Chinese EV battery giant CATL aims to raise $4 bn in Hong Kong IPO
Chinese EV battery giant CATL aims to raise $4 billion in its Hong Kong listing scheduled for May 20, said a statement filed to the bourse Monday, making it the largest IPO expected in the city so far this year.A global leader in the sector, CATL produces more than a third of all electric vehicle (EV) batteries sold worldwide, working with major brands including Tesla, Mercedes-Benz, BMW and Volkswagen.The company is already listed in Shenzhen, and its plan for a secondary listing in Hong Kong was announced in a December filing with the stock exchange.According to a prospectus filed Monday, CATL will offer approximately 117.9 million units priced at up to HK$263 per share ($33.8) for total expected proceeds of HK$31.01 billion.The listing is set to take place next Tuesday (May 20).Cornerstone investors, including Sinopec and Kuwait Investment Authority, agreed to buy shares worth HK$2.62 billion, the prospectus shows.Founded in 2011 in the eastern Chinese city of Ningde, Contemporary Amperex Technology Co., Limited (CATL) was initially propelled to success by rapid growth in the domestic market.But the world’s largest EV market has more recently begun to show signs of flagging sales amid a broader slowdown in consumption.The trends have fuelled a fierce price war in China’s expansive EV sector, putting smaller firms under huge pressure to compete while remaining financially viable.But CATL continues to post solid performances, with its net profit jumping 32.9 percent in the first quarter. Funds raised from a secondary listing could be used to accelerate CATL’s overseas expansion, particularly in Europe.The battery giant is building its second factory on the continent in Hungary after launching its first in Germany in January 2023.In December, CATL announced that it would work with automotive giant Stellantis on a $4.3 billion factory to make EV batteries in Spain, with production slated to begin by the end of 2026.- ‘Military-linked company’ – Earlier analysts said CATL’s float could be a blockbuster initial public offering that could boost Hong Kong’s fortunes as a listing hub.Hong Kong’s stock exchange is eager for the return of big-name Chinese listings in hopes of regaining its crown as the world’s top IPO venue.The Chinese finance hub saw a steady decline in new offerings since Beijing’s regulatory crackdown starting in 2020 led some Chinese mega-companies to put their plans on hold.In a list issued in January by the US Defense Department, CATL was designated as a “Chinese military company”. The United States House Select Committee on the Chinese Communist Party highlighted this inclusion in letters to two American banks in April, urging them to withdraw from the IPO deal with the “Chinese military-linked company”.But the two American banks — JPMorgan and Bank of America — are still on the deal.Beijing has denounced the list as “suppression”, while CATL denied engaging “in any military related activities”.According to Bloomberg, CATL plans to make the deal as a “Reg S” offering, which doesn’t allow sales to US onshore investors, limiting the company’s exposure to legal risks in the United States.
