L’Inde et le Pakistan s’accusent de violer le cessez-le-feu

L’Inde et le Pakistan ont accepté samedi de cesser leurs hostilités après quatre jours d’attaques meurtrières de drones, de tirs d’artillerie et de frappes de missiles, mais quelques heures plus tard les deux rivaux se sont accusés de violer cette trêve.Donald Trump a promis dimanche une prochaine croissance du commerce entre les Etats-Unis et les deux pays. Samedi soir, le président américain s’était réjoui que, “sous la médiation américaine”, les deux puissances nucléaires rivales d’Asie du Sud aient “accepté un CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET IMMEDIAT”.Quelques heures après l’annonce du cessez-le-feu, la diplomatie indienne a “demandé au Pakistan de prendre les mesures appropriées pour répondre à (des) violations (de la trêve) et traiter la situation avec sérieux et responsabilité”. Des journalistes de l’AFP ont entendu samedi soir de fortes détonations à Srinagar, ville du Cachemire indien où la défense antiaérienne est entrée en action. Au Cachemire pakistanais, deux responsables ont rapporté à l’AFP des “échanges de tirs intermittents entre les forces pakistanaises et indiennes en trois endroits le long de la ligne de contrôle”, la frontière de facto dans la région disputée.Islamabad “maintient son engagement à appliquer fidèlement” le cessez-le-feu et ses forces armées “gèrent la situation avec responsabilité et retenue”, a répondu la diplomatie pakistanaise, accusant en retour New Delhi de violer le trêve.- “Augmenter le commerce” -Depuis mercredi, les deux voisins, nés d’une douloureuse partition en 1947 au départ du colonisateur britannique et dotés de l’arme nucléaire, inquiètent la communauté internationale.”Après une longue nuit de discussions sous la médiation américaine, je suis heureux d’annoncer que l’Inde et le Pakistan ont accepté un CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET IMMEDIAT”, s’était vanté samedi, à la surprise générale, Donald Trump sur Truth Social.Dimanche à l’aube, le président américain a encore loué “la force, la puissance inébranlables des dirigeants indiens et pakistanais” et leur “sagesse” et il s’est engagé à “augmenter de manière importante les échanges commerciaux avec ces grandes Nations”.Si Islamabad a confirmé “un cessez-le-feu avec effet immédiat”, une source gouvernementale à New Delhi a affirmé qu’il avait été directement négocié entre les deux adversaires et que rien d’autre ne serait discuté.Selon le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio au contraire, les deux pays, qui se sont livré plusieurs guerres ont “accepté de commencer des pourparlers sur un large éventail de questions dans un lieu neutre”.Pour Michael Kugelman, spécialiste américain de la région, il s’agit d’un “cessez-le-feu conclu à la hâte, à un moment où les tensions étaient à leur comble”. Et, selon lui, l’Inde n’en a pas forcément la même “interprétation” que celle des Etats-Unis et du Pakistan, deux pays historiquement très proches. Londres a salué un cessez-le-feu “extrêmement bienvenu”, Paris s’est félicitée du “choix de la responsabilité”, quand Berlin a noté “une première étape importante”.Le chef de l’ONU Antonio Guterres et l’Iran ont exprimé l’espoir d’une “paix durable”.La Chine, rivale de l’Inde et allié du Pakistan, s’est dite “disposée à continuer à jouer un rôle constructif” pour “éviter toute escalade”.- “Nous souffrons le plus” -Le cessez-le-feu a apporté du soulagement au Cachemire, des deux côtés de la ligne de contrôle.Côté pakistanais, pour Imran Mir, homme d’affaires de 30 ans, cela est “vraiment bienvenu” car “à chaque conflit, c’est nous qui souffrons le plus”.Côté indien, le chef du gouvernement local Omar Abdullah s’est réjoui de “pouvoir mieux organiser l’approvisionnement et le traitement des blessés”.Sukesh Khajuria, un Cachemiri indien, réclame toutefois de “la vigilance” car “c’est dur de faire confiance au Pakistan”.La poussée de fièvre remonte au 22 avril après un attentat qui a choqué l’Inde: des hommes armés ont abattu 26 civils sur un site touristique au Cachemire indien. New Delhi a accusé Islamabad de soutenir le groupe jihadiste qu’elle soupçonne de l’attaque, ce que son voisin a démenti fermement.Après des sanctions et menaces, les deux pays ont lancé mercredi leur pire confrontation depuis des décennies.L’Inde a d’abord mené des frappes sur plusieurs villes pakistanaises, assurant y détruire des “camps terroristes”, ce qui a déclenché attaques et ripostes.Samedi matin encore, le Pakistan avait répliqué après des tirs de missiles indiens sur des bases militaires, dont l’une aux portes d’Islamabad.Le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a affirmé qu'”avec l’opération +Edifice compact+”, son pays avait “donné à l’Inde une réponse adéquate et vengé les morts innocents”.L’Inde a reconnu avoir subi des frappes, notamment de drones, contre plusieurs cibles militaires dans le nord-ouest.Selon le bilan officiel des deux camps, une soixantaine de civils ont été tués.Cet état de guerre a provoqué d’importants mouvements de population de part et d’autre de la “ligne de contrôle”.Le Pakistan a rouvert son espace aérien mais, côté indien, 32 aéroports dans le nord-ouest restent fermés.burs-pa-sbh-nr/bpi

