Truckers strike accusing Wagner of driver death in Central African RepublicThu, 28 Nov 2024 01:11:03 GMT

Soaring prices have left a bitter taste in shoppers’ mouths at a market in Bangui, as a strike by Cameroonian truckers accusing Russia’s infamous Wagner mercenaries of a recent murder cuts off the Central African Republic (CAR).Among the poorest countries in the world, landlocked CAR is heavily dependent on imports, more than 40 percent of …

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Budget de la Sécu : fumée blanche entre députés et sénateurs mais nuages noirs pour Barnier

Députés et sénateurs ont trouvé un compromis mercredi sur le budget 2025 de la Sécurité sociale, étape cruciale qui pourrait être balayée avec fracas en cas de censure la semaine prochaine, alors que le RN assume de garder un doigt sur la gâchette.Cette version du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) sera soumise une dernière fois aux députés et sénateurs, mais c’est surtout la dernière haie à l’Assemblée qui pourrait donner des vertiges à l’exécutif et au-delà.Quasiment condamné à utiliser son premier 49.3 à la chambre basse lundi et à affronter une motion de censure en réponse dans la semaine, Michel Barnier a mis en garde contre “la tempête” que déclencherait une chute du gouvernement, notamment sur les marchés financiers.”La crise financière a déjà commencé”, a vertement répliqué le député RN Jean-Philippe Tanguy, citant le “spread”, écart entre les taux souverains français à 10 ans et ceux de l’Allemagne considéré comme une valeur refuge en Europe, à son plus haut niveau depuis 2012.Marine Le Pen a elle demandé des “engagements clairs et fermes sur l’abandon des 3 milliards de hausses du prix de l’électricité (au budget de l’Etat), l’abandon du déremboursement de nouveaux médicaments et de la désindexation des retraites”.S’ils insistent sur le fait que la décision n’est pas prise, les députés RN, – qui se réuniront jeudi à 14H00 pour discuter du PLFSS -, pourraient faire tomber le gouvernement en votant une motion avec la gauche. Et choisir de le faire sur ce budget de la Sécu sans attendre la dernière ligne droite du budget de l’Etat autour du 18-20 décembre.A défaut de convaincre le RN, le gouvernement a pointé une “responsabilité inouïe” des socialistes, selon la porte-parole Maud Bregeon. “Nous n’accepterons jamais le chantage”, a rétorqué le patron des sénateurs PS Patrick Kanner reçu à Matignon.- “Budget de transition” -En attendant, sept députés et sept sénateurs réunis en commission mixte paritaire (CMP), avec une courte majorité pour les soutiens du gouvernement, ont décidé d’une version du texte qui serait renvoyée devant les deux chambres (lundi à l’Assemblée et jeudi au Sénat).Ils ont notamment trouvé un compromis sur une baisse des exonérations patronales, revenant à demander un effort de 1,6 milliard aux entreprises, avec toutefois un vote contre du groupe macroniste Ensemble pour la République sur cet article en particulier, échaudé par ce qu’il voit comme un renoncement à sept ans de politique de l’offre.La gauche proposait de revenir à une version sénatoriale à 3 milliards d’efforts. “Seule la gauche a voté pour”, a déploré l’Insoumis Hadrien Clouet.”Le gouvernement a créé les conditions de sa propre censure” a plus largement estimé Jérôme Guedj (PS). Les écologistes dénonçant un texte “insincère et injuste”.La CMP a validé un compromis sur les retraites, pour les indexer sur la moitié de l’inflation dès le 1er janvier (+0,8%), avec un complément au 1er juillet pour les retraités sous les 1.500 euros brut en vue d’atteindre les +1,6%.Les parlementaires ont aussi supprimé une mesure sénatoriale, prévoyant sept heures de travail sans rémunération pour les actifs, censées rapporter 2,5 milliards. Ils ont toutefois approuvé une “taxe soda”, et une “taxe lapin”, pénalité financière contre les patients n’honorant pas des rendez-vous médicaux.Enfin, si la mesure n’est pas contenue dans le texte lui-même, l’intention du gouvernement de baisser les remboursements par la Sécu des consultations et des médicaments de 5%, qui devrait se traduire par une hausse des prix des mutuelles, continue de susciter de vives critiques à gauche et au RN.Le texte de la CMP “n’est pas a la hauteur”, et certaines mesures “peuvent constituer des lignes rouges”, a jugé le député RN Christophe Bentz après la réunion.Le gouvernement prévoyait initialement un déficit du budget de la Sécurité sociale de 16 milliards, qui sort alourdi des compromis parlementaires, d’un montant qui restait difficile à calculer mercredi soir. Le président Horizons de la commission des Affaires sociales à l’Assemblée Frédéric Valletoux a évoqué un déficit “autour de 17 milliards”.Parmi les mesures de compensation, les rapporteurs ont prévu une baisse de 600 millions des dépenses de l’assurance-maladie en 2025, dénoncée par la gauche. Le rapporteur général à l’Assemblée Yannick Neuder (LR) a défendu la copie mais aussi soulevé l’hypothèse d’un budget rectificatif en 2025.”C’est un budget de transition”, “ni ambitieux ni glorieux”, avait commenté mercredi matin M. Valletoux. Stéphanie Rist (EPR) a elle évoqué un budget qui “semble équilibré et de responsabilité”.

