China vows to defend ‘justice’ in looming trade talks with US

China vowed Wednesday to defend “justice” in upcoming trade talks with the United States — their first since Donald Trump unveiled sweeping tariffs that shook global markets.Since the US president returned to the White House in January, his administration has imposed tariffs totalling 145 percent on goods from China, with some sector-specific measures stacked on top.Beijing has retaliated with 125 percent levies on imports from the United States, along with more targeted measures.Treasury Secretary Scott Bessent and US Trade Representative (USTR) Jamieson Greer will attend the talks in Switzerland on behalf of the United States, their offices said.Bessent told Fox News that the sides would hold meetings on Saturday and Sunday intended to lay the groundwork for future negotiations.”We will agree what we’re going to talk about. My sense is that this will be about de-escalation, not about the big trade deal,” Bessent told “The Ingraham Angle” show.”We’ve got to de-escalate before we can move forward,” he added.The talks will take place in Geneva, a spokesperson for the Swiss foreign ministry confirmed to AFP. Bern “welcomes the trust placed in Switzerland”, they added.Vice Premier He Lifeng will attend on Beijing’s behalf, China’s foreign ministry announced.The commerce ministry in Beijing vowed the country would “defend justice” and stand by its principles during the talks.”If the US wants to resolve the issue through negotiations, it must face up to the serious negative impact of unilateral tariff measures on itself and the world,” a spokesperson said.”If the US talks in one way and acts in another, or even attempts to continue to coerce and blackmail China under the guise of talks, China will never agree.”Beijing, the spokesperson vowed, would not “sacrifice its principled position and international fairness and justice to seek any agreement”.China’s foreign ministry also said the talks were taking place at the “request of the United States” and that its position that Washington must lift tariffs was “unchanged”.”But any dialogue must be based on equality, respect and mutual benefit. No form of pressure or coercion will not work on China,” spokesman Lin Jian told a regular briefing.The USTR announced that Greer would also meet “his counterpart from the People’s Republic of China to discuss trade matters”, without naming He. The tit-for-tat tariffs have left the two nations with cripplingly high levies that have shocked financial markets and reportedly caused a sharp slowdown in bilateral trade.”This isn’t sustainable, as I have said before, especially on the Chinese side, 145 percent, 125 percent is the equivalent of an embargo. We don’t want to decouple. What we want is fair trade,” Bessent said.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Réchauffement climatique et tourisme, duo explosif pour la cote albanaise

