Stock markets mostly drop awaiting Fed policy update

Major stock markets mostly fell Tuesday as attention turned to the Federal Reserve’s upcoming policy decision, with traders hoping for guidance on its interest rate plans as president-elect Donald Trump prepares to take office.Wall Street’s major indices fell at the opening bell, having ended the previous day mostly higher with Asia unable to pick up the baton Tuesday.In one of the last data releases ahead of the Fed’s rate decision, November US retail sales rose by 0.7 percent, beating analyst expectations, but excluding auto sales were up only 0.2 percent.”The key takeaway from the report is in the ex-auto number, which was up modestly and a reflection of some softening spending activity given that it is not adjusted for price changes,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.Investors were also reacting to a rise in Treasury rates, he added. The Fed is expected to lower borrowing costs on Wednesday for the third meeting in a row as it looks to guide the world’s top economy to a soft landing.However, its statement will be pored over for clues about next year’s outlook, and investors have already started paring their bets on how many times the Fed will cut over the next 12 months owing to still-sticky inflation, a strong labour market and uncertainty about Trump, who has pledged to slash taxes and impose tariffs on imports.- Tariffs fallout -The Canadian dollar fell to the lowest level against the US dollar since April 2020 after Canada’s Deputy Prime Minister Chrystia Freeland quit Monday in a surprise move, saying she disagrees with Justin Trudeau over US president-elect Donald Trump’s tariff threats.The resignation of Freeland, who also stepped down as finance minister, marked the first open dissent against Prime Minister Trudeau from within his cabinet, and may threaten his hold on power.In her letter, Freeland said the country needed to take Trump’s tariffs threats “extremely seriously”.Warning that it could lead to a “tariff war” with the United States, she said Ottawa must keep its “fiscal powder dry”.Trudeau flew to Florida last month to dine with Trump at the latter’s Mar-a-Lago resort and try to head off the tariff threat, but nothing yet indicates the US president-elect is changing his position.Investors are also keeping tabs on Beijing after Chinese leaders’ latest measures to kickstart the economy fell short of expectations, with weak retail sales data Monday reinforcing the need for more support.In European equities trading, London slid in afternoon deals as official data showing a jump in UK wages growth cemented forecasts that the Bank of England will avoid cutting interest rates this week. Paris edged higher but Frankfurt dipped as sentiment was hit by news that German business confidence this month hit the lowest level since the start of the coronavirus pandemic.Bitcoin traded close to a record high of almost $107,791 reached Monday on continued optimism that Trump will introduce measures to deregulate the cryptocurrency market.Oil prices retreated, hit by concerns that China’s struggling economy will impact demand for crude.- Key figures around 1430 GMT -New York – Dow: DOWN 0.5 percent at 43,495.92 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.5 percent at 6,043.09New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.5 percent at 20,078.31London – FTSE 100: DOWN 0.7 percent at 8,208.25 Paris – CAC 40: UP less than 0.1 percent at 7,360.29Frankfurt – DAX: DOWN 0.1 percent at 20,287.68Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.2 percent at 39,364.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.5 percent at 19,700.48 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.7 percent at 3,361.49 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0506 from $1.0509 MondayPound/dollar: UP at $1.2695 from $1.2678Dollar/yen: DOWN at 153.63 yen from 154.13 yen Euro/pound: DOWN at 82.77 pence from 82.86 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.2 percent at $69.87 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.1 percent at $73.10 per barrelburs-rl/gv

Bayrou, sous le feu des critiques, a rencontré Macron pour accélérer la formation de son gouvernement

