Springbok coach Erasmus introduces ‘hybrid player’ EsterhuizenSat, 28 Jun 2025 20:21:25 GMT
Innovative South Africa head coach Rassie Erasmus called centre-turned-flanker Andre Esterhuizen a “hybrid player” on Saturday after a 54-7 victory over the Barbarians in wet and cold Cape Town.When replacement back Andre Esterhuizen came on early in the second half of the non-cap exhibition match for the world champions, it was as a loose forward. …
‘Eat the rich’: Venice protests shadow Bezos wedding
At least 500 protesters marched through Venice on Saturday, condemning Amazon founder Jeff Bezos’s wedding to journalist Lauren Sanchez, a lavish affair that has drawn backlash in the historic Italian city.”Bezos, out of the lagoon”, the demonstrators chanted as they wound through the city centre, some brandishing signs that read: “Eat the rich”, “Rejected”, and accusations that Venice’s mayor is “corrupt”.The peaceful protest, held in sweltering heat, was led by the “No place for Bezos” group, which has campaigned for days against what it calls the couple’s harmful economic and environmental footprint on the city.”We are here against what Bezos represents, his model, the Amazon model, based on exploiting people and land,” said Alice Bazzoli, 24, an activist with “No Space for Bezos” who has lived in Venice for five years, speaking to AFPTV.Protesters later unfurled a large “No place for Bezos” banner and lit flares above the famous Rialto Bridge spanning the Grand Canal.Matteo Battistuta, a 20-year-old student, said he wanted to send the message that “Venice is fighting back, it’s not a dead city, it acts in its own interest before tourism’s”.”We believe Venice can still be a place worth living in,” he added.Bezos, 61, and Sanchez, 55, exchanged vows during a ceremony Friday evening on the island of San Giorgio Maggiore, opposite St Mark’s Square.The ceremony capped off a week of yacht parties and VIP events, due to end with a lavish ball Saturday night — as Venetians remain divided over the impact on the city’s image.Guests included Ivanka Trump, Leonardo DiCaprio, Kim Kardashian, Kendall and Kylie Jenner, American football star Tom Brady, TV host Oprah Winfrey and Bill Gates.
La quasi-totalité de la France en vigilance orange canicule dimanche
A l’exception des Hautes-Alpes, de la Corse-du-Sud et d’une bande allant du Finistère à la Moselle, la France entière a été placée en vigilance orange canicule pour la journée de dimanche, alors que la vague de chaleur intense qui a débuté vendredi dans le Sud-Est devrait durer au moins jusqu’en milieu de semaine prochaine.Samedi en milieu d’après-midi des températures comprises entre 36 et 38°C ont été enregistrées dans les 14 départements du quart sud-est déjà en vigilance orange canicule avec des pics localement à 40,7°c à Cadenet, dans le Vaucluse ou encore 40°c à Villevieille, dans le Gard.Météo-France a étendu pour dimanche la vigilance orange canicule à 73 départements au total, soit la quasi-totalité du territoire métropolitain, anticipant un “épisode caniculaire intense et étendu”.Seuls le Finistère, les Côtes-d’Armor, la Manche, le Calvados, la Seine-Maritime, la Somme, le Pas-de-Calais, les Ardennes et la Marne seront épargnés par la chaleur, tandis que Morbihan, Orne, Eure, Oise, Aisne, Nord, Aube, Haute-Marne, Vosges, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Hautes-Alpes et Corse-du-Sud ne seront qu’en vigilance jaune canicule.