De Velipoja, où les assauts des vagues réduisent comme peau de chagrin une forêt de pins centenaires, à Golem, où la bétonisation accélère l’érosion, la côte albanaise subit à la fois le réchauffement climatique et une urbanisation chaotique.Conséquence du changement climatique, l’élévation du niveau de la mer touche la planète entière – entre 1993 à 2023, le niveau moyen des mers sur Terre s’est élevé de 10cm, selon la Nasa.En Albanie, où le tourisme a explosé – passant de 5,9 millions de visiteurs en 2018 à plus de 10 millions en 2023, la multiplication des hôtels, des restaurants et des bars de plages pèse aussi sur la nature. “Sur 273 kilomètres de côtes baignées par la mer Adriatique, 154 km sont touchés par l’érosion”, résume Besjana Shehu, spécialiste de la planification urbaine.- Mort d’une île -A Velipoja, tout au nord du pays, la mer avance de plus de cinq mètres chaque année, et s’enfonce de plus de 200m à l’intérieur de la forêt, menaçant tout un écosystème qui ne saurait vivre dans l’eau salée.Sur la côte, les pins résistent mal à l’agressivité des flots : des dizaines de troncs d’arbres échoués gisent sur le sable, certains posés là par les tempêtes violentes des derniers jours d’avril.Et si dans les guides touristiques et sur les cartes, figure toujours l’île François-Joseph, à l’embouchure du fleuve Buna, elle est invisible depuis 2012: elle a été avalée par la mer.Baptisée ainsi par les cartographes autrichiens en 1870 en hommage à l’ancien empereur François-Joseph Ier, l’île a été créée par des dépôts alluviaux fertiles.A 150 mètres de la côte, ses 19.5 hectares étaient couverts de forêts et de végétation sauvage. “Un paradis pour de nombreuses espèces d’oiseaux marins, un havre de paix pour nous aussi… totalement disparu”, regrette Lule Coli, gérante d’un petit bar de plage, d’une voix étouffée.L’île a disparu peu à peu, victime de la montée des eaux et de l’érosion. Mais la construction de barrages et des centrales hydrauliques dans la région ont été de véritables pièges à sédiments qui ont précipité sa mort, souligne Ervis Krymi,professeur de géographie.Quelques kilomètres plus au sud, à Kune, les habitants s’inquiètent aussi. Année après année, les tempêtes marines se multiplient, et le rivage ressemble désormais à un cimetière d’arbres.”Résultat des changements climatiques de ces dernières années, la mer est devenue très agressive, elle avance vers la terre à un rythme effréné”, alerte Jak Gjini, expert de l’environnement à Lezha.- Inondation -Engloutis par les flots, les bunkers construits le long de la côte par la dictature communiste albanaise dans les années 1970 ont disparu. Emportant avec eux les petits bars de bord de mer tenus par des familles du coin. La force de la mer était telle que même les sacs remplis de sable n’ont servi à rien.”Là, avant, il y avait deux bunkers. Aujourd’hui ils sont sous l’eau. La mer s’approche et va tout nous prendre… dans 4 ou 5 ans il ne restera plus rien ici”, lance d’une voix tremblante Vera Faslliaj qui gère un petit restaurant appelé “Poséidon” dans l’espoir que le Dieu grec de la mer le protège.Les autorités albanaises affirment que la hausse du niveau de la mer pose de sévères risques d’inondation à la plupart des zones urbaines du pays.”Au total, d’ici 2030, environ 1.082,45 km2, soit 32% de la superficie des habitats côtiers, subiront des conséquences directes d’inondation”, estime l’Agence des émergences civiles.A Golem, à 49 km au sud-ouest de Tirana, les maîtres d’hôtel s’inquiètent de l’indifférence des autorités à trouver des solutions et à interdire l’urbanisation sauvage de la côte.”La mer ne peut pas attendre que les autorités se réveillent”, s’indigne Edvin Dule, administrateur d’un hôtel. La plage a perdu environ 70 mètres de côte ces 16 dernières années – les hôtels qui y poussent comme des champignons ont aggravé davantage l’érosion – et rétrécit les plages dont ils dépendent pour attirer les touristes.”C’est un phénomène très inquiétant qui a des impacts directs sur l’économie et le tourisme : si nous ne pouvons pas offrir des conditions, des parasols, des chaises longues, des activités sur le sable… on réduit la qualité de notre offre, ce qui se traduit ensuite en chiffre”, estime M. Dule.

Indonésie: l’IA essentielle à l’innovation dans la santé et l’éducation, dit Bill Gates

Le cofondateur de Microsoft, Bill Gates, a estimé mercredi que l’intelligence artificielle jouerait un rôle clé dans le développement de nouveaux outils pour la santé, l’éducation et l’agriculture, lors d’une rencontre avec le président indonésien.”L’IA (intelligence artificielle) va nous aider à découvrir de nouveaux outils. Et même dans la fourniture de conseils en matière de santé, d’éducation et d’agriculture, nous utiliserons l’IA”, a déclaré M. Gates à Jakarta où il a été reçu par le président Prabowo Subianto. Forte d’une population de 280 millions d’habitants, l’Indonésie est la première économie d’Asie du Sud-Est dans une région qui connaît une demande croissante de centres de données et de technologies d’IA.”Une fois la polio éradiquée, nous aimerions également éradiquer la rougeole et le paludisme. Nous disposons de nouveaux outils pour cela. Et bien sûr, mon optimisme quant à cette innovation vient en partie du fait que nous disposons désormais de l’intelligence artificielle”, a ajouté M. Gates.Les agences des Nations unies mènent campagne depuis quatre décennies pour venir à bout de la poliomyélite.Généralement transmis par les eaux usées et l’eau contaminée, le poliovirus est hautement infectieux. Il peut provoquer des déformations et des paralysies, et est potentiellement mortel, affectant principalement les enfants de moins de cinq ans.Milliardaire et philantrope, le confondateur du géant Microsoft a fait don de plus de 159 millions de dollars (140 millions d’euros) à l’Indonésie depuis 2009, principalement en faveur du secteur de la santé, notamment pour financer des vaccins, a déclaré M. Prabowo.Après s’être entretenu avec le président indonésien, M. Gates a visité à ses côtés une école primaire à Jakarta où les élèves bénéficient de repas gratuits dans le cadre d’un vaste programme lancé par Prabowo.Ce dernier a également annoncé son intention de décerner à M. Gates la plus haute distinction civile d’Indonésie pour sa “contribution au peuple indonésien et au monde”.L’année dernière, le directeur général de Microsoft, Satya Nadella, a promis un investissement de 1,7 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros) dans l’IA et le cloud pour aider à développer l’infrastructure d’IA en Indonésie.

