Comorans fear for loved ones on cyclone-ravaged MayotteTue, 17 Dec 2024 13:02:04 GMT

Residents of the Comoros are desperate for news of loved ones in neighbouring Mayotte, where Cyclone Chido is feared to have killed hundreds and much of the population is Comoran.Chido spared the Comoros but devastated the French territory of Mayotte just 70 kilometres (43 miles) away, an Indian Ocean magnet for migrants from impoverished Comoros …

Comorans fear for loved ones on cyclone-ravaged MayotteTue, 17 Dec 2024 13:02:04 GMT Read More »

Bayrou, sous le feu des critiques, rencontre Macron pour accélérer la formation de son gouvernement

Critiqué de toutes parts pour avoir choisi d’aller à Pau au lieu de Mayotte dévastée et pour avoir défendu le cumul des mandats, François Bayrou rencontre Emmanuel Macron mardi en vue de former rapidement un gouvernement.Le Premier ministre, rentré tôt de Pau en avion de la République, doit évoquer avec le chef de l’Etat une “architecture de démarrage” pour son gouvernement, a indiqué Marc Fesneau à l’issue de son entretien avec M. Bayrou. Le chef des députés MoDem a ajouté que les deux têtes de l’exécutif composeront la future équipe “avec la volonté de trouver un équilibre”.François Bayrou espère former un gouvernement “cette semaine”. “Mais il faut que le président soit là”, a-t-il ajouté, à propos de l’emploi du temps très chargé d’Emmanuel Macron. L’entourage du chef de l’Etat semble avoir peu goûté le propos :”Quand il sera prêt, nous nous le sommes”, a assuré un proche.Puis, le nouveau locataire de Matignon prononcera le 14 janvier son discours de politique générale devant le Parlement, selon son entourage. En attendant, les consultations des forces politiques, entamées lundi, se poursuivent à Matignon.Le patron des députés Horizons Laurent Marcangeli a plaidé pour la “stabilité” auprès du Premier ministre, qui s’était déjà entretenu par téléphone avec Edouard Philippe dimanche.Les leaders des Ecologistes ont été beaucoup plus pessimistes, estimant que François Bayrou était déjà en train de “paver peu à peu le chemin de sa propre censure”.Quant à Laurent Wauquiez (LR), reçu lundi, il a demandé mardi une nouvelle rencontre avec le chef du gouvernement, dont le projet est encore “trop flou” à ses yeux. Quatre jours à peine après sa nomination, le nouveau locataire de Matignon est déjà au coeur d’une double polémique.Son choix d’aller dans sa ville de Pau pour y défendre son poste de maire, plutôt que d’assister à une réunion de crise sur Mayotte, qu’il a suivie à distance, suscite de vives critiques jusque dans son propre camp. Et son souhait de revenir sur l’interdiction du cumul du mandat de parlementaire est aussi dénoncé.- “Indécent” -La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet aurait “préféré que le Premier ministre, au lieu de prendre un avion pour Pau, prenne l’avion pour Mamoudzou”, chef-lieu de Mayotte, dévastée par un cyclone meurtrier.Elle a aussi redit son opposition au cumul de mandats, défendu lundi soir par le Premier ministre: “ce n’est vraiment pas le moment” de “remettre ce sujet sur la table”. “Aujourd’hui le sujet c’est le budget, c’est Mayotte”.Le patron du parti communiste Fabien Roussel a, de son côté, jugé “indécent de parler de cumul des mandats (…) alors qu’en ce moment on enterre des enfants, des habitants à Mayotte”.Rare voix à venir à la rescousse du Premier ministre, Hervé Marseille, chef des sénateurs centristes et défenseur du cumul, a estimé que François Bayrou a “fait ce qu’il devait faire”.Le Premier ministre s’apprête à passer son premier grand oral à partir de 15H00 à l’Assemblée nationale. Il répondra pendant 45 minutes aux questions des présidents de groupe en solo, puisque les ministres en place sont démissionnaires et ne sont donc pas autorisés à participer à l’exercice.L’ancien ministre de l’Intérieur macroniste Gérald Darmanin l’interrogera notamment sur Mayotte et “les moyens exceptionnels que doit engager l’État”.Il sera aussi sans doute questionné sur le cumul des mandats. Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a jugé sur France 2 que le Premier ministre “s’égare” avec cette “sortie”.”En s’accrochant à ce poste de maire” de Pau, “M. Bayrou fait une grave erreur” doublée d’une “faute politique importante” et “symboliquement dramatique”, a estimé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard sur Sud Radio.Rien dans la loi n’interdit le cumul entre une fonction ministérielle et un mandat local. Yaël Braun-Pivet a toutefois rappelé qu’une réforme constitutionnelle, inaboutie et prévoyant “le non-cumul des fonctions ministérielles et d’un exécutif local”, avait été “votée à la quasi-unanimité” des députés en 2018.De son côté, le Rassemblement national défend l’idée de cumuler les mandats de député et de maire “en dessous d’un certain seuil” de population, d’après la députée RN Laure Lavalette.