Stock markets waver as traders weigh Trump tariffs, inflation

US and European stock markets wobbled Wednesday as key US inflation data showed an uptick, with traders also weighing US President-elect Donald Trump’s tariff threats and a political standoff in France.Wall Street saw red with both the Dow and S&P 500 retreating from records on the eve of the Thanksgiving holiday. The Nasdaq also declined.European stock markets were also mindful of rising concerns Europe could be the next tariffs target for Trump.The Paris stock market ended off 0.7 percent as a French political standoff over a belt-tightening draft budget for 2025 threatens to topple the government.Frankfurt also dipped, while London just finished in the green.In the United States, the personal consumption expenditures (PCE) price index rose 2.3 percent in the 12 months to October, up from 2.1 percent in September, which was broadly in line with forecasts.The figure was also close to the US Federal Reserve’s long-term target of two percent, keeping the central bank’s inflation fight largely on track.Futures markets currently place the odds at about two-thirds that the Fed will cut interest rates again in December by a quarter of a percentage point.Kathleen Brooks, research director at XTB, said the figure “is a little hot” but “it is not outside the most recent range for monthly increases.””US traders can pack up for the Thanksgiving holiday with little to fear at this stage,” she said in a research note.Trump, who has named a tough-negotiating hawk to be his trade envoy when he takes office in January, has announced plans to hit China, Canada and Mexico with hefty tariffs right away.”Investors are growing increasingly concerned that Donald Trump’s next tariff target is continental Europe,” said Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell.For Europe, this would create “another potential headwind on top of the existing one in the form of lackluster economic activity,” he said.While Trump’s victory has been broadly welcomed by the financial markets, there is concern that his widely pledged rise in tariffs could be inflationary.The Republican has announced Jamieson Greer as his trade envoy, saying that Greer — who served as chief of staff to US Trade Representative Robert Lighthizer during Trump’s previous administration — had played a “key role” in imposing tariffs on China at that time.Bitcoin moved back past $95,000, having hit a record Friday and come within a whisker of the $100,000 mark on hopes that Trump will move to ease restrictions on the crypto market.After another record-breaking lead from earlier, Chinese markets rallied as data showed that China’s industrial sector narrowed losses in October.Meanwhile, the price of Arabica coffee hit the highest level since 1977 on concerns of limited supplies caused by drought in Brazil this year.- Key figures around 2145 GMT -New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 44,722.06 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.4 percent at 5,998.74 (close)New York – Nasdaq: DOWN 0.6 percent at 19,060.48London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,274.75 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.7 percent at 7,143.03 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 percent at 19,261.70 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.8 percent at 38,134.97 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 2.3 percent at 19,603.13 (close)Shanghai – Composite: UP 1.5 percent at 3,309.78 (close)Euro/dollar: UP at $1.0565 from $1.0489 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.2678 from $1.2569Dollar/yen: DOWN at 151.17 yen from 153.08 yenEuro/pound: DOWN at 83.33 pence from 83.44 penceBrent North Sea Crude: FLAT at $72.83 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.1 percent at $68.72 per barrel

Malawi president vows to tackle fuel crisis, hunger and violenceWed, 27 Nov 2024 21:16:28 GMT

Malawi’s President Lazarus Chakwera on Wednesday announced measures to tackle a fuel crisis and hunger, while condemning political violence in the country.Earlier this year, the east African nation declared a state of disaster in 23 of its 28 districts after a drought destroyed crops, threatening 5.7 million people with hunger.In a televised address, Chakwera recognised …

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Thousands still queuing to vote after Namibia polls closeWed, 27 Nov 2024 20:20:29 GMT

