Les inondations en Indonésie, Thaïlande et Sri Lanka dépassent les 900 morts

Le bilan des inondations catastrophiques qui ont frappé ces derniers jours de vastes territoires d’Indonésie, de Thaïlande, de Malaisie et du Sri Lanka s’est encore alourdi dimanche, avec un total d’au moins 940 morts et plusieurs centaines de disparus. Les autorités de ces pays asiatiques s’activaient pour dégager les routes et les débris et tenter de …

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A Evry, Farida Amrani en campagne pour offrir à LFI sa première ville-préfecture

La députée LFI Farida Amrani s’est lancée dimanche dans la course à la mairie d’Evry-Courcouronnes (Essonne), qui deviendrait en cas de victoire la première ville-préfecture conquise par la France insoumise.Ville de 70.000 habitants située à une heure de Paris, Evry-Courcouronnes est dirigée depuis 2019 par l’ex-LR désormais sans étiquette Stéphane Beaudet, pressenti par plusieurs figures politiques locales pour se représenter. Soutenue par le Nouveau front populaire, Farida Amrani l’avait battu au second tour des législatives en 2024, avec 56,33% des voix à Evry.A quatre mois des municipales, la députée LFI a donné dimanche le coup d’envoi de sa campagne lors d’un meeting dans le quartier des Aunettes à Evry, où elle a grandi et vit toujours. “Cette ville coule dans mes veines depuis plus de trente ans”, a déclaré Farida Amrani devant une centaine de sympathisants. “Devenir la maire de cette ville serait pour moi la plus belle des missions (…) Les bus ne passent plus, le sentiment d’insécurité grandit, le béton a remplacé les espaces verts sous l’influence de promoteurs”, a-t-elle égrené.Ville populaire, métissée et jeune (près d’un quart de la population a moins de 30 ans), Evry-Courcouronnes est “l’une des chances les plus sérieuses de gagner une préfecture pour La France insoumise”, estime le coordinateur national de LFI Manuel Bompard, qui faisait partie des quelques députés Insoumis présents dimanche au meeting.”Je suis vraiment inquiet pour Evry”, a abondé un élu LR francilien auprès de l’AFP, sous couvert d’anonymat.Outre la députée LFI, un autre candidat est officiellement en lice: Julien Monier, 41 ans, dont la liste Agissons citoyens est soutenue par Europe écologie les Verts. Côté socialistes, il n’y aura pas de liste: ils disent avoir entamé des discussions avec les deux candidats mais n’avoir pas encore choisi lequel soutenir. “Nous regrettons qu’il n’y ait pas de liste unitaire permettant de proposer une alternative de gauche puissante”, déplore Nastassja Naguszewski, responsable du PS en Essonne.   – Victoire symbolique -A l’échelle nationale, LFI dispose d’une faible implantation locale: elle ne compte que deux maires dans des communes de plus de 5.000 habitants et ne dirige aucune ville-préfecture.Gagner la ville d’Evry-Courcouronnes serait par ailleurs une victoire symbolique pour les Insoumis, qui entretiennent une relation particulière avec l’Essonne. Le premier siège social du mouvement était à Massy, ville dont Jean-Luc Mélenchon fut adjoint au maire dans les années 1980 avant de devenir conseiller général de l’Essonne pendant 13 ans puis sénateur de ce même département pendant 19 ans. Les Insoumis sont également le parti qui compte le plus de députés en Essonne, avec quatre députés sur un total de dix circonscriptions. L’ancrage des mélenchonistes dans le département est “un facteur plutôt favorable” à LFI en vue des municipales, estime le politologue Olivier Rouquan, chercheur associé au Cersa (université Panthéon-Assas).  Il relève toutefois qu’une victoire des Insoumis “dépendra fortement de la mobilisation électorale”. “Les municipales sont des élections qui restent marquées par une forte participation, mais on observe une progression de l’abstention. Cela demeure un vrai point d’incertitude pour les municipales à venir, surtout dans des zones très urbanisées comme Evry”, souligne-t-il.Outre le chef-lieu de l’Essonne, la direction du mouvement a par ailleurs identifié Roubaix (Nord) ou encore La Courneuve (Seine-Saint-Denis) comme communes où la victoire serait un objectif crédible.- Figure locale -A 49 ans, Farida Amrani pourrait être le visage de cette victoire des Insoumis à Evry.Conseillère municipale depuis 2014, elle s’est engagée localement dès 2013 en s’opposant à la réforme des rythmes scolaires, puis pleinement en politique en se présentant aux municipales d’Evry comme tête de liste du Front de gauche.Candidate aux législatives dans le département en 2017 puis en 2018, elle a été battue à chaque fois au second tour: d’abord par l’ex-Premier ministre Manuel Valls, puis par l’ancien maire d’Evry Francis Chouat. Avant d’être finalement élue en 2022, avec le soutien  de l’alliance de gauche de l’époque, la Nupes.Pour les municipales à venir, son premier visuel de campagne la présente avec le slogan “Votre future maire du quotidien”: le pouvoir d’achat, les transports, la dégradation des logements ou la paupérisation de la ville feront partie des thèmes abordés pendant sa campagne.”C’est un moment important pour cette ville. Pour nos quartiers. Pour créer un avenir ensemble. Farida est une femme qui nous ressemble et qui nous rassemble”, a insisté Assa Traoré, figure du combat contre les violences policières, présente au meeting ce dimanche.

