Internal displacement in Africa triples in 15 years: monitorTue, 26 Nov 2024 01:09:25 GMT

Conflicts, violence and disasters across Africa have dramatically driven up the number of displaced people on the continent over the past 15 years, international monitors said Tuesday.By the end of last year, Africa counted 35 million people living displaced within their own countries, according to a report by the Internal Displacement Monitoring Centre (IDMC).That is nearly …

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Le budget au Sénat, dernières heures apaisées pour un gouvernement en sursis

Le Sénat s’est saisi lundi du projet de budget du gouvernement pour 2025, prêt à soutenir l’essentiel des mesures de ce texte à haut risque pour Michel Barnier, toujours menacé de censure par le Rassemblement national.Pour valider un budget proche de son projet initial, le Premier ministre, privé de majorité à l’Assemblée, compte sur la chambre haute, où sa coalition gouvernementale est largement majoritaire. Sur Public Sénat, le ministre du Budget Laurent Saint-Martin a dit toujours espérer aboutir à un effort budgétaire “autour de 60 milliards”. Mais “si c’est un petit peu moins, ce n’est pas très grave”, quitte à ce que le déficit atteigne “un petit peu plus” que les 5% du PIB visés. Rejeté en première lecture à l’Assemblée, c’est dans sa version initiale, celle soumise par le gouvernement, que le budget est arrivé au palais du Luxembourg: les sénateurs ont entamé lundi l’examen des recettes, avant de passer aux dépenses en principe la semaine prochaine. Un vote solennel est prévu le 12 décembre.”Pour la première fois depuis au moins sept ans et sans doute une dizaine d’années, il y a une claire majorité au Sénat pour accompagner et pour soutenir – sans complaisance mais de manière positive -, l’action du gouvernement”, a insisté ces derniers jours Michel Barnier.Ce budget “est perfectible et nous comptons évidemment, plus que sur toutes autres, sur les discussions qui vont avoir lieu dans cet hémicycle pour en améliorer le contenu”, a lancé le ministre de l’Economie Antoine Armand, en ouverture des débats à la chambre haute.Premier signe positif pour le gouvernement: les sénateurs ont adopté en parallèle le projet de loi de finances de “fin de gestion” pour 2024, un texte moins emblématique qui fixe d’ultimes ajustements budgétaires en fin d’année.D’autres mesures plus sensibles arrivent néanmoins dans le budget 2025, comme la “contribution exceptionnelle” sur les bénéfices des grandes entreprises ou sur l’imposition minimale demandée aux ménages les plus aisés pendant trois ans. Deux dispositifs loin d’être dans l’ADN de la droite.- “Socle” divisé -La chambre haute entend également poser quelques marqueurs en disant non à l’augmentation de la taxe sur l’électricité, et surtout en réduisant la contribution demandée aux collectivités territoriales, toujours choyées dans cet hémicycle.”L’effort de 5 milliards d’euros n’est pas envisageable. Nous souhaitons le limiter à 2 milliards et réaliser les 3 milliards d’économies ailleurs”, a promis le président du Sénat Gérard Larcher devant le Congrès des maires de France.La gauche, minoritaire, ne manquera pas, de son côté, de s’indigner face à ce qu’elle qualifie de “renoncement”. Signe que les rapports de force diffèrent dans les deux chambres: le Sénat a rejeté un dispositif proposé par le macroniste et ex-socialiste Xavier Iacovelli pour défiscaliser la pension alimentaire reçue par le parent ayant la garde de l’enfant, tout en supprimant l’avantage fiscal dont bénéficie celui qui la verse. Cette mesure, favorable aux familles monoparentales, avait été approuvée fin octobre à l’Assemblée grâce aux voix de gauche – avant que le budget, dans son ensemble, y soit rejeté.Autre divergence entre les deux chambres: le Sénat a rejeté l’idée de transformer en crédit d’impôt la réduction fiscale sur les frais de séjour en Ehpad, ce qui aurait permis aux plus modestes d’en bénéficier également. Là aussi, la mesure avait précédemment été approuvée à l’Assemblée.Le “socle” gouvernemental s’est par ailleurs divisé sur une proposition vinant à taxer d’avantage les retraités, en abaissant le plafond de leur abattement de 10% – ce qui aurait donc surtout frappé les contribuables les plus aisés. La mesure, qui aurait pu rapporter deux milliards d’euros mais n’était pas soutenue par le gouvernement, a été rejetée: les sénateurs LR ont voté pour, mais la plupart des centristes étaient contre.Après le Sénat, sept députés et sept sénateurs tenteront de trouver un compromis sur le budget lors d’une commission mixte paritaire (CMP). S’ils y parviennent, la version finale du texte semble promise au 49.3 à son retour devant les députés. Et donc à une motion de censure examinée autour du 20 décembre.