Ethiopia opens banking sector to foreign investmentTue, 17 Dec 2024 11:21:13 GMT

Ethiopia will partially open its banking sector to foreign banks following a vote by lawmakers on Tuesday, according to local media group FanaBC.Since taking power in 2018, Prime Minister Abiy Ahmed has been a vocal supporter of opening up the heavily state-controlled economy to competition and foreign investment.But internal conflicts — including a devastating civil …

Ethiopia opens banking sector to foreign investmentTue, 17 Dec 2024 11:21:13 GMT Read More »

Bayrou sous le feu des critiques pour avoir choisi Pau plutôt que Mayotte

Sous pression pour former un gouvernement rapidement, François Bayrou était mardi critiqué de toutes parts pour avoir choisi d’aller à Pau au lieu de Mayotte, en proie à une crise humanitaire majeure, et défendu le cumul des mandats.Le Premier ministre, nommé vendredi, a pris un avion de la République très tôt mardi de Pau pour revenir à Paris poursuivre ses consultations des groupes politiques, avant de passer son premier grand oral à l’Assemblée nationale.Les députés ne manqueront pas de l’interroger sur son choix d’aller dans sa ville pour y défendre son poste de maire, plutôt que d’assister à une réunion de crise sur Mayotte – qu’il a suivie à distance. Il sera aussi interpellé sur son souhait de revenir sur l’interdiction du cumul du mandat de parlementaire.Sa décision suscite une vive polémique jusque dans son camp. La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a affirmé sur franceinfo qu’elle aurait “préféré que le Premier ministre, au lieu de prendre un avion pour Pau, prenne l’avion pour Mamoudzou”, chef-lieu de Mayotte, dévastée par un cyclone qui aurait fait “plusieurs centaines”, voire “quelques milliers” de morts, selon les autorités. Elle a aussi redit son opposition au cumul de mandats, défendu lundi soir par le Premier ministre: “ce n’est vraiment pas le moment” de “remettre ce sujet sur la table”. “Aujourd’hui le sujet c’est le budget, c’est Mayotte”.Le patron du parti communiste Fabien Roussel a jugé sur BFMTV et RMC “indécent de parler de cumul des mandats (…) alors qu’en ce moment on enterre des enfants, des habitants à Mayotte”.Rare voix à venir à la rescousse du Premier ministre, Hervé Marseille, le chef des sénateurs centristes, défenseur du cumul, a estimé qu’il a “fait ce qu’il devait faire”. “Tout le monde ne va pas débarquer à Mayotte”, où s’est rendu lundi le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et où Emmanuel Macron est attendu dans les prochains jours. Les responsables de l’archipel “ont autre chose à faire que de recevoir les autorités”, a insisté le président de l’UDI.-  Gouvernement “cette semaine” – Après l’extrême droite, le centre, les socialistes et la droite lundi, François Bayrou reçoit mardi les représentants des écologistes, du MoDem, d’Horizons, les indépendants de Liot, les communistes, et l’ex-LR Eric Ciotti désormais allié du RN.Il s’agit pour lui de mesurer les soutiens dont il dispose pour former un gouvernement susceptible de faire passer, dans une Assemblée fracturée, un budget pour 2025, dont le pays est privé depuis la censure.François Bayrou espère à l’issue de ces consultations former un gouvernement “cette semaine”. “Mais il faut que le président soit là”, a-t-il ajouté, à propos de l’emploi du temps très chargé cette semaine d’Emmanuel Macron.L’entourage du chef de l’Etat semble avoir peu goûté l’allusion et incite François Bayrou à commencer à faire des propositions dès aujourd’hui. “Quand il sera prêt, nous nous le sommes”, a assuré un proche. – Bayrou “s’égare” -François Bayrou, qui fut ancien député de 2002 à 2012, devrait encore affronter les critiques à l’Assemblée nationale, où il répondra pendant 45 minutes aux questions des présidents de groupe en solo, puisque les ministres en place sont démissionnaires et ne sont donc pas autorisés à participer à l’exercice.L’ancien ministre de l’Intérieur macroniste Gérald Darmanin l’interrogera notamment sur Mayotte et “les moyens exceptionnels que doit engager l’État”.Il sera aussi sans doute questionné sur le cumul des mandats. Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a jugé sur France 2 que le Premier ministre “s’égare” avec cette “sortie”.”En s’accrochant à ce poste de maire” de Pau, “M. Bayrou fait une grave erreur” doublée d’une “faute politique importante” et “symboliquement dramatique”, a estimé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard sur Sud Radio.Rien dans la loi n’interdit le cumul entre une fonction ministérielle et un mandat local, mais Yaël Braun-Pivet a rappelé qu’une réforme constitutionnelle, inaboutie et prévoyant “le non-cumul des fonctions ministérielles et d’un exécutif local”, avait été “votée à la quasi-unanimité” des députés en 2018.De son côté, le Rassemblement national estime qu’il “est sûrement possible” de cumuler les mandats de député et de maire “en dessous d’un certain seuil” de population, a souligné Laure Lavalette sur TF1.

