S.Africa says ‘will not let up’ support for DR CongoMon, 03 Feb 2025 15:53:49 GMT

President Cyril Ramaphosa vowed Monday to continue providing support to the Democratic Republic of Congo in the face of nationwide calls to withdraw troops following the death of 14 South African soldiers. Rwanda-backed M23 fighters have made substantial gains in the eastern DRC, taking the major city of Goma last week and vowing to march across …

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Budget: le PS ne votera pas la censure, Bayrou dégaine un premier 49.3

Le PS a tranché, ses députés s’abstiendront de voter la censure du gouvernement de François Bayrou sur le budget de l’Etat, sur lequel le Premier ministre a dégainé lundi le premier article 49.3 de son mandat.Deux mois après la chute du gouvernement Barnier, François Bayrou semble donc assuré de rester à Matignon, même si le Rassemblement national décidait de voter la censure.”Aucun pays ne peut vivre sans budget et la France moins que tout autre”, a argué François Bayrou à la tribune de l’hémicycle, engageant la responsabilité de son gouvernement sur le projet de budget 2025, un texte de compromis dont a accouché vendredi une commission mixte paritaire (CMP) réunissant 14 députés et sénateursLes Insoumis ont répondu comme attendu par l’annonce d’une motion de censure, qui n’aura toutefois aucune chance d’aboutir sans les voix des députés du Parti socialiste. Le bureau national du parti à la rose a tranché: il ne votera pas pour faire chuter François Bayrou.”Le projet de loi de finances pour 2025 demeure un budget de droite”, a affirmé le groupe PS dans un communiqué, invoquant l'”esprit de responsabilité” et “l’intérêt du pays” pour “ne pas censurer le gouvernement au moment où la France attend de disposer d’un budget”. Selon le groupe PS l’ensemble des 66 députés suivront la décision du Bureau national, et cette position vaudra pour le budget de l’Etat comme celui de la Sécurité sociale. Une décision importante puisque François Bayrou doit dégainer lundi après-midi un autre 49.3 sur le budget de la Sécu.”Le vote de non-censure par le PS consomme son ralliement au gouvernement Bayrou”, a tancé dans une note de blog le chef de file de LFI Jean-Luc Mélenchon, quand le président LFI de la commission des Finances Eric Coquerel a dénoncé un texte “encore plus austéritaire et plus nocif pour le pays que ce que projetait Michel Barnier”.Si le PS a “arraché des concessions” sur le budget de l’Etat, elles “restent largement insuffisantes”, avait reconnu dimanche le chef de file des députés socialistes Boris Vallaud. “Mais nous savons aussi que ce pays a besoin d’un budget et nous entendons les inquiétudes, les craintes des entreprises, des collectivités ou des associations”, avait-il ajouté.Deux lignes s’affrontaient au sein du parti, entre ceux qui ne veulent pas laisser le pays sans budget, comme le demande l’ancien Premier ministre Lionel Jospin, et ceux qui veulent censurer notamment au nom des valeurs depuis que M. Bayrou a utilisé le terme de “sentiment de submersion” migratoire, cher à l’extrême droite.Le PS déposera d’ailleurs de sa propre initiative une motion de censure spontanée (article 49.2) en réaction à ces propos, mais qui semble n’avoir aucune chance de recueillir les voix du RN. “Ils savent bien que ce sera une balle à blanc”, a réagi Eric Coquerel.- Le RN décidera mercredi -Lundi, ce sont plutôt les partisans d’une non-censure qui se faisaient entendre. “Ce n’est évidemment pas un budget (de la Sécurité sociale) de gauche mais il est assurément plus acceptable que le budget Barnier”, a estimé dans Les Échos Jérôme Guedj.L’exécutif a fermé la porte à de nouvelles concessions au budget de l’Etat. La porte-parole du gouvernement Sophie Primas a confirmé sur France 2 que le texte soumis au 49.3 sera celui issu de la CMP.Quant à une hausse du Smic, celle-ci “n’est pas à l’ordre du jour”, selon la ministre du Travail Catherine Vautrin, qui l’a renvoyée à “une conférence sociale plus large”, après le conclave sur les retraites.Le RN, dont les voix sont aussi nécessaires pour aboutir à une censure, devait trancher lundi, mais a reporté sa réunion à mercredi en début d’après-midi, selon un cadre du groupe présidé par Marine Le Pen.Le député RN Jean-Philippe Tanguy a affirmé dimanche que le budget proposé était “pire que l’absence de budget”, et que lui-même souhaitait la censure. Mais il appartiendra à Marine Le Pen et à Jordan Bardella de trancher.sl-far-sac-are/hr/sp