- 39 à 40°C près de la Méditerranée -Il faudra s’attendre à des “températures maximales entre 30°C et 34°C sur un axe allant du sud de la Bretagne à la région Centre-Val de Loire, à l’Ile-de-France et à la Bourgogne” tandis que “plus au sud, on atteindra généralement 34°C à 38°C” et “régulièrement” 39°C à 40°C “près de la Méditerranée”, anticipe Météo-France.”La canicule se poursuivra en début de semaine prochaine, avec des températures encore en hausse, excepté sur le pourtour méditerranéen où elles seront stationnaires”, ajoute l’institut, qui prévoit que le pic -avec des maximales de 39°C à 40°C “assez fréquentes”- survienne “autour de mardi ou mercredi selon les régions”. “Les prévisions actuelles laissent penser à une fin progressive de cet épisode caniculaire intense et étendu entre mercredi et jeudi, d’ouest en est, mais cela reste encore à confirmer”, note Météo-France.A Nice, où vers midi samedi il faisait déjà 33° C, pour un ressenti de 37°C, les habitants venaient chercher un peu de fraîcheur sous les brumisateurs et jets d’eau disposés le long de la coulée verte aménagée par la municipalité.”On habite en centre-ville dans un appartement, on n’a pas de piscine et ici la mer, c’est difficile avec un enfant de deux ans”, a raconté à l’AFP Florence Oleari, 35 ans, médecin généraliste venue se mouiller avec sa fille. Dans la ville des Alpes-Maritimes, le thermomètre a peiné à descendre sous les 27°C durant la nuit.La situation ne devrait pas s’arranger dans la nuit de samedi à dimanche, qui s’annonce “étouffante”, selon Météo-France, “avec plus de 20 degrés sur une large moitié sud du pays, 22 à 25 degrés sur le quart sud-est” et jusqu’à 27 degrés, voire un peu plus ponctuellement, près de la Méditerranée.- record possible en Espagne -Tout le sud de l’Europe est concerné par cette vague de chaleur. En Espagne, selon un message sur X publié dans la soirée par l’Agence de météorologie, la température à El Granado, au sud-ouest du pays, aurait atteint les 46 °C. “Ce chiffre, en attente de validation, représenterait la température la plus élevée enregistrée en Espagne en juin depuis le début des relevés”, a ajouté l’agence.En Italie, 17 villes sont placées en alerte rouge (niveau 3) samedi et 21 dimanche, aussi bien dans le nord, comme à Milan, Bologne et Turin, que dans le sud, notamment à Naples et Palerme, avec des pics attendus à 39°C.Au Portugal, les deux tiers du pays seront en alerte orange dimanche, avec 42°C prévus à Lisbonne et un risque maximal d’incendie. En France, le numéro vert canicule, pour obtenir des conseils “pour se protéger et protéger son entourage”, a été réactivé depuis samedi 08H00.Depuis le 19 juin, la France traverse sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, et sa 33e du XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules. Pour y faire face, mairies, préfectures et pompiers multiplient mises en garde et recommandations.L’interdiction partielle de travaux dans les massifs forestiers par crainte d’incendies est prolongée dimanche, des locaux climatisés restent ouverts tout le weekend, les personnes les plus vulnérables sont appelées régulièrement, des distributions d’eau sont organisées…A Marseille, la mairie a annoncé la gratuité des piscines municipales et publié une cartographie des lieux publics disposant de la climatisation tandis que Bordeaux a étendu les horaires d’ouverture des parcs et jardins jusqu’à 23H00.jra-mer-vxm-vid/jp/
La quasi-totalité de la France en vigilance orange canicule dimanche
