art, I feel very vulnerable, and I couldn’t take on feeling any more vulnerable. It was just an overwhelming experience, and I sort of shut down.”Andrews said she also experienced a kind of eco-anxiety, the effect of living in a part of the world that has been raked by increasingly destructive wildfires over the last 15 years.”I began to think of, really, the entire American West as a potential fire zone,” she said.”It made me just have a better understanding of global warming.”Wildfire survivors “bring up climate change all of the time,” said Daymont.In her practice, she encourages them to think of themselves as “survivors,” rather than “victims,” and she works with them to develop strategies to soothe the body and mind. “It is an opportunity to work towards post traumatic growth,” she said.”If we have something hard happen and we deal with it well, we can take those lessons and that strategy and use it for other things.”

Angleterre: Arsenal s’offre Tottenham et revient vers Liverpool

Coup double pour Arsenal ! Les “Gunners” ont dompté leur rival du nord de Londres, Tottenham (2-1), mercredi à domicile pour revenir à quatre longueurs du leader Liverpool et maintenir intact leur rêve de sacre.Les vice-champions d’Angleterre en titre peuvent encore espérer remonter sur le trône, vingt et un ans après la dernière fois (2004), grâce à un “North London Derby” gagné en serrant les dents.Leur archi-domination s’est trouvée contrariée par Heung-Min Son (25e, 0-1), doigt devant la bouche pour célébrer son but. Mais ils ont renversé la vapeur en provoquant un but contre son camp de Dominic Solanke (40e, 1-1) puis en marquant par Leandro Trossard (44e, 2-1).L’ailier belge a évité le couac et s’est permis d’aller chambrer à son tour le parcage visiteurs, les mains derrière les oreilles.”Je suis très fier de l’équipe, nous avons été sensationnels”, s’est réjoui l’entraîneur Mikel Arteta en conférence de presse. “Dès la première minute, nous avons joué avec l’envie de leur faire mal, avec ou sans le ballon”, donc “nous avons entièrement mérité de gagner ce match”.Son homologue Ange Postecoglou a pesté contre la “passivité” de son équipe, “déçu de la manière dont on leur a permis de dicter le tempo”. “Que nous perdions autant de matches dans une saison de championnat, ce n’est pas normal”, a reconnu le manager australien.Submergé par de nombreuses blessures, Tottenham (13e, 24 pts) n’en finit plus de couler avec cette quatrième défaite (et un match nul) concédée durant ses cinq derniers matches de Premier League.A l’inverse, Arsenal a fait fi de ses grands blessés (Bukayo Saka, Ethan Nwaneri, Gabriel Jesus…) pour régaler son public et accroître la pression sur Liverpool.Les “Reds” comptent cependant encore quatre points d’avance et ils ont en réserve un match en retard à disputer, le 12 février chez Everton.- Newcastle étincelant -Arsenal passera un nouveau test dès samedi face à Aston Villa (7e, 35 pts), venu s’imposer 1-0 mercredi sur la pelouse d’Everton, justement.Ollie Watkins, buteur en seconde période, a gâché le retour en Premier League de David Moyes, revenu sur le banc des “Toffees” douze ans après son premier passage (2002-2013).Le successeur de Sean Dyche n’a pas enrayé la spirale négative d’Everton (16e, 17 pts), tout proche de la zone rouge après n’avoir remporté qu’un seul de ses douze derniers matches en championnat.Les affaires ne s’arrangent pas non plus pour Leicester (19e, 14 pts). L’avant-dernier a subi une sixième défaite d’affilée, mercredi, contre Crystal Palace (2-0) et Jean-Philippe Mateta, auteur du premier but.S’il y a une équipe à qui tout réussit, c’est bien Newcastle, facile vainqueur de Wolverhampton (3-0) mercredi.Les “Magpies” sont inarrêtables depuis le 14 décembre (4-0 contre Leicester), point de départ d’une série de six victoires consécutives en championnat.Elle les a portés de la douzième à la quatrième place, avec désormais un point d’avance sur Chelsea (5e, 37 pts) après 21 journées. Nottingham Forest (3e, 41 pts) compte trois points de plus qu’eux.Leur réussite insolente doit beaucoup à celle de leur avant-centre Alexander Isak, buteur en première période (34e, 1-0) puis en seconde (57e, 2-0), avant de servir Anthony Gordon (74e, 3-0) sur un plateau.L’international suédois a marqué dans chacun de ses huit derniers matches de championnat, portant son total à 15 buts en 19 rencontres disputées en Premier League.”Il a cette goutte de sang-froid en plus que possèdent les joueurs de haut niveau”, a complimenté son entraîneur, Eddie Howe, auprès de la BBC.

