Syria’s Druze: minority caught between Islamist government and Israel
Syria’s small Druze community largely kept out of the country’s long civil war but since president Bashar al-Assad’s ouster in December it has found itself confronting the new Islamist-led government amid military intervention by Israel.Here is a profile of the religious minority which has been caught up in deadly clashes with armed groups linked to the government in recent days.- Secretive minority -The Druze community accounted for around three percent of Syria’s pre-war population of 23 million, or around 700,000 people.They are concentrated in the southern province of Sweida with smaller pockets around Damascus.Druze are monotheistic and considered Muslim, but the sect is otherwise highly secretive and does not accept converts.They are viewed with suspicion by Sunni Islamist groups, who count among the ranks of Syria’s new government whose roots are in the Al-Qaeda jihadist network.In Israel and the Israeli-annexed Golan Heights, there are around 150,000 Druze.Most of those in Israel hold Israeli citizenship and serve in the military.By contrast, most of the roughly 23,000 who live in the annexed Golan do not hold Israeli citizenship and still identify as Syrians.Some 200,000 Druze live in Lebanon. – Civil war -Syria’s Druze largely stayed on the sidelines of the civil war which erupted in 2011 after Assad brutally repressed anti-government protests.Druze forces focused on defending their heartland from attacks and largely avoided conscription into the Syrian armed forces.Sweida province saw more than a year of anti-government protests before Assad’s ouster.The Druze formed their own armed groups during the war. Some have begun negotiations with Damascus on integration into the new national army, following similar moves by armed factions elsewhere.Rayan Maarouf, chief editor of local news outlet Suwayda24, said some 400 Druze fighters had joined the defence ministry’s forces and around 500 others had joined the General Security agency.- Post-Assad -Assad hails from Syria’s Alawite community and as president sought to present himself as protector of all minority groups against the Islamist-led rebels.The new government has repeatedly sought to reassure minorities that they will be protected.But last month saw sectarian massacres in the Alawite heartland on the Mediterranean coast and this week several dozen people, including Druze fighters, have been killed in sectarian clashes near Damascus.Since Assad’s ouster, Israel has increased its overtures to the Druze, voicing support for the minority and mistrust of Syria’s new leaders, whose forces it considers jihadists.The Israeli government has said it has sent thousands of humanitarian aid packages to Syria’s Druze community in recent months.Two delegations of Druze clerics have made pilgrimages to a holy site in Israel despite the continuing state of war between the two countries half a century after a 1974 armistice.In March, Israel warned Syria’s new authorities not to harm the Druze, after clashes in a Damascus suburb.Druze leaders rejected the warning and declared their loyalty to a united Syria.On Wednesday, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said the military “carried out a warning action and struck the organisation of an extremist group preparing to attack the Druze population” near Damascus.”A stern message was conveyed to the Syrian regime — Israel expects them to act to prevent harm to the Druze community,” the statement from the Israeli premier’s office added.Armed forces chief Lieutenant General Eyal Zamir ordered the military to prepare to strike Syrian government targets if the Druze community faces more violence.
Foot/Droits TV: DAZN et la LFP, divorcer pour mieux se retrouver?