Budget: le PS ne votera pas la censure, Bayrou dégaine un premier 49.3

Le PS a tranché, ses députés s’abstiendront de voter la censure du gouvernement de François Bayrou sur le budget de l’Etat, sur lequel le Premier ministre a dégainé lundi le premier article 49.3 de son mandat.Deux mois après la chute du gouvernement Barnier, François Bayrou semble donc assuré de rester à Matignon, même si le Rassemblement national décidait de voter la censure.”Aucun pays ne peut vivre sans budget et la France moins que tout autre”, a argué François Bayrou à la tribune de l’hémicycle, engageant la responsabilité de son gouvernement sur le projet de budget 2025, un texte de compromis dont a accouché vendredi une commission mixte paritaire (CMP) réunissant 14 députés et sénateursLes Insoumis ont répondu comme attendu par l’annonce d’une motion de censure, qui n’aura toutefois aucune chance d’aboutir sans les voix des députés du Parti socialiste. Le bureau national du parti à la rose a tranché: il ne votera pas pour faire chuter François Bayrou.”Le projet de loi de finances pour 2025 demeure un budget de droite”, a affirmé le groupe PS dans un communiqué, invoquant l'”esprit de responsabilité” et “l’intérêt du pays” pour “ne pas censurer le gouvernement au moment où la France attend de disposer d’un budget”. Selon le groupe PS l’ensemble des 66 députés suivront la décision du Bureau national, et cette position vaudra pour le budget de l’Etat comme celui de la Sécurité sociale. Une décision importante puisque François Bayrou doit dégainer lundi après-midi un autre 49.3 sur le budget de la Sécu.”Le vote de non-censure par le PS consomme son ralliement au gouvernement Bayrou”, a tancé dans une note de blog le chef de file de LFI Jean-Luc Mélenchon, quand le président LFI de la commission des Finances Eric Coquerel a dénoncé un texte “encore plus austéritaire et plus nocif pour le pays que ce que projetait Michel Barnier”.Si le PS a “arraché des concessions” sur le budget de l’Etat, elles “restent largement insuffisantes”, avait reconnu dimanche le chef de file des députés socialistes Boris Vallaud. “Mais nous savons aussi que ce pays a besoin d’un budget et nous entendons les inquiétudes, les craintes des entreprises, des collectivités ou des associations”, avait-il ajouté.Deux lignes s’affrontaient au sein du parti, entre ceux qui ne veulent pas laisser le pays sans budget, comme le demande l’ancien Premier ministre Lionel Jospin, et ceux qui veulent censurer notamment au nom des valeurs depuis que M. Bayrou a utilisé le terme de “sentiment de submersion” migratoire, cher à l’extrême droite.Le PS déposera d’ailleurs de sa propre initiative une motion de censure spontanée (article 49.2) en réaction à ces propos, mais qui semble n’avoir aucune chance de recueillir les voix du RN. “Ils savent bien que ce sera une balle à blanc”, a réagi Eric Coquerel.- Le RN décidera mercredi -Lundi, ce sont plutôt les partisans d’une non-censure qui se faisaient entendre. “Ce n’est évidemment pas un budget (de la Sécurité sociale) de gauche mais il est assurément plus acceptable que le budget Barnier”, a estimé dans Les Échos Jérôme Guedj.L’exécutif a fermé la porte à de nouvelles concessions au budget de l’Etat. La porte-parole du gouvernement Sophie Primas a confirmé sur France 2 que le texte soumis au 49.3 sera celui issu de la CMP.Quant à une hausse du Smic, celle-ci “n’est pas à l’ordre du jour”, selon la ministre du Travail Catherine Vautrin, qui l’a renvoyée à “une conférence sociale plus large”, après le conclave sur les retraites.Le RN, dont les voix sont aussi nécessaires pour aboutir à une censure, devait trancher lundi, mais a reporté sa réunion à mercredi en début d’après-midi, selon un cadre du groupe présidé par Marine Le Pen.Le député RN Jean-Philippe Tanguy a affirmé dimanche que le budget proposé était “pire que l’absence de budget”, et que lui-même souhaitait la censure. Mais il appartiendra à Marine Le Pen et à Jordan Bardella de trancher.sl-far-sac-are/hr/sp