Thousands across Gaza celebrate ceasefire deal

Crowds of Gazans chanted and embraced on Wednesday as news spread that a ceasefire and hostage release deal had been reached between Israel and Hamas aimed at ending more than 15 months of war in the Palestinian territory.After a US official and a source close to the negotiations first revealed the agreement, Israel cautioned that several points “remain unresolved” that it hoped would be addressed.But celebrations were already underway in Gaza, where AFP journalists saw crowds of people hugging and taking photos to mark the announcement.”I can’t believe that this nightmare of more than a year is finally coming to an end. We have lost so many people, we’ve lost everything,” said Randa Sameeh, a 45-year-old who was displaced from Gaza City to the Nuseirat Camp in the centre of the territory.”We need a lot of rest. As soon as the truce begins, I will go to the cemetery to visit my brother and family members. We buried them in Deir el-Balah cemetery without proper graves. We will build them new graves and write their names on them.”- Drums and chants -Outside Deir al-Balah’s Al-Aqsa Martyrs Hospital, where so many of the war’s casualties have been taken, hundreds of Palestinians gathered to chant, sing and wave flags, AFPTV footage showed.At one point, a member of the crowd and a journalist in body armour were raised on people’s shoulders to conduct an interview above the mass of elated Gazans.As an ambulance squeezed through the crowd to reach the hospital, smiling men and women alike chanted “Allahu Akbar”, or “God is greatest” in Arabic, and waved the Palestinian flag.Young children, some looking confused by the commotion, gathered outside the hospital too, milling between adults and watching as they gave interviews to the waiting media.A gaggle of young boys in the centre of the crowd led a popular pro-resistance chant as adults filmed the moment on their phones.Large crowds also gathered in Khan Yunis, in southern Gaza, with young men surfing through the crowd on the shoulders of others beating drums and cheering, an AFP photographer saw.In one part of the city, the crowd cheered as a vehicle driven by Palestinian militants slowly wound through the streets, with fighters standing in its open sliding doors waving their AK-47s.- Bittersweet -In Gaza City, 27-year-old Abdul Karim said: “I feel joy despite everything we’ve lost.””I can’t believe I will finally see my wife and two children again,” he added. “They left for the south almost a year ago. I hope they allow the displaced to return quickly.”Still wearing his scrubs, doctor Fadel Naeem told AFP he had mixed feelings — both “sadness for those we lost”, and “indescribable joy for the end of this massacre”.In the occupied West Bank city of Ramallah, some residents handed out sweets and hugged each other in the main square, though no large crowds gathered Wednesday night.Omar Assaf, a Ramallah resident, told AFP from Al-Manara Square that he saw the deal as a victory for Palestinians.”After 15 months of destruction, killing, genocide and unprecedented crimes, the resistance stands tall, raising its head, and raising the head of the entire Palestinian people,” he told AFP.The deal agreed on Wednesday is expected to halt the fighting in the devastated Palestinian territory for an initial 42 days, with 33 hostages held in Gaza released in exchange for Palestinian prisoners held in Israeli jails.Hamas sparked the war in Gaza by staging the deadliest-ever attack on Israel on October 7, 2023, resulting in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally of official Israeli figures.Palestinian militants also took 251 people hostage during the attack, 94 of whom are still being held in Gaza, including 34 the Israeli military says are dead.Israel’s retaliatory campaign in Gaza has killed 46,707 people, most of them civilians, according to figures from the Hamas-run territory’s health ministry that the UN considers reliable.bur-az-dcp-lba/smw