A Evry, Farida Amrani en campagne pour offrir à LFI sa première ville-préfecture

La députée LFI Farida Amrani s’est lancée dimanche dans la course à la mairie d’Evry-Courcouronnes (Essonne), qui deviendrait en cas de victoire la première ville-préfecture conquise par la France insoumise.Ville de 70.000 habitants située à une heure de Paris, Evry-Courcouronnes est dirigée depuis 2019 par l’ex-LR désormais sans étiquette Stéphane Beaudet, pressenti par plusieurs figures politiques locales pour se représenter. Soutenue par le Nouveau front populaire, Farida Amrani l’avait battu au second tour des législatives en 2024, avec 56,33% des voix à Evry.A quatre mois des municipales, la députée LFI a donné dimanche le coup d’envoi de sa campagne lors d’un meeting dans le quartier des Aunettes à Evry, où elle a grandi et vit toujours. “Cette ville coule dans mes veines depuis plus de trente ans”, a déclaré Farida Amrani devant une centaine de sympathisants. “Devenir la maire de cette ville serait pour moi la plus belle des missions (…) Les bus ne passent plus, le sentiment d’insécurité grandit, le béton a remplacé les espaces verts sous l’influence de promoteurs”, a-t-elle égrené.Ville populaire, métissée et jeune (près d’un quart de la population a moins de 30 ans), Evry-Courcouronnes est “l’une des chances les plus sérieuses de gagner une préfecture pour La France insoumise”, estime le coordinateur national de LFI Manuel Bompard, qui faisait partie des quelques députés Insoumis présents dimanche au meeting.”Je suis vraiment inquiet pour Evry”, a abondé un élu LR francilien auprès de l’AFP, sous couvert d’anonymat.Outre la députée LFI, un autre candidat est officiellement en lice: Julien Monier, 41 ans, dont la liste Agissons citoyens est soutenue par Europe écologie les Verts. Côté socialistes, il n’y aura pas de liste: ils disent avoir entamé des discussions avec les deux candidats mais n’avoir pas encore choisi lequel soutenir. “Nous regrettons qu’il n’y ait pas de liste unitaire permettant de proposer une alternative de gauche puissante”, déplore Nastassja Naguszewski, responsable du PS en Essonne.   – Victoire symbolique -A l’échelle nationale, LFI dispose d’une faible implantation locale: elle ne compte que deux maires dans des communes de plus de 5.000 habitants et ne dirige aucune ville-préfecture.Gagner la ville d’Evry-Courcouronnes serait par ailleurs une victoire symbolique pour les Insoumis, qui entretiennent une relation particulière avec l’Essonne. Le premier siège social du mouvement était à Massy, ville dont Jean-Luc Mélenchon fut adjoint au maire dans les années 1980 avant de devenir conseiller général de l’Essonne pendant 13 ans puis sénateur de ce même département pendant 19 ans. Les Insoumis sont également le parti qui compte le plus de députés en Essonne, avec quatre députés sur un total de dix circonscriptions. L’ancrage des mélenchonistes dans le département est “un facteur plutôt favorable” à LFI en vue des municipales, estime le politologue Olivier Rouquan, chercheur associé au Cersa (université Panthéon-Assas).  