Échange de frappes de drones entre Kiev et Moscou avant les commémorations

Des attaques de drones entre la Russie et l’Ukraine ont tué deux personnes à Kiev dans la nuit de mardi et mercredi, quelques heures avant l’arrivée de dirigeants étrangers pour les célébrations de la victoire sur l’Allemagne nazie.Le président russe Vladimir Poutine a annoncé le 28 avril une trêve unilatérale de trois jours, du 8 au 10 mai, à l’occasion de cette commémoration, à laquelle doivent participer près d’une trentaine de dirigeants étrangers, dont son allié le président chinois Xi Jinping.Cette proposition de cessez-le-feu, qui doit débuter mercredi à 21H00 GMT, a été vivement critiquée par Kiev. Le président Volodymyr Zelensky a dénoncé une “tentative de manipulation” et affirmé qu’il ne “croyait pas” que la Russie respecterait la trêve.Après ces nouvelles frappes meurtrière sur Kiev, M. Zelensky a réclamé “une pression considérablement accrue et des sanctions plus sévères” contre Moscou, estimant qu’il s’agissait du seul moyen pour “ouvrir la voie à la diplomatie”.Après plus de trois ans d’une invasion russe qui a entraîné la mort de dizaines de milliers de civils et de militaires, Kiev appelle à un cessez-le-feu “inconditionnel” de 30 jours avant des négociations avec la Russie — une proposition soutenue par le président américain Donald Trump, mais qui a été précédemment rejetée par Vladimir Poutine.Moscou, qui estime que Kiev utiliserait une pause de ce type pour se réarmer, veut au contraire des engagements concrets sur ses demandes maximalistes avant de s’engager à une fin globale des hostilités.Le Kremlin a averti que l’armée russe répondrait “immédiatement” en cas d’attaque ukrainienne pendant le cessez-le-feu unilatéral.- Mère et fils tués -Quelques heures avant le début du cessez-le-feu, l’armée russe a déclenché une série de frappes à travers l’Ukraine, qui a elle-même lancé des attaques de drones.L’armée russe a lancé dans la nuit quatre missiles balistiques et 142 drones sur l’Ukraine, a indiqué M. Zelensky mercredi.A Kiev, deux personnes — une mère et son fils — ont été tuées et sept autres blessées, dont quatre enfants, a-t-il poursuivi. La capitale ukrainienne a été touchée deux fois : d’abord par des missiles, puis par des drones, selon M. Zelensky.Des débris de drone ont chuté sur un immeuble de cinq étages du district de Chevtchenkivsky, dans l’ouest de la capitale, provoquant un incendie mortel, a expliqué le maire de Kiev, Vitali Klitschko, sur Telegram.Les journalistes de l’AFP dans la capitale ukrainienne ont entendu de fortes explosions au-dessus de la ville vers 01H00 du matin (22H00 GMT).Selon M. Zelensky, les régions de Zaporijjia, Donetsk, Jitomir, Kherson et Dnipro ont également été visées pendant la nuit. La ville de Zaporijjia (sud) a été attaquée par 13 drones, selon la police, qui a fait état de quatre blessés.- Sites militaires visés en Russie -De son côté, l’Ukraine a poursuivi ses attaques de drones en Russie, entraînant dans les premières heures de mercredi “des restrictions temporaires” et des détournements de vols se dirigeant vers l’aéroport international de Chérémétiévo, à Moscou, selon la compagnie nationale russe Aeroflot.A ce stade, 52 vols d’Aeroflot au départ de Moscou ont été annulés et plus de 140 retardés, selon la compagnie.D’après le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, quatorze drones ukrainiens se dirigeant vers la capitale ont été abattus par la défense antiaérienne dans la nuit de mardi à mercredi. Plus tôt, le ministère de la Défense russe avait rapporté avoir abattu mardi soir des dizaines de drones ukrainiens.La veille, les activités de plusieurs autres aéroports russes avaient déjà dû être suspendues à cause d’attaques ukrainiennes.Moscou suspend régulièrement le trafic aérien dans les zones où ses systèmes de défense aérienne sont opérationnels, mais l’ampleur des fermetures forcées a considérablement augmenté à l’approche, vendredi, du grand défilé militaire du 9 mai en présence de Vladimir Poutine.Dans la rues de la capitale, des journalistes de l’AFP ont vu mercredi matin une importante présence policière et constaté des brouillages de l’internet mobile.M. Zelensky avait indiqué que Kiev ne pourrait garantir “la sécurité” des dirigeants présents aux cérémonies.L’Ukraine, via Andriï Kovalenko, un responsable ukrainien chargé de lutter contre la désinformation, a par ailleurs revendiqué mercredi des attaques contre des cibles militaires en Russie : trois entreprises militaires, dont une usine de fabrication de fibre optique pour l’armée située à Saransk, et deux bases aériennes. 