Gaza truce bittersweet for Biden as Trump takes credit

The Gaza ceasefire clinched Wednesday was a bittersweet victory for US President Joe Biden days before he hands over the White House to Donald Trump, who claimed credit — and, most experts say, deserves some.Biden first proposed the outlines of the deal between Israel and Hamas on May 31 but diplomatic efforts repeatedly came up short, even when Secretary of State Antony Blinken warned in Tel Aviv in August that it may have been the last chance for a deal.Trump’s Middle East envoy Steve Witkoff marched into Netanyahu’s office on Saturday, forcing the Israeli leader to break the sabbath, and pushed to seal the ceasefire.The timing has echoes of a 1981 deal on US hostages in Iran, freed from 444 days of captivity moments after Republican Ronald Reagan succeeded Democrat Jimmy Carter, although this time the outgoing and incoming administrations worked together. In scenes unprecedented in recent US history, Witkoff and Biden’s Middle East advisor Brett McGurk met jointly with the emir of Qatar — a key intermediary between Israel and Hamas — when sealing the deal.Trump quickly boasted that the “epic” deal “could only have happened” due to his election as US president in November. Asked if Trump deserved credit, Biden quipped: “Is that a joke?”  Speaking hours before a previously scheduled farewell address to the nation, the outgoing president said he included the Trump team in negotiations so that the United States was “speaking with one voice.”White House Press Secretary Karine Jean-Pierre said it was not unexpected for all sides to seek credit for positive news.”What I can say is, the president got it done,” she said, referring to Biden.State Department spokesman Matthew Miller said the Trump team’s presence was about demonstrating “continuity” rather than the Republican exerting new pressure.- Staunch support for Israel -Biden faced heated criticism from the left of his Democratic Party during its unsuccessful election year over his staunch support of Israel since Palestinian group Hamas’s October 7, 2023, attack.Biden authorized billions of dollars in weapons for Israel’s relentless retaliatory campaign on Gaza, despite criticizing the strategic US ally for the civilian death toll — which authorities in Gaza say is in the tens of thousands.”The Biden administration was terrified of the political cost of being seen to be pressing Israel in any way,” said Sarah Leah Whitson, executive director of the rights group Democracy for the Arab World Now.Trump, while vowing to be even more pro-Israel, was able to make clear to Netanyahu that “I do not want to inherit this,” Whitson said.”It made me think that all of this would have been possible months ago and we could have saved thousands of Palestinian lives,” she said.Trump had warned Hamas of “hell to pay” if it did not agree to a deal, which includes in its first phase the release of 33 hostages seized on October 7.David Khalfa, an expert on Israel at the Jean Jaures Foundation in Paris, said that Trump’s unpredictability likely impacted Hamas. He also pointed to Netanyahu’s political position heading a hard-right but shaky coalition government.”There is today an ideological alignment between the American populist right and the Israeli prime minister. So he has very weak room to maneuver against a Trump who doesn’t face the pressures of reelection,” said Khalfa.- Power of uncertainty -Brian Katulis, a senior fellow at the Washington-based Middle East Institute, said a desire by Israel and others for the right optics as Trump takes over could have played a role in sealing the deal.But a larger factor than Trump was the changing dynamics in the region — the major blows inflicted both on Hamas and its patron Iran, he said.Israel has devastated Iranian ally Hezbollah in Lebanon and Iran’s own air defenses, with Tehran’s main ally in the Arab world, Syria’s Bashar al-Assad, ousted last month by rebel forces.”I don’t think any of the threats and bluster that we saw from Trump were a huge factor on either side. I think it’s mostly a baby that’s fathered by Biden and his team,” Katulis said.”But I think the sense that there were big question marks on what was coming might have motivated those who were stonewalling,” he said.Jon Alterman, director of the Middle East program at the Center for Strategic and International Studies, agreed that the uncertainty following Trump’s victory contributed to the deal.Israel and Hamas were negotiating “under the terms that each side had become familiar with” and knew there was a high risk “that the parameters were about to change.”And if the deal falls apart? “Then it doesn’t matter who implemented it; there will be plenty of blame to go around,” Alterman said.