L’Inde et le Pakistan s’accusent de violer le cessez-le-feu

L’Inde et le Pakistan ont accepté samedi de cesser leurs hostilités après quatre jours d’attaques meurtrières de drones, de tirs d’artillerie et de frappes de missiles, mais quelques heures plus tard les deux rivaux se sont accusés de violer cette trêve.Donald Trump a promis dimanche une prochaine croissance du commerce entre les Etats-Unis et les deux pays. Samedi soir, le président américain s’était réjoui que, “sous la médiation américaine”, les deux puissances nucléaires rivales d’Asie du Sud aient “accepté un CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET IMMEDIAT”.Quelques heures après l’annonce du cessez-le-feu, la diplomatie indienne a “demandé au Pakistan de prendre les mesures appropriées pour répondre à (des) violations (de la trêve) et traiter la situation avec sérieux et responsabilité”. Des journalistes de l’AFP ont entendu samedi soir de fortes détonations à Srinagar, ville du Cachemire indien où la défense antiaérienne est entrée en action. Au Cachemire pakistanais, deux responsables ont rapporté à l’AFP des “échanges de tirs intermittents entre les forces pakistanaises et indiennes en trois endroits le long de la ligne de contrôle”, la frontière de facto dans la région disputée.Islamabad “maintient son engagement à appliquer fidèlement” le cessez-le-feu et ses forces armées “gèrent la situation avec responsabilité et retenue”, a répondu la diplomatie pakistanaise, accusant en retour New Delhi de violer le trêve.- “Augmenter le commerce” -Depuis mercredi, les deux voisins, nés d’une douloureuse partition en 1947 au départ du colonisateur britannique et dotés de l’arme nucléaire, inquiètent la communauté internationale.”Après une longue nuit de discussions sous la médiation américaine, je suis heureux d’annoncer que l’Inde et le Pakistan ont accepté un CESSEZ-LE-FEU TOTAL ET IMMEDIAT”, s’était vanté samedi, à la surprise générale, Donald Trump sur Truth Social.Dimanche à l’aube, le président américain a encore loué “la force, la puissance inébranlables des dirigeants indiens et pakistanais” et leur “sagesse” et il s’est engagé à “augmenter de manière importante les échanges commerciaux avec ces grandes Nations”.Si Islamabad a confirmé “un cessez-le-feu avec effet immédiat”, une source gouvernementale à New Delhi a affirmé qu’il avait été directement négocié entre les deux adversaires et que rien d’autre ne serait discuté.Selon le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio au contraire, les deux pays, qui se sont livré plusieurs guerres ont “accepté de commencer des pourparlers sur un large éventail de questions dans un lieu neutre”.Pour Michael Kugelman, spécialiste américain de la région, il s’agit d’un “cessez-le-feu conclu à la hâte, à un moment où les tensions étaient à leur comble”. Et, selon lui, l’Inde n’en a pas forcément la même “interprétation” que celle des Etats-Unis et du Pakistan, deux pays historiquement très proches. Londres a salué un cessez-le-feu “extrêmement bienvenu”, Paris s’est félicitée du “choix de la responsabilité”, quand Berlin a noté “une première étape importante”.Le chef de l’ONU Antonio Guterres et l’Iran ont exprimé l’espoir d’une “paix durable”.La Chine, rivale de l’Inde et allié du Pakistan, s’est dite “disposée à continuer à jouer un rôle constructif” pour “éviter toute escalade”.- “Nous souffrons le plus” -Le cessez-le-feu a apporté du soulagement au Cachemire, des deux côtés de la ligne de contrôle.Côté pakistanais, pour Imran Mir, homme d’affaires de 30 ans, cela est “vraiment bienvenu” car “à chaque conflit, c’est nous qui souffrons le plus”.Côté indien, le chef du gouvernement local Omar Abdullah s’est réjoui de “pouvoir mieux organiser l’approvisionnement et le traitement des blessés”.Sukesh Khajuria, un Cachemiri indien, réclame toutefois de “la vigilance” car “c’est dur de faire confiance au Pakistan”.La poussée de fièvre remonte au 22 avril après un attentat qui a choqué l’Inde: des hommes armés ont abattu 26 civils sur un site touristique au Cachemire indien. New Delhi a accusé Islamabad de soutenir le groupe jihadiste qu’elle soupçonne de l’attaque, ce que son voisin a démenti fermement.Après des sanctions et menaces, les deux pays ont lancé mercredi leur pire confrontation depuis des décennies.L’Inde a d’abord mené des frappes sur plusieurs villes pakistanaises, assurant y détruire des “camps terroristes”, ce qui a déclenché attaques et ripostes.Samedi matin encore, le Pakistan avait répliqué après des tirs de missiles indiens sur des bases militaires, dont l’une aux portes d’Islamabad.Le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a affirmé qu'”avec l’opération +Edifice compact+”, son pays avait “donné à l’Inde une réponse adéquate et vengé les morts innocents”.L’Inde a reconnu avoir subi des frappes, notamment de drones, contre plusieurs cibles militaires dans le nord-ouest.Selon le bilan officiel des deux camps, une soixantaine de civils ont été tués.Cet état de guerre a provoqué d’importants mouvements de population de part et d’autre de la “ligne de contrôle”.Le Pakistan a rouvert son espace aérien mais, côté indien, 32 aéroports dans le nord-ouest restent fermés.burs-pa-sbh-nr/bpi

Pérou : des milliers de fidèles rendent hommage à Léon XIV lors d’une messe à Chiclayo