Sous pression, le gouvernement britannique dévoile un plan “radical” pour réduire l’immigration
Le gouvernement travailliste britannique de Keir Starmer dévoile lundi une feuille de route aux “mesures radicales” pour réduire l’immigration, au moment où le Royaume-Uni voit l’extrême droite grimper dans les sondages et s’implanter dans le pays.Preuve de l’enjeu, le Premier ministre lui-même prendra la parole lundi matin lors d’une conférence de presse, peu avant que sa ministre de l’Intérieur Yvette Cooper ne dévoile la feuille de route devant le Parlement.”Tout les domaines du système d’immigration, y compris (les visas) de travail, de regroupement familial, d’étude, seront renforcés afin que nous puissions mieux les contrôler. La mise en œuvre sera plus stricte que jamais et le nombre d’immigrants diminuera”, doit déclarer le Premier ministre Keir Starmer, selon des extraits de son discours communiqués par Downing Street.”Nous créerons un système qui est contrôlé, sélectif et juste”, a-t-il insisté, alors que l’immigration nette a atteint 728.000 personnes entre juin 2023 et juin 2024, et près d’un million l’année précédente.Le gouvernement, qui promet des “mesures radicales” et fustige le bilan de ses prédécesseurs conservateurs, a distillé ces derniers jours une partie du contenu de son plan, pressé de montrer qu’il répond aux préoccupations des électeurs, après le succès du parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage aux élections locales du 1er mai dernier.Afin de s’assurer que les étrangers désireux de s’installer au Royaume-Uni “méritent” de rester, il sera désormais plus difficile d’obtenir un titre de résident permanent, a détaillé Downing Street. 162.000 personnes l’ont obtenu l’an dernier, en hausse de 35% sur un an.Il faudra dix ans de présence sur le territoire, contre cinq actuellement. Les infirmières, médecins, ingénieurs et dirigeants dans l’intelligence artificielle pourront toutefois candidater avant.Et les dépendants adultes d’un titulaire de visa devront démontrer un niveau d’anglais suffisant pour être autorisés à venir au Royaume-Uni, avec l’objectif de réduire le nombre de visas familiaux.- Visas de travail restreints -Le plan prévoit aussi un durcissement des conditions d’octroi des visas de travail, deuxième source d’installation d’étrangers dans le pays (369.000 en 2024).Selon Yvette Cooper, cela réduira “jusqu’à 50.000″ le nombre d’arrivées de travailleurs peu qualifiés l’an prochain.”Pendant des années, notre système a encouragé les entreprises à faire venir des travailleurs moins bien payés, plutôt que d’investir dans nos jeunes”, doit dire Keir Starmer, affirmant vouloir “une rupture nette avec le passé”.Un candidat à un visa de travailleur qualifié devra aussi justifier d’un niveau de diplôme équivalent à une licence française. Des exceptions sont prévues dans des domaines en manque de main d’œuvre.Et les employeurs qui veulent recruter des personnes à l’étranger devront investir dans la formation de travailleurs britanniques.Les entreprises du secteur du soin (auxiliaire de vie, etc.), qui dépendent fortement de la main d’œuvre étrangère, ne pourront plus recruter directement à l’étranger. La semaine dernière, le gouvernement avait aussi annoncé vouloir restreindre les visas de travail et étudiants pour les ressortissants de pays comme le Pakistan, le Nigeria et le Sri Lanka, les plus susceptibles de demander l’asile.Avant lui, les gouvernements conservateurs avaient déjà pris des mesures pour durcir les conditions d’attribution de visas.Le gouvernement veut aussi pouvoir expulser plus d’étrangers condamnés pour des crimes. Actuellement ils ne sont généralement expulsés que s’ils écopent d’une peine de prison supérieure à un an.Outre l’immigration légale, le gouvernement est également sous pression pour endiguer l’arrivée de migrants traversant la Manche sur de petites embarcations. Quelque 36.800 sont arrivés l’an dernier, et plus de 11.000 depuis le début de l’année.
