Stock markets rise, dollar falls as US votes

Major stock markets mostly rose and the dollar remained under pressure Tuesday as Americans cast votes in a knife-edge presidential election.Wall Street’s main indexes, which had fallen the previous day, rebounded in early deals after voting began in the world’s biggest economy.In Europe, London fell as investors await an interest-rate decision by the Bank of England on Thursday while Paris and Frankfurt were slightly up in afternoon deals.Equities in Shanghai and Hong Kong won strong support from hopes over China’s economy.The dollar weakened against the euro, the British pound and the yen.”A contested election result could cause volatility on the markets,” noted Russ Mould, investment director at AJ Bell.”Equally, a clear winner quickly after voting ends could provide some relief to investors.”A win for Republican Donald Trump is expected to restoke inflation and send Treasury yields higher owing to his pledges to slash taxes and impose tariffs on imports, which could support the dollar.Analysts see less upheaval from a win by Democratic Vice President Kamala Harris.Investors are also awaiting another US Federal Reserve rate cut on Thursday as inflation cools.”A pro-tariff Trump presidency could see the dollar strengthen amid concerns higher inflation will prompt the Fed to keep interest rates higher,” predicted Matt Britzman, senior equity analyst at Hargreaves Lansdown.”There is likely to be a period of volatility particularly if the result is contested, but investors should keep their eyes on long-term horizons as historically financial markets have risen over the course of both Democratic and Republican presidencies.”Fawad Razaqzada, analyst at City Index and Forex.com, said markets had priced in a Trump win until the start of this week.”While that could still be the case, Harris has closed the gap to essentially make it a coin flip between the two candidates,” he said.”As things stand it looks like it could be a photo finish. This makes it extremely difficult to make a strong case for the direction of the dollar or stocks this week,” Razaqzada said.- Asia up -Hong Kong and Shanghai each closed up by more than two percent Tuesday after data showed China’s services sector expanded last month at its fastest pace since July.The news came as traders await the end of a Chinese government meeting this week to hammer out an economic stimulus.Officials are expected to give the go-ahead to about $140 billion in extra budget spending, mostly for indebted local governments, and a similar one-off payment for banks.Chinese Premier Li Qiang, meanwhile, said he was “fully confident” that China’s economy would hit its growth targets this year and indicated that there was room to do more.Oil prices gained less sharply, having surged almost three percent Monday after top producers agreed to extend output cuts through to the end of December and on worries about the Middle East crisis.On the corporate front, Boeing shares fell slightly even though striking workers approved a contract proposal late Monday, ending more than seven weeks of stoppages that underscored discontent in the workforce of the beleaguered US aviation giant.- Key figures around 1440 GMT -New York – Dow: UP 0.2 percent at 41,886.63 pointsNew York – S&P 500: UP 0.5 percent at 5,742.69 New York – Nasdaq: UP 0.8 percent at 18,319.57London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,163.47Paris – CAC 40: UP 0.3 percent at 7,390.45Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 19,193.13Tokyo – Nikkei 225: UP 1.1 percent at 38,474.90 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 2.1 percent at 21,006.97 (close)Shanghai – Composite: UP 2.3 percent at 3,386.99 (close)Euro/dollar: UP at $1.0910 from $1.0878 on MondayPound/dollar: UP at $1.3020 from $1.2954Dollar/yen: DOWN at 151.84 yen from 152.17 yenEuro/pound: DOWN at 83.80 from 83.94 penceBrent North Sea Crude: UP 0.9 percent at $75.77 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.1 percent at $72.23 per barrel

Kenya court jails Olympian Kiplagat’s killers for 35 yearsTue, 05 Nov 2024 13:14:44 GMT

A Kenyan court on Tuesday sentenced two men to 35 years in prison for murdering Ugandan Olympic athlete Benjamin Kiplagat last year.After a nine-month trial, the High Court in the northwestern city of Eldoret last week found Peter Ushuru Khalumi, 30, and David Ekai Lokere, 25, guilty of stabbing the 34-year-old steeplechaser to death.In his …

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Cameroon to mark 42 years of Paul Biya in powerTue, 05 Nov 2024 12:41:26 GMT

Supporters celebrate 42 years of Cameroonian President Paul Biya being in power on Wednesday, with rallies, special broadcasts and calls for an eighth term in office.Just over two weeks after the 91-year-old returned to the country after a six-week absence amid rife speculation about his health, members of the president’s party face calls to show …

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Seine-et-Marne: les élus manifestent devant la préfecture contre les économies du projet de loi de finances