Il relève toutefois qu’une victoire des Insoumis “dépendra fortement de la mobilisation électorale”. “Les municipales sont des élections qui restent marquées par une forte participation, mais on observe une progression de l’abstention. Cela demeure un vrai point d’incertitude pour les municipales à venir, surtout dans des zones très urbanisées comme Evry”, souligne-t-il.Outre le chef-lieu de l’Essonne, la direction du mouvement a par ailleurs identifié Roubaix (Nord) ou encore La Courneuve (Seine-Saint-Denis) comme communes où la victoire serait un objectif crédible.- Figure locale -A 49 ans, Farida Amrani pourrait être le visage de cette victoire des Insoumis à Evry.Conseillère municipale depuis 2014, elle s’est engagée localement dès 2013 en s’opposant à la réforme des rythmes scolaires, puis pleinement en politique en se présentant aux municipales d’Evry comme tête de liste du Front de gauche.Candidate aux législatives dans le département en 2017 puis en 2018, elle a été battue à chaque fois au second tour: d’abord par l’ex-Premier ministre Manuel Valls, puis par l’ancien maire d’Evry Francis Chouat. Avant d’être finalement élue en 2022, avec le soutien  de l’alliance de gauche de l’époque, la Nupes.Pour les municipales à venir, son premier visuel de campagne la présente avec le slogan “Votre future maire du quotidien”: le pouvoir d’achat, les transports, la dégradation des logements ou la paupérisation de la ville feront partie des thèmes abordés pendant sa campagne.”C’est un moment important pour cette ville. Pour nos quartiers. Pour créer un avenir ensemble. Farida est une femme qui nous ressemble et qui nous rassemble”, a insisté Assa Traoré, figure du combat contre les violences policières, présente au meeting ce dimanche.

Féminicide en Isère: une marche blanche en hommage à Zaia

Un millier de personnes ont marché dimanche dans le plus grand silence dans les rues de Crémieu, dans le nord de l’Isère, en hommage à Zaia Binet, tuée le 19 novembre, a constaté un journaliste de l’AFP.”C’est encore plus difficile de faire un deuil quand on sait que c’est ça” (un féminicide), a déclaré à l’AFP Amandine Rosset, amie de Zaia, défilant derrière une banderole géante évoquant “la lumière” qu’irradiait la jeune femme.Le corps de la femme âgée de 27 ans avait été découvert calciné, le 19 novembre, dans une voiture en feu, à Saint-Marcel-Bel-Accueil, au sud-est de Lyon.La jeune femme travaillait comme aide soignante dans un Ephad. Son compagnon a été mis en examen et a partiellement reconnu les faits.”On se rend compte, on se dit toujours que ça n’arrive qu’aux autres. Et puis là, quand ça nous touche personnellement, on a vraiment tous envie d’être unis pour cette cause”, ajoute Amandine Rosset.”Ce genre de décès dépasse l’entendement. Donc oui, un phénomène de colère. Oui, la volonté que justice soit faite. Et puis au-delà de ça, on sait que le nombre de violences faites aux femmes a considérablement augmenté depuis 2020. Et il est temps de prendre des mesures concrètes”, a déclaré Isabelle Flores, maire de Crémieu.”Merci d’avoir été présents à chacun. Merci beaucoup”, a lancé la mère de Zaia, Myriam Binet.