Sous pression, le gouvernement britannique dévoile un plan “radical” pour réduire l’immigration
Le gouvernement travailliste britannique de Keir Starmer dévoile lundi une feuille de route aux “mesures radicales” pour réduire l’immigration, au moment où le Royaume-Uni voit l’extrême droite grimper dans les sondages et s’implanter dans le pays.Preuve de l’enjeu, le Premier ministre lui-même prendra la parole lundi matin lors d’une conférence de presse, peu avant que sa ministre de l’Intérieur Yvette Cooper ne dévoile la feuille de route devant le Parlement.”Tout les domaines du système d’immigration, y compris (les visas) de travail, de regroupement familial, d’étude, seront renforcés afin que nous puissions mieux les contrôler. La mise en œuvre sera plus stricte que jamais et le nombre d’immigrants diminuera”, doit déclarer le Premier ministre Keir Starmer, selon des extraits de son discours communiqués par Downing Street.”Nous créerons un système qui est contrôlé, sélectif et juste”, a-t-il insisté, alors que l’immigration nette a atteint 728.000 personnes entre juin 2023 et juin 2024, et près d’un million l’année précédente.Le gouvernement, qui promet des “mesures radicales” et fustige le bilan de ses prédécesseurs conservateurs, a distillé ces derniers jours une partie du contenu de son plan, pressé de montrer qu’il répond aux préoccupations des électeurs, après le succès du parti anti-immigration Reform UK de Nigel Farage aux élections locales du 1er mai dernier.Afin de s’assurer que les étrangers désireux de s’installer au Royaume-Uni “méritent” de rester, il sera désormais plus difficile d’obtenir un titre de résident permanent, a détaillé Downing Street. 162.000 personnes l’ont obtenu l’an dernier, en hausse de 35% sur un an.Il faudra dix ans de présence sur le territoire, contre cinq actuellement. Les infirmières, médecins, ingénieurs et dirigeants dans l’intelligence artificielle pourront toutefois candidater avant.Et les dépendants adultes d’un titulaire de visa devront démontrer un niveau d’anglais suffisant pour être autorisés à venir au Royaume-Uni, avec l’objectif de réduire le nombre de visas familiaux.- Visas de travail restreints -Le plan prévoit aussi un durcissement des conditions d’octroi des visas de travail, deuxième source d’installation d’étrangers dans le pays (369.000 en 2024).Selon Yvette Cooper, cela réduira “jusqu’à 50.000″ le nombre d’arrivées de travailleurs peu qualifiés l’an prochain.”Pendant des années, notre système a encouragé les entreprises à faire venir des travailleurs moins bien payés, plutôt que d’investir dans nos jeunes”, doit dire Keir Starmer, affirmant vouloir “une rupture nette avec le passé”.Un candidat à un visa de travailleur qualifié devra aussi justifier d’un niveau de diplôme équivalent à une licence française. Des exceptions sont prévues dans des domaines en manque de main d’œuvre.Et les employeurs qui veulent recruter des personnes à l’étranger devront investir dans la formation de travailleurs britanniques.Les entreprises du secteur du soin (auxiliaire de vie, etc.), qui dépendent fortement de la main d’œuvre étrangère, ne pourront plus recruter directement à l’étranger. La semaine dernière, le gouvernement avait aussi annoncé vouloir restreindre les visas de travail et étudiants pour les ressortissants de pays comme le Pakistan, le Nigeria et le Sri Lanka, les plus susceptibles de demander l’asile.Avant lui, les gouvernements conservateurs avaient déjà pris des mesures pour durcir les conditions d’attribution de visas.Le gouvernement veut aussi pouvoir expulser plus d’étrangers condamnés pour des crimes. Actuellement ils ne sont généralement expulsés que s’ils écopent d’une peine de prison supérieure à un an.Outre l’immigration légale, le gouvernement est également sous pression pour endiguer l’arrivée de migrants traversant la Manche sur de petites embarcations. Quelque 36.800 sont arrivés l’an dernier, et plus de 11.000 depuis le début de l’année.