Critiqué de toutes parts pour avoir choisi d’aller à Pau au lieu de Mayotte et pour avoir défendu le cumul des mandats, François Bayrou a rencontré Emmanuel Macron mardi en vue de former un gouvernement “d’ici la fin de la semaine”.Selon son entourage, le nouveau Premier ministre s’est entretenu en fin de matinée “plus d’une heure” avec le chef de l’Etat à l’Elysée.Objectif, selon Marc Fesneau : évoquer une “architecture de démarrage” pour son gouvernement. Le président des députés MoDem a ajouté que les deux têtes de l’exécutif composeront la future équipe avec “la volonté de trouver un équilibre”.Le nouveau locataire de Matignon espère former son équipe “d’ici la fin de la semaine”, selon des sources parlementaires. Son intention est de présenter environ 25 personnes, a-t-on ajouté.Puis, il prononcera sa déclaration de politique générale devant le Parlement, le 14 janvier. En attendant, le Premier ministre s’apprête à passer son premier grand oral à partir de 15H00 à l’Assemblée nationale. Il répondra pendant 45 minutes aux questions des députés. Seul, puisque les ministres en place sont démissionnaires et ne sont donc pas autorisés à participer à l’exercice.L’ancien ministre de l’Intérieur macroniste, Gérald Darmanin, l’interrogera notamment sur Mayotte et “les moyens exceptionnels que doit engager l’État”.En parallèle, les consultations des forces politiques, entamées lundi, se poursuivent à Matignon.Le président des députés Horizons, Laurent Marcangeli, a plaidé pour la “stabilité” auprès du Premier ministre, qui s’était déjà entretenu par téléphone avec Edouard Philippe dimanche.Les leaders des Ecologistes ont été beaucoup plus pessimistes, estimant que M. Bayrou était déjà en train de “paver peu à peu le chemin de sa propre censure”.Quant à Laurent Wauquiez (LR), reçu lundi, il a demandé mardi une nouvelle rencontre avec le chef du gouvernement, dont le projet est encore “trop flou” à ses yeux. Quatre jours à peine après sa nomination, le président du MoDem est déjà au cÅ“ur d’une double polémique.Son choix d’aller dans sa ville de Pau pour y défendre son poste de maire, plutôt que d’assister à une réunion de crise sur Mayotte, qu’il a suivie à distance, suscite de vives critiques jusque dans son propre camp. Son idée d’autoriser à nouveau le cumul des mandats locaux pour les parlementaires, afin de les “ré-enraciner” dans les territoires, est aussi dénoncé, ainsi que sa volonté de conserver la mairie de Pau, en parallèle de Matignon.- “Indécent” -La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, ne l’a pas épargné. Elle aurait “préféré que le Premier ministre, au lieu de prendre un avion pour Pau, prenne l’avion pour Mamoudzou”, chef-lieu de Mayotte, dévastée par un cyclone meurtrier. Quant au cumul de mandats, “ce n’est vraiment pas le moment” de “remettre ce sujet sur la table”. “Aujourd’hui, le sujet c’est le budget, c’est Mayotte”.Le patron du parti communiste Fabien Roussel a, de son côté, jugé “indécent de parler de cumul des mandats (…) alors qu’en ce moment on enterre des enfants, des habitants” dans l’archipel meurtri. Le Premier secrétaire du PS, olivier Faure, a estimé que le fondateur du MoDem “s’égare” en se saisissant d’un tel sujet.Rare voix à venir à la rescousse du Premier ministre, Hervé Marseille, chef des sénateurs centristes et défenseur du cumul, a estimé que M. Bayrou a “fait ce qu’il devait faire”.De son côté, le Rassemblement national défend l’idée de cumuler les mandats de député et de maire “en dessous d’un certain seuil” de population. Une opportunité pour le parti de Marine Le Pen de renforcer le maillage local de ses nombreux députés. Quant au cumul entre une fonction ministérielle et un mandat local, rien ne l’interdit dans la loi. Mme Braun-Pivet a toutefois rappelé qu’une réforme constitutionnelle, inaboutie et prévoyant “le non-cumul des fonctions ministérielles et d’un exécutif local”, avait été “votée à la quasi-unanimité” des députés en 2018.”En s’accrochant” à son poste de maire de Pau, M. Bayrou “fait une grave erreur” doublée d’une “faute politique importante” et “symboliquement dramatique”, a dénoncé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard.

Comorans fear for loved ones on cyclone-ravaged MayotteTue, 17 Dec 2024 13:02:04 GMT

Residents of the Comoros are desperate for news of loved ones in neighbouring Mayotte, where Cyclone Chido is feared to have killed hundreds and much of the population is Comoran.Chido spared the Comoros but devastated the French territory of Mayotte just 70 kilometres (43 miles) away, an Indian Ocean magnet for migrants from impoverished Comoros …

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Bayrou, sous le feu des critiques, rencontre Macron pour accélérer la formation de son gouvernement