Présidentielle au Honduras : l’ombre de Trump sur un scrutin indécis

Les électeurs du Honduras sont appelés dimanche à choisir entre la continuité d’un gouvernement de gauche ou le retour de la droite, dont un candidat à la présidence est soutenu par Donald Trump, qui s’est immiscé dans le scrutin.Trois candidats sur les cinq en lice sont au coude-à-coude dans les sondages, rendant incertain le scrutin à un tour et l’acceptation des résultats en cas de score serré.Les bureaux de vote ont ouvert à 07H00 locales (13H00 GMT) et fermeront à 23H00 GMT. Le conseil national électoral prévoit de dévoiler des résultats préliminaires dans la soirée.Le parti Liberté et Refondation (Libre) de la gauche au pouvoir a déjà annoncé qu’il ne les reconnaîtrait pas, acceptant seulement le décompte total qui pourrait prendre des jours.Quelque 6,5 millions de Honduriens doivent élire le successeur de la présidente Xiomara Castro, ainsi que 128 députés et des centaines de maires pour les quatre prochaines années.”Je vote pour qui me plaît, pas pour ce que Trump a dit, car la vérité, c’est que je vis de mon travail, pas des politiciens”, a déclaré à l’AFP Esmeralda Rodríguez, 56 ans, qui vend des fruits sur un marché de Tegucigalpa.L’avocate Rixi Moncada, 60 ans, candidate de Libre, affronte deux candidats de droite : la star du petit écran Salvador Nasralla, 72 ans, du Parti libéral (PL), qui se présente pour la troisième fois, et l’entrepreneur Nasry Asfura, 67 ans, du Parti national (PN), qui a reçu le soutien inattendu de Donald Trump. – “Narco-communistes”-Non content de le qualifier de “seul vrai ami de la liberté”, le président américain a assuré qu’il “ne pourrait pas travailler” avec Rixi Moncada “et les communistes” et qu’il ne faisait “pas confiance” à Salvador Nasralla.”Tito (ndlr: Nasry Asfura) et moi pouvons travailler ensemble pour lutter contre les +narco-communistes+ et apporter au peuple du Honduras l’aide dont il a besoin”, a encore écrit M. Trump.M. Asfura, entrepreneur de BTP et ancien maire de Tegucigalpa, concourt sous la bannière du parti de l’ancien président Juan Orlando Hernández (2014-2022), qui purge aux Etats-Unis une peine de 45 ans de prison pour trafic de drogue.Donald Trump a annoncé vendredi qu’il allait accorder à ce dernier “une grâce totale et absolue”.Mme Moncada a dénoncé samedi l’ingérence de M. Trump: “Il n’y a aucun doute qu’il y a deux actions concrètes, à trois jours des élections, qui sont totalement interventionnistes.””Chacun répond pour ses actes”, a balayé M. Asfura, dont le nom a été cité dans des affaires de corruption et dans des dossiers d’évasion fiscale au Panama.”J’allais voter pour Tito Asfura, mais maintenant non, je ne veux pas qu’ils ruinent davantage le pays. Nous ne voulons pas de narcotrafiquants”, a indiqué à l’AFP Julio Sevilla, 74 ans, à son bureau de vote.- Fortes tensions politiques -Le président américain a adopté une posture résolument interventionniste en Amérique latine, n’hésitant pas à conditionner l’aide américaine à la bonne volonté des gouvernements et à ses affinités avec leurs dirigeants.Ainsi, il a assuré que “s’il (Asfura) ne remporte pas les élections, les Etats-Unis ne gaspilleront pas leur argent”.M. Asfura mène sa seconde campagne présidentielle après avoir échoué en 2021 face à Xiomara Castro. Il a également reçu le soutien du président argentin et allié de Trump, Javier Milei.Le scrutin se tient dans un contexte de fortes tensions politiques.Rixi Moncada reproche à ses rivaux de droite d’être les “marionnettes de l’oligarchie putschiste”. MM. Nasralla et Asfura, qui ont tous les deux des parents d’origine palestinienne, la qualifient de “communiste” alliée du Venezuela et de Cuba.La droite et la gauche s’accusent mutuellement de préparer une fraude, dans un pays dépourvu d’arbitre électoral indépendant, et même si l’Organisation des Etat américains (OEA) et l’UE ont dépêché des observateurs.- Pauvreté et violence -Les candidats ont à peine abordé les préoccupations des Honduriens, la pauvreté et la violence.Nasry Asfura a promis d’attirer des investissements, M. Nasralla de soutenir l’industrie et l’agriculture, et Mme Moncada de taxer les élites économiques.Près des deux tiers des 11 millions de Honduriens vivent dans la pauvreté, et 27% du PIB du pays est abondé par les envois de fonds des Honduriens vivant aux Etats-Unis, soit 10 milliards de dollars.Mais l’administration Trump a expulsé cette année environ 27.000 Honduriens et révoqué le statut de protection temporaire de 51.000 ressortissants.Érika Reyes, commerçante de 33 ans, espère pour sa part que le soutien de Trump à Asfura aidera les migrants : “Qu’il cesse de les poursuivre, leur donne du travail et leur ouvre les portes”.Le Honduras est l’un des pays les plus violents de la région, avec 26,8 homicides pour 100.000 habitants, malgré une baisse due à l’instauration d’un état d’urgence par la présidente Castro.La corruption et les liens avec le narcotrafic sont un autre défi de taille. Les trois partis favoris du scrutin ont été éclaboussés par des accusations. 