Englués dans la crise des droits TV, DAZN, principal diffuseur de la Ligue 1, et la Ligue de football professionnel s’orientent vers la fin du contrat les liant jusqu’en 2029, la plateforme britannique étant toutefois prête à “investir” dans une chaîne encore à créer par la LFP.Depuis la signature de l’accord entre la Ligue et DAZN en juillet 2024 (400 millions d’euros annuels pour 8 rencontres par journée de championnat), les relations se sont progressivement tendues entre les deux parties, le diffuseur étant fragilisé par ses tarifs trop élevés, un nombre d’abonnés insuffisant (près de 650.000 selon les sources contre 1,5 millions espérés) et l’essor du piratage.Après l’échec d’une médiation pour une sortie du conflit par le haut, les points de vue semblent enfin sur le point de se rapprocher pour rompre l’accord actuel et l’idée d’une chaîne 100% L1 est devenue l’option principale pour la LFP. “Dans le cadre des discussions en cours” sur le litige entre DAZN et la LFP, “nous avons répondu présent au projet de chaîne de la Ligue”, a indiqué mercredi la plateforme qui propose d’y investir 100 millions d’euros lors des deux premières saisons.”DAZN tient à préciser qu’aucune décision n’a été arrêtée à ce jour concernant la suite de son contrat de diffusion de la Ligue 1 à l’issue de la saison 2024-2025. Nous poursuivons un dialogue constructif avec la Ligue de football professionnel, dans un esprit d’échange et de collaboration”, insiste-t-on du côté de la plateforme. – De Tavernost réchauffe les relations -Les discussions se sont faites plus intenses depuis la nomination de Nicolas de Tavernost, l’ancien patron de M6, en tant que directeur général de LFP Media, la filiale de la Ligue qui commercialise les droits TV du championnat de France. Comme elle l’assène depuis des mois, la plateforme britannique a expliqué vouloir “rester en France dans un cadre économique viable pour le succès du football français et de tous ses acteurs”. Autrement dit, DAZN souhaite continuer ses investissements en France, mais sur une autre base que celle conclue en juillet 2024 avec la LFP. “Nous ne sommes pas venus en France pour partir au bout d’un an, ni pour perdre de l’argent, précise-t-elle. Les propositions que nous avons faites depuis 4,5 mois à la Ligue de football professionnel sont faites pour construire un projet viable dans la durée, pour la LFP, les clubs, les fans de football”. Imaginée pour éviter l’écran noir lors du difficile choix du diffuseur de la Ligue 1 l’été dernier, l’idée d’une chaîne interne à la LFP n’a jamais été totalement abandonnée par ses dirigeants. – Quel partenaire pour la chaine de la LFP? -Ce projet est ainsi redevenu d’actualité du côté de la Ligue, confrontée à un marché des droits TV compliqué et au vu des difficultés rencontrées avec DAZN. “Cette chaîne se fera en partenariat avec un acteur dont on ne sait pas qui il sera car on n’a pas le droit de tester le marché tant qu’il n’y a pas un accord avec DAZN”, explique une source proche des négociations”Si la LFP se met d’accord avec DAZN, elle se tournera vers les différents acteurs du marché, BeIN, Canal, Amazon, Disney et DAZN évidemment pour savoir quel est le meilleur partenaire pour elle”, continue cette même source.Une procédure judiciaire entre les deux parties, est par ailleurs toujours en cours, DAZN réclamant pas moins de 573 millions d’euros “pour manquement observé” et “tromperie sur la marchandise”. La plateforme de streaming britannique s’estime en particulier lésée par le piratage et le manque de coopération des clubs.Mais signe d’un réchauffement dans les négociations, “la date de paiement de l’échéance du 30 avril (de 70 millions d’euros due à la Ligue pour cette saison, NDLR) a bien été décalée de quelques jours d’un commun accord entre DAZN et la LFP, dans le cadre des discussions constructives que nous menons”, a indiqué DAZN.Elle devrait être payée ce vendredi. Le même jour, le conseil d’administration de la LFP statuera sur la proposition d’investissement de DAZN.