A l’exception des Hautes-Alpes, de la Corse-du-Sud et d’une bande allant du Finistère à la Moselle, la France entière a été placée en vigilance orange canicule pour la journée de dimanche, alors que la vague de chaleur intense qui a débuté vendredi dans le Sud-Est devrait durer au moins jusqu’en milieu de semaine prochaine.Samedi en milieu d’après-midi des températures comprises entre 36 et 38°C ont été enregistrées dans les 14 départements du quart sud-est déjà en vigilance orange canicule avec des pics localement à 40,7°c à Cadenet, dans le Vaucluse ou encore 40°c à Villevieille, dans le Gard.Météo-France a étendu pour dimanche la vigilance orange canicule à 73 départements au total, soit la quasi-totalité du territoire métropolitain, anticipant un “épisode caniculaire intense et étendu”.Seuls le Finistère, les Côtes-d’Armor, la Manche, le Calvados, la Seine-Maritime, la Somme, le Pas-de-Calais, les Ardennes et la Marne seront épargnés par la chaleur, tandis que Morbihan, Orne, Eure, Oise, Aisne, Nord, Aube, Haute-Marne, Vosges, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Hautes-Alpes et Corse-du-Sud ne seront qu’en vigilance jaune canicule.- 39 à 40°C près de la Méditerranée -Il faudra s’attendre à des “températures maximales entre 30°C et 34°C sur un axe allant du sud de la Bretagne à la région Centre-Val de Loire, à l’Ile-de-France et à la Bourgogne” tandis que “plus au sud, on atteindra généralement 34°C à 38°C” et “régulièrement” 39°C à 40°C “près de la Méditerranée”, anticipe Météo-France.”La canicule se poursuivra en début de semaine prochaine, avec des températures encore en hausse, excepté sur le pourtour méditerranéen où elles seront stationnaires”, ajoute l’institut, qui prévoit que le pic -avec des maximales de 39°C à 40°C “assez fréquentes”- survienne “autour de mardi ou mercredi selon les régions”. “Les prévisions actuelles laissent penser à une fin progressive de cet épisode caniculaire intense et étendu entre mercredi et jeudi, d’ouest en est, mais cela reste encore à confirmer”, note Météo-France.A Nice, où vers midi samedi il faisait déjà 33° C, pour un ressenti de 37°C, les habitants venaient chercher un peu de fraîcheur sous les brumisateurs et jets d’eau disposés le long de la coulée verte aménagée par la municipalité.”On habite en centre-ville dans un appartement, on n’a pas de piscine et ici la mer, c’est difficile avec un enfant de deux ans”, a raconté à l’AFP Florence Oleari, 35 ans, médecin généraliste venue se mouiller avec sa fille. Dans la ville des Alpes-Maritimes, le thermomètre a peiné à descendre sous les 27°C durant la nuit.La situation ne devrait pas s’arranger dans la nuit de samedi à dimanche, qui s’annonce “étouffante”, selon Météo-France, “avec plus de 20 degrés sur une large moitié sud du pays, 22 à 25 degrés sur le quart sud-est” et jusqu’à 27 degrés, voire un peu plus ponctuellement, près de la Méditerranée.- record possible en Espagne -Tout le sud de l’Europe est concerné par cette vague de chaleur. En Espagne, selon un message sur X publié dans la soirée par l’Agence de météorologie, la température à El Granado, au sud-ouest du pays, aurait atteint les 46 °C. “Ce chiffre, en attente de validation, représenterait la température la plus élevée enregistrée en Espagne en juin depuis le début des relevés”, a ajouté l’agence.En Italie, 17 villes sont placées en alerte rouge (niveau 3) samedi et 21 dimanche, aussi bien dans le nord, comme à Milan, Bologne et Turin, que dans le sud, notamment à Naples et Palerme, avec des pics attendus à 39°C.Au Portugal, les deux tiers du pays seront en alerte orange dimanche, avec 42°C prévus à Lisbonne et un risque maximal d’incendie. En France, le numéro vert canicule, pour obtenir des conseils “pour se protéger et protéger son entourage”, a été réactivé depuis samedi 08H00.Depuis le 19 juin, la France traverse sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, et sa 33e du XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules. Pour y faire face, mairies, préfectures et pompiers multiplient mises en garde et recommandations.L’interdiction partielle de travaux dans les massifs forestiers par crainte d’incendies est prolongée dimanche, des locaux climatisés restent ouverts tout le weekend, les personnes les plus vulnérables sont appelées régulièrement, des distributions d’eau sont organisées…A Marseille, la mairie a annoncé la gratuité des piscines municipales et publié une cartographie des lieux publics disposant de la climatisation tandis que Bordeaux a étendu les horaires d’ouverture des parcs et jardins jusqu’à 23H00.jra-mer-vxm-vid/jp/
