G. Bissau junta consolidates power as condemnation of coup spreadsFri, 28 Nov 2025 22:21:06 GMT

The new military leader of Guinea-Bissau appointed an ally of the ousted president as prime minister on Friday, as international criticism grew of this week’s coup.The military took “total control” of the west African country on Wednesday — a day before the provisional results of national elections were due to be announced — and President …

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Un mois après avoir abaissé la note française, S&P s’abstient d’une nouvelle décision

Plus d’un mois après avoir inopinément abaissé la note de la France, l’agence de notation S&P Global Ratings n’a pas pris vendredi soir de nouvelle décision formelle sur la solvabilité du pays, confronté à de difficiles débats budgétaires à l’issue incertaine.La note souveraine de la France est donc toujours de A+, après avoir été abaissée d’un cran par l’agence américaine le 17 octobre, en  avance sur le calendrier en signe d’avertissement au gouvernement de Sébastien Lecornu. Le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, a dit prendre “acte de la décision (de S&P) de maintenir la notation française à A+ et la perspective stable”, dans une réaction écrite.S&P pouvait décider vendredi, en vertu du calendrier officiel de publication, de confirmer ou modifier la note de la France, de maintenir ou revoir la perspective dont celle-ci est assortie.  A l’inverse, elle pouvait aussi décider de ne pas prendre d’action de notation formelle et de procéder à la place à un examen semestriel de la situation française. La décision éventuelle de S&P était attendue dans un contexte budgétaire tendu, avec des doutes importants sur la capacité du Parlement à adopter avant la fin de l’année un budget 2026 susceptible de réduire nettement le lourd déficit public. La dégradation de la note française qui était intervenue le 17 octobre était la deuxième par S&P en un an et demi. L’agence avait pointé “l’instabilité politique” conduisant à une incertitude “élevée” sur les finances publiques, quelques jours à peine après la présentation par le gouvernement de son projet de budget pour 2026 visant à réduire le déficit public de 5,4% du produit intérieur brut (PIB) en 2025 à 4,7% en 2026.- Comme l’Espagne et le Portugal -Selon Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management, il y a “peu d’informations nouvelles depuis le 17 octobre” qui auraient pu conduire S&P à revoir la note ou la perspective.  La situation budgétaire reste tout aussi incertaine qu’en octobre, ajoute-t-il dans une note, estimant “logique que S&P attende que la situation s’éclaircisse avant de reconsidérer la note”. S&P place la France au même niveau que l’Espagne et le Portugal, dont la note a été relevée à la fin de l’été et qui empruntent moins cher à dix ans sur les marchés. En octobre, le ministre de l’Economie avait déjà dit prendre “acte” de la dégradation de la note française, rappelant la volonté du gouvernement de ramener le déficit sous 3% du PIB en 2029 dans un contexte de croissance relativement résiliente. En septembre, une autre grande agence de notation, Fitch, avait dégradé la note du pays en raison de ses finances dégradées, tandis que Moody’s lui avait donné un sursis en octobre, tout en abaissant la perspective à négative.Le Sénat a commencé jeudi à examiner le projet de budget de l’Etat pour 2026, sans certitude sur la possibilité de parvenir à un compromis. Quant au budget de la Sécurité sociale, il repart à l’Assemblée nationale, après l’échec d’une commission de députés et sénateurs à trouver un terrain d’entente sur son contenu. Mardi, la Commission européenne a estimé que la France respectait les engagements qu’elle avait pris pour réduire son déficit public, tout en notant l'”incertitude considérable” entourant le projet de budget.

Un mois après avoir abaissé la note française, S&P s’abstient d’une nouvelle décision

