Trump hopes India-Pakistan clashes end ‘very quickly’
US President Donald Trump said Tuesday he hoped clashes between nuclear-armed India and Pakistan end “very quickly,” after New Delhi’s forces launched strikes and Islamabad vowed retaliation.”It’s a shame, we just heard about it,” Trump said at the White House, after the Indian government said it had hit “terrorist camps” on its western neighbor’s territory following a deadly attack on tourists in Indian-administered Kashmir.”I guess people knew something was going to happen based on the past. They’ve been fighting for many, many decades and centuries, actually, if you really think about it,” he added.India and Pakistan have fought three full-scale wars since gaining independence from the British in 1947. Both claim Kashmir in full but administer separate portions of the disputed region. “I just hope it ends very quickly,” said Trump.India had been widely expected to respond militarily since gunmen shot dead 26 people in Indian-administered Kashmir, mostly Hindus. New Delhi has blamed militants that it has said were from Pakistan-based group Lashkar-e-Taiba, a UN-designated terrorist organization.Pakistan’s army said the Indian strikes targeted three sites in Pakistan-administered Kashmir and two in Punjab province, the country’s most populous. Islamabad said that three civilians, including a child, had been killed in Indian strikes.The Indian strikes came just hours after the US State Department issued a fresh call for calm.”We continue to urge Pakistan and India to work towards a responsible resolution that maintains long-term peace and regional stability in South Asia,” State Department spokeswoman Tammy Bruce told reporters.Her statement came after Indian Prime Minister Narendra Modi warned of stopping water from flowing across borders following the Kashmir attack.
Trump hopes India-Pakistan clashes end ‘very quickly’
US President Donald Trump said Tuesday he hoped clashes between nuclear-armed India and Pakistan end “very quickly,” after New Delhi’s forces launched strikes and Islamabad vowed retaliation.”It’s a shame, we just heard about it,” Trump said at the White House, after the Indian government said it had hit “terrorist camps” on its western neighbor’s territory following a deadly attack on tourists in Indian-administered Kashmir.”I guess people knew something was going to happen based on the past. They’ve been fighting for many, many decades and centuries, actually, if you really think about it,” he added.India and Pakistan have fought three full-scale wars since gaining independence from the British in 1947. Both claim Kashmir in full but administer separate portions of the disputed region. “I just hope it ends very quickly,” said Trump.India had been widely expected to respond militarily since gunmen shot dead 26 people in Indian-administered Kashmir, mostly Hindus. New Delhi has blamed militants that it has said were from Pakistan-based group Lashkar-e-Taiba, a UN-designated terrorist organization.Pakistan’s army said the Indian strikes targeted three sites in Pakistan-administered Kashmir and two in Punjab province, the country’s most populous. Islamabad said that three civilians, including a child, had been killed in Indian strikes.The Indian strikes came just hours after the US State Department issued a fresh call for calm.”We continue to urge Pakistan and India to work towards a responsible resolution that maintains long-term peace and regional stability in South Asia,” State Department spokeswoman Tammy Bruce told reporters.Her statement came after Indian Prime Minister Narendra Modi warned of stopping water from flowing across borders following the Kashmir attack.