Plusieurs dizaines d’élus de Seine-et-Marne ont manifesté mardi à Melun devant la préfecture contre la diminution du budget du conseil départemental prévue dans le projet de loi de finances du gouvernement, actuellement en débat à l’Assemblée nationale.En écharpe tricolore, plusieurs dizaines de conseillers départementaux, maires et sénateurs de tous bords politiques se sont rassemblés sous une bannière proclamant “Nos départements en danger ! Votre quotidien sacrifié !” devant le complexe de bâtiments historiques accueillant la préfecture et le conseil départemental, à l’appel du président LR de ce dernier, Jean-François Parigi.Selon celui-ci, le projet de loi de finances du gouvernement Barnier entraînerait une diminution de 70 millions d’euros du budget 2025 du plus vaste département francilien, sur un budget global de 1,6 milliard.”J’ai une volonté très forte, c’est que sur nos compétences obligatoires, les collèges, les routes et le monde de la solidarité, on maintienne l’effort qui a été fait. Mais je  ne voudrais pas non plus sacrifier la culture et le sport, car c’est aussi l’attractivité du département”, a déclaré M. Parigi à la presse.Bien qu’issu du même parti que le Premier ministre LR Michel Barnier, l’élu a mis en avant les relations crispées entre les collectivités locale et l’Etat pour justifier cette manifestation inhabituelle. “Je peux voir quand même quand on va trop loin”, a-t-il dit.Toute une série d’intervenants a défilé au pupitre pour défendre l’action et la présence du conseil départemental à l’échelle de la vie de ce territoire de grande couronne parisienne, largement rural.Kadir Mebarek, le maire Horizons de la ville-préfecture de Melun, s’est ainsi préoccupé du devenir d’une future ligne de bus T-Zen à forte capacité ou de la construction d’un cinquième collège sur le territoire de la commune, tous deux financés par le département. D’autres acteurs du monde économique ou agricole ont mis en avant les créations d’emplois générées par les marchés publics ou les partenariats de “bon sens” noués par le département du fait de sa proximité avec la vie du territoire de 1,4 million d’habitants, en pleine croissance démographique.”Je me demande si les choses ne seraient pas bien plus grave encore et si les petites musiques de fond que l’on entend maintenant depuis longtemps ne reviendraient pas, 70 millions après 70 millions, à la suppression d’un échelon territorial”, a tonné François Deysson, président des maires ruraux de Seine-et-Marne.

Agriculteurs en difficulté: la ministre annonce des aides de trésorerie

La ministre de l’Agriculture Annie Genevard a annoncé mardi à Fabrezan (Aude) l’intention du gouvernement de proposer deux outils de soutien à la trésorerie des agriculteurs les plus en difficulté, répondant ainsi à une demande forte de l’alliance syndicale majoritaire FNSEA/Jeunes Agriculteurs (JA).Le premier est “un prêt à court terme pour des difficultés conjoncturelles”, pour lequel l’Etat négocie actuellement avec le secteur bancaire un taux réduit, “entre 1,5 et 2%”, a détaillé la ministre à la presse après une rencontre avec des représentants de la filière viticole audoise, au deuxième jour d’un déplacement en Occitanie.Les agriculteurs dont les difficultés “mettent en péril la pérennité même de l’exploitation” pourront, s’ils souhaitent restructurer leur dette afin de la rendre plus soutenable, bénéficier d’un second type de prêt “à plus long terme, 5 à 7 ans”, et garanti par l’Etat à hauteur de 50%, a-t-elle précisé.”Cela signifie que si l’agriculteur fait faillite et se trouve dans l’incapacité de rembourser son prêt, alors l’Etat rembourse 50% de ce prêt”, a par ailleurs précisé le ministère de l’Agriculture à l’AFP.Annie Genevard a aussi déclaré dans l’Aude que l’Etat augmentait de 20 millions d’euros, passant à 50 millions, l’enveloppe permettant d’exonérer, sous conditions, les “agriculteurs les plus en difficulté” d’une partie de leurs cotisations sociales personnelles pour l’année 2024.Frédéric Rouanet, président du syndicat audois des vignerons, a accueilli avec réserves ces annonces, se méfiant d’un éventuel “effet d’annonce”.Lors d’une seconde étape à Castelnau-d’Aude, Annie Genevard a également dévoilé la liste des projets qui bénéficieront d’une aide au titre du fonds hydraulique agricole, doté de 20 millions d’euros.Au nombre de 48 dans toute la France, dont 14 en Occitanie, ces projets visent à “sécuriser l’accès à l’eau des exploitations dans des conditions durables et respectueuses de la ressource en eau”, précise le ministère dans un communiqué.Ils incluent notamment la création de retenues collinaires ou de réseaux d’irrigation, et la rénovation d’infrastructures hydrauliques diverses. Un seul projet est destiné à de la réutilisation d’eaux usées, à Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales).Interrogée à propos de la tribune signée lundi par plus de 200 députés français, de gauche comme de droite, appelant le gouvernement à bloquer la conclusion de l’accord de libre-échange attendu entre l’Union européenne et les pays du Mercosur, la ministre s’est dite “absolument et fondamentalement hostile” à ce projet d’accord.”Les productions que vont nous apporter les pays du Mercosur vont déstabiliser en profondeur nos propres productions”, a-t-elle dénoncé, assurant que “l’agriculture ne (pouvait) pas être la variable d’ajustement de tous les accords internationaux que l’Europe conclut”.La ministre (LR) de l’Agriculture effectuait lundi et mardi son deuxième déplacement en Occitanie après un passage dans les Pyrénées-Orientales mi-octobre alors que se profile un nouvel épisode d’actions d’agriculteurs en colère à partir du 15 novembre.