Dow ends at fresh record as oil prices pull back on ceasefire hopes

US stocks rose Monday, with the Dow finishing at a fresh record as markets greeted Donald Trump’s pick for treasury secretary, while oil prices retreated on hopes for a ceasefire between Israel and Hezbollah.The Dow climbed one percent to a second straight all-time closing high on news of the selection of hedge fund manager Scott Bessent to lead the critical economic policy position.A widely respected figure on Wall Street, Bessent is seen as being in favor of growth and deficit reduction policies and not known overly fond of trade tariffs.The market “breathed a sigh of relief” at Bessent’s selection, said Art Hogan from B. Riley Wealth Management.But after an initial surge Monday, the gains in US equities moderated somewhat. While investors are enthusiastic about the possibility of tax cuts and regulatory relief under Trump, “we do have to face the potential for tariffs being a negative as well as a very tight market around immigration, which is not positive for the economy,” Hogan said.Earlier, equity gains were limited in Europe as growth concerns returned to the fore with Germany’s Thyssenkrupp announcing plans to cut or outsource 11,000 jobs in its languishing steel division.Currently around 27,000 people are employed in the steel division, which has been battered by high production costs and fierce competition from Asian rivals.Elsewhere, crude oil prices fell decisively as Israel’s security cabinet prepared to decide whether to accept a ceasefire in its war with Hezbollah, an official said Monday.The United States, the European Union and the United Nations have all pushed in recent days for a truce in the long-running hostilities between Israel and Hezbollah, which flared into all-out war in late September.Speaking on condition of anonymity, an Israeli official told AFP the security cabinet “will decide on Tuesday evening on the ceasefire deal.”And bitcoin’s push toward $100,000 ran out of steam after coming within a whisker of the mark last week, on hopes that Trump would enact policies to bring the cryptocurrency more into the mainstream.Bitcoin was recently trading under $96,000, having set a record high of $99,728.34 Friday — the digital currency has soared about 50 percent in value since Trump’s election.This week’s data includes a reading of consumer confidence and an update of personal consumption prices, a key inflation indicator.Those reporting earnings include Best Buy, Dell and Dick’s Sporting Goods.- Key figures around 2140 GMT -New York – Dow: UP 1.0 percent at 44,736.57 (close)New York – S&P 500: UP 0.3 percent at 5,987.37 (close)New York – Nasdaq: UP 0.3 percent at 19,054.84 (close)London – FTSE 100: UP 0.4 percent at 8,291.68 (close)Paris – CAC 40: FLAT at 7,257.47 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 19,405.20 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 38,780.14 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.4 percent at 19,150.99 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,263.76 (close)Euro/dollar: UP at $1.0495 from $1.0418 on FridayPound/dollar: UP at $1.2564 from $1.2530Dollar/yen: DOWN at 154.23 yen from 154.78 yenEuro/pound: UP at 83.51 pence from 83.14 penceWest Texas Intermediate: DOWN 3.2 percent at $68.94 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.9 percent at $73.01 per barrel

Au procès de la rue d’Aubagne, les bras droits de Gaudin en soutien à l’ex-adjoint