C1: l’Inter fait perdre la boule au Barça et décroche sa finale
Au bout d’une irrespirable demi-finale retour au scénario improbable, l’Inter Milan est venu à bout du FC Barcelone (4-3 a.p., 3-3 à l’aller) et disputera le 31 mai sa deuxième finale de Ligue des champions en trois ans.Six jours après une première manche incandescente et spectaculaire, considérée alors comme l’un des plus beaux matches de l’année, l’Inter et le Barça ont fait encore plus fort. Encore plus fou aussi, et de loin.Leur second duel n’a peut-être jamais atteint les sommets techniques de l’aller, illuminé par les coups de génie du phénomène Lamine Yamal.Mais ils ont sans doute écrit l’une des pages les plus mémorables de l’histoire de la compétition après 120 minutes d’une intensité rare et de rebondissements à rendre fous les supporters des deux équipes.L’histoire retiendra que l’international italien Davide Frattesi est celui qui a scellé cette double confrontation gloutonne en buts (13 !) et en suspense à la 99e minute.Avant qu’il n’offre la victoire à l’Inter, le Barça a cru avoir décroché son billet pour la finale de Munich avec un but inscrit à la 87e minute.- Yamal éteint -Mais ce sont bien les Nerazzurri qui tenteront de s’offrir contre le Paris SG ou Arsenal une quatrième Ligue des champions et d’effacer la désillusion de la finale 2023 perdue de peu contre Manchester City (1-0).En première période, le dispositif mis en place par Simone Inzaghi a parfaitement fonctionné et l’Inter a éteint Yamal avec un double marquage intransigeant.Sur sa première accélération, à la 4e minute, le prodige de 17 ans a compris qu’il allait passer une soirée difficile: Federico Dimarco qu’il avait essoré et écoeuré à l’aller, s’est chargé de l’en informer avec un tacle rugueux.Quelques secondes après, une première occasion de Nicolo Barella avec une reprise en demi-volée, après un sombrero, repoussée, en deux temps, par Wojciech Szczesny (20), l’Inter a ouvert la marque.Dimarco a intercepté une relance catalane et a aussitôt lancé dans la profondeur Denzel Dumfries. Le milieu néerlandais, intenable depuis son retour de blessure et auteur de deux des trois buts milanais à l’aller, a servi impeccablement Lautaro Martinez, seul dans la surface, pour son neuvième but de la saison dans la compétition-reine (21).Le capitaine argentin de l’Inter était pourtant incertain jusqu’à lundi à cause d’une blessure à une cuisse qui avait écourté sa demi-finale aller.- L’Inter déchante -Mais retapé en quatrième vitesse par le staff médical de l’Inter, il a aussi été à l’origine du deuxième but de son équipe à la 42e minute lorsqu’il a filé vers le but avant d’être taclé par derrière par Pau Cubarsi.Après consultation du VAR, l’arbitre a accordé un penalty à l’Inter qui a été transformé par le grand spécialiste de l’exercice, Hakan Çalhanoglu, en prenant à contrepied Szczesny.Après la pause, les joueurs de l’Inter ont vite déchanté.C’est d’abord Eric Garcia, oublié dans la surface de réparation qui a réduit la marque d’une superbe reprise de volée du pied droit (54).Six minutes plus tard, sur un coup franc de Gerard Martin, Dani Olmo a égalisé de la tête.L’Inter, aux abois, est sauvé par son gardien Yann Sommer, déjà décisif à la 54e minute: la gardien suisse a dévié une frappe enroulée du pied gauche de Yamal qui filait dans sa lucarne (77).A la 87e minute, il s’est bien interposé une première fois face à Raphinha, mais le ballon est revenu dans les pieds du Brésilien qui l’a trompé à bout portant, en pensant avoir inscrit le but de la qualification.Mais au bout du temps additionnel, l’Inter Milan a arraché l’égalisation en profitant d’une erreur de Gerard Martin: l’inévitable Dumfries a récupéré le ballon pour servir parfaitement le vétéran Francesco Acerbi, qui, tel un avant-centre, a fait exploser San Siro, avec sa frappe du pied droit.Et en prolongation, sous la pluie, Frattesi, servi par Mehdi Taremi, est entré dans l’histoire d’une frappe d’une gauche et mis San Siro en transe. Pour l’éternité.