Des milliers de fidèles ont rendu hommage samedi soir lors d’une messe sur le parvis de la cathédrale de Chiclayo, dans le nord du Pérou, au pape Léon XIV, qui fut évêque du diocèse.”La ville de l’amitié, la ville de l’eucharistie, a accompagné le Saint-Père Léon XIV dans son pèlerinage afin qu’il puisse maintenant rassembler et guider l’Église universelle à partir de Chiclayo, de l’Amérique latine, le continent de l’espoir pour le monde entier”, a lancé l’actuel évêque du diocèse, Edinson Farfan, face à une foule compacte.Robert Francis Prevost, né aux Etats-Unis, a effectué différentes longs séjours dans le pays andin, dont il a obtenu la nationalité en 2015, devenant archevêque-évêque émérite de Chiclayo de 2015 à 2023.”Papa amigo, Chiclayo esta contigo (pape ami, Chiclayo est avec toi)”, ont scandé à plusieurs reprise les fidèles applaudissant dans la liesse. Entouré de dizaines de prêtres, Mgr Farfan a souligné “la proximité” du souverain pontife “avec les pauvres, les plus vulnérables, ceux qui souffrent, les migrants, les réfugiés, c’est un homme profondément sensible à la justice sociale”, avant de lui lancer une invitation.Léon XIV “aimait profondément” Chiclayo “qu’il porte toujours dans son cœur et nous ne manquerons pas de l’inviter à nous rendre visite”, a-t-il lancé.”Sa Sainteté Léon XIV est un pontife préparé, équilibré, avec une capacité de gouvernement, mais surtout avec un grand cœur, ouvert à accueillir tout le monde”, a poursuivi l’évêque.La messe, retransmise sur deux écrans géants, a réuni plusieurs milliers de personnes venus des quatre coins du vaste diocèse devant la cathédrale Santa Maria entièrement illuminée. “Comme tous les Chiclayens, nous sommes très heureux de savoir que le pape actuel est désormais l’un des nôtres”, a confié auprès de l’AFP Maria Elena Laboriano, 45 ans, en première ligne pour assister à la célébration. “Je ressens une joie immense, une joie débordante parce que nous avons eu un prêtre qui s’est identifié à tout le peuple dans les bons comme dans les mauvais moments”, a déclaré Noemi Pardo, 50 ans, un large sourire aux lèvres.Lors de son premier discours au Vatican jeudi, en italien, le nouveau souverain pontife de 69 ans a brièvement salué en espagnol son “cher diocèse de Chiclayo”, rendant hommage à son “peuple fidèle”.

India, Pakistan reach ceasefire — but trade claims of violations

India and Pakistan traded accusations of ceasefire violations early Sunday, hours after US President Donald Trump announced that the nuclear-armed neighbours had stepped back from the brink of full-blown war.India’s foreign secretary said it retaliated after Pakistan’s “repeated violations” of the truce, while Pakistan said it “remains committed” to the ceasefire and that its forces were handling violations by India with “responsibility and restraint”.AFP staff in Srinagar in Indian-administered Kashmir reported hearing loud explosions. A senior official in Pakistani-run Kashmir told AFP that “intermittent exchange of fire is ongoing” across the de facto border in the contested region, the Line of Control (LoC). More details were not immediately available, and it was not possible to independently verify the claims. On Saturday, Pakistan and India had agreed to a full and immediate ceasefire after days of deadly jet fighter, missile, drone and artillery attacks which killed at least 60 people and saw thousands flee their homes along the border as well as in divided Kashmir.The news had been surprisingly announced by Trump on Saturday.”After a long night of talks mediated by the United States, I am pleased to announce that India and Pakistan have agreed to a FULL AND IMMEDIATE CEASEFIRE. Congratulations to