South Sudan says will resume oil production from Jan 8Tue, 07 Jan 2025 12:05:05 GMT

South Sudan could resume oil production “as early as tomorrow” almost a year after fighting in neighbouring Sudan ruptured a key pipeline, the government said Tuesday.The landlocked and impoverished country’s vital oil had been shipped to global markets from Port Sudan on the Red Sea, with Sudan taking a cut as a transit fee.But the …

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Budget, social: le gouvernement Bayrou affiche sa volonté de dialogue en multipliant les concertations

Les partenaires sociaux à Matignon, les groupes parlementaires chez les ministres en charge du budget de l’État et de la Sécurité sociale: le gouvernement Bayrou multiplie les rendez-vous et affiche ostensiblement sa volonté de dialogue pour tenter de dénouer les crises politique, sociale et budgétaire.Exercice obligé pour tout nouveau Premier ministre, les partenaires sociaux, patronat et grandes centrales syndicales, défilent à partir de mardi à Matignon. Patrick Martin du Medef a ouvert le bal à 9H30 pour un entretien d’environ une heure. Il a dit avoir vouloir élargir la discussion envisagée par François Bayrou sur les retraites au “financement de la protection sociale” par de la “capitalisation” ou de la “fiscalité”.M. Martin sera suivi par la numéro un du syndicat CFDT Marylise Léon à 17H00 et celui de la CPME François Asselin à 20H00. Les rencontres avec les autres organisations se poursuivront jusqu’à lundi à la veille du discours de politique générale du Premier ministre devant l’Assemblée nationale.Ces “premiers échanges” doivent permettre à François Bayrou d'”entendre leurs demandes” et évoquer avec eux “l’actualité sociale” y compris “ce que le Premier ministre a mis sur la table” sur les retraites, a indiqué Matignon.M. Bayrou avait proposé en décembre aux forces politiques de rouvrir une discussion, pendant neuf mois, sur la réforme controversée des retraites de 2023, sans la suspendre. Il avait affirmé croire qu’il pouvait y avoir une autre solution pour leur financement que le report de l’âge de 62 à 64 ans, évoquant un système “à points”.Retraites, emploi, pouvoir d’achat, compétitivité des entreprises… Cette première prise de contact entre le chef du gouvernement et les partenaires sociaux ne devrait pas réserver trop de surprises quant au menu des discussions.En mettant en avant, selon Matignon, sa “méthode très horizontale”, François Bayrou semble inscrire ses pas dans celui de son prédécesseur en matière de dialogue social. Le maintien à son poste de la ministre du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, désormais sous la tutelle de Catherine Vautrin, accrédite l’idée d’une continuité.De quoi quelque peu rassurer des partenaires sociaux qui, unanimes à l’exception de la CGT, avaient alerté le 17 décembre sur “l’instabilité dans laquelle a basculé notre pays”, qui fait “peser le risque d’une crise économique aux conséquences sociales dramatiques”. -Méthode, calendrier-Éviter “l’instabilité” et le spectre d’une nouvelle censure, c’est l’objectif des rencontres entre les ministres en charge du budget de l’État et de la Sécurité sociale et les groupes parlementaires. Reçus lundi à Bercy, les socialistes ont agité la menace d’une censure s’ils n’obtenaient pas des “concessions remarquables” du gouvernement qui a, selon lui, déjà fait “une proposition de modification” de la contestée réforme des retraites. Avant de rencontrer les élus socialistes, le ministre Éric Lombard avait jugé qu’il y avait “plus de perspectives d’un dialogue fécond” avec les partis de gauche qu’avec le Rassemblement national, s’attirant les foudres de Marine Le Pen.Mardi, c’est au tour de la ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin de recevoir les groupes sur le budget de la Sécurité sociale avec le mantra “respect, écoute, dialogue, humilité et suivi”.Méthode, calendrier, mesures de fond: Mme Vautrin a promis d'”examiner ensemble les points essentiels du texte de projet de loi de financement de la Sécurité sociale tel qu’il a été discuté par le Parlement à l’automne”.Début décembre, le gouvernement Barnier était tombé après l’adoption d’une motion de censure déposée par la gauche après déclenchement par le Premier ministre de l’article 49.3 sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Le groupe parlementaire socialiste est à nouveau le premier convié, à 16H30, avenue Duquesne. “Nous, on repart des dernières propositions qu’on avait faites sur le PLFSS au moment de la commission mixte paritaire (CMP)”, a averti le député PS Jérôme Guedj auprès de l’AFP. “La sécurité sociale a un problème essentiellement de recettes. On a décidé d’une dépense nécessaire, l’augmentation de la rémunération des soignants, sans dégager de ressources pour financer cette dépense nouvelle. Aujourd’hui ça coute 14 milliards le Ségur. Donc c’est d’une conférence de financement de la sécu dont on a besoin, avec des recettes nouvelles”, complète l’élu de l’Essonne.