C1: l’Inter fait perdre la boule au Barça et décroche sa finale
Au bout d’une irrespirable demi-finale retour au scénario improbable, l’Inter Milan est venu à bout du FC Barcelone (4-3 a.p., 3-3 à l’aller) et disputera le 31 mai sa deuxième finale de Ligue des champions en trois ans.Six jours après une première manche incandescente et spectaculaire, considérée alors comme l’un des plus beaux matches de l’année, l’Inter et le Barça ont fait encore plus fort. Encore plus fou aussi, et de loin.Leur second duel n’a peut-être jamais atteint les sommets techniques de l’aller, illuminé par les coups de génie du phénomène Lamine Yamal.Mais ils ont sans doute écrit l’une des pages les plus mémorables de l’histoire de la compétition après 120 minutes d’une intensité rare et de rebondissements à rendre fous les supporters des deux équipes.L’histoire retiendra que l’international italien Davide Frattesi est celui qui a scellé cette double confrontation gloutonne en buts (13 !) et en suspense à la 99e minute.Avant qu’il n’offre la victoire à l’Inter, le Barça a cru avoir décroché son billet pour la finale de Munich avec un but inscrit à la 87e minute.- Yamal éteint -Mais ce sont bien les Nerazzurri qui tenteront de s’offrir contre le Paris SG ou Arsenal une quatrième Ligue des champions et d’effacer la désillusion de la finale 2023 perdue de peu contre Manchester City (1-0).En première période, le dispositif mis en place par Simone Inzaghi a parfaitement fonctionné et l’Inter a éteint Yamal avec un double marquage intransigeant.Sur sa première accélération, à la 4e minute, le prodige de 17 ans a compris qu’il allait passer une soirée difficile: Federico Dimarco qu’il avait essoré et écoeuré à l’aller, s’est chargé de l’en informer avec un tacle rugueux.Quelques secondes après, une première occasion de Nicolo Barella avec une reprise en demi-volée, après un sombrero, repoussée, en deux temps, par Wojciech Szczesny (20), l’Inter a ouvert la marque.Dimarco a intercepté une relance catalane et a aussitôt lancé dans la profondeur Denzel Dumfries. Le milieu néerlandais, intenable depuis son retour de blessure et auteur de deux des trois buts milanais à l’aller, a servi impeccablement Lautaro Martinez, seul dans la surface, pour son neuvième but de la saison dans la compétition-reine (21).Le capitaine argentin de l’Inter était pourtant incertain jusqu’à lundi à cause d’une blessure à une cuisse qui avait écourté sa demi-finale aller.- L’Inter déchante -Mais retapé en quatrième vitesse par le staff médical de l’Inter, il a aussi été à l’origine du deuxième but de son équipe à la 42e minute lorsqu’il a filé vers le but avant d’être taclé par derrière par Pau Cubarsi.Après consultation du VAR, l’arbitre a accordé un penalty à l’Inter qui a été transformé par le grand spécialiste de l’exercice, Hakan Çalhanoglu, en prenant à contrepied Szczesny.Après la pause, les joueurs de l’Inter ont vite déchanté.C’est d’abord Eric Garcia, oublié dans la surface de réparation qui a réduit la marque d’une superbe reprise de volée du pied droit (54).Six minutes plus tard, sur un coup franc de Gerard Martin, Dani Olmo a égalisé de la tête.L’Inter, aux abois, est sauvé par son gardien Yann Sommer, déjà décisif à la 54e minute: la gardien suisse a dévié une frappe enroulée du pied gauche de Yamal qui filait dans sa lucarne (77).A la 87e minute, il s’est bien interposé une première fois face à Raphinha, mais le ballon est revenu dans les pieds du Brésilien qui l’a trompé à bout portant, en pensant avoir inscrit le but de la qualification.Mais au bout du temps additionnel, l’Inter Milan a arraché l’égalisation en profitant d’une erreur de Gerard Martin: l’inévitable Dumfries a récupéré le ballon pour servir parfaitement le vétéran Francesco Acerbi, qui, tel un avant-centre, a fait exploser San Siro, avec sa frappe du pied droit.Et en prolongation, sous la pluie, Frattesi, servi par Mehdi Taremi, est entré dans l’histoire d’une frappe d’une gauche et mis San Siro en transe. Pour l’éternité.