Le texte sur la fin de vie examiné à l’Assemblée à partir de fin janvier

Le texte sur la fin de vie sera examiné à l’Assemblée nationale à partir du 27 janvier, ont annoncé mardi le gouvernement et la présidente de la chambre basse, Yaël Braun-Pivet.”En conférence des présidents, j’ai obtenu du gouvernement l’engagement d’inscrire le texte sur la fin de vie à l’ordre du jour des semaines du 27 janvier et du 3 février. L’Assemblée est prête à avancer sur ce nouveau droit attendu par tant de Français. Il est temps”, a écrit sur X Yaël Braun-Pivet, soutien de longue date d’avancées législatives sur la question de “l’aide à mourir”.”Le gouvernement décide d’ouvrir le débat sur la fin de vie à partir du 27 janvier”, a confirmé auprès de l’AFP le ministère des Relations avec le Parlement.La question de savoir si le gouvernement proposera un “nouveau projet de loi” ou s’il reprendra la proposition de loi d’Olivier Falorni (groupe MoDem), signée par près de 220 députés, n’a pas encore été arbitrée, a précisé cette source.Le projet de loi du précédent gouvernement avait été examiné au printemps, jusqu’à l’avant-veille des élections européennes. Le vote solennel n’avait pas pu avoir lieu en raison de la dissolution.Le texte devait légaliser le suicide assisté et, dans certains cas, l’euthanasie, avec de strictes conditions et sans employer ces termes, préférant parler d'”aide active à mourir”.Rapporteur général du projet interrompu, Olivier Falorni a déposé une proposition de loi reprenant “intégralement” le texte tel qu’il était avant la dissolution.Le Premier ministre Michel Barnier avait annoncé le 1er octobre dans sa déclaration de politique générale qu’il souhaitait “reprendre le dialogue” avec le Parlement en début d’année 2025 sur le sujet.

South Korea fines Meta for illegal collection of user data

US tech giant Meta illegally harvested sensitive data including on sexual orientation from nearly a million South Korean Facebook users and shared it with advertisers, Seoul’s data watchdog said Tuesday.The firm, which also owns Instagram, violated South Korean laws prohibiting the use of information on political opinions, religious beliefs and people’s sex life unless the individual provides explicit consent, Seoul’s Personal Information Protection Commission said.The tech giant collected sensitive information from around 980,000 domestic users in South Korea through their Facebook profiles, including details about their religious beliefs and whether they are in a same-sex relationship.Meta “analysed user behaviour data, including pages liked and ads clicked on Facebook”, to create and implement targeted advertising related to “sensitive themes” such as transgender issues, homosexuality and North Korean defectors, officials said.The watchdog said it had confirmed that such information was provided to advertisers by Meta, with around 4,000 advertisers using it.The commission said Tuesday it had decided to fine Meta 21.6 billion won ($15.6 million).Meta told AFP that it would “carefully review the decision document once we receive it.”The South Korean watchdog said it had “also ordered the company to establish legal grounds for processing sensitive information, implement safety measures, and respond diligently to users’ requests for access to their personal data”.The decision is “significant in that they ensure that foreign operators providing global services must comply with the obligations set forth in (South Korea’s) Protection Act regarding the processing of sensitive information”.- LGBTQ market? -Experts said that Meta’s violation of personal information laws could reflect a growing demand to better identify and target LGBTQ-related markets.Despite the existing legal barriers, “LGBT partnerships are increasingly common in South Korea, and they are also increasingly accepted by the society,” Vladimir Tikhonov, professor of Korea studies at the University of Oslo, told AFP.”It is a niche market, but it grows fast,” he added.Same-sex marriage is not legally recognised in the South, and activists have long emphasised the need for legislation outlawing discrimination on the basis of sexual orientation.Around a quarter of South Korea’s population identifies as Christian and there has been vocal opposition to any recognition of same-sex marriage from such groups, purportedly on religious grounds.But the LGBTQ community in the country scored a legal victory in July when a court ruled that it was discriminatory for state health insurers to treat same-sex couples differently from heterosexual common law couples, who are allowed joint coverage.Advocates say the Supreme Court’s verdict could eventually pave the way for a law allowing same-sex unions in the country.