La quasi-totalité de la France en vigilance orange canicule dimanche
A l’exception des Hautes-Alpes, de la Corse-du-Sud et d’une bande allant du Finistère à la Moselle, la France entière a été placée en vigilance orange canicule pour la journée de dimanche, alors que la vague de chaleur intense qui a débuté vendredi dans le Sud-Est devrait durer au moins jusqu’en milieu de semaine prochaine.Samedi en milieu d’après-midi des températures comprises entre 36 et 38°C ont été enregistrées dans les 14 départements du quart sud-est déjà en vigilance orange canicule avec des pics localement à 40,7°c à Cadenet, dans le Vaucluse ou encore 40°c à Villevieille, dans le Gard.Météo-France a étendu pour dimanche la vigilance orange canicule à 73 départements au total, soit la quasi-totalité du territoire métropolitain, anticipant un “épisode caniculaire intense et étendu”.Seuls le Finistère, les Côtes-d’Armor, la Manche, le Calvados, la Seine-Maritime, la Somme, le Pas-de-Calais, les Ardennes et la Marne seront épargnés par la chaleur, tandis que Morbihan, Orne, Eure, Oise, Aisne, Nord, Aube, Haute-Marne, Vosges, Meuse, Meurthe-et-Moselle, Moselle, Hautes-Alpes et Corse-du-Sud ne seront qu’en vigilance jaune canicule.- 39 à 40°C près de la Méditerranée -Il faudra s’attendre à des “températures maximales entre 30°C et 34°C sur un axe allant du sud de la Bretagne à la région Centre-Val de Loire, à l’Ile-de-France et à la Bourgogne” tandis que “plus au sud, on atteindra généralement 34°C à 38°C” et “régulièrement” 39°C à 40°C “près de la Méditerranée”, anticipe Météo-France.”La canicule se poursuivra en début de semaine prochaine, avec des températures encore en hausse, excepté sur le pourtour méditerranéen où elles seront stationnaires”, ajoute l’institut, qui prévoit que le pic -avec des maximales de 39°C à 40°C “assez fréquentes”- survienne “autour de mardi ou mercredi selon les régions”. “Les prévisions actuelles laissent penser à une fin progressive de cet épisode caniculaire intense et étendu entre mercredi et jeudi, d’ouest en est, mais cela reste encore à confirmer”, note Météo-France.A Nice, où vers midi samedi il faisait déjà 33° C, pour un ressenti de 37°C, les habitants venaient chercher un peu de fraîcheur sous les brumisateurs et jets d’eau disposés le long de la coulée verte aménagée par la municipalité.”On habite en centre-ville dans un appartement, on n’a pas de piscine et ici la mer, c’est difficile avec un enfant de deux ans”, a raconté à l’AFP Florence Oleari, 35 ans, médecin généraliste venue se mouiller avec sa fille. Dans la ville des Alpes-Maritimes, le thermomètre a peiné à descendre sous les 27°C durant la nuit.La situation ne devrait pas s’arranger dans la nuit de samedi à dimanche, qui s’annonce “étouffante”, selon Météo-France, “avec plus de 20 degrés sur une large moitié sud du pays, 22 à 25 degrés sur le quart sud-est” et jusqu’à 27 degrés, voire un peu plus ponctuellement, près de la Méditerranée.