Échange de frappes de drones entre Kiev et Moscou avant les commémorations

Des attaques de drones entre la Russie et l’Ukraine ont tué deux personnes à Kiev dans la nuit de mardi et mercredi, quelques heures avant l’arrivée de dirigeants étrangers pour les célébrations de la victoire sur l’Allemagne nazie.Le président russe Vladimir Poutine a annoncé le 28 avril une trêve unilatérale de trois jours, du 8 au 10 mai, à l’occasion de cette commémoration, à laquelle doivent participer près d’une trentaine de dirigeants étrangers, dont son allié le président chinois Xi Jinping.Cette proposition de cessez-le-feu, qui doit débuter mercredi à 21H00 GMT, a été vivement critiquée par Kiev. Le président Volodymyr Zelensky a dénoncé une “tentative de manipulation” et affirmé qu’il ne “croyait pas” que la Russie respecterait la trêve.Après ces nouvelles frappes meurtrière sur Kiev, M. Zelensky a réclamé “une pression considérablement accrue et des sanctions plus sévères” contre Moscou, estimant qu’il s’agissait du seul moyen pour “ouvrir la voie à la diplomatie”.Après plus de trois ans d’une invasion russe qui a entraîné la mort de dizaines de milliers de civils et de militaires, Kiev appelle à un cessez-le-feu “inconditionnel” de 30 jours avant des négociations avec la Russie — une proposition soutenue par le président américain Donald Trump, mais qui a été précédemment rejetée par Vladimir Poutine.Moscou, qui estime que Kiev utiliserait une pause de ce type pour se réarmer, veut au contraire des engagements concrets sur ses demandes maximalistes avant de s’engager à une fin globale des hostilités.Le Kremlin a averti que l’armée russe répondrait “immédiatement” en cas d’attaque ukrainienne pendant le cessez-le-feu unilatéral.- Mère et fils tués -Quelques heures avant le début du cessez-le-feu, l’armée russe a déclenché une série de frappes à travers l’Ukraine, qui a elle-même lancé des attaques de drones.L’armée russe a lancé dans la nuit quatre missiles balistiques et 142 drones sur l’Ukraine, a indiqué M. Zelensky mercredi.A Kiev, deux personnes — une mère et son fils — ont été tuées et sept autres blessées, dont quatre enfants, a-t-il poursuivi. La capitale ukrainienne a été touchée deux fois : d’abord par des missiles, puis par des drones, selon M. Zelensky.Des débris de drone ont chuté sur un immeuble de cinq étages du district de Chevtchenkivsky, dans l’ouest de la capitale, provoquant un incendie mortel, a expliqué le maire de Kiev, Vitali Klitschko, sur Telegram.Les journalistes de l’AFP dans la capitale ukrainienne ont entendu de fortes explosions au-dessus de la ville vers 01H00 du matin (22H00 GMT).Selon M. Zelensky, les régions de Zaporijjia, Donetsk, Jitomir, Kherson et Dnipro ont également été visées pendant la nuit. La ville de Zaporijjia (sud) a été attaquée par 13 drones, selon la police, qui a fait état de quatre blessés.- Sites militaires visés en Russie -De son côté, l’Ukraine a poursuivi ses attaques de drones en Russie, entraînant dans les premières heures de mercredi “des restrictions temporaires” et des détournements de vols se dirigeant vers l’aéroport international de Chérémétiévo, à Moscou, selon la compagnie nationale russe Aeroflot.A ce stade, 52 vols d’Aeroflot au départ de Moscou ont été annulés et plus de 140 retardés, selon la compagnie.D’après le maire de Moscou, Sergueï Sobianine, quatorze drones ukrainiens se dirigeant vers la capitale ont été abattus par la défense antiaérienne dans la nuit de mardi à mercredi. Plus tôt, le ministère de la Défense russe avait rapporté avoir abattu mardi soir des dizaines de drones ukrainiens.La veille, les activités de plusieurs autres aéroports russes avaient déjà dû être suspendues à cause d’attaques ukrainiennes.Moscou suspend régulièrement le trafic aérien dans les zones où ses systèmes de défense aérienne sont opérationnels, mais l’ampleur des fermetures forcées a considérablement augmenté à l’approche, vendredi, du grand défilé militaire du 9 mai en présence de Vladimir Poutine.Dans la rues de la capitale, des journalistes de l’AFP ont vu mercredi matin une importante présence policière et constaté des brouillages de l’internet mobile.M. Zelensky avait indiqué que Kiev ne pourrait garantir “la sécurité” des dirigeants présents aux cérémonies.L’Ukraine, via Andriï Kovalenko, un responsable ukrainien chargé de lutter contre la désinformation, a par ailleurs revendiqué mercredi des attaques contre des cibles militaires en Russie : trois entreprises militaires, dont une usine de fabrication de fibre optique pour l’armée située à Saransk, et deux bases aériennes. 