Hamas to release hostage as part of direct Gaza talks with US
Hamas said it would release a US-Israeli hostage held in Gaza as the group revealed it was engaged in direct talks with the United States towards a ceasefire in the war-battered territory.”Israeli soldier Edan Alexander, a dual US national, will be released as part of efforts towards a ceasefire” and the reopening of aid crossings, the Palestinian militant group said in a statement.The family of 21-year-old Alexander said they had been informed that he might be released “in the coming days”.US President Donald Trump hailed the “monumental news” in a post on social media, describing it as a “good faith gesture”. “Hopefully this is the first of those final steps necessary to end this brutal conflict,” he added.In a joint statement Egypt and Qatar, who along with the US have mediated talks between Hamas and Israel, also welcomed the development as a “a gesture of goodwill and an encouraging step toward a return to the negotiating table”.Earlier, two Hamas officials told AFP that talks were ongoing in the Qatari capital of Doha with the United States and reported “progress” had been made.Israeli strikes meanwhile continued, with Gaza’s civil defence agency reporting that at least 12 people were killed on Sunday including four young children.One Hamas official, speaking of the talks with the United States, said there was “progress made… notably on the entry of aid to the Gaza Strip” and the potential exchange of hostages for Palestinian prisoners in Israeli custody.A second official also reported progress “on the ceasefire in the Gaza Strip”.Israel again vowed to keep fighting despite the talks.The office of Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said that any future “negotiations will take place under fire with a commitment to achieving all the objectives of the war”.- Post-war administration -Gaza militants hold 58 hostages seized during Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel that triggered the war, including 34 the Israeli military says are dead.Israel ended the last ceasefire, which lasted two months, on March 18, launching a major offensive in Gaza and ramping up its bombardment of the territory.It has also cut off all aid to Gaza, saying it would pressure Hamas to release the remaining hostages.Indirect talks between Hamas and Israel, mediated by Qatar, Egypt and the United States, have taken place from the early months of the war without bringing it to an end.Washington had for decades refused publicly to engage directly with Hamas, which it labels a terrorist organisation, before first doing so in March.Hamas has continued to insist on a deal that ends the war and on April 18 rejected an Israeli proposal for a 45-day truce and hostage-prisoner exchange.In its statement on Sunday, the group said it was willing to “immediately begin intensive negotiations” that could lead to an agreement to end the war and would see Gaza under a technocratic and independent administration.”This will ensure calm and stability for many years, along with reconstruction and the end of the blockade,” it said.Earlier this month, the Israeli government approved plans to expand its offensive in the Gaza Strip, with officials talking of retaining a long-term presence there.- Aid plan -Despite the talks, the war in the devastated Palestinian territory raged on.Mahmud Bassal, spokesman for the civil defence agency, told AFP that Israeli jets had hit three tents housing displaced people in the southern city of Khan Yunis. AFP footage showed rescuers working in the dark, evacuating a wounded baby from the site of the strike as well as two bodies, one of them in a white plastic bag and another wrapped in a blanket.A separate strike on Khan Yunis killed three people, Bassal said, while another was killed in Gaza City.The Israeli military did not comment on any specific incidents but said its air force had struck “more than 50 terror targets across the Gaza Strip” since Saturday.While ceasefire negotiations have yet to produce a breakthrough, Israel’s foreign minister, Gideon Saar, on Sunday “fully” endorsed a US plan to restore aid to Gaza, under a complete blockade since March 2.The plan has drawn hefty international criticism for sidelining the United Nations and existing aid organisations, with the UN’s agency for Palestinian refugees, UNRWA, saying it was “impossible” to replace it in Gaza.Hamas’s 2023 attack on southern Israel resulted in the deaths of 1,218 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.The health ministry in Hamas-run Gaza said on Sunday that at least 2,720 people have been killed since Israel resumed its campaign, bringing the overall death toll since the war broke out to 52,829.burs-jj/giv/fec/dhc
Le Hamas va libérer un otage israélo-américain après des contacts avec Washington