Logistical issues meant that thousands of Namibians were still waiting to vote in pivotal presidential and legislative elections late on Wednesday as the polling stations were scheduled to close.The vote could usher in the desert nation’s first woman leader even as her party, the ruling South West Africa People’s Organisation (SWAPO) faces the strongest challenge …

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Courson et Copé plaident pour une démission de Macron pour sortir de la crise

Le rapporteur général du budget à l’Assemblée, le centriste Charles de Courson, et le maire LR de Maux Jean-François Copé ont tous deux plaidé mercredi pour une démission du président Emmanuel Macron pour sortir de la crise provoquée par la dissolution de l’Assemblée nationale.”Le problème, c’est le chaos politique déclenché par le président de la République”, a affirmé à la presse M. Courson, député du groupe Liot (Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires).Quel que soit le ministre qui serait nommé “il n’aura pas de majorité. La seule solution, ce serait une démission du président”, a-t-il déclaré.Sur BFMTV, M. Copé, ancien patron de la famille politique dont est issu le Premier ministre Michel Barnier, a abondé dans le même sens. “On est tous victimes de cette dissolution qui ne ressemble à rien et dont on paye tous les jours le prix”, a-t-il expliqué, estimant lui aussi que la seule solution “pour résoudre le problème (est) une nouvelle élection présidentielle”. “Il n’y a qu’Emmanuel Macron qui ne s’est pas rendu compte – mais il va bien falloir qu’à un moment ou un autre, ses amis ou ceux qui l’aiment bien le lui disent – qu’il ne peut pas tenir jusqu’en 2027”, a-t-il souligné. Selon un sondage Elabe pour BFMTV, une large majorité de Français (63%) estime que le président de la République devrait démissionner si le gouvernement était censuré, un peu plus de la moitié d’entre eux (53%) le considérant comme responsable de la situation politique actuelle.Le gouvernement pourrait activer lundi l’article 49.3 de la Constitution, pour faire adopter sans vote à l’Assemblée le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025, s’exposant à une censure des députés, qui inquiète les marchés et fait craindre au Premier ministre Michel Barnier une “tempête”.La décision du président de la République de dissoudre l’Assemblée a conduit en juillet à la constitution d’un hémicycle divisé en trois blocs, duquel ne semble pouvoir émerger aucune majorité solide.

La censure du gouvernement Barnier se rapproche en dépit des mises en garde

Balayant la mise en garde de Michel Barnier sur “la tempête” que déclencherait une chute du gouvernement, le Rassemblement national agite plus que jamais la menace d’une censure, peut-être dès la semaine prochaine sur le budget de la Sécurité sociale, objet probable d’un compromis députés-sénateurs mercredi.”Les Français attendent des engagements clairs et fermes sur l’abandon des 3 milliards de hausses du prix de l’électricité (disposition phare du budget 2025, autorisant le gouvernement à relever la fiscalité de l’électricité, ndlr), l’abandon du déremboursement de nouveaux médicaments et de la désindexation des retraites (…) et le Premier ministre n’en prend pas le chemin”, a réagi sur X Marine Le Pen au lendemain de l’intervention du chef du gouvernement sur TF1.Le député RN Jean-Philippe Tanguy ne voit pas non plus “une main tendue” par Michel Barnier, même si ce dernier s’est dit prêt à faire davantage pour “préserver le pouvoir d’achat” et a annoncé une mission sur la proportionnelle, autre revendication du RN.Le RN pourrait faire tomber le gouvernement s’il votait une motion de censure déposée par la gauche. De quoi amener l’ancien ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin à appeler Michel Barnier à faire “un geste de compromis” qui s’adresserait notamment au Rassemblement national et ses “11 millions d’électeurs”, en ciblant “la taxe sur l’électricité”.En attendant, “je ferai ce que j’ai à faire dans le cas de la défense des Français”, a répété Marine Le Pen, assurant que son procès, qui connaissait mercredi son dernier jour, “n’entre aucunement en considération” dans ses choix politiques. A défaut de convaincre le parti de Jordan Bardella, le gouvernement essaye de faire appel à “la responsabilité inouïe” – dixit la porte-parole Maud Bregeon – des parlementaires socialistes, dont les leaders ont été reçus mercredi après-midi à Matignon. “Nous n’accepterons jamais le chantage qui pourrait nous être fait”, a rétorqué le patron des sénateurs PS Patrick Kanner.Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot a invité de son côté “à prendre la mesure du risque que fait courir cette motion de censure sur l’image, sur le poids qu’aura la France dans les années à venir”, son collègue à Bercy Laurent Saint-Martin mettant en garde contre “une crise économique et financière”.- Un premier 49-3 lundi ? -Sans attendre la lecture définitive sur le budget de l’Etat mi-décembre, une motion de censure pourrait être déposée la semaine prochaine en cas de recours au 49.3 sur le budget de la Sécurité sociale.Faute de majorité à l’Assemblée, le gouvernement pourrait déclencher ce 49.3 lundi, si députés et sénateurs parviennent à un compromis mercredi en commission mixte partiaire (CMP), où la coalition gouvernementale dispose d’une courte majorité (huit voix contre six).Sénateurs et députés ont franchi un premier obstacle en approuvant en CMP une baisse des exonérations de cotisations patronales à hauteur de 1,6 milliard d’euros pour 2025, après la décision d’Ensemble pour la République (EPR, ex-Renaissance) de ne pas bloquer l’émergence d’un compromis.La représentante macroniste Stéphanie Rist a voté contre, mais elle ne devrait pas s’opposer in fine au texte issu de la CMP, même si les macronistes voient cette mesure comme un reniement de sept ans de politique de l’offre. Un échec de la CMP renverrait le texte dans la navette parlementaire, alourdissant probablement le nombre de 49.3 nécessaires pour faire passer le texte.Le gouvernement est absent en CMP mais peut interagir par coups de fil et textos. Le ministre du Budget Laurent Saint-Martin avait estimé qu’un “bon consensus” en CMP serait environ à 1,5 milliard d’euros. Si les cotisations sont le principal irritant pour les macronistes, le texte est truffé de mesures sensibles, sur l’indexation des retraites, le remboursement des médicaments ou la fiscalité sur les sodas et le tabac.La patron des députés Droite républicaine Laurent Wauquiez a, lui, annoncé un accord avec les sénateurs LR pour renoncer à sept heures de travail sans rémunération pour les actifs, censées rapporter 2,5 milliards. Une annonce qui a crispé certains sénateurs centristes la découvrant dans la presse.La gauche tentera, elle, de défendre des revalorisations de l’objectif des dépenses de l’assurance maladie (Ondam) ou la suppression de certains déremboursements de médicaments, et proposera des mesures de financement.