Plus d’un mois après avoir inopinément abaissé la note de la France, l’agence de notation S&P Global Ratings n’a pas pris vendredi soir de nouvelle décision formelle sur la solvabilité du pays, confronté à de difficiles débats budgétaires à l’issue incertaine.La note souveraine de la France est donc toujours de A+, après avoir été abaissée d’un cran par l’agence américaine le 17 octobre, en  avance sur le calendrier en signe d’avertissement au gouvernement de Sébastien Lecornu. Le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, a dit prendre “acte de la décision (de S&P) de maintenir la notation française à A+ et la perspective stable”, dans une réaction écrite.S&P pouvait décider vendredi, en vertu du calendrier officiel de publication, de confirmer ou modifier la note de la France, de maintenir ou revoir la perspective dont celle-ci est assortie.  A l’inverse, elle pouvait aussi décider de ne pas prendre d’action de notation formelle et de procéder à la place à un examen semestriel de la situation française. La décision éventuelle de S&P était attendue dans un contexte budgétaire tendu, avec des doutes importants sur la capacité du Parlement à adopter avant la fin de l’année un budget 2026 susceptible de réduire nettement le lourd déficit public. La dégradation de la note française qui était intervenue le 17 octobre était la deuxième par S&P en un an et demi. L’agence avait pointé “l’instabilité politique” conduisant à une incertitude “élevée” sur les finances publiques, quelques jours à peine après la présentation par le gouvernement de son projet de budget pour 2026 visant à réduire le déficit public de 5,4% du produit intérieur brut (PIB) en 2025 à 4,7% en 2026.- Comme l’Espagne et le Portugal -Selon Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG School of Management, il y a “peu d’informations nouvelles depuis le 17 octobre” qui auraient pu conduire S&P à revoir la note ou la perspective.  La situation budgétaire reste tout aussi incertaine qu’en octobre, ajoute-t-il dans une note, estimant “logique que S&P attende que la situation s’éclaircisse avant de reconsidérer la note”. S&P place la France au même niveau que l’Espagne et le Portugal, dont la note a été relevée à la fin de l’été et qui empruntent moins cher à dix ans sur les marchés. En octobre, le ministre de l’Economie avait déjà dit prendre “acte” de la dégradation de la note française, rappelant la volonté du gouvernement de ramener le déficit sous 3% du PIB en 2029 dans un contexte de croissance relativement résiliente. En septembre, une autre grande agence de notation, Fitch, avait dégradé la note du pays en raison de ses finances dégradées, tandis que Moody’s lui avait donné un sursis en octobre, tout en abaissant la perspective à négative.Le Sénat a commencé jeudi à examiner le projet de budget de l’Etat pour 2026, sans certitude sur la possibilité de parvenir à un compromis. Quant au budget de la Sécurité sociale, il repart à l’Assemblée nationale, après l’échec d’une commission de députés et sénateurs à trouver un terrain d’entente sur son contenu. Mardi, la Commission européenne a estimé que la France respectait les engagements qu’elle avait pris pour réduire son déficit public, tout en notant l'”incertitude considérable” entourant le projet de budget.

EuroMillions: un jackpot de plus de 178 millions d’euros gagné en France

Une somme qui fera des envieux: “le jackpot EuroMillions de plus de 178 millions d’euros, proposé ce soir, a été remporté en France par un gagnant”, a annoncé vendredi FDJ United (ex-Française des jeux), dans un communiqué. Pour décrocher le pactole, il fallait choisir la combinaison 5-29-33-39-42 ainsi que les étoiles 3 et 9. En août, une somme record de 250 millions d’euros avait été remportée à l’EuroMillions en France, le plus gros gain national dans un jeu de tirage.Il s’agissait d’un groupe de cinq amis originaires d’Ile-de-France, affirme la FDJ sur son site internet. Ils jouaient “tous ensemble” pour la première fois.        Le précédent record de gain sur le territoire français s’élevait à 220 millions d’euros, décroché dans le cadre de l’Euromillions à Tahiti, en Polynésie française, en 2021.Ces 250 millions d’euros, qui correspondent au plafond des gains proposés par l’EuroMillions, avaient déjà été gagnés en Autriche et en Irlande en 2025.