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a annoncé dimanche son intention de libérer à une date non précisée l’otage israélo-américain Edan Alexander, après avoir fait état de négociations directes avec les Etats-Unis à Doha.Cette annonce intervient avant la visite au Moyen-Orient du président américain Donald Trump, qui doit se rendre en Arabie saoudite, au Qatar et aux Emirats arabes unis du 13 au 16 mai.Sur son réseau Truth Social, il a salué une “nouvelle monumentale”, disant espérer que cette libération soit “la première des dernières étapes nécessaires à la fin (du) conflit brutal” qui oppose Israël et le Hamas depuis plus d’un an et demi.Après la déclaration du Hamas, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé qu’il poursuivrait la guerre à Gaza, alors que la famille d’Edan Alexander a dit dans un communiqué attendre sa libération “dans les prochains jours”.Edan Alexander, le seul otage vivant ayant la nationalité américaine encore retenu à Gaza, a été enlevé alors qu’il servait dans une unité d’élite dans le sud d’Israël, lors de l’attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 par le Hamas. Cette attaque a déclenché la guerre à Gaza, où Israël, jurant de détruire le Hamas, a lancé une offensive de représailles dévastatrice qui a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué un désastre humanitaire. “Edan Alexander sera libéré dans le cadre des efforts déployés en vue d’un cessez-le-feu, de l’ouverture des points de passage et de l’entrée de l’aide et des secours à notre peuple à Gaza”, a indiqué le Hamas dans un communiqué.Il s’est dit “prêt à entamer immédiatement des négociations intensives en vue de parvenir à un accord définitif sur l’arrêt de la guerre, l’échange (d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens), la gestion de Gaza par un organisme indépendant (…) en plus de la reconstruction et de la fin du siège”.- “Négociations sous le feu” -Le Hamas a confirmé des contacts avec l’administration américaine, après que deux responsables du mouvement ont évoqué des “discussions directes” avec les Etats-Unis.”Les Etats-unis ont informé Israël de l’intention du Hamas de libérer l’otage israélo-américain comme un geste envers les Américains, sans conditions”, et que “des négociations devraient suivre pour la libération des autres otages (…)”, a indiqué le bureau de M. Netanyahu dans un communiqué.”Selon la politique israélienne, les négociations se dérouleront sous le feu avec l’engagement d’atteindre tous les objectifs de la guerre”, a-t-il ajouté.De leur côté, l’Egypte et le Qatar, qui assurent la médiation dans les pourparlers entre le Hamas et Israël, ont salué l’annonce du Hamas qualifiée de “geste de bonne volonté et une étape encourageante”.Les Etats-Unis n’ont pas réagi dans l’immédiat aux annonces du Hamas, un mouvement qu’ils considèrent comme une organisation terroriste. Début mars, les Etats-Unis ont fait état de premiers contacts directs avec le mouvement palestinien, menés par l’envoyé spécial américain pour les otages, Adam Boehler, après consultation avec Israël.Après une trêve de deux mois, Israël a repris le 18 mars son offensive à Gaza, s’emparant de vastes régions. Son armée interdit depuis le 2 mars l’entrée de l’aide humanitaire à Gaza, où elle assiège les quelque 2,4 millions d’habitants confrontés à une situation humanitaire catastrophique avec des pénuries de nourriture, de médicaments et de carburant.Un cessez-le-feu entre le 19 janvier et le 17 mars avait permis de sortir de Gaza 33 otages israéliens – dont 8 morts – en échange de la libération de quelque 1.800 prisonniers palestiniens.Les négociations indirectes entre Israël et le Hamas sont au point mort. Israël a annoncé le 5 mai un plan de “conquête” de Gaza prévoyant un déplacement interne de sa population.- Douze Palestiniens tués à Gaza -Dimanche, la Défense civile à Gaza a fait état de 12 morts, dont des enfants, dans des frappes aériennes israéliennes, la plupart à Khan Younès (sud). Des avions de combat ont notamment pris pour cible trois tentes abritant des dizaines de déplacés.Des images tournées par l’AFP montrent des secouristes, dans l’obscurité, évacuant par ambulance des corps, l’un dans un sac en plastique blanc l’autre dans une couverture, ainsi qu’un bébé blessé.L’armée israélienne n’a pas commenté les frappes, mais a déclaré que ses forces aériennes avaient frappé “plus de 50 cibles terroristes à Gaza” depuis samedi.L’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.218 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Sur les 251 personnes enlevées en Israël ce jour-là, 58 sont encore retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée israélienne.Les représailles israéliennes ont fait au moins 52.829 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des données publiées dimanche par le ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Trump says will sign order aimed at cutting US drug prices
President Donald Trump unveiled plans Sunday for a new policy on pharmaceuticals he claimed would reduce US prescription drug prices by between 30 and 80 percent. “They will rise throughout the World in order to equalize and, for the first time in many years, bring FAIRNESS TO AMERICA!” Trump wrote in a social media post, adding he planned to sign an executive order bringing the new policy into effect at 9:00 am (1300 GMT) on Monday. Trump said he planned to institute a “MOST FAVORED NATION’S” policy that pinned the cost of drugs sold in the United States to the lowest price paid by other countries for the same drug. The reduction in prescription drug costs in the United States would, he added, be counterbalanced by higher costs in other countries.”Most favored nation” status is a World Trade Organization rule that aims to prevent discrimination between a country and its trading partners, levelling the playing field for international trade. The White House did not immediately respond to an AFP request for details of the plan.This is not the first time that Trump has attempted to lower US drug prices. During his first 2017-2021 term in office, he announced a similar proposal to cut US drug prices but his plans failed in the face of strong opposition from the pharmaceutical industry. Last month, the US president signed an executive order aiming to lower crippling drug prices by giving states more leeway to bargain-hunt abroad and improving the process for price negotiations.