La garde rapprochée de Jean-Claude Gaudin, ex-maire de Marseille décédé en mai, s’est employée lundi à dédouaner l’ex-adjoint Julien Ruas, prévenu au procès des effondrements meurtriers de la rue d’Aubagne, avec des déclarations jugées “surprenantes”.”Si un élu est compétent dans le domaine où il est adjoint, il va devenir le chef de service et ce n’est pas une bonne chose. Et la plupart du temps, les élus n’ont pas de compétence quand ils arrivent sur une délégation”, a avancé Claude Bertrand, 79 ans, directeur de cabinet du LR Jean-Claude Gaudin pendant les 25 ans de son règne.”C’est un tout petit peu surprenant quand même”, relève le président du tribunal correctionnel de Marseille, Pascal Gand.Puis est arrivé un autre dinosaure de la vie politique marseillaise, lui aussi cité par la défense de Julien Ruas: Jean-Pierre Chanal, qui était au moment des effondrements de la rue d’Aubagne en novembre 2018 adjoint au directeur général des services (DGS).”Dans une ville, le maire a une autorité territoriale, le DGS a une autorité hiérarchique donc aucun adjoint ne peut intervenir. Le rôle de l’adjoint est d’impulser les choix politiques” mais il “n’a aucune autorité, aucun pouvoir d’imposer”.Julien Ruas était à l’époque notamment en charge de la prévention et de la gestion des risques urbains et de la police des immeubles en péril. Il estime être “le bouc émissaire idéal” dans ce drame qui avait fait huit morts et traumatisé la 2e ville de France.Mais pour les juges d’instruction, il était “au cÅ“ur de la lutte contre l’habitat dégradé et indigne” et “sa position d’élu lui conférait le poids politique nécessaire à des prises de décisions” notamment face au “sous-effectif chronique du service de prévention et de gestion des risques”.Ce drame et les manifestations massives qui ont suivi avaient d’ailleurs sans doute joué un rôle dans la défaite de la droite aux municipales de 2020. Aujourd’hui Julien Ruas, 40 ans, est élu municipal dans l’opposition et directeur d’une maison de retraite.