Pant under pressure as record IPL buy fails to justify price tag

Pressure is mounting on record Indian Premier League signing Rishabh Pant with Lucknow Super Giants badly needing their captain to find his brilliant best with the bat if they are to have any chance of making the playoffs.Wicketkeeper-batsman Pant has flopped since Lucknow splashed $3.21 million on him at the November auction, scoring just 128 runs from 10 innings this IPL season.Despite Pant’s reputation as a swashbuckling left-hander who can destroy opposition bowling, the 27-year-old has only made one score of note, 63 against Chennai Super Kings on April 14.His usually infectious free spirit has deserted him as the runs dried up and he was out again cheaply on Sunday, making just 18 as Lucknow lost by 37 runs to Punjab Kings.”Watching him, you always feel that he enjoys his cricket. We haven’t seen that this time around. Haven’t seen him smiling, laughing, being jovial, being relaxed,” the Australian former wicketkeeper-batsman Adam Gilchrist said on website Cricbuzz.com.”Maybe it is the responsibility of the captaincy, coming into a new franchise with that highest price tag over his head. “Just don’t see that spark in him. Something is missing,” he added.Another defeat on Friday for Pant and Lucknow against Royal Challengers Bengaluru would almost certainly end their chances of finishing in the top four and reaching the playoffs.- Bidding war -Even if they were to win all three of their remaining matches, Lucknow would still need other results to go their way to finish in the top four.Pant has drawn comparisons with his hero Mahendra Singh Dhoni and former India opener Virender Sehwag said Pant could reach out to India’s World Cup-winning captain for inspiration and advice.”I think Rishabh Pant should go back and watch his old IPL videos. That will remind him how he used to build his innings, how he used to play his shots. Sometimes you forget your old routines,” said Sehwag. “He idolises Dhoni — maybe he should call him and talk.”Pant returned to the IPL last year as captain of Delhi Capitals after almost losing his life in a car crash in December 2022.He came back with a bang, amassing 446 runs at an average of 40.55 but Delhi did not make the playoffs and the two parted ways.Back on the market, Pant was subject of a fierce bidding war before Lucknow got their man, breaking the previous record of $2.98 million paid for Mitchell Starc in 2023.Super Giants coach Justin Langer called Pant a “character that can lift a team”.Pant was part of India’s T20 World Cup-winning side in 2024 but lost his place as first-choice wicketkeeper in the 50-over Champions Trophy earlier this year.Former Australia white-ball captain Aaron Finch suggested that the burden of juggling three roles — captain, batsman and wicketkeeper — could be why Pant’s batting has suffered.”It’s probably very tough to lead a team while also keeping wickets,” Finch said on JioHotstar.”You only get a few seconds to talk to your bowlers, maybe 10 to 15 seconds between overs, especially with the over-rate clock running.”