Commerce et souveraineté: rencontre tendue mais courtoise entre Carney et Trump
Le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney et Donald Trump se sont jaugés mardi lors d’une rencontre tendue mais qui n’a pas viré à l’esclandre, avec en arrière-plan les menaces de guerre commerciale et d’annexion à nouveau répétées par le président américain.Pour leur premier face-à-face, derrière les sourires affichés dans le Bureau ovale, les deux dirigeants ont campé sur leurs positions: Carney a assuré que son pays ne serait “jamais à vendre”, Trump a rétorqué qu’il ne fallait “jamais dire jamais”.Le chef du gouvernement canadien a ensuite affirmé avoir demandé au président américain de cesser de parler du Canada comme du 51e Etat des Etats-Unis, ce qu’il fait depuis des mois. Mardi, Donald Trump a estimé que ce serait pourtant un “merveilleux mariage”.”J’ai dit (à Trump): +C’est pas utile de répéter cette idée+”, a assuré Carney en français lors d’une conférence de presse à l’ambassade du Canada après la rencontre à la Maison Blanche.- “Progrès” -Elu il y a une semaine sur la promesse de faire face au président américain, dont les menaces angoissent les Canadiens, il devait éviter de braquer son impulsif interlocuteur pour ne pas compromettre un éventuel accord commercial.Donald Trump a toutefois répété qu’il ne reviendrait pas sur ses décisions concernant les droits de douane, estimant que rien ne pourrait l’amener, même après discussion avec le Premier ministre canadien, à revenir en arrière. “C’est comme ça”, a-t-il affirmé.Le président républicain a déjà imposé des droits de douane sur l’acier et l’aluminium canadiens, notamment, et menace son voisin du Nord de taxes douanières généralisées de 25%.”Le Canada devra être capable de se débrouiller seul sur le plan économique, a-t-il estimé. Il n’y aucune raison pour que nous subventionnions le Canada.”Néanmoins Donald Trump “adorerait” trouver un nouvel accord commercial avec Ottawa, les deux pays étant actuellement liés par un accord de libre-échange (ACEUM) conclu pendant son premier mandat.”Ce sont des négociations très complexes mais on a fait des progrès”, a considéré Mark Carney à l’issue de leur rencontre, en répétant qu’il ne s’attendait pas à de la “fumée blanche” immédiatement, une métaphore d’actualité en ces temps de conclave.Le Premier ministre canadien a qualifié ses échanges avec Donald Trump de “très constructifs” et dit que les deux dirigeants les poursuivront “dans les semaines à venir”, en particulier au sommet du G7 en juin, organisé au Canada.”La question est de savoir comment nous allons coopérer à l’avenir”, a-t-il toutefois assuré, soulignant que son pays était le “plus gros client” pour les marchandises américaines.- “Aucune tension” -La rencontre avait débuté sur un ton affable, Donald Trump qualifiant son invité d’homme “très talentueux” et “très bien”, critiquant au passage l’ancien Premier ministre Justin Trudeau, pour lequel le milliardaire new-yorkais a une féroce antipathie.Le nouveau Premier ministre, au tempérament mesuré et à l’expression prudente, a une personnalité fort différente de celle de l’éruptif président américain, mais aussi de celle, très extravertie, de son prédécesseur.Mais l’atmosphère s’est alourdie dans le Bureau ovale à mesure que Donald Trump insistait sur une possible annexion du Canada. Les mains nerveusement nouées, Mark Carney a semblé plusieurs fois se retenir de l’interrompre.Le président américain a cependant assuré peu après qu’il n’y avait eu “aucune tension” lors de cette “très bonne” réunion. Il s’est d’ailleurs félicité que la conversation n’ait “pas tourné comme cette petite crise avec une autre personne”, en référence à l’incroyable altercation verbale qu’il avait eue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky au même endroit.Novice en politique, Mark Carney est sorti victorieux des récentes élections législatives alors que sa formation, le parti libéral (centre-gauche), était il y a encore quelques mois promise à une cuisante défaite.”Je suis la meilleure chose qui lui soit arrivée”, a plaisanté Donald Trump mardi en évoquant cette victoire électorale à laquelle ses attaques commerciales et ses menaces d’annexion ont contribué.