L’étau de la censure se resserre sur Michel Barnier

Marine Le Pen pour l’extrême droite puis Mathilde Panot au nom de la gauche ont fermement maintenu lundi leurs menaces de censure du gouvernement après leurs entretiens avec Michel Barnier.Le Premier ministre ouvrait une série de consultations sur les textes budgétaires avec la cheffe de file du Rassemblement national qui tient entre ses mains le destin de son gouvernement et a balayé les avertissements sur un potentiel “chaos” politique et financier si elle mettait sa menace a exécution.Michel Barnier “m’est apparu campé sur ses positions”, a-t-elle affirmé après une rencontre d’une heure dix, en confirmant l’intention du RN de voter la censure si le budget restait “en l’état”.”Ma position n’a pas évolué. Pas plus, semble-t-il, que n’a évolué celle du Premier ministre”, a-t-elle ajouté, disant avoir réitéré ses “lignes rouges”.Elle a jugé notamment “inadmissible” l’augmentation des taxes sur l’électricité et le compromis sur les retraites, et réclamé des économies “claires” sur l’immigration et le fonctionnement de l’État. La cheffe de file des députés de la France insoumise Mathilde Panot a clos la journée d’entretiens en affirmant avoir “acté des désaccords profonds” avec le Premier ministre, notamment sur le budget qui est à ses yeux “le plus violent socialement et écologiquement” de la Ve République.- Survivre -Elle a appelé “l’ensemble des députés”, y compris du RN, à voter la motion de censure qu’elle a prévu de déposer avec ses alliés du Nouveau front populaire si le Premier ministre utilisait l’article 49.3 pour l’adoption sans vote du projet de budget.Faute de majorité à l’Assemblée, Michel Barnier a prévenu qu’il emploierait “probablement” cet outil constitutionnel. Et pour survivre à une motion de censure, il lui faut éviter que le RN ne joigne ses voix à celles de la gauche.Michel Barnier a reçu également le chef de file du groupe centriste Liot (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) Stéphane Lenormand, qui a redit son opposition à la baisse des dotations pour les collectivités locales et des crédits pour les territoires ultramarins. Liot “attendra le budget final” pour décider de la censure ou pas, a relaté son entourage.Michel Barnier “doit corriger sa copie” car “c’est un mauvais budget”, a estimé à son tour Eric Ciotti, allié du RN et président du groupe UDR (Union des droites pour la République), qui ne s'”interdi(ra) pas” de voter la censure.Face à ce qu’il appelle la “coalition des contraires”, Michel Barnier a promis, en marge d’un déplacement lundi, de “rendre compte” prochainement de ces consultations, organisées parce que “tout le monde doit être respecté”, y compris le RN.Des échanges qui portent sur le budget mais aussi “sur les autres enjeux du pays”, selon son entourage.Marine Le Pen a ainsi dit avoir parlé de la future loi sur l’immigration, qui lui a paru “extrêmement prudente”, et de la proportionnelle, mais “le chemin semble long”, selon elle.- Minimiser -La cheffe de file de l’extrême droite qui, depuis les réquisitoires à son procès sur ses assistants au Parlement européen, a haussé le ton contre le gouvernement, a semblé vouloir anticiper les critiques d’une éventuelle censure si le RN joignait ses voix à celles de la gauche.Un vote de censure signifierait la chute du gouvernement Barnier mais aussi le rejet du projet de budget pour 2025. Ce scénario fait craindre à la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon une crise financière voire “un scénario à la grecque”.Marine Le Pen s’est défendue d’emblée de provoquer le “chaos” ou la “chienlit”, à contre-courant de sa stratégie de dédiabolisation de son parti. “Si ce budget ne passe pas, c’est le budget de l’année dernière qui s’appliquera. Il est plutôt somme toute moins mauvais que celui-là puisqu’il y a moins d’impôts”, a-t-elle minimisé.Elle a aussi renvoyé la responsabilité d’une éventuelle crise politique sur Emmanuel Macron. “Lorsqu’une censure est votée, c’est au président de la République de choisir un nouveau Premier ministre”, a-t-elle dit, en réaffirmant vouloir censurer “tout gouvernement” de l’alliance de gauche NFP (Nouveau Front populaire).Mathilde Panot a aussi écarté la possibilité d’un “shutdown” à la française, avec des fonctionnaires qui ne seraient plus payés, et s’est dite prête à “avoir une nouvelle discussion budgétaire début 2025”.Outre les oppositions, certains alliés de Michel Barnier font monter la pression pour limiter les hausses d’impôts. Le chef des députés macronistes Gabriel Attal, qui sera reçu mardi matin avec les autres dirigeants du “socle commun” a redit lundi ses “doutes” à ce sujet mais jugé Marine Le Pen “totalement irresponsable”, en marge d’un déplacement dans l’Orne.