Airbus rappelle 6.000 A320 à cause d’un logiciel vulnérable à changer d’urgence

Airbus a annoncé vendredi le rappel de quelque 6.000 avions A320, pour remplacer en toute urgence un logiciel de commande vulnérable aux radiations solaires, après un incident fin octobre aux États-Unis.Le groupe a annoncé dans un communiqué avoir demandé à l’ensemble des clients utilisant ce logiciel “d’arrêter immédiatement les vols” après l’analyse de l’incident technique.Celui-ci remonte au 30 octobre, sur un vol de JetBlue entre Cancun, au Mexique, et Newark, près de New York. L’appareil avait dû se poser en urgence à Tampa, en Floride.L’analyse de l’incident a “révélé que des radiations solaires intenses pourraient corrompre des données essentielles au fonctionnement des commandes de vol”, a rapporté le groupe européen.Pour la plupart des avions, le changement de logiciel avec sa version précédente prendra “quelques heures”. Mais pour quelque 1.000 avions cela impliquera le changement du matériel informatique, “ce qui prendra des semaines”, a expliqué à l’AFP une source proche du dossier. Il s’agit d’un calculateur profondeur-ailerons (ELAC) fabriqué par Thales.Ce fournisseur d’Airbus a précisé à l’AFP qu’il n’était pas responsable du problème. “La fonctionnalité dont il est question est portée par un logiciel qui n’est pas de responsabilité Thales”, a-t-il indiqué.Airbus n’a pas précisé quelle entreprise avait conçu et mettait à jour ce logiciel. Le groupe “reconnaît que ces recommandations entraîneront des perturbations opérationnelles pour les passagers et les clients”.”Nous présentons nos excuses pour les désagréments causés et travaillerons en étroite collaboration avec les opérateurs, tout en maintenant la sécurité comme notre priorité absolue et primordiale”, ajoute l’avionneur européen.- “La sûreté prime” -L’incident s’est produit en phase de croisière lorsqu’au dessus du golfe du Mexique, l’appareil a soudainement piqué vers le bas sans intervention des pilotes.Ceux-ci ont amorcé la phase de descente puis posé l’avion. Les pompiers de Tampa ont fait état auprès des médias américains de blessés parmi les passagers.L’Airbus A320, entré en exploitation en 1988, est l’avion le plus vendu au monde. En septembre il a détrôné le monocouloir 737 du constructeur américain Boeing, dont le premier exemplaire a été livré en 1968.À la fin septembre, Airbus avait livré 12.257 exemplaires de son A320 (versions d’affaires incluses) contre 12.254 exemplaires pour le 737 de Boeing.Sollicité par l’AFP pour commenter l’incident, JetBlue n’a pas donné suite.Air France a indiqué avoir annulé 35 vols vendredi, et être en train de compter dans la soirée le nombre exact pour samedi. “Les clients concernés par des annulations sont informés individuellement par SMS et email”, a précisé un porte-parole.American Airlines a indiqué avoir déjà commencé à mettre à jour le logiciel de navigation après avoir reçu la notification vendredi.Cette compagnie prévoit que l’intervention aura été effectuée sur “la grande majorité” des quelque 340 appareils A320 concernés (elle en compte 480 au total) de sa flotte d’ici à samedi. “Quelques retards” seront dus à ces ajustements.Également contactée par l’AFP, sa rivale américaine United Airlines a assuré ne pas être “affectée” par ce défaut, sans plus de précision, bien qu’elle possède plusieurs A320.Certaines compagnies sont particulièrement touchées. La colombienne Avianca, par exemple, estime que 70% de sa flotte est concernée, et entrevoit des “perturbations importantes dans les dix jours à venir”, a-t-elle écrit dans un communiqué. La vente de billets est suspendue jusqu’au 8 décembre.Le régulateur européen de l’aviation (AESA) a indiqué dans un communiqué avoir été informé par Airbus.”Ces mesures pourraient causer des perturbations à court terme des horaires des vols, et donc des désagréments pour les passagers. Cependant, comme c’est toujours le cas dans l’aviation, la sûreté prime sur tout”, a-t-il écrit.neo-tu-als-hh/vmt

Meurtre d’Arthur en 2021 dans une rixe: l’accusé condamné à 20 ans de réclusion

La cour d’assises de l’Essonne a condamné vendredi à 20 ans de réclusion criminelle José Mbondo pour le meurtre d’Arthur, tué en 2021 dans une rixe à Sainte-Geneviève-des-Bois, et pour des violences en réunion sur Amine, un ami d’Arthur.L’accusation avait requis 22 ans contre lui.Ce soir-là de juillet 2021, Arthur, 19 ans, et Amine, 18 ans, s’étaient rendus à Sainte-Geneviève sur un scooter volé.Originaires de Saint-Michel-sur-Orge, les deux amis étaient venus sur place munis d’une arme à feu avec l’intention d’en découdre sur fond de rivalités récurrentes entre bande de jeunes des deux villes mitoyennes.Ils ont vite été pris à partie par plusieurs personnes dans le quartier Saint-Hubert.Blessé lors de la rixe, Amine est parvenu à s’enfuir mais Arthur a été passé à tabac avant d’être laissé à terre en partie dénudé par ses agresseurs. Inconscient, il a été transporté à l’hôpital, où il est décédé deux jours plus tard.José Mbondo a été identifié sur l’une des vidéos filmées par les assaillants eux-mêmes et partagées sur les réseaux sociaux, souvent accompagnées de commentaires menaçants ou humiliants envers le défunt.L’ADN d’Arthur et d’Amine a par ailleurs été retrouvé sur des taches de sang sur le pantalon de l’accusé.Interpellé une dizaine de jours après les faits, il a été placé placé en détention provisoire. S’il a reconnu sa participation à la rixe lors du procès, il a nié avoir porté les coups mortels.En juin 2023, près de deux ans après la mort d’Arthur, trois suspects ont été mis en examen, un autre placé sous le statut de témoin assisté. Mais, à l’issue de l’instruction, ils ont bénéficié de non-lieux en l’absence de “charges suffisantes” au désarroi de la famille d’Arthur.L’accusation avait requis 22 ans de réclusion criminelle à l’encontre de José Mbondo.Après deux scènes de bagarre générale mercredi dans l’enceinte même du palais de justice entre bandes rivales de Saint-Michel et Sainte-Geneviève, le président de la cour a prononcé un huis clos, estimant que l’ordre public était menacé.Suite aux échauffourées, sept personnes majeures ont été placées en garde à vue pour participation à un groupement en vue de commettre des violences et violences volontaires en réunion, a indiqué le parquet d’Evry à l’AFP.