Critiqué de toutes parts pour avoir choisi d’aller à Pau au lieu de Mayotte dévastée et pour avoir défendu le cumul des mandats, François Bayrou rencontre Emmanuel Macron mardi en vue de former rapidement un gouvernement.Le Premier ministre, rentré tôt de Pau en avion de la République, doit évoquer avec le chef de l’Etat une “architecture de démarrage” pour son gouvernement, a indiqué Marc Fesneau à l’issue de son entretien avec M. Bayrou. Le chef des députés MoDem a ajouté que les deux têtes de l’exécutif composeront la future équipe “avec la volonté de trouver un équilibre”.François Bayrou espère former un gouvernement “cette semaine”. “Mais il faut que le président soit là”, a-t-il ajouté, à propos de l’emploi du temps très chargé d’Emmanuel Macron. L’entourage du chef de l’Etat semble avoir peu goûté le propos :”Quand il sera prêt, nous nous le sommes”, a assuré un proche.Puis, le nouveau locataire de Matignon prononcera le 14 janvier son discours de politique générale devant le Parlement, selon son entourage. En attendant, les consultations des forces politiques, entamées lundi, se poursuivent à Matignon.Le patron des députés Horizons Laurent Marcangeli a plaidé pour la “stabilité” auprès du Premier ministre, qui s’était déjà entretenu par téléphone avec Edouard Philippe dimanche.Les leaders des Ecologistes ont été beaucoup plus pessimistes, estimant que François Bayrou était déjà en train de “paver peu à peu le chemin de sa propre censure”.Quant à Laurent Wauquiez (LR), reçu lundi, il a demandé mardi une nouvelle rencontre avec le chef du gouvernement, dont le projet est encore “trop flou” à ses yeux. Quatre jours à peine après sa nomination, le nouveau locataire de Matignon est déjà au coeur d’une double polémique.Son choix d’aller dans sa ville de Pau pour y défendre son poste de maire, plutôt que d’assister à une réunion de crise sur Mayotte, qu’il a suivie à distance, suscite de vives critiques jusque dans son propre camp. Et son souhait de revenir sur l’interdiction du cumul du mandat de parlementaire est aussi dénoncé.- “Indécent” -La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet aurait “préféré que le Premier ministre, au lieu de prendre un avion pour Pau, prenne l’avion pour Mamoudzou”, chef-lieu de Mayotte, dévastée par un cyclone meurtrier.Elle a aussi redit son opposition au cumul de mandats, défendu lundi soir par le Premier ministre: “ce n’est vraiment pas le moment” de “remettre ce sujet sur la table”. “Aujourd’hui le sujet c’est le budget, c’est Mayotte”.Le patron du parti communiste Fabien Roussel a, de son côté, jugé “indécent de parler de cumul des mandats (…) alors qu’en ce moment on enterre des enfants, des habitants à Mayotte”.Rare voix à venir à la rescousse du Premier ministre, Hervé Marseille, chef des sénateurs centristes et défenseur du cumul, a estimé que François Bayrou a “fait ce qu’il devait faire”.Le Premier ministre s’apprête à passer son premier grand oral à partir de 15H00 à l’Assemblée nationale. Il répondra pendant 45 minutes aux questions des présidents de groupe en solo, puisque les ministres en place sont démissionnaires et ne sont donc pas autorisés à participer à l’exercice.L’ancien ministre de l’Intérieur macroniste Gérald Darmanin l’interrogera notamment sur Mayotte et “les moyens exceptionnels que doit engager l’État”.Il sera aussi sans doute questionné sur le cumul des mandats. Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a jugé sur France 2 que le Premier ministre “s’égare” avec cette “sortie”.”En s’accrochant à ce poste de maire” de Pau, “M. Bayrou fait une grave erreur” doublée d’une “faute politique importante” et “symboliquement dramatique”, a estimé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard sur Sud Radio.Rien dans la loi n’interdit le cumul entre une fonction ministérielle et un mandat local. Yaël Braun-Pivet a toutefois rappelé qu’une réforme constitutionnelle, inaboutie et prévoyant “le non-cumul des fonctions ministérielles et d’un exécutif local”, avait été “votée à la quasi-unanimité” des députés en 2018.De son côté, le Rassemblement national défend l’idée de cumuler les mandats de député et de maire “en dessous d’un certain seuil” de population, d’après la députée RN Laure Lavalette.