- record possible en Espagne -Tout le sud de l’Europe est concerné par cette vague de chaleur. En Espagne, selon un message sur X publié dans la soirée par l’Agence de météorologie, la température à El Granado, au sud-ouest du pays, aurait atteint les 46 °C. “Ce chiffre, en attente de validation, représenterait la température la plus élevée enregistrée en Espagne en juin depuis le début des relevés”, a ajouté l’agence.En Italie, 17 villes sont placées en alerte rouge (niveau 3) samedi et 21 dimanche, aussi bien dans le nord, comme à Milan, Bologne et Turin, que dans le sud, notamment à Naples et Palerme, avec des pics attendus à 39°C.Au Portugal, les deux tiers du pays seront en alerte orange dimanche, avec 42°C prévus à Lisbonne et un risque maximal d’incendie. En France, le numéro vert canicule, pour obtenir des conseils “pour se protéger et protéger son entourage”, a été réactivé depuis samedi 08H00.Depuis le 19 juin, la France traverse sa 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, et sa 33e du XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules. Pour y faire face, mairies, préfectures et pompiers multiplient mises en garde et recommandations.L’interdiction partielle de travaux dans les massifs forestiers par crainte d’incendies est prolongée dimanche, des locaux climatisés restent ouverts tout le weekend, les personnes les plus vulnérables sont appelées régulièrement, des distributions d’eau sont organisées…A Marseille, la mairie a annoncé la gratuité des piscines municipales et publié une cartographie des lieux publics disposant de la climatisation tandis que Bordeaux a étendu les horaires d’ouverture des parcs et jardins jusqu’à 23H00.jra-mer-vxm-vid/jp/
Ligue 1: mea culpa de Textor qui va se mettre en retrait de l’OL
Le magnat américain John Textor a reconnu des erreurs dans sa gestion de l’Olympique Lyonnais, rétrogradé administrativement en Ligue 2, et a laissé entendre qu’il allait se mettre en retrait du quotidien du club, dans un entretien samedi à la chaîne brésilienne TV Globo.”C’est clair que j’ai été meilleur sur le plan sportif que dans la gestion en France. Je n’ai pas été assez bon en politique”, a déclaré le propriétaire de l’OL.Il a accordé ce court entretien à TV Globo à Philadelphie, où il a assisté à l’élimination des Brésiliens de Botafogo, un autre club qu’il détient, en huitième de finale de la Coupe du Monde des clubs, face à un autre club brésilien, Palmeiras (1-0 a.p).Botafogo et Lyon appartiennent à son groupe Eagle Football, au même titre que le club belge de Molenbeek, tandis qu’il a annoncé récemment la vende de ses part de Crystal Palace, formation de la Premier League anglaise.”Je vais passer plus de temps à me concentrer sur Eagle au niveau mondial (…) J’ai de très bons partenaires au sein du groupe qui vont prendre les devants pour s’occuper de problèmes que, franchement, je n’ai pas su bien gérer” en France, a ajouté celui qui a racheté l’OL à Jean-Michel Aulas fin 2022.Rétrogradé mardi par la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) en dépit des arguments financiers présentés par John Textor, le club rhodanien a jugé cette décision “incompréhensible” et a annoncé qu’il ferait “immédiatement appel”.Vendredi, l’OL a annoncé avoir validé sa procédure de viabilité financière avec l’UEFA, ce qui lui permet de disputer la Ligue Europa la saison prochaine, sous réserve de son maintien en Ligue 1.”Nous avons passé avec succès l’examen de viabilité financière de l’UEFA, qui est un processus assez complet” et “le fait que nous n’ayons pas été retenus par la France tient donc davantage à certains éléments spécifiques”, a ajouté l’homme d’affaires.”Nous venons de vendre Crystal Palace, donc clairement, nous n’avons aucune difficulté financière. Nous n’avons jamais eu autant de liquidités”, a insisté l’homme d’affaires américain, qui s’est dit par ailleurs “très fier” des performances des Lyonnais sur le terrain.”Cela faisait longtemps qu’elle n’avaient pas joué la Ligue Europa et nous l’y avons ramenée deux années de suite”, a-t-il affirmé.