US shooting suspect faces murder charge as anti-migrant stance hardens

An Afghan citizen accused of shooting two National Guard members will be charged with first-degree murder, a US official said Friday, after one of the soldiers died of her wounds as President Donald Trump pledged to suspend migration from “third world countries.”The announcement marks an escalation in charges facing the assailant, identified as 29-year-old Rahmanullah Lakanwal, who allegedly opened fire on the guardsmen just a few blocks from the White House on Wednesday, the eve of the Thanksgiving holiday.”There are certainly many more charges to come, but we are upgrading the initial charges of assault to murder in the first degree,” Jeanine Pirro, the US attorney for Washington DC, told the Fox News program Fox & Friends.”It is a premeditated murder. There was an ambush with a gun toward people who didn’t know what was coming.”Pirro’s announcement comes after Attorney General Pam Bondi pledged on Thursday to seek the death penalty against Lakanwal, describing him as a “monster.”US media said Lakanwal was part of the “Zero Units” — a CIA-backed Afghan paramilitary force — and entered the United States as part of a resettlement program following the American military withdrawal from Afghanistan in 2021.Sarah Beckstrom, a 20-year-old West Virginia National Guard member deployed in the US capital as part of what Trump called a crackdown on crime, died from her wounds, the president said on Thursday.He said the other soldier wounded in the attack, 24-year-old Andrew Wolfe, was “fighting for his life.””We still have hope,” Pirro said of Wolfe.”He’s still in critical condition.”Lakanwal, who was also wounded and in custody, was said to have opened fire with a .357 Smith and Wesson revolver.The shooting has brought together three politically explosive issues: Trump’s controversial use of the military on American soil, immigration, and the lingering legacy of the 20-year conflict in Afghanistan — America’s longest war.- ‘Great fear’ -Late Thursday Trump pledged on Truth Social to “permanently pause” migration from “all Third World Countries” and threatened to reverse “millions” of admissions granted under his predecessor Joe Biden, in a new escalation of his anti-immigration stance.When asked which specific nationalities would be affected, the US Department of Homeland Security pointed AFP to a list of 19 countries — including Afghanistan, Cuba, Haiti, Iran and Myanmar — facing US travel restrictions under an order from Trump in June.Separately, Joseph Edlow, Trump’s director of US Citizenship and Immigration Services (USCIS), said on Thursday he had ordered a “full-scale, rigorous reexamination of every Green Card for every alien from every country of concern.”When asked to specify the countries, the USCIS referred AFP to the same list of 19 nations.More than 1.6 million US green card holders, roughly 12 percent of the total permanent resident population, were born in the countries listed, according to the latest immigration data available on the agency’s “Eligible to Naturalize Dashboard” analyzed by AFP.Afghanistan, which has over 116,000 green card holders, is also affected by a total halt of immigration application processing, ordered by the Trump administration after the recent shooting.Afghans across the United States were feeling “great fear” as Trump escalates his anti-immigration rhetoric, said Shawn VanDiver, president of AfghanEvac, a group that helped resettle Afghans in the country after the military withdrawal.”They’re worried that the president and his team are going to use this deranged man’s actions as a cudgel to kick them out of a place that they’ve spent their entire lives serving,” VanDiver told CNN. “That’s an awful feeling.”CIA director John Ratcliffe said Lakanwal entered the United States as part of a program to evacuate Afghans allied with the agency after the Taliban toppled the American-backed government in 2021.Lakanwal had been living in the western state of Washington with his family and drove across the country to the capital, officials said.The heads of the FBI, CIA and Homeland Security and other senior Trump appointees all insisted that Lakanwal had been granted unvetted access to the US because of what they called lax asylum policies after the chaotic US withdrawal from Afghanistan under former president Biden.However, AfghanEvac said they had undergone “some of the most extensive security vetting” of any migrants. It added that Lakanwal applied for asylum under Biden but received it later, under Trump.