Japan to make renewables top power source by 2040

Japan wants renewables to be its top power source by 2040 in its push to become carbon neutral by mid-century, under government plans unveiled on Tuesday.Thirteen years after the 2011 Fukushima disaster, Tokyo also reaffirmed that it sees a major rule for nuclear power in helping Japan meet growing energy demand from artificial intelligence and microchip factories.The world’s fourth-largest economy has the dirtiest energy mix in the G7, campaigners say, with fossil fuels accounting for nearly 70 percent of its power generation last year.The government has already set a target of becoming carbon-neutral by 2050 and to cut emissions by 46 percent by 2030 from 2013 levels.Under the new plans, renewables such as solar and wind were expected to account for 40 to 50 percent of electricity generation by 2040.That marks a jump from last year’s level of 23 percent and a previous target for 2030 of 38 percent.Resource-poor Japan “will aim to maximise the use of renewable energy as our main source of power”, according to the draft Strategic Energy Plan.Government experts were reviewing the proposals released by the Agency for Natural Resources and Energy and it was due to be presented to the cabinet for approval.Japan is aiming to avoid relying heavily on one energy source to ensure “both a stable supply of energy and decarbonisation”, the draft said.Geopolitical concerns affecting energy lines, from the Ukraine war to Middle East unrest, were also behind the shift to renewables and nuclear, it said.- Imports -Nearly 70 percent of Japan’s power needs in 2023 were met by power plants burning coal, gas and oil.Almost all must be imported, last year costing Japan about $500 million per day.The government wants that figure to fall to 30 to 40 percent by 2040. The previously announced 2030 target was 41 percent, or 42 percent when hydrogen and ammonia were included.The new plans forecast a 10 to 20 percent jump in overall electricity generation by 2040, from 985 billion kilowatt hours (kWh) in 2023.”Securing decarbonised sources of electricity is an issue directly related to our country’s economic growth,” Yoshifumi Murase, the head of the national energy agency, told the government’s expert panel on Tuesday.- Nuclear -Unlike the previous plan three years ago, the new draft dropped language on reducing Japan’s reliance on nuclear “as much as possible” — a goal set after the 2011 Fukushima disaster.Japan pulled the plug on nuclear power plants nationwide after the tsunami-triggered Fukushima meltdown, this century’s worst atomic disaster.However, it has gradually been bringing them back online, despite a public backlash in some places, mirroring nuclear power returning to favour in other countries too.Nuclear accounts for about 20 percent of Japan’s energy needs under the 2040 targets, around the same as the current 2030 target.But that is more than double the share of 8.5 percent of overall power generation that nuclear provided in 2023.- Too little, too late -Hirotaka Koike from Greenpeace welcomed the new plan but said it was “too little, too late”, calling for “much larger ambition” on renewables.Japan “has committed to ‘fully or predominantly decarbonised power systems by 2035’ and, evidently, their current plan doesn’t cut it,” Koike said.Hanna Hakko from climate think-tank E3G also called Japan’s ambitions “quite disappointing”.”The power mix suggested by the government is not consistent with Japan’s international commitments to tackle climate change and accelerate clean energy transition,” Hakko told AFP.”Various scenarios by energy experts show that if the government were to enact supportive policies, renewables could expand to cover between 60 to 80 percent of Japan’s electricity generation mix in the latter half of 2030s,” she said.