both Countries on using Common Sense and Great Intelligence,” Trump posted.Late Saturday, Trump posted again on Truth Social, praising the leaders of India and Pakistan for understanding that “it was time to stop the current aggression”, and also pledging to increase trade “substantially” with both nations.The US president also said he would work with New Delhi and Islamabad to “see if, after a ‘thousand years,’ a solution can be arrived at concerning Kashmir”.India’s foreign secretary Vikram Misri had said earlier that both sides would “stop all firing and military action on land, air and sea” with effect from 5:00 pm (1130 GMT).He then accused Pakistan of “repeated violations” and said the Indian armed forces “are giving an adequate and appropriate response”.Meanwhile, the foreign ministry in Islamabad said Pakistan “remains committed to faithful implementation” of the truce. “Notwithstanding the violations being committed by India in some areas, our forces are handling the situation with responsibility and restraint,” it said.- ‘Vigilant’ -The conflict was touched off by an attack last month in the Indian-administered side of Kashmir that killed 26 people, mostly male Hindu tourists, which New Delhi blamed on Islamabad.India accused the Pakistan-based Lashkar-e-Taiba — a UN-designated terrorist organisation — of carrying out the attack, but Islamabad has denied any involvement and called for an independent probe.Indian former foreign secretary Harsh Vardhan Shringla said Sunday that the ceasefire “seems to be a temporary situation.”The Pakistanis were prompted by the Americans,” he said, adding that India’s “Operation Sindoor was a huge success in terms of targeted strikes against terrorists”. Militants have stepped up operations in Kashmir since 2019, when Indian Prime Minister Narendra Modi’s Hindu nationalist government revoked its limited autonomy and took the state under direct rule from New Delhi.The countries have fought several wars over the territory, which both claim in full but administer separate portions of since gaining independence from British rule in 1947.”The ceasefire is a positive step,” said Bilal Shabbir, an IT consultant in Muzaffarabad, in Pakistan-administered Kashmir.”In war, it’s not just soldiers who die, it’s mostly civilians — and in this case, it would have been the people of Kashmir.” In Srinagar, resident Sukesh Khajuria was more cautious.”The ceasefire is welcome, but it’s difficult to trust Pakistan. We have to be vigilant,” he said.US Secretary of State Marco Rubio said the ceasefire came after he and Vice President JD Vance engaged with senior officials on both sides.Rubio also said on X that they had agreed to “start talks on a broad set of issues at a neutral site”.On X, Pakistan Prime Minister Shehbaz Sharif said his country — which has long sought international mediation in Kashmir — “appreciates” the US intervention.India has consistently opposed mediation, however, and observers were sceptical of the truce.”The ceasefire was cobbled together hastily, and at a moment when tensions were at their highest,” US-based South Asia analyst Michael Kugelman wrote on X after the claims of violations.”India appears to have interpreted the deal differently than did the US and Pakistan, and it’s likely not keen on the broader talks it calls for. Upholding it will pose challenges,” he warned.News of the ceasefire was met with relief from countries including Britain and Iran, as well as the United Nations.China, which borders India and Pakistan, said Beijing was “willing to continue playing a constructive role” and remained concerned with any escalation, according to state-run news agency Xinhua.burs-st-ach/sco