A Paris, une marche des fiertés remontée “contre l’internationale réactionnaire”
En écho à des inquiétudes grandissantes pour les droits des personnes LGBT+ à Washington ou Budapest, les milliers de participants de la Marche des fiertés parisienne ont fait entendre leur voix samedi contre “l’internationale réactionnaire”.Si les chars bariolés, les maquillages inventifs et les tenues colorées rappellent le caractère convivial de ce défilé annuel, parti du Louvre vers Nation par une température caniculaire, les organisateurs avaient moins le cÅ“ur à la fête lors de leur prise de parole initiale.”Nous sommes dans un contexte menaçant, politiquement terrible. Pour la première fois depuis des années nos droits sont réellement en danger”, a affirmé au micro la présidente de SOS Homophobie, Julia Torlet, micro à la main.”Il est nécessaire de nous rassembler, tous, lesbiennes, queers, intersexe, trans, gay…”, a-t-elle ajouté. “Le danger est là . Une internationale réactionnaire arrive sous nos yeux, aux États-Unis, en Hongrie, en Italie, en Russie”, a lancé un représentant de l’association Aides, avant que ne démarre le cortège coloré de drapeaux arc-en-ciel, de ballons dorés et de pancartes revendicatives comme: “Mon clito déteste les fachos”.L’Inter-LGT, collectif organisateur qui comprend une cinquantaine d’associations membres, a revendiqué en soirée un demi-million de participants, parmi lesquels de nombreux jeunes.”C’est une réussite totale”, a déclaré à l’AFP Clara Privé, sa vice-présidente, attribuant ce succès à la “médiatisation” de la marche et au fait que “la jeunesse est touchée par ce sujet et se revendique LGBTQIA+”.- Collectif identitaire à l’écart -Au-delà des thématiques de cette année (migrants, personnes transgenres, santé), la marche parisienne a été rattrapée par des tensions liées au contexte international – déclarations de Donald Trump aux États-Unis, interdiction de la “Pride” à Budapest. Tensions liées aussi à une affiche jugée “clivante” par certains ou la venue non souhaitée par les organisateurs d’un collectif identitaire, Eros, se présentant comme un organe de lutte “contre les dérives idéologiques woke et LGBT”.”Le contexte est difficile, car il y a une remontée de la transphobie au niveau international. On tente d’interdire, la marche à Budapest, un collectif d’extrême droite tente de manifester avec nous à Paris”, déplore ainsi auprès de l’AFP “Vivi” Strobel, porte-parole de l’association Bi’Cause.Une quinzaine de membres de ce collectif Eros se sont rassemblés à l’écart du cortège, a constaté une journaliste de l’AFPTV. Plusieurs dizaines de forces de l’ordre étaient positionnées pour empêcher tout contact direct avec la marche, au-delà d’invectives.”Notre présence n’est pas la bienvenue, mais c’est une marche de la fierté. Nous, on est fiers d’être homosexuels et fiers d’être Français”, a indiqué à la presse le responsable de ce groupe, Yohan Pawer, ex-candidat du parti d’Eric Zemmour. “Nous sommes très heureux qu’ils aient été empêchés d’approcher de nos cortèges”, a commenté Clara Privé.- “Ça fait peur” – En Hongrie, une foule immense a défilé samedi à Budapest, malgré l’interdiction par la police de la marche des fiertés, comme en défi au Premier ministre Victor Orban. Si aucun chiffre officiel n’est disponible, les organisateurs ont estimé à près de 200.000 le nombre de participants, les places et avenues le long du parcours étant noires de monde.Aux États-Unis, c’est l’offensive de Donald Trump contre les programmes de promotion de la diversité qui inquiète notamment Romaric, 40 ans, aux côtés de son compagnon Florent, 38 ans: “C’est un acte militant de venir quand on voit ce qui se passe dans le monde, aux USA. Perdre les droits pour lesquels on s’est battu pendant des années, ça fait peur”, dit-il. Piyie, 18 ans, venue manifester avec un groupe d’amies juge pour sa part “important de montrer qu’il peut y avoir une manifestation politique pour des causes importantes dans une ambiance de fête”. Les marches des fiertés sont organisées localement par des associations partout en France, souvent en juin, en lien avec les émeutes de Stonewall, mobilisation fondatrice du mouvement LGBT+, qui ont éclaté dans la nuit du 27 au 28 juin 1969, à New York.