Protection de l’enfance: deux départements “mis en demeure” par des familles pour “défaillances”
Les départements de l’Essonne et des Bouches-du-Rhône ont été “mis en demeure” pour “défaillances graves” de leur Aide sociale à l’enfance (ASE), à l’initiative de deux familles dont les enfants se sont prostituées, a indiqué mercredi à l’AFP l’avocat à l’origine de la démarche.”Nous leur avons adressé un recours préalable”, sorte de “mise en demeure” avant le lancement d’une procédure judiciaire, a précisé Me Michel Amas, au sujet de cette initiative révélée par Franceinfo. “Pourquoi ? Parce que les enfants placés sont censés être protégés, or ce n’est pas le cas.””Nous sommes face à un scandale d’État, il n’est pas acceptable aujourd’hui en France que des enfants de 12 ans se prostituent alors qu’ils sont placés sous la protection de l’État”, a-t-il ajouté.Dans les courriers adressés aux présidents des conseils départementaux des Bouches-du-Rhône et de l’Essonne, datés de mardi et consultés par l’AFP, l’avocat au barreau de Marseille évoque le parcours de deux mineures placées à l’ASE et qui se sont prostituées.Sont notamment demandées une reconnaissance publique des “erreurs commises” et une indemnisation symbolique de 1 euro dans un délai de 15 jours. Dans le cas de l’Essonne, le département est en outre sommé d’annoncer les “mesures correctives” qu’il envisage pour remédier à “ces graves dysfonctionnements”. Dans un communiqué transmis à l’AFP, le département de l’Essonne a indiqué que son président François Durovray allait lancer “une enquête administrative pour connaître et garantir la sécurité des jeunes enfants et apporter toutes les réponses attendues”.”Cette enquête permettra aussi de savoir si toutes les conditions de sécurité et de protection des enfants sont réunies”, a ajouté le conseil départemental, assurant que la protection de l’enfance était “une priorité absolue”.Sollicité par l’AFP, le département des Bouches-du-Rhône n’a pas réagi dans l’immédiat.Me Amas a indiqué qu’un recours préalable similaire serait adressé dans un second temps au département des Yvelines. Contacté par l’AFP, ce dernier n’a pas souhaité faire de commentaire.Embolisé, le secteur de l’ASE (ex-Ddass) vacille depuis plusieurs années, ébranlé par un manque de budget, une pénurie de professionnels, un épuisement des acteurs de terrain et une justice saturée. Depuis 2022, plus d’une dizaine de rapports ont été publiés pour alerter sur la situation et exhorter l’Etat et les départements, qui ont compétence en la matière depuis les années 1980, à agir.Mi-avril, une plainte a été déposée contre la France auprès du comité des droits de l’enfant de l’ONU pour “violations graves et récurrentes” des droits des mineurs confiés à l’ASE.
Wall Street évolue en forte baisse, minée par l’image d’une économie américaine vacillante
La Bourse de New York évoluait en forte baisse mercredi, plombée par le recul surprise du PIB des Etats-Unis et par le ralentissement des embauches dans le secteur privé américain, en pleine saison des résultats d’entreprises.Vers 14H10 GMT, le Dow Jones chutait de 1,63%, l’indice Nasdaq plongeait de 2,41% et l’indice élargi S&P 500 abandonnait 1,89%.”Le marché est sous pression: la crainte d’une récession est le principal moteur de cette tendance à la baisse”, commente auprès de l’AFP Adam Sarhan, de 50 Park Investments. Avant l’ouverture de Wall Street, les investisseurs ont été pris de court par le recul du produit intérieur brut (PIB) du pays au premier trimestre, alors que l’économie américaine était encore florissante fin 2024.”Il s’agit d’un mauvais rapport et le marché s’est fortement replié à la suite de cette nouvelle”, observe M. Sarhan.Première mesure trimestrielle du PIB américain depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, ces données étaient particulièrement attendues après des premiers mois chahutés par les droits de douane.En rythme annualisé, mesure privilégiée par les États-Unis, le PIB s’est contracté de 0,3%, selon les données publiées mercredi par le ministère du Commerce, contre +0,4% attendu par les analystes.Donald Trump