Budget: le PS ne votera pas la censure, Bayrou dégaine un premier 49.3

Le PS a tranché, ses députés s’abstiendront de voter la censure du gouvernement de François Bayrou sur le budget de l’Etat, sur lequel le Premier ministre a dégainé lundi le premier article 49.3 de son mandat.Deux mois après la chute du gouvernement Barnier, François Bayrou semble donc assuré de rester à Matignon, même si le Rassemblement national décidait de voter la censure.”Aucun pays ne peut vivre sans budget et la France moins que tout autre”, a argué François Bayrou à la tribune de l’hémicycle, engageant la responsabilité de son gouvernement sur le projet de budget 2025, un texte de compromis dont a accouché vendredi une commission mixte paritaire (CMP) réunissant 14 députés et sénateursLes Insoumis ont répondu comme attendu par l’annonce d’une motion de censure, qui n’aura toutefois aucune chance d’aboutir sans les voix des députés du Parti socialiste. Le bureau national du parti à la rose a tranché: il ne votera pas pour faire chuter François Bayrou.”Le projet de loi de finances pour 2025 demeure un budget de droite”, a affirmé le groupe PS dans un communiqué, invoquant l'”esprit de responsabilité” et “l’intérêt du pays” pour “ne pas censurer le gouvernement au moment où la France attend de disposer d’un budget”. Selon le groupe PS l’ensemble des 66 députés suivront la décision du Bureau national, et cette position vaudra pour le budget de l’Etat comme celui de la Sécurité sociale. Une décision importante puisque François Bayrou doit dégainer lundi après-midi un autre 49.3 sur le budget de la Sécu.”Le vote de non-censure par le PS consomme son ralliement au gouvernement Bayrou”, a tancé dans une note de blog le chef de file de LFI Jean-Luc Mélenchon, quand le président LFI de la commission des Finances Eric Coquerel a dénoncé un texte “encore plus austéritaire et plus nocif pour le pays que ce que projetait Michel Barnier”.Si le PS a “arraché des concessions” sur le budget de l’Etat, elles “restent largement insuffisantes”, avait reconnu dimanche le chef de file des députés socialistes Boris Vallaud. “Mais nous savons aussi que ce pays a besoin d’un budget et nous entendons les inquiétudes, les craintes des entreprises, des collectivités ou des associations”, avait-il ajouté.Deux lignes s’affrontaient au sein du parti, entre ceux qui ne veulent pas laisser le pays sans budget, comme le demande l’ancien Premier ministre Lionel Jospin, et ceux qui veulent censurer notamment au nom des valeurs depuis que M. Bayrou a utilisé le terme de “sentiment de submersion” migratoire, cher à l’extrême droite.Le PS déposera d’ailleurs de sa propre initiative une motion de censure spontanée (article 49.2) en réaction à ces propos, mais qui semble n’avoir aucune chance de recueillir les voix du RN. “Ils savent bien que ce sera une balle à blanc”, a réagi Eric Coquerel.- Le RN décidera mercredi -Lundi, ce sont plutôt les partisans d’une non-censure qui se faisaient entendre. “Ce n’est évidemment pas un budget (de la Sécurité sociale) de gauche mais il est assurément plus acceptable que le budget Barnier”, a estimé dans Les Échos Jérôme Guedj.L’exécutif a fermé la porte à de nouvelles concessions au budget de l’Etat. La porte-parole du gouvernement Sophie Primas a confirmé sur France 2 que le texte soumis au 49.3 sera celui issu de la CMP.Quant à une hausse du Smic, celle-ci “n’est pas à l’ordre du jour”, selon la ministre du Travail Catherine Vautrin, qui l’a renvoyée à “une conférence sociale plus large”, après le conclave sur les retraites.Le RN, dont les voix sont aussi nécessaires pour aboutir à une censure, devait trancher lundi, mais a reporté sa réunion à mercredi en début d’après-midi, selon un cadre du groupe présidé par Marine Le Pen.Le député RN Jean-Philippe Tanguy a affirmé dimanche que le budget proposé était “pire que l’absence de budget”, et que lui-même souhaitait la censure. Mais il appartiendra à Marine Le Pen et à Jordan Bardella de trancher.sl-far-sac-are/hr/sp