Le Pen ferme sur sa menace de censure après sa rencontre avec Barnier

Marine Le Pen a fermement maintenu lundi sa menace de censure du gouvernement après son entretien avec Michel Barnier, et balayé les avertissements sur un potentiel “chaos” politique et financier si cette hypothèse prenait corps.Le Premier ministre ouvrait une série de consultations sur les textes budgétaires  avec la cheffe du Rassemblement national, qui tient entre ses mains le destin de son gouvernement.Michel Barnier “m’est apparu campé sur ses positions”, a-t-elle affirmé après une rencontre d’une heure dix, en confirmant l’intention du parti d’extrême droite de voter la censure si le budget restait “en l’état”. “Ma position n’a pas évolué. Pas plus, semble-t-il, que n’a évolué celle du Premier ministre”, a-t-elle ajouté, disant avoir réitéré ses “lignes rouges”.Elle a jugé notamment “inadmissible” l’augmentation des taxes sur l’électricité et le compromis sur les retraites, et réclamé des économies “claires” sur l’immigration et le fonctionnement de l’État. Après cette rencontre, Michel Barnier s’est rendu à l’Élysée pour son rendez-vous hebdomadaire avec le président Emmanuel Macron. Il a reçu ensuite le chef de file du groupe centriste Liot (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) Stéphane Lenormand pour une grosse demi-heure d’échanges.Ce dernier a redit son opposition à la baisse des dotations pour les collectivités locales et des crédits pour les territoires ultramarins, et “attendra le budget final” pour décider si Liot votera ou non la censure, selon son entourage, sollicité par l’AFP.- “Corriger sa copie” -Michel Barnier “doit corriger sa copie” car “c’est un mauvais budget”, a estimé à l’issue de sa rencontre Eric Ciotti, allié du RN et président du groupe UDR (Union des droites pour la République), qui demande “moins d’impôts et plus d’économies de la part de l’État” et ne s'”interdi(ra) pas” de voter la censure.La cheffe de file des députés de la France insoumise Mathilde Panot lui a succédé à Matignon vers 17H15 pour l’ultime rendez-vous de la journée. Elle devait répéter à Michel Barnier “qu’il n’a pas de légitimité démocratique” et que LFI déposerait, avec le reste de la gauche, une motion de censure en cas de recours au 49.3.Face à ce qu’il appelle la “coalition des contraires”, Michel Barnier a promis en marge d’un déplacement lundi de “rendre compte” prochainement de ces consultations, organisées parce que “tout le monde doit être respecté”, y compris le RN.Des échanges qui portent sur le budget mais aussi “sur les autres enjeux du pays”, selon son entourage.Marine Le Pen a ainsi dit avoir parlé avec Michel Barnier de la future loi sur l’immigration, qui lui a paru “extrêmement prudente”, et de la proportionnelle, mais “le chemin semble long”, selon elle.La cheffe de file de l’extrême droite qui, depuis les réquisitoires à son procès sur ses assistants au Parlement européen, a haussé le ton contre le gouvernement, a semblé vouloir anticiper les critiques d’une éventuelle censure, si le RN joignait ses voix à celles de la gauche.- “Irresponsable” -Un vote de censure signifierait la chute du gouvernement Barnier mais aussi le rejet du projet de budget pour 2025. Ce scénario fait craindre à la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon une crise financière voire “un scénario à la grecque”.Marine Le Pen s’est défendue d’emblée de provoquer le “chaos” ou la “chienlit”, à contre-courant de sa stratégie de dédiabolisation de son parti. “Si ce budget ne passe pas, c’est le budget de l’année dernière qui s’appliquera. Il est plutôt somme toute moins mauvais que celui-là puisqu’il y a moins d’impôts”, a-t-elle minimisé. Elle a aussi renvoyé la responsabilité d’une éventuelle crise politique sur Emmanuel Macron. “Lorsqu’une censure est votée, c’est au président de la République de choisir un nouveau Premier ministre”, a-t-elle dit, en réaffirmant vouloir censurer “tout gouvernement” de l’alliance de gauche NFP (Nouveau Front populaire).Outre les oppositions, certains alliés de Michel Barnier font aussi monter la pression pour limiter les hausses d’impôts. Le chef des députés macronistes Gabriel Attal a redit lundi ses “doutes” sur certains aspects du budget mais jugé Marine Le Pen “totalement irresponsable”. “Michel Barnier n’a pas besoin qu’on le censure, il a besoin qu’on l’aide à réussir”, a-t-il dit en marge d’un déplacement dans l’Orne.Faute de majorité à l’Assemblée, Michel Barnier a prévenu qu’il emploierait “probablement” dans les prochaines semaines l’article 49.3 sur le budget 2025. Et pour survivre à une motion de censure, il lui faut éviter que le RN joigne ses voix à celles de la gauche.