a jugé mercredi que le ralentissement économique aux Etats-Unis était un “reliquat” de son prédécesseur Joe Biden et n’avait “rien à voir avec les droits de douane”, dans un message sur son réseau Truth Social.Autre indicateur en berne: l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab, selon laquelle les entreprises privées aux Etats-Unis ont créé en avril nettement moins d’emplois qu’attendu par les analystes, évoquant le “malaise” des employeurs face à l’incertitude générée par les nouvelles surtaxes douanières.Le mois dernier, 62.000 emplois ont été créés dans le secteur privé, soit moins qu’attendu par les analystes et moins qu’en mars (147.000 emplois).La publication de l’indice officiel PCE à 14H00 GMT, jauge d’inflation privilégiée par la banque centrale américaine (Fed), n’a pas fait d’avantage flancher Wall Street. La hausse des prix a ralenti en mars avant le gros des droits de douane, à +2,3% sur un an, globalement dans la lignée des attentes des analystes.”Chaque donnée publiée est importante, car elle nous donne une idée de ce que sera la politique à suivre”, souligne M. Sarhan.”Non seulement la politique monétaire de la Fed, mais aussi la politique budgétaire du Congrès”, détaille l’analyste. L’indice de volatilité Vix, surnommé “indice de la peur”, qui mesure la nervosité des investisseurs sur le marché, s’envolait de plus de 14%.Sur le marché obligataire, le taux d’intérêt des emprunts d’Etat américains à dix ans se détendait à 4,16%, contre 4,17% mardi en clôture.Autre point d’attention de la place américaine: la saison des résultats qui bat son plein. Le géant américain du café Starbucks reculait de 8,19% après avoir annoncé mardi des résultats inférieurs aux attentes au deuxième trimestre de son exercice décalé, assurant que ces performances “décevantes” masquaient les “progrès et la dynamique” créés par son plan d’entreprise.Le groupe américain d’agroalimentaire Mondelez International (biscuits Lu et Oreo, chocolats Milka) gagnait du terrain (+3,27%). L’entreprise a connu une croissance quasi-nulle au premier trimestre, mais a confirmé mardi ses objectifs annuels, malgré la flambée des cours du cacao.Le groupe américain Caterpillar était boudé (-0,23%) après la publication mercredi de résultats pour le premier trimestre en baisse et inférieurs aux attentes du marché, attribuant cette tendance à des volumes de vente plus faibles et à des prix en recul.Les investisseurs attendent désormais les résultats de Meta (-3,66%) et Microsoft (2,07%) mercredi après la clôture, puis d’Amazon (-4,21%) et Apple (-1,60%) jeudi.
BFMTV recrute Nicolas Poincaré pour ses longs formats “Ligne rouge”
Le journaliste Nicolas Poincaré, ancien présentateur de “Complément d’enquête” sur France 2, va rejoindre la chaîne info BFMTV pour superviser son service d’investigation et de longs formats “Ligne rouge”, a-t-elle annoncé mercredi.A partir de la rentrée, “il incarnera” à l’antenne “la présentation des sujets” de Ligne rouge, dont il rejoint la rédaction en chef, a indiqué BFMTV.M. Poincaré, 63 ans, a une longue carrière à la radio et à la télévision. Il a notamment animé le magazine d’investigation de France 2, “Complément d’enquête”, après la mort de son créateur Benoît Duquesne en 2014 et jusqu’à 2017.Son arrivée à BFMTV est un retour, puisqu’il a travaillé dans ce groupe comme chroniqueur de 2019 à 2024, que ce soit sur la chaîne info elle-même, sur sa petite soeur BFM Business ou sur la radio RMC.A la radio, Nicolas Poincaré a également présenté la revue de presse de France Inter à la fin des années 1990 et est passé par franceinfo, RTL et Europe 1.BFMTV est détenue depuis juillet 2024 par l’armateur CMA CGM, contrôlé par le milliardaire Rodolphe Saadé. La chaîne est dirigée depuis octobre par Fabien Namias (ex-LCI), qui a succédé à l’emblématique Marc-Olivier Fogiel.Face à la concurrence de CNews pour la place de première chaîne info de France, BFMTV compte attirer de nouvelles recrues. Elle a déjà officialisé en mars l’arrivée prochaine du directeur de l’information de France Inter, Marc Fauvelle, pour présenter un rendez-vous d’information.