Israeli premier in Washington for Gaza ceasefire talks

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu is set to begin talks Monday on a second phase of the ceasefire with Hamas as he meets with the new Trump administration in Washington.Just over two weeks after the Gaza truce began, two Hamas officials said the group was ready to begin talks on the details of a second phase, which could help secure a lasting cessation of violence.Before leaving Israel, Netanyahu told reporters he would discuss “victory over Hamas”, countering Iran and freeing all hostages when he meets President Donald Trump on Tuesday.It will be Trump’s first meeting with a foreign leader since returning to the White House in January, a prioritisation Netanyahu said showed “the strength of the Israeli-American alliance”.With fragile ceasefires holding in both Gaza and Lebanon — where an Israeli campaign badly weakened Iran-backed Hezbollah — Israel has turned its focus to the occupied West Bank and an operation that it says is aimed at rooting out extremism that has killed dozens.Netanyahu said Israel’s wartime decisions had reshaped the Middle East and that with Trump’s support, this could go “even further”.Trump, who has claimed credit for sealing the ceasefire deal after 15 months of war, said Sunday negotiations with Israel and other countries in the Middle East were “progressing”.”Netanyahu’s coming on Tuesday, and I think we have some very big meetings scheduled,” Trump said.Netanyahu’s office said he would begin discussions with Trump’s Middle East envoy Steve Witkoff on Monday over terms for the second phase of the Gaza truce.The next stage is expected to cover the release of the remaining captives and could lead to a more permanent end to the war.One Hamas official, speaking to AFP on condition on anonymity because of the sensitivity of the talks, said the Palestinian group “has informed the mediators… that we are ready to start the negotiations for the second phase”.A second official said Hamas was “waiting for the mediators to initiate the next round”.The Washington discussions are also expected to cover normalisation efforts between Israel and Saudi Arabia, which Riyadh froze early in the Gaza war.- ‘Return to their land’ -Under the Gaza ceasefire’s first, 42-day phase, Hamas is to free 33 hostages in staggered releases in exchange for around 1,900 Palestinians held in Israeli jails.Four hostage-prisoner exchanges have already taken place, and the truce has led to a surge of food, fuel, medical and other aid into rubble-strewn Gaza.During Hamas’s October 7, 2023 attack, militants took 251 hostages, 91 of whom remain in Gaza, including 34 the Israeli military has confirmed are dead.The attack resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures.Israel’s retaliatory response has killed at least 47,498 people in Gaza, a majority civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry, figures which the UN considers reliable.While Trump’s predecessor Joe Biden sustained Washington’s military and diplomatic backing of Israel, it also criticised the mounting death toll and aid restrictions.Trump moved quickly to reset relations.In one of his first acts back in office, he lifted sanctions on Israeli settlers accused of violence against Palestinians in the West Bank and reportedly approved a shipment of 2,000-pound bombs that the Biden administration had blocked.Trump has also repeatedly touted a plan to “clean out” Gaza, calling for Palestinians to move to neighbouring countries such as Egypt or Jordan.Qatar, which jointly mediated the ceasefire along with the United States and Egypt, underscored the importance of allowing Palestinians to “return to their homes and land”.Iran’s foreign ministry spokesman Esmaeil Baqaei, meanwhile, warned Monday that relocating Gazans “would be tantamount to ethnic cleansing”.- Jenin operation -In the West Bank — which is separated from the Gaza Strip by Israeli territory — Israel said it had killed at least 50 militants and detained more than 100 “wanted individuals” in an operation that began on January 21.Israel’s military says the offensive is aimed to root out Palestinian armed groups from the Jenin area, where militants have long operated.On Sunday, Palestinian official news agency WAFA said Israeli forces “simultaneously detonated about 20 buildings” in the Jenin refugee camp.On Monday, the Palestinian presidency denounced the operation in the territory, which Israel has occupied since 1967 and where violence has surged since the Gaza war began.In a statement, spokesman Nabil Abu Rudeineh said the Palestinian presidency “condemned the occupation authorities’ expansion of their comprehensive war on our Palestinian people in the West Bank to implement their plans aimed at displacing citizens and ethnic cleansing”.The Palestinian health ministry said Israeli forces had killed 70 people in the West Bank since January 1.Israeli troops or settlers have killed at least 883 Palestinians in the West Bank since the Gaza war erupted in October 2023, according to the Palestinian health ministry.At least 30 Israelis have been killed in Palestinian attacks or during Israeli military raids in the territory over the same period, according to Israeli official figures.