Commerce et souveraineté: rencontre tendue mais courtoise entre Carney et Trump
Le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney et Donald Trump se sont jaugés mardi lors d’une rencontre tendue mais qui n’a pas viré à l’esclandre, avec en arrière-plan les menaces de guerre commerciale et d’annexion à nouveau répétées par le président américain.Pour leur premier face-à-face, derrière les sourires affichés dans le Bureau ovale, les deux dirigeants ont campé sur leurs positions: Carney a assuré que son pays ne serait “jamais à vendre”, Trump a rétorqué qu’il ne fallait “jamais dire jamais”.Le chef du gouvernement canadien a ensuite affirmé avoir demandé au président américain de cesser de parler du Canada comme du 51e Etat des Etats-Unis, ce qu’il fait depuis des mois. Mardi, Donald Trump a estimé que ce serait pourtant un “merveilleux mariage”.”J’ai dit (à Trump): +C’est pas utile de répéter cette idée+”, a assuré Carney en français lors d’une conférence de presse à l’ambassade du Canada après la rencontre à la Maison Blanche.- “Progrès” -Elu il y a une semaine sur la promesse de faire face au président américain, dont les menaces angoissent les Canadiens, il devait éviter de braquer son impulsif interlocuteur pour ne pas compromettre un éventuel accord commercial.Donald Trump a toutefois répété qu’il ne reviendrait pas sur ses décisions concernant les droits de douane, estimant que rien ne pourrait l’amener, même après discussion avec le Premier ministre canadien, à revenir en arrière. “C’est comme ça”, a-t-il affirmé.Le président républicain a déjà imposé des droits de douane sur l’acier et l’aluminium canadiens, notamment, et menace son voisin du Nord de taxes douanières généralisées de 25%.”Le Canada devra être capable de se débrouiller seul sur le plan économique, a-t-il estimé. Il n’y aucune raison pour que nous subventionnions le Canada.”Néanmoins Donald Trump “adorerait” trouver un nouvel accord commercial avec Ottawa, les deux pays étant actuellement liés par un accord de libre-échange (ACEUM) conclu pendant son premier mandat.”Ce sont des négociations très complexes mais on a fait des progrès”, a considéré Mark Carney à l’issue de leur rencontre, en répétant qu’il ne s’attendait pas à de la “fumée blanche” immédiatement, une métaphore d’actualité en ces temps de conclave.Le Premier ministre canadien a qualifié ses échanges avec Donald Trump de “très constructifs” et dit que les deux dirigeants les poursuivront “dans les semaines à venir”, en particulier au sommet du G7 en juin, organisé au Canada.”La question est de savoir comment nous allons coopérer à l’avenir”, a-t-il toutefois assuré, soulignant que son pays était le “plus gros client” pour les marchandises américaines.- “Aucune tension” -La rencontre avait débuté sur un ton affable, Donald Trump qualifiant son invité d’homme “très talentueux” et “très bien”, critiquant au passage l’ancien Premier ministre Justin Trudeau, pour lequel le milliardaire new-yorkais a une féroce antipathie.Le nouveau Premier ministre, au tempérament mesuré et à l’expression prudente, a une personnalité fort différente de celle de l’éruptif président américain, mais aussi de celle, très extravertie, de son prédécesseur.Mais l’atmosphère s’est alourdie dans le Bureau ovale à mesure que Donald Trump insistait sur une possible annexion du Canada. Les mains nerveusement nouées, Mark Carney a semblé plusieurs fois se retenir de l’interrompre.Le président américain a cependant assuré peu après qu’il n’y avait eu “aucune tension” lors de cette “très bonne” réunion. Il s’est d’ailleurs félicité que la conversation n’ait “pas tourné comme cette petite crise avec une autre personne”, en référence à l’incroyable altercation verbale qu’il avait eue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky au même endroit.Novice en politique, Mark Carney est sorti victorieux des récentes élections législatives alors que sa formation, le parti libéral (centre-gauche), était il y a encore quelques mois promise à une cuisante défaite.”Je suis la meilleure chose qui lui soit arrivée”, a plaisanté Donald Trump mardi en évoquant cette victoire électorale à laquelle ses attaques commerciales et ses menaces d’annexion ont contribué.