Les Français favorables à l’organisation d’un referendum, proposée par Bayrou (sondage)

Les Français sont très majoritairement favorables (83%) à l’organisation d’un referendum et placent l’économie, les retraites et l’immigration en tête des sujets sur lesquels ils aimeraient être questionnés, selon un sondage Elabe pour BFMTV, publié dimanche. Plus d’un Français sur deux se dit favorable à l’organisation d’un referendum, et 28% très favorables, dans cette étude publiée après la proposition du Premier ministre François Bayrou d’interroger les Français sur la trajectoire à venir des finances publiques. “Cette idée a pénétré l’opinion”, s’est d’ailleurs félicité M. Bayrou samedi en marge d’un déplacement à Brest.”Beaucoup de citoyens français disent: oui au fond, que nous soyons pour une fois associés à ces décisions, c’est une chose qui nous intéresse et qui est très importante. Alors le monde politique est un peu moins enthousiaste, on comprend assez bien pourquoi:  parce que l’intervention directe des citoyens change le rapport de force et le débat”, a encore observé le Premier ministre.Le président Emmanuel Macron avait également dans ses voeux pour 2025 proposé d’organiser plusieurs scrutins de ce type. Il pourrait se montrer plus précis sur la question lors d’une émission spéciale mardi soir sur TF1.Cinquante-neuf pour cent des personnes  interrogées citent la dépense, la dette, les impôts, parmi les sujets sur lesquels ils souhaitent se prononcer. Suivent ex-aequo les retraites et l’immigration (52%). Ils sont 43% à demander à être interrogés sur la fin de vie, 22% sur la réduction du nombre d’échelons territoriaux et 19% sur la proportionnelle.Dans le bas du tableau, on trouve les rythmes scolaires et l’usage des écrans .et réseaux sociaux pour les enfants (16%).Sondage réalisé par internet les 6 et 7 mai sur un échantillon de 1.000 personnes représentatives de la population de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,1 points.