Afghan suspect in Washington shooting likely radicalized in US: security official

The Afghan suspect in the shooting of two National Guard members in Washington may have been radicalized after entering the US, Homeland Security Secretary Kristi Noem said when questioned about his motive on Sunday talk shows.Rahmanullah Lakanwal, 29, faces a first-degree murder charge in the November 26 shooting that left a 20-year-old guardsman dead and another critically wounded.”I will say we believe he was radicalized since he’s been here in this country,” Noem said on NBC’s “Meet the Press.” “We do believe it was through connections in his home community and state, and we’re going to continue to talk to those who interacted with him, who were his family members, who talk to them,” said Noem during a separate interview on ABC.Lakanwal entered the United States in 2021 as part of a massive airlift by then-president Joe Biden’s administration during the US military withdrawal and subsequent return to power of Taliban forces.A resident of the western US state of Washington, Lakanwal allegedly drove cross-country to carry out the shooting a few blocks from the White House — an attack that shocked Americans on the eve of the Thanksgiving holiday. Officials from President Donald Trump’s administration, which reportedly granted Lakanwal US asylum in April 2025, have blamed Biden’s administration for lax vetting during the Afghan airlift.Noem told ABC’s “This Week” that Lakanwal was “maybe vetted” after entering the United States but said it was “not done well.””Crooked Joe Biden, Mayorkas, and so-called ‘Border Czar’ Kamala Harris really screwed our Country by letting anyone and everyone come in totally unchecked and unvetted!” Trump said in a post on his Truth Social platform Sunday. Officials said that before coming to the United States, Lakanwal had served in a CIA-backed Afghan “partner force” unit fighting the Taliban. US government officials have since suspended visas for all Afghan nationals and frozen decisions in all asylum cases.