A Paris, une marche des fiertés remontée “contre l’internationale réactionnaire”
En écho à des inquiétudes grandissantes pour les droits des personnes LGBT+ à Washington ou Budapest, les milliers de participants de la Marche des fiertés parisienne ont fait entendre leur voix samedi contre “l’internationale réactionnaire”.Si les chars bariolés, les maquillages inventifs et les tenues colorées rappellent le caractère convivial de ce défilé annuel, parti du Louvre vers Nation par une température caniculaire, les organisateurs avaient moins le cÅ“ur à la fête lors de leur prise de parole initiale.”Nous sommes dans un contexte menaçant, politiquement terrible. Pour la première fois depuis des années nos droits sont réellement en danger”, a affirmé au micro la présidente de SOS Homophobie, Julia Torlet, micro à la main.”Il est nécessaire de nous rassembler, tous, lesbiennes, queers, intersexe, trans, gay…”, a-t-elle ajouté. “Le danger est là . Une internationale réactionnaire arrive sous nos yeux, aux États-Unis, en Hongrie, en Italie, en Russie”, a lancé un représentant de l’association Aides, avant que ne démarre le cortège coloré de drapeaux arc-en-ciel, de ballons dorés et de pancartes revendicatives comme: “Mon clito déteste les fachos”.L’Inter-LGT, collectif organisateur qui comprend une cinquantaine d’associations membres, a revendiqué en soirée un demi-million de participants, parmi lesquels de nombreux jeunes.”C’est une réussite totale”, a déclaré à l’AFP Clara Privé, sa vice-présidente, attribuant ce succès à la “médiatisation” de la marche et au fait que “la jeunesse est touchée par ce sujet et se revendique LGBTQIA+”.- Collectif identitaire à l’écart -Au-delà des thématiques de cette année (migrants, personnes transgenres, santé), la marche parisienne a été rattrapée par des tensions liées au contexte international – déclarations de Donald Trump aux États-Unis, interdiction de la “Pride” à Budapest. Tensions liées aussi à une affiche jugée “clivante” par certains ou la venue non souhaitée par les organisateurs d’un collectif identitaire, Eros, se présentant comme un organe de lutte “contre les dérives idéologiques woke et LGBT”.”Le contexte est difficile, car il y a une remontée de la transphobie au niveau international. On tente d’interdire, la marche à Budapest, un collectif d’extrême droite tente de manifester avec nous à Paris”, déplore ainsi auprès de l’AFP “Vivi” Strobel, porte-parole de l’association Bi’Cause.Une quinzaine de membres de ce collectif Eros se sont rassemblés à l’écart du cortège, a constaté une journaliste de l’AFPTV. Plusieurs dizaines de forces de l’ordre étaient positionnées pour empêcher tout contact direct avec la marche, au-delà d’invectives.”Notre présence n’est pas la bienvenue, mais c’est une marche de la fierté. Nous, on est fiers d’être homosexuels et fiers d’être Français”, a indiqué à la presse le responsable de ce groupe, Yohan Pawer, ex-candidat du parti d’Eric Zemmour. “Nous sommes très heureux qu’ils aient été empêchés d’approcher de nos cortèges”, a commenté Clara Privé.- “Ça fait peur” – En Hongrie, une foule immense a défilé samedi à Budapest, malgré l’interdiction par la police de la marche des fiertés, comme en défi au Premier ministre Victor Orban. Si aucun chiffre officiel n’est disponible, les organisateurs ont estimé à près de 200.000 le nombre de participants, les places et avenues le long du parcours étant noires de monde.Aux États-Unis, c’est l’offensive de Donald Trump contre les programmes de promotion de la diversité qui inquiète notamment Romaric, 40 ans, aux côtés de son compagnon Florent, 38 ans: “C’est un acte militant de venir quand on voit ce qui se passe dans le monde, aux USA. Perdre les droits pour lesquels on s’est battu pendant des années, ça fait peur”, dit-il. Piyie, 18 ans, venue manifester avec un groupe d’amies juge pour sa part “important de montrer qu’il peut y avoir une manifestation politique pour des causes importantes dans une ambiance de fête”. Les marches des fiertés sont organisées localement par des associations partout en France, souvent en juin, en lien avec les émeutes de Stonewall, mobilisation fondatrice du mouvement LGBT+, qui ont éclaté dans la nuit du 27 au 28 juin 1969, à New York.