Mexico says Trump tariffs would cost 400,000 US jobs

Mexico said Wednesday the United States will be shooting itself in the foot if President-elect Donald Trump implements his threats to impose 25-percent tariffs on Mexican imports.Trump on Monday fired the warning shot in a looming trade war with the top three US trading partners by threatening to impose huge tariffs on Mexico, Canada and China if they failed to stop illegal migration and drug smuggling into the United States.He said he would charge 25 percent tariffs on Mexican and Canadian imports and 10 percent on Chinese goods “above any additional tariffs” on the world’s second-biggest economy.Mexico’s Economy Minister Marcelo Ebrard warned that the cost to US companies of the tariffs on Mexico would be “huge.””Around 400,000 jobs will be lost” in the United States, he said, citing a study based on figures from US carmakers that manufacture in Mexico.He added the tariffs would also hit US consumers hard.Ebrard cited the US market for pickup trucks, most of which are manufactured in Mexico, as an example, claiming the tariffs would add $3,000 to the cost of a new vehicle.”The impact of this measure will chiefly be felt by consumers in the United States… That is why we say that it would be a shot in the foot,” he said, speaking alongside President Claudia Sheinbaum during her regular morning conference.Mexico and China have been particularly vociferous in their opposition to Trump’s threats of a trade war from day one of his second presidential term, which begins on January 20.Sheinbaum has declared the threats “unacceptable” and pointed out that Mexico’s drug cartels exist mainly to serve drug use in the United States.She has written to Trump to propose a meeting, which she says would happen “ideally” before he takes office.China has warned that “no one will win a trade war.”During his first term as president, Trump launched full-blown trade hostilities with Beijing, imposing significant tariffs on hundreds of billions of dollars of Chinese goods. China responded with retaliatory tariffs on American products, particularly affecting US farmers.The United States, Mexico and Canada are tied to a three-decade-old largely duty-free trade agreement, called the USMCA, that was renegotiated under Trump after he complained that US businesses, especially automakers, were losing out.

New clashes in Mozambique as two reported killedWed, 27 Nov 2024 18:16:05 GMT

Anti-government protesters and security forces clashed across Mozambique Wednesday with police reportedly killing two people and a military vehicle mowing down another at fresh demonstrations against October’s disputed elections.Opposition leader Venancio Mondlane has rejected the results of the October 9 vote and led a weeks-long standoff that has been brutally suppressed by police and left …

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