Israeli premier in Washington for Gaza ceasefire talks

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu is set to begin talks Monday on a second phase of the ceasefire with Hamas as he meets with the new Trump administration in Washington.Just over two weeks after the Gaza truce began, two Hamas officials said the group was ready to begin talks on the details of a second phase, which could help secure a lasting cessation of violence.Before leaving Israel, Netanyahu told reporters he would discuss “victory over Hamas”, countering Iran and freeing all hostages when he meets President Donald Trump on Tuesday.It will be Trump’s first meeting with a foreign leader since returning to the White House in January, a prioritisation Netanyahu said showed “the strength of the Israeli-American alliance”.With fragile ceasefires holding in both Gaza and Lebanon — where an Israeli campaign badly weakened Iran-backed Hezbollah — Israel has turned its focus to the occupied West Bank and an operation that it says is aimed at rooting out extremism that has killed dozens.Netanyahu said Israel’s wartime decisions had reshaped the Middle East and that with Trump’s support, this could go “even further”.Trump, who has claimed credit for sealing the ceasefire deal after 15 months of war, said Sunday negotiations with Israel and other countries in the Middle East were “progressing”.”Netanyahu’s coming on Tuesday, and I think we have some very big meetings scheduled,” Trump said.Netanyahu’s office said he would begin discussions with Trump’s Middle East envoy Steve Witkoff on Monday over terms for the second phase of the Gaza truce.The next stage is expected to cover the release of the remaining captives and could lead to a more permanent end to the war.One Hamas official, speaking to AFP on condition on anonymity because of the sensitivity of the talks, said the Palestinian group “has informed the mediators… that we are ready to start the negotiations for the second phase”.A second official said Hamas was “waiting for the mediators to initiate the next round”.The Washington discussions are also expected to cover normalisation efforts between Israel and Saudi Arabia, which Riyadh froze early in the Gaza war.- ‘Return to their land’ -Under the Gaza ceasefire’s first, 42-day phase, Hamas is to free 33 hostages in staggered releases in exchange for around 1,900 Palestinians held in Israeli jails.Four hostage-prisoner exchanges have already taken place, and the truce has led to a surge of food, fuel, medical and other aid into rubble-strewn Gaza.During Hamas’s October 7, 2023 attack, militants took 251 hostages, 91 of whom remain in Gaza, including 34 the Israeli military has confirmed are dead.The attack resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures.Israel’s retaliatory response has killed at least 47,498 people in Gaza, a majority civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry, figures which the UN considers reliable.While Trump’s predecessor Joe Biden sustained Washington’s military and diplomatic backing of Israel, it also criticised the mounting death toll and aid restrictions.Trump moved quickly to reset relations.In one of his first acts back in office, he lifted sanctions on Israeli settlers accused of violence against Palestinians in the West Bank and reportedly approved a shipment of 2,000-pound bombs that the Biden administration had blocked.Trump has also repeatedly touted a plan to “clean out” Gaza, calling for Palestinians to move to neighbouring countries such as Egypt or Jordan.Qatar, which jointly mediated the ceasefire along with the United States and Egypt, underscored the importance of allowing Palestinians to “return to their homes and land”.Iran’s foreign ministry spokesman Esmaeil Baqaei, meanwhile, warned Monday that relocating Gazans “would be tantamount to ethnic cleansing”.- Jenin operation -In the West Bank — which is separated from the Gaza Strip by Israeli territory — Israel said it had killed at least 50 militants and detained more than 100 “wanted individuals” in an operation that began on January 21.Israel’s military says the offensive is aimed to root out Palestinian armed groups from the Jenin area, where militants have long operated.On Sunday, Palestinian official news agency WAFA said Israeli forces “simultaneously detonated about 20 buildings” in the Jenin refugee camp.On Monday, the Palestinian presidency denounced the operation in the territory, which Israel has occupied since 1967 and where violence has surged since the Gaza war began.In a statement, spokesman Nabil Abu Rudeineh said the Palestinian presidency “condemned the occupation authorities’ expansion of their comprehensive war on our Palestinian people in the West Bank to implement their plans aimed at displacing citizens and ethnic cleansing”.The Palestinian health ministry said Israeli forces had killed 70 people in the West Bank since January 1.Israeli troops or settlers have killed at least 883 Palestinians in the West Bank since the Gaza war erupted in October 2023, according to the Palestinian health ministry.At least 30 Israelis have been killed in Palestinian attacks or during Israeli military raids in the territory over the same period, according to Israeli official figures.