Bayrou à Pau: Braun-Pivet “aurait préféré que le Premier ministre prenne l’avion pour Mayotte”

La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a affirmé mardi qu’elle aurait “préféré que le Premier ministre prenne l’avion pour Mayotte”, dévastée par un cyclone, plutôt que d’assister au conseil municipal de Pau dont François Bayrou compte rester maire.”Face à une telle catastrophe (…) il est important d’être au côté des populations” et “dans ce type de circonstances, il faut être à 100% mobilisé sur la gestion de crise”, a estimé la titulaire du perchoir sur franceinfo.Un premier tacle immédiatement suivi d’un second sur le cumul des mandats des parlementaires, interdit depuis 2014 et remis sur la table lundi soir par le nouveau locataire de Matignon. “Ce n’est pas le bon moment, parce que ce n’est pas le sujet”, a estimé la présidente de l’Assemblée, dont la position sur ce dossier n’a pas varié.”Je suis contre le cumul de mandats, je considère que lorsqu’on exerce une fonction, on doit l’exercer à plein temps”, a-t-elle insisté.François Bayrou a également confirmé son intention de rester maire de Pau, ce qui est autorisé par loi. Mais Yaël Braun-Pivet a rappelé qu’une réforme constitutionnelle, inaboutie et prévoyant “le non-cumul des fonctions ministérielles et d’un exécutif local”, avait été “voté à la quasi-unanimité” des députés en 2018.En revanche, le Rassemblement national “pense (qu’il) est sûrement possible” de cumuler les mandats de député et de maire “en dessous d’un certain seuil” de population, a indiqué Laure Lavalette sur TF1.La polémique enfle également à gauche, où le numéro un du parti socialiste Olivier Faure a jugé sur France 2 que “le Premier ministre s’égare” avec cette “sortie sur le retour du cumul des mandats” et que “sa place n’était pas à Pau” lundi soir.”C’est totalement indécent de parler de cumul des mandats (…) alors qu’en ce moment on enterre des enfants, des habitants à Mayotte”, s’est pour sa part indigné le patron du parti communiste Fabien Roussel sur BFMTV et RMC.”En s’accrochant à ce poste de maire” de Pau, “M. Bayrou fait une grave erreur” doublée d’une “faute politique importante” et “symboliquement dramatique”, a pareillement estimé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard sur Sud Radio.A l’inverse, le chef des sénateurs centristes Hervé Marseille a considéré sur Public Sénat que le Premier ministre “a fait ce qu’il devait faire”, alors que le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est rendu sur l’île dévastée lundi et qu’Emmanuel Macron a annoncé qu’il s’y rendrait dans les prochains jours.”Tout le monde ne va pas débarquer à Mayotte”, où les responsables “ont autre chose à faire que de recevoir les autorités”, a insisté le président de l’UDI, qui s’est par ailleurs posé en “défenseur du cumul des mandats”.