A l’extrême droite, un soutien à Trump assumé chez Ciotti et Reconquête, plus frileux au RN

Au sein de l’extrême droite, si Eric Ciotti et les responsables de Reconquête! affichent ouvertement leur soutien à Donald Trump, le Rassemblement national, dans sa quête de notabilisation, se montre beaucoup plus discret que lors des élections de 2016 et 2020.Critiquant “la dérive vers la gauche et l’ultra-gauche” des démocrates partisans, selon lui, d’une “immigration irrégulière de masse” et d’un “wokisme terrifiant”, Eric Ciotti a estimé mardi qu’une élection de l’ancien président Donald Trump “serait plus profitable pour les équilibres économiques et politiques” du monde.En le soutenant, l’ex-patron des Républicains, désormais rallié au RN, se dit “cohérent” avec son positionnement national. “Il y en a qui n’assument pas leurs positions, j’assume mes positions”, a-t-il répété, dans une petite pique au parti de Jordan Bardella.En 2016, Marine Le Pen avait ouvertement milité pour Donald Trump dont le discours antisystème, anti-immigration et protectionniste, faisait écho à celui du Front national, devenu Rassemblement national deux ans plus tard. “Si j’étais Américaine, je voterais tout sauf Hillary Clinton”, avait-elle notamment déclaré.Rebelote en 2020. “Si Joe Biden était élu, ce serait une véritable catastrophe”, avait-elle affirmé, envoyant une délégation de son parti au dernier meeting de Donald Trump.Rien d’aussi manifeste cette fois. “Je suis Français, je ne me prononce jamais sur les élections étrangères”, a répété mardi le député RN Jean-Philippe Tanguy sur TF1.Non pas que le Rassemblement national cache sa préférence, mais son soutien est beaucoup plus allusif. “Donald Trump défend l’intérêt des Américains et défend une forme de fierté américaine. Et j’aime ce patriotisme”, a ainsi déclaré la semaine dernière Jordan Bardella.Et Jean-Philippe Tanguy d’épingler “les médias” qui tenteraient “de faire peur aux Français en présentant Trump comme une espèce de nouveau fasciste, en présentant Kamala Harris comme le messie”.- Une majorité d’électeurs RN pour Harris -Mais le refus de Trump d’admettre sa défaite en 2020, l’attaque du Capitole en janvier 2021, ses outrances sexistes, racistes ou complotistes rendent aujourd’hui l’exercice plus délicat pour un parti qui cherche à se dédiaboliser pour accéder au pouvoir.”Je respecterai le vote des électeurs américains”, a ainsi affirmé Jordan Bardella, sous-entendant que son parti n’irait pas dans la contestation des résultats déjà annoncée en cas de défaite du candidat républicain.Pour Mathieu Gallard, directeur d’études chez Ipsos, “les dirigeants du RN n’ont pas intérêt à trop s’approcher ou à trop s’éloigner de Trump, parce que peut-être qu’une partie de leur électorat le plus radicalisé est pro-Trump, mais clairement pas tous leurs électeurs”.De fait, selon un sondage Elabe publié le 30 octobre, seuls 13% des Français souhaitent une victoire de Donald Trump contre 64% de Kamala Harris. Et, même parmi les électeurs RN, ils ne sont que 30% a être favorables au candidat républicain contre 46% pour la vice-présidente.”Une partie de leurs nouveaux éléments jugent que Trump va trop loin. Dans ce contexte, c’est difficile pour le RN de prendre position”, juge-t-il.Le soutien au milliardaire américain, avec qui Eric Zemmour s’était targué d’un échange téléphonique lors de la campagne pour la présidentielle de 2022, est en revanche beaucoup plus décomplexé chez Reconquête!L’eurodéputée Sarah Knafo, qui prend Donald Trump comme modèle pour la droite conservatrice française, a ainsi assisté à l’un des derniers meetings du candidat républicain, en Pennsylvanie.Elle soutient sur X le “candidat de l’identité nationale et de la paix”, celui qui “défend la liberté d’expression aux côtés d’Elon Musk contre tous les censeurs”.