Hamas says commander killed in Israel Lebanon strike

Hamas said one of its commanders was killed in an Israeli strike on the south Lebanon city of Sidon on Wednesday, the latest attack despite a ceasefire between Israel and Hezbollah.Lebanon’s state-run National News Agency said the dawn strike killed one person.Hamas named him as Khaled Ahmed al-Ahmed and said he was on his way to pray.”As we mourn our heroic martyr, we pledge to God Almighty, and then to our people and our nation, to continue on the path of resistance,” the Palestinian militant group said in a statement.The Israeli military confirmed that it killed Ahmed, adding that he was “the head of operations in Hamas’s Western Brigade in Lebanon”.It alleged he had been engaged in weapons smuggling and advancing “numerous” attacks against Israel.Israel has continued to launch regular strikes in Lebanon despite the November 27 truce which sought to halt more than a year of hostilities with Hezbollah including two months of full-blown war.Under the deal, Hezbollah was to pull back its fighters north of Lebanon’s Litani River, some 30 kilometres (20 miles) from the Israeli border, and dismantle any remaining military infrastructure to its south.Israel was to withdraw all its forces from Lebanon, but it has kept troops in five positions that it deems “strategic”.A Lebanese security source told AFP that Hezbollah had withdrawn fighters from south of the Litani and dismantled most of its military infrastructure in the area.Lebanon says it has respected its commitments and has called on the international community to pressure Israel to end its attacks and withdraw from the five border positions.Last week, Lebanon’s top security body the Higher Defence Council warned Hamas against using the country for attacks on Israel.The group has since handed over several Palestinians accused of firing rockets from Lebanon into Israel in March.

La Bourse de Paris en timide baisse avant la Fed, l’attention sur les négociations commerciales

La Bourse de Paris évolue en petite baisse mercredi, patientant avant la décision de la banque centrale américaine attendue plus tard dans la journée, sur fond d’avancées potentielles dans les négociations commerciales entre la Chine et les Etats-Unis.Vers 10H00 heure de Paris, l’indice vedette de la place parisienne, le CAC 40, cédait 0,50%, soit une perte de 38,35 points, pour s’établir à 7.658,57 points. La veille, il avait reculé de 0,40% pour s’établir à 7.696,92 points.La banque centrale des Etats-Unis devrait une nouvelle fois laisser ses taux d’intérêt inchangés mercredi, le temps de voir comment la première économie mondiale encaisse l’offensive protectionniste de Donald Trump, et malgré les pressions du président américain pour que l’institution baisse ses taux.”Aucun changement n’est attendu, mais la conférence de presse de Jerome Powell qui suivra pourrait s’avérer décisive”, commente Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.Son intervention sera même “plus importante que la décision elle-même”, souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote.”Il lui faudra employer une rhétorique habile pour réaffirmer l’engagement de la Fed à combattre l’inflation, indépendamment des appels à des baisses de taux”, affirme Mme Brooks.Par ailleurs, sur le front de la guerre commerciale, “l’annonce de négociations commerciales entre la Chine et les États-Unis ravive l’espoir d’un apaisement des tensions entre les deux plus grandes économies du monde”, souligne Patrick Munnelly, analyste chez Tickmill Group.La Chine a toutefois déclaré mercredi que les négociations sur les droits de douane qui se tiendront en Suisse le week-end prochain ont été organisées “à la demande des Etats-Unis”, soulignant que sa position à l’égard des surtaxes américaines “reste inchangée”.Joli ScorLe réassureur Scor a annoncé mercredi une légère hausse de 1,7% à 200 millions d’euros de son bénéfice net au premier trimestre, confirmant son redressement après avoir connu un trou d’air courant 2024. Les marchés ont salué ce redressement. Vers 10H00 à la Bourse de Paris, l’action Scor prenait 5,11% à 27,96 euros.Grand LegrandLe spécialiste français des équipements électriques Legrand poursuit son accélération dans les centres de données, au coeur de sa stratégie de croissance et affiche une hausse de 12,3% de son chiffre d’affaires au premier trimestre. Le groupe a également confirmé ses objectifs annuels en dépit du contexte macroéconomique mondial autour des droits de douane et ces résultats ont été salués à la Bourse de Paris. L’action Legrand progressait de 2,20% à 100,30 euros vers 10H00.