Stocks retreat as traders cautious before Fed rates call
Stock markets mostly dropped on Tuesday as investors awaited a Federal Reserve interest-rate decision while anticipating US trade deal breakthroughs that have yet to materialize.Stocks had risen most of the last two weeks in anticipation of progress on the trade front as US President Donald Trump and top appointees play up the negotiations. But major US indices spent the entire Tuesday session in the red, with the Dow Jones Industrial Average finishing down one percent.The market “seems to be disappointed over the fact that we’re not hearing any trade deal news,” said Art Hogan of B. Riley Wealth Management.Investors are also monitoring the Fed, which is expected to hold interest rates steady on Wednesday, even as Trump pushes for more cuts. “Traders appear to be taking profits and moving to the sidelines ahead of the Federal Reserve’s FOMC meeting, which kicks off today,” said David Morrison, senior market analyst Trade Nation, referring to the monetary policy branch of the reserve, the Federal Open Market Committee.While data last week showed the US economy contracted in the first quarter, strong jobs and services sector figures suggest there is still some resilience.”It’s a big week for central bank interest rate decisions,” noted AJ Bell investment director Russ Mould.”The key focus will be on forward-looking commentary and whether the Fed is getting worried about Trump’s tariffs,” Mould added.On Thursday, the Bank of England is expected to cut its key rate by a quarter point to 4.25 percent amid concerns of weak growth in Britain.In Europe, Frankfurt’s stock market shed 0.4 percent after German conservative leader Friedrich Merz was confirmed as chancellor following an initial setback.Paris also ended the day down 0.4 percent while London finished flat.The US dollar was lower against major rival currencies, while oil prices shot higher in what analysts called a technical rebound following Monday’s selloff.US pharmaceutical and biotech stocks took a beating due to the appointment of oncologist Vinay Prasad to a top post at the US Food and Drug Administration. Prasad has been an outspoken critic of the agency’s prior approach to Covid-19 vaccines and other key decisions.Merck and Pfizer both fell more than four percent while Moderna sank more than 12 percent. In company news, US food delivery service DoorDash agreed to buy Deliveroo in a £2.9-billion ($3.9-billion) deal that values the UK group at less than half of its initial public offering price. Shares in Deliveroo rose 2.1 percent on London’s second-tier FTSE 250 index, while DoorDash shares dropped 7.4 percent in New York.Danish wind turbine maker Vestas jumped nine percent in Copenhagen after it stuck to its annual earnings forecasts despite geopolitical uncertainty and US tariffs.- Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: DOWN 1.0 percent at 40,829.00 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.8 percent at 5,606.91 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.9 percent at 17,689.66 (close)London – FTSE 100: FLAT at 8,597.42 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 7,696.92 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 23,249.65 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 22,662.71 (close)Shanghai – Composite: UP 1.1 percent at 3,316.11 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for holidayEuro/dollar: UP at $1.1373 from $1.1315 on MondayPound/dollar: UP at $1.3370 from $1.3296Dollar/yen: DOWN at 142.44 yen from 143.70 Euro/pound: DOWN at 85.04 pence from 85.09Brent North Sea Crude: UP 3.2 percent at $62.15 per barrelWest Texas Intermediate: UP 3.4 percent at $59.09 per barrel burs-jmb/sla