Italie: l’Inter gâche l’occasion de revenir à un point de Naples

L’Inter Milan a laissé passer l’occasion de revenir sur les talons du leader Naples en concédant un nul à domicile (2-2) en match en retard de la 19ème journée du Championnat d’Italie, mercredi.Le champion d’Italie en titre qui restait sur six victoires consécutives en championnat, a consolidé sa 2ème place mais accuse trois points de retard que le Napoli, avec toujours un match en moins.Sa soirée a aussi mal débuté que fini.Il a été cueilli à froid par Bologne qui a ouvert la marque sur un tir de 20 mètres détourné dans le but de Yann Sommer par Santiago Castro (15).Il n’a fallu que quatre minutes aux Nerazzuri pour réagir et égaliser grâce à Denzel Dumfries, bien placé pour reprendre le ballon détourné par le gardien de Bologne sur une frappe de Federico Dimarco.L’international italien a encore été décisif sur le deuxième but de l’Inter: lancé sur l’aile gauche, il a délivré un centre parfait pour Lautaro Martinez qui, à bout portant, n’a laissé aucune chance à Lukasz Skorupski (45+1).Mais au retour des vestiaires, l’équipe de Simone Inzaghi a étrangement perdu pied et a laissé le ballon à Bologne qui a multiplié les assauts et a fini logiquement par égaliser grâce à Emil Holm (64).Malgré un sursaut dans le dernier quart d’heure, les Milanais, maladroits à l’image de Mehdi Taremi seul devant le but (84), ne sont pas parvenus à reprendre l’avantage.”Il y a un peu d’amerturme dans le vestiaire après ce nul, on jouait devant notre public et on était dans une bonne dynamique”, a analysé Matteo Darmian.”On a eu plusieurs d’occasions de marquer ce troisième but, c’est dommage. L’équipe a réussi un bon match contre une belle équipe de Bologne. Dans ce championnat, tous les matches sont compliqués”, a ajouté Inzaghi.

Coupe de France: Lyon éliminé par Bourgoin-Jallieu (N3), le PSG s’en sort

Sale temps pour les gros: Lyon a été éliminé aux tirs au but par Bourgoin-Jallieu, pensionnaire de National 3, (2-2, 4 tab à 2), Rennes par Troyes (Ligue 2) et le PSG s’est fait peur avant de prendre le dessus sur Espaly (4-2) mercredi en 16e de finale de Coupe de France.Après avoir subi l’ouverture du score, Lyon pensait avoir fait le plus dur en menant 2-1, mais Mehdi Moujetzky a signé son deuxième but de la soirée, ironiquement à la 69e minute, pour obliger les Rhodaniens à une périlleuse séance de tirs aux buts.Les Lyonnais l’ont débutée de manière catastrophique avec les ratés des tauliers Alexandre Lacazette et Corentin Tolisso. L’échec de Moujetzky n’aura pas été suffisant pour les remettre en selle. Immense désillusion pour les hommes de Pierre Sage contre une équipe qui joue quatre divisions plus bas.”Il va falloir assumer la honte face à nos proches, aux gens qui aiment le club, nos dirigeants. C’est presque une tragédie”, a résumé l’entraîneur de l’OL, Pierre Sage.Le PSG a failli connaître le même scénario fou contre une autre équipe de National 3, Espaly, qui a surpris le club de la capitale dès la 3e minute puis l’a rejoint en seconde mi-temps. Après l’égalisation d’Espaly à la 71e minute (2-2), tout le stade Michelin de Clermont-Ferrand s’est pris à rêver d’une séance de tirs aux buts. Mais les amateurs ont fini par craquer et prendre deux autres buts, de Barcola (88e) et Ramos (90e+2 sur pénalty).Le Rennes de Jorge Sampaoli, renforcé en ce mercato hivernal par les arrivées de Brice Samba et Seko Fofana, a connu lui aussi une déconvenue (défaite 1-0) contre Troyes, pensionnaire de Ligue 2. Rafiki Saïd s’est même payé le luxe de rater un pénalty avant de marquer le seul but du match.Cannes (N2) a aussi réalisé un gros coup en éliminant le leader de la Ligue, 2 Lorient (2-1).Toulouse a en revanche fait respecter son statut en disposant 2-1 de Laval (L2). Strasbourg aussi, mais le club alsacien s’est compliqué la tâche en passant par une séance de tirs aux buts (2-2, 5 tirs au but à 3) à l’issue d’un match en plein brouillard à Thaon (N3), où des supporters ont même épaissi l’atmosphère avec des fumigènes.Dans le duel des équipes de Ligue 1, c’est Brest qui a prévalu sur Nantes (2-1). L’équipe d’Antoine Kombouaré a pourtant cru pouvoir se relancer en réduisant le score en fin de match.Avec le succès d’Angers face à Quevilly-Rouen et les qualifications la veille de Nice, Lille et Reims, il n’y aura que huit clubs de l’élite à l’appel des huitièmes de finale, dont le tirage au sort aura lieu jeudi.