L’économie européenne résiste à Trump au premier trimestre
L’activité économique de l’Europe a résisté mieux que prévu en début d’année aux annonces intempestives de Donald Trump sur les droits de douane, mais l’impact des tensions commerciales devrait la maintenir dans une quasi-stagnation cette année.Le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a progressé de 0,4% au premier trimestre par rapport aux trois mois précédents, a annoncé mercredi Eurostat.Les analystes interrogés par Bloomberg tablaient en moyenne sur une croissance de 0,2% de janvier à mars pour les 20 pays partageant la monnaie unique européenne, après +0,2% au dernier trimestre de 2024.Pour l’ensemble de l’Union européenne, la croissance a atteint 0,3% au premier trimestre, après 0,4% d’octobre à décembre, selon l’office européen des statistiques.Cette performance solide semble liée à des achats anticipés aux Etats-Unis, avant l’entrée en vigueur des taxes douanières en mars et avril. Mais pour l’ensemble de l’année, les perspectives restent ternes.En attendant, les mesures protectionnistes du locataire de la Maison-Blanche semblent d’abord avoir freiné la croissance américaine. Le PIB des Etats-Unis a enregistré un recul surprise au premier trimestre, se contractant de 0,1%, par rapport au trimestre précédent.Bruxelles est en pleines négociations avec Washington pour obtenir la levée des surtaxes douanières. Elles atteignent pour l’instant 25% sur les automobiles, l’aluminium et l’acier ainsi que 10% sur l’ensemble des autres produits.Le Vieux Continent est enlisé depuis deux ans dans la stagnation économique, freiné notamment par la hausse des coûts de l’énergie consécutive à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Et le rebond de l’activité attendu cette année s’annonce très limité…Le 22 avril, le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé de 0,2 point ses prévisions de croissance pour la zone euro à 0,8% en 2025, après 0,4% en 2024, anticipant un impact des tensions commerciales.L’écart se réduit toutefois avec les Etats-Unis, qui caracolent en tête depuis des années mais devraient subir un net coup de frein. La prévision du FMI pour la première économie mondiale a été réduite de 0,9 point, à 1,8% en 2025. Elle avait atteint 2,8% l’an dernier.- “Fort ralentissement” à venir -L’économie européenne “a commencé l’année sur une base plus solide que prévu. Néanmoins, nous prévoyons un fort ralentissement de la croissance au cours des six prochains mois, étant donné que les droits de douane américains introduits en avril affecteront l’activité”, a commenté mercredi Franziska Palmas, économiste pour Capital Economics.De nombreuses entreprises ont exporté davantage de marchandises en début d’année, afin d’échapper aux taxes additionnelles instaurées par M. Trump. Ainsi, les exportations depuis l’Irlande vers les Etats-Unis ont bondi de 210% en février. Il s’agit à 90% de produits chimiques et pharmaceutiques.La bonne performance de l’économie européenne au premier trimestre “est due en partie à l’augmentation de 3,2% du PIB en Irlande, où l’impulsion donnée par l’anticipation des droits de douane américains a probablement été assez importante”, note ainsi Mme Palmas.Parmi les principales économies, l’Espagne s’est une fois de plus distinguée, avec une croissance du PIB de 0,6% par rapport au trimestre précédent. La France, handicapée par l’instabilité politique et une cure de rigueur budgétaire en préparation, a en revanche encore plombé la zone euro, avec une croissance du PIB de seulement 0,1% de janvier à mars.L’Allemagne (+0,2%) et l’Italie (+0,3%), bien que sous la moyenne européenne, ont fait nettement mieux que prévu. Contrairement à la France, ces deux pays profitent d’un secteur manufacturier très performant à l’international. L’expansion en Europe “a probablement été soutenue par la poursuite de l’assouplissement monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), ainsi que par l’augmentation de l’activité des exportateurs avant la mise en œuvre des tarifs douaniers américains”, estime Sam Miley, économiste du Centre for Economics and Business Research (CEBR).La BCE a abaissé ses taux le 17 avril pour la sixième fois d’affilée, en espérant contrer l’effet des tensions commerciales avec les Etats-Unis.L’offensive tarifaire de M. Trump pèse sur l’économie, avec un “risque de baisse des exportations, des investissements et de la consommation”, a averti la présidente de l’institution monétaire Christine Lagarde, ajoutant que le climat financier dégradé pourrait freiner encore davantage l’activité.
Rwandan awarded for saving grey crowned cranesWed, 30 Apr 2025 14:18:35 GMT
White wings flashing overhead in the sunlight, conservationist Olivier Nsengimana points out Rwanda’s grey crowned cranes, migratory birds that have made an extraordinary comeback in the Great Lakes region.Their resurgence is thanks to the veterinarian and former gorilla doctor’s work protecting their natural habitat in a country better known for its misty peaks than damp …
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