Ethiopia opens banking sector to foreign investmentTue, 17 Dec 2024 11:21:13 GMT

Ethiopia will partially open its banking sector to foreign banks following a vote by lawmakers on Tuesday, according to local media group FanaBC.Since taking power in 2018, Prime Minister Abiy Ahmed has been a vocal supporter of opening up the heavily state-controlled economy to competition and foreign investment.But internal conflicts — including a devastating civil …

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Bayrou sous le feu des critiques pour avoir choisi Pau plutôt que Mayotte

Sous pression pour former un gouvernement rapidement, François Bayrou était mardi critiqué de toutes parts pour avoir choisi d’aller à Pau au lieu de Mayotte, en proie à une crise humanitaire majeure, et défendu le cumul des mandats.Le Premier ministre, nommé vendredi, a pris un avion de la République très tôt mardi de Pau pour revenir à Paris poursuivre ses consultations des groupes politiques, avant de passer son premier grand oral à l’Assemblée nationale.Les députés ne manqueront pas de l’interroger sur son choix d’aller dans sa ville pour y défendre son poste de maire, plutôt que d’assister à une réunion de crise sur Mayotte – qu’il a suivie à distance. Il sera aussi interpellé sur son souhait de revenir sur l’interdiction du cumul du mandat de parlementaire.Sa décision suscite une vive polémique jusque dans son camp. La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a affirmé sur franceinfo qu’elle aurait “préféré que le Premier ministre, au lieu de prendre un avion pour Pau, prenne l’avion pour Mamoudzou”, chef-lieu de Mayotte, dévastée par un cyclone qui aurait fait “plusieurs centaines”, voire “quelques milliers” de morts, selon les autorités. Elle a aussi redit son opposition au cumul de mandats, défendu lundi soir par le Premier ministre: “ce n’est vraiment pas le moment” de “remettre ce sujet sur la table”. “Aujourd’hui le sujet c’est le budget, c’est Mayotte”.Le patron du parti communiste Fabien Roussel a jugé sur BFMTV et RMC “indécent de parler de cumul des mandats (…) alors qu’en ce moment on enterre des enfants, des habitants à Mayotte”.Rare voix à venir à la rescousse du Premier ministre, Hervé Marseille, le chef des sénateurs centristes, défenseur du cumul, a estimé qu’il a “fait ce qu’il devait faire”. “Tout le monde ne va pas débarquer à Mayotte”, où s’est rendu lundi le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et où Emmanuel Macron est attendu dans les prochains jours. Les responsables de l’archipel “ont autre chose à faire que de recevoir les autorités”, a insisté le président de l’UDI.-  Gouvernement “cette semaine” – Après l’extrême droite, le centre, les socialistes et la droite lundi, François Bayrou reçoit mardi les représentants des écologistes, du MoDem, d’Horizons, les indépendants de Liot, les communistes, et l’ex-LR Eric Ciotti désormais allié du RN.Il s’agit pour lui de mesurer les soutiens dont il dispose pour former un gouvernement susceptible de faire passer, dans une Assemblée fracturée, un budget pour 2025, dont le pays est privé depuis la censure.François Bayrou espère à l’issue de ces consultations former un gouvernement “cette semaine”. “Mais il faut que le président soit là”, a-t-il ajouté, à propos de l’emploi du temps très chargé cette semaine d’Emmanuel Macron.L’entourage du chef de l’Etat semble avoir peu goûté l’allusion et incite François Bayrou à commencer à faire des propositions dès aujourd’hui. “Quand il sera prêt, nous nous le sommes”, a assuré un proche. – Bayrou “s’égare” -François Bayrou, qui fut ancien député de 2002 à 2012, devrait encore affronter les critiques à l’Assemblée nationale, où il répondra pendant 45 minutes aux questions des présidents de groupe en solo, puisque les ministres en place sont démissionnaires et ne sont donc pas autorisés à participer à l’exercice.L’ancien ministre de l’Intérieur macroniste Gérald Darmanin l’interrogera notamment sur Mayotte et “les moyens exceptionnels que doit engager l’État”.Il sera aussi sans doute questionné sur le cumul des mandats. Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a jugé sur France 2 que le Premier ministre “s’égare” avec cette “sortie”.”En s’accrochant à ce poste de maire” de Pau, “M. Bayrou fait une grave erreur” doublée d’une “faute politique importante” et “symboliquement dramatique”, a estimé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard sur Sud Radio.Rien dans la loi n’interdit le cumul entre une fonction ministérielle et un mandat local, mais Yaël Braun-Pivet a rappelé qu’une réforme constitutionnelle, inaboutie et prévoyant “le non-cumul des fonctions ministérielles et d’un exécutif local”, avait été “votée à la quasi-unanimité” des députés en 2018.De son côté, le Rassemblement national estime qu’il “est sûrement possible” de cumuler les mandats de député et de maire “en dessous d’un certain seuil” de population, a souligné Laure Lavalette sur TF1.