Afghan suspect in Washington shooting likely radicalized in US: security official

The Afghan suspect in the shooting of two National Guard members in Washington may have been radicalized after entering the US, Homeland Security Secretary Kristi Noem said when questioned about his motive on Sunday talk shows.Rahmanullah Lakanwal, 29, faces a first-degree murder charge in the November 26 shooting that left a 20-year-old guardsman dead and another critically wounded.”I will say we believe he was radicalized since he’s been here in this country,” Noem said on NBC’s “Meet the Press.” “We do believe it was through connections in his home community and state, and we’re going to continue to talk to those who interacted with him, who were his family members, who talk to them,” said Noem during a separate interview on ABC.Lakanwal entered the United States in 2021 as part of a massive airlift by then-president Joe Biden’s administration during the US military withdrawal and subsequent return to power of Taliban forces.A resident of the western US state of Washington, Lakanwal allegedly drove cross-country to carry out the shooting a few blocks from the White House — an attack that shocked Americans on the eve of the Thanksgiving holiday. Officials from President Donald Trump’s administration, which reportedly granted Lakanwal US asylum in April 2025, have blamed Biden’s administration for lax vetting during the Afghan airlift.Noem told ABC’s “This Week” that Lakanwal was “maybe vetted” after entering the United States but said it was “not done well.””Crooked Joe Biden, Mayorkas, and so-called ‘Border Czar’ Kamala Harris really screwed our Country by letting anyone and everyone come in totally unchecked and unvetted!” Trump said in a post on his Truth Social platform Sunday. Officials said that before coming to the United States, Lakanwal had served in a CIA-backed Afghan “partner force” unit fighting the Taliban. US government officials have since suspended visas for all Afghan nationals and frozen decisions in all asylum cases.

Afghan suspect in Washington shooting likely radicalized in US: security official

The Afghan suspect in the shooting of two National Guard members in Washington may have been radicalized after entering the US, Homeland Security Secretary Kristi Noem said when questioned about his motive on Sunday talk shows.Rahmanullah Lakanwal, 29, faces a first-degree murder charge in the November 26 shooting that left a 20-year-old guardsman dead and another critically wounded.”I will say we believe he was radicalized since he’s been here in this country,” Noem said on NBC’s “Meet the Press.” “We do believe it was through connections in his home community and state, and we’re going to continue to talk to those who interacted with him, who were his family members, who talk to them,” said Noem during a separate interview on ABC.Lakanwal entered the United States in 2021 as part of a massive airlift by then-president Joe Biden’s administration during the US military withdrawal and subsequent return to power of Taliban forces.A resident of the western US state of Washington, Lakanwal allegedly drove cross-country to carry out the shooting a few blocks from the White House — an attack that shocked Americans on the eve of the Thanksgiving holiday. Officials from President Donald Trump’s administration, which reportedly granted Lakanwal US asylum in April 2025, have blamed Biden’s administration for lax vetting during the Afghan airlift.Noem told ABC’s “This Week” that Lakanwal was “maybe vetted” after entering the United States but said it was “not done well.””Crooked Joe Biden, Mayorkas, and so-called ‘Border Czar’ Kamala Harris really screwed our Country by letting anyone and everyone come in totally unchecked and unvetted!” Trump said in a post on his Truth Social platform Sunday. Officials said that before coming to the United States, Lakanwal had served in a CIA-backed Afghan “partner force” unit fighting the Taliban. US government officials have since suspended visas for all Afghan nationals and frozen decisions in all asylum cases.

Pastor, bride among 26 kidnapped as Nigeria reels from raidsSun, 30 Nov 2025 17:19:38 GMT

Armed men have kidnapped 26 people including a pastor and a bride in two separate raids in Nigeria, the latest in a string of mass abductions to rock the west African country.A gang of criminals abducted the clergyman along with 11 worshippers on Sunday after storming an out-of-the-way rural church in Ejiba, in central Nigeria’s …

Pastor, bride among 26 kidnapped as Nigeria reels from raidsSun, 30 Nov 2025 17:19:38 GMT Read More »