Taste of 2034 World Cup as Saudi Asian Cup stadiums named

Fans and players will get a taste of what the 2034 World Cup in Saudi Arabia will be like when the kingdom hosts the Asian Cup, with officials announcing Tuesday dates and stadiums for the regional showpiece.Saudi Arabia was in December controversially awarded the World Cup but first it hosts the Asian Cup in 2027.The tournament will be from January 7 to February 5 that year and be held in the capital Riyadh, plus Jeddah and Al Khobar, the Asian Football Confederation said, launching a two-year countdown.Among the venues announced Tuesday for the 24-team regional competition were the 70,000-capacity King Fahd Sports City Stadium and King Saud University Stadium, both in Riyadh, which have also been earmarked to hold World Cup games.Likewise the 60,000 King Abdullah Sports City Stadium in Jeddah.The Asian Cup will be spread across eight stadiums.”Confirming the dates and selecting the stadiums for the AFC Asian Cup Saudi Arabia 2027 is a strategic milestone in our journey to host the tournament,” said Yasser al-Misehal, president of the Saudi Arabian Football Federation.Qatar, the 2022 World Cup host, staged and won the Asian Cup a year ago.The tournament was supposed to take place in China in 2023 but was moved out of the country because of the country’s Covid policies at the time.

Nouvelle-Calédonie: le gouvernement échoue à élire un président et à sortir de la crise

Elu mardi par les membres du Congrès, le nouveau gouvernement de la Nouvelle-Calédonie a échoué à désigner son président, les non-indépendantistes, majoritaires, n’ayant pas réussi à se mettre d’accord sur un nom. Une nouvelle tentative aura lieu mercredi à 14H00 heure locale (04H00 en métropole).Plus de sept mois après de violentes émeutes, l’archipel a été plongé dans l’incertitude le 24 décembre par le renversement du gouvernement de l’indépendantiste Louis Mapou, en place depuis trois ans. Les négociations n’ont “pas permis de nous entendre autour d’un contrat de gouvernance”, a réagi à l’issue du vote Philippe Dunoyer, candidat du parti Calédonie ensemble (centre-droit, non-indépendantiste), qui a annoncé sa démission du gouvernement, moins d’une heure après l’élection d’un exécutif.Alcide Ponga, candidat du parti Le Rassemblement-Les Républicains (non-indépendantiste), a obtenu quatre voix, contre trois pour l’indépendantiste Samuel Hnepeune.Or, il faut impérativement réunir les votes de 6 des 11 membres pour que soit élu le chef de l’exécutif.Une partie des indépendantistes se sont abstenus, de même que Calédonie ensemble (CE) malgré la candidature de Philippe Dunoyer.Cela “n’empêchera pas le fonctionnement des institutions”, a tenu à préciser M. Dunoyer, qui sera remplacé par Jérémie Katidjo-Monnier, en seconde place sur sa liste.Les membres du gouvernement calédonien sont en effet élus lors d’un scrutin de listes. En cas de démission, c’est le suivant sur celle-ci qui prend la place du démissionnaire.Seule la démission de l’ensemble de la liste provoque la chute du gouvernement. C’est ce scénario qui s’est produit le 24 décembre, avec le départ de Calédonie ensemble.Le mouvement reprochait à l’exécutif de Louis Mapou son “manque de fermeté” face à l’État dans le cadre des discussions pour l’aide à la reconstruction du territoire. Son économie a été mise à terre par l’insurrection qui a débuté le 13 mai, après l’adoption par l’Assemblée nationale à Paris d’une réforme très controversée du corps électoral calédonien.Mais “le gouvernement Mapou n’a pas été renversé pour qu’on débouche sur un blocage institutionnel, a précisé Philippe Dunoyer. “Dès la prochaine réunion du gouvernement, mon remplaçant apportera sa voix à la candidature d’Alcide Ponga à la présidence.”- “ManÅ“uvres politiciennes” -Dans la foulée, Petelo Sao, entré au gouvernement sur la liste CE mais membre de l’Eveil océanien (parti charnière, ni indépendantiste, ni non-indépendantiste) a indiqué qu’il voterait lui aussi “pour Alcide Ponga lors de la prochaine tentative”.Cette crise révèle l’importance des fractures qui traversent la classe politique calédonienne. Si Calédonie ensemble avait annoncé faire chuter l’équipe Mapou pour mettre en place un “gouvernement de salut public transpartisan au service des Calédoniens”, l’échec de mardi montre que, malgré l’urgence économique soulignée par tous, les guerres intestines continuent de prendre le dessus.Virginie Ruffenach, présidente du groupe Rassemblement-LR au ongrès a appelé “à la responsabilité des élus calédoniens afin de ne pas laisser perdurer l’instabilité institutionnelle”. “Tout ça ce ne sont que des manÅ“uvres politiciennes, qui montrent bien que la décision de faire chuter le gouvernement précédent ne servait que des intérêts personnels”, a commenté pour sa part Charles Washetine, de l’Union nationale pour l’indépendance (UNI) dont est membre le président sortant Louis Mapou. Mais les indépendantistes ne sont pas en reste de divisions. En froid avec l’Union calédonienne, qui a présenté Samuel Hnepeune à la présidence, l’UNI a donné consigne à ses deux membres du gouvernement de s’abstenir mardi matin plutôt que de voter en faveur du candidat indépendantiste.Située à 17.000 kilomètres de Paris, la Nouvelle-Calédonie a été meurtrie en 2024 par six mois de tensions insurrectionnelles, sur fond de contestation indépendantiste du corps électoral aux élections provinciales, cruciales pour le territoire. Les troubles ont coûté la vie à 14 personnes et fait plus de 2 milliards d’euros de dégâts. Le scrutin qui devait avoir lieu en 2024, doit se tenir à la fin de l’année.