Trump to accept lavish jet from Qatar as Air Force One: reports
Donald Trump plans to accept a luxury Boeing jet from the Qatari royal family for use as Air Force One and then continue flying in it after his tenure, despite strict rules on US presidential gifts, media reported Sunday.Calling the plane a “flying palace,” ABC News, which first reported the story, said the Boeing 747-8 jumbo jet would possibly be the most expensive gift ever received by the American government.Qatar swiftly sought to downplay the uproar, saying reports describing the jet as a gift “are inaccurate.””The possible transfer of an aircraft for temporary use as Air Force One is currently under consideration between Qatar’s Ministry of Defense and the US Department of Defense,” said Ali Al-Ansari, Qatar’s media attache to Washington, stressing that no decision had been made.The US Constitution prohibits government officials from accepting gifts “from any King, Prince or foreign State,” in a section known as the emoluments clause.But Trump would skirt the law by handing the jet to his presidential library after he leaves office.The plan is to be announced as Trump travels to three Middle East countries this week, including Qatar, reported ABC and The New York Times.Acceptance of the gift has raised ethical questions from both sides of the political aisle as it appears to flout laws set up to stanch government corruption.Laura Loomer, a far-right ally of Trump, said accepting Qatar’s plane would be a “stain” on the administration.”We cannot accept a $400 million ‘gift’ from jihadists in suits,” she posted on X. “The Qataris fund the same Iranian proxies in Hamas and Hezbollah who have murdered US Service Members.”The White House and Department of Justice, however, believe the gift is legal and not a bribe because it is not given in exchange for any particular favor or action, sources told ABC.And it is not unconstitutional, they say, because it will first be passed to the US Air Force before being turned over to the presidential library, thereby never being gifted to an individual.The White House did not immediately respond to an AFP request for comment.- ‘Wildly illegal’ -The Democratic National Committee said the move was proof of Trump using the White House for personal financial gain.”While working families brace for higher costs and empty shelves, Trump is still focusing on enriching himself and his billionaire backers,” the DNC said in an email to supporters.Multiple Democratic lawmakers blasted the plan.Senator Chris Murphy called it “wildly illegal,” while Representative Kelly Morrison said such a gift amounts to “corruption in plain sight” and an unethical “bribe” forbidden by the US Constitution.Trump reportedly toured the Qatari-owned jet in February when it was parked at the Palm Beach International Airport.The US president has long been unhappy with the Air Force One jets — two highly customized Boeing 747-200B series aircraft.Earlier this year Trump said his administration was “looking at alternatives” to Boeing following delays in the delivery of two new models.The aerospace giant agreed in 2018 to supply two 747-8 aircraft by the end of 2024 for $3.9 billion — both ready to transport whoever occupied the White House at that time.But a subcontractor went bankrupt and the coronavirus pandemic disrupted production, forcing Boeing to push back delivery to 2027 and 2028.Although the plane the Qataris are offering is reportedly over 10 years old, a new Boeing 747-8 costs around $400 million, experts said.The aircraft must additionally be outfitted with extensive communications and security upgrades before it becomes Air Force One.