“Questions pour un champion” bientôt cantonné aux week-ends
Une page se tourne à la télé: le jeu de France 3 “Questions pour un champion”, créé en 1988, ne sera plus diffusé quotidiennement en semaine la saison prochaine, mais seulement le week-end.Le groupe public France Télévisions et le producteur de l’émission, Fremantle, ont officialisé ce changement samedi soir. Il avait été dévoilé en fin de matinée par le journaliste médias d’Europe 1 Thomas Isle sur le réseau social X.”Cette décision n’a pas été facile. Elle s’inscrit dans un contexte budgétaire particulièrement contraint, qui nous oblige à repenser nos équilibres de grille”, a indiqué le numéro 2 de France Télévisions, Stéphane Sitbon-Gomez, dans une déclaration transmise à l’AFP.”Mais elle ne remet pas en cause l’attachement profond que nous portons à cette émission”, a-t-il assuré, en soulignant qu’elle allait continuer à “vivre (…) le week-end, là où son audience est la plus forte et la plus fédératrice”.De son côté, le président de Fremantle France, Bruno Fallot, a fait part de sa “surprise” et de sa “tristesse” après la décision du diffuseur.”A l’heure où France Télévisions traverse une crise budgétaire sans précédent, nous comprenons la nécessité de faire des arbitrages financiers”, a-t-il assuré dans un communiqué.”Cependant, en arriver à réduire une émission aussi fédératrice que +Questions pour un champion+ interroge sur les moyens donnés au service public pour remplir sa mission”, a poursuivi le producteur.Il voit dans ce changement “une rupture majeure avec une programmation historique quotidienne, qui rythme les fins d’après-midi des Français et reste régulièrement leader de sa tranche” en audience.- Houellebecq, un fan -Adaptation du jeu britannique “Going for Gold”, “Questions pour un champion” a été créé en France en 1988. Les candidats doivent répondre à des questions de culture générale (souvent relevées) en plusieurs manches et le gagnant revient le lendemain.L’émission a été présentée pendant plus de 27 ans par l’emblématique Julien Lepers, remplacé par Samuel Étienne début 2016.Julien Lepers avait contesté son licenciement en justice, mais les prud’hommes puis la cour d’appel de Paris avaient estimé qu’il n’était pas abusif.Au fil des années, l’émission a marqué la culture populaire hexagonale, en partie grâce à la personnalité fantasque de Julien Lepers. Michel Houellebecq, l’un des écrivains français les plus influents au monde, l’a ainsi citée à plusieurs reprises dans ses romans.”On retire en général de l’émission l’impression que les gens sont heureux, et soi-même on se sent plus heureux et meilleur”, faisait-il dire au narrateur (déprimé) de “Plateforme” (2001).En 2022, France Télévisions avait décidé de ne plus programmer durant la semaine un autre de ses jeux emblématiques, “Des chiffres et des lettres”, créé en 1972. Après deux saisons où il n’était plus diffusé que le weekend, il a définitivement disparu à la rentrée 2024.”Je ne sais pas de quoi sera fait l’avenir de +Questions pour un champion+. Mais si le jeu est menacé, on ne pourra pas utiliser l’argument des audiences”, a déclaré Samuel Étienne samedi sur le réseau social X.Ces derniers jours, l’émission a été regardée par quelque 1,1 million de téléspectateurs, selon Fremantle. “Nous avons la volonté de préserver ce rendez-vous populaire et exigeant, qui fait honneur au service public”, a pour sa part insisté M. Sitbon-Gomez.