Grèce: des milliers d’habitants fuient Santorin frappée par des séismes à répétition

Quelques milliers d’habitants de Santorin ont quitté cette île mondialement connue de Grèce, frappée de nouveau lundi par des secousses sismiques, malgré les appels au calme du Premier ministre.Plus de 200 secousses telluriques ont été enregistrées depuis dimanche au large de cette île touristique de l’archipel des Cyclades, en mer Égée, connue notamment pour ses chapelles à coupoles bleues accrochées aux falaises volcaniques.La plus forte secousse a atteint une magnitude de 4,9 lundi en milieu de journée, selon l’Institut géodynamique de l’Observatoire d’Athènes. “Nous devons gérer un phénomène géologique très intense”, a prévenu le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis depuis Bruxelles. “Je souhaite avant tout demander aux habitants de l’île de rester calmes”, a-t-il ajouté. Depuis dimanche, quelques milliers de résidents ont quitté l’île qui compte 15.500 habitants permanents, apeurés par la fréquence intense de ces secousses en particulier ces deux derniers jours.Environ un millier de passagers ont embarqué lundi après-midi à bord d’un ferry à destination du Pirée, le grand port au sud d’Athènes, ont constaté des journalistes de l’AFP sur place.- “Ça secouait” -Plus d’un millier de personnes avaient déjà quitté Santorin dimanche. “La nuit dernière, nous avons vérifié, le (ferry) Blue Star Chios avait à son bord 1.100 personnes originaires de Santorin”, a ainsi précisé une garde-côte à l’AFP.Toutefois, l’AFP n’a constaté aucun mouvement de panique des habitants. Des files d’attente se sont formées dans le calme devant certaines agences de voyage locales.Selon une employée d’une agence de voyages, un ferry supplémentaire devrait quitter Santorin vers 1H00 du matin (23h00 GMT).”Nous sommes tous inquiets (…) On doit tous partir et faire la queue pour attendre le ferry, surtout pour (protéger) nos enfants”, a expliqué à l’AFP Dimitris Selistaï, 45 ans, qui travaille à Santorin depuis 25 ans.”Ça secouait, ça secouait, ça secouait toutes les 3 ou 4 heures hier. Je n’ai jamais vécu cela avant” à Santorin, a témoigné auprès de l’AFP Kostas Sakavaras, un guide touristique installé depuis 17 ans sur l’île, qu’il a quittée dimanche avec sa famille.”Nous avons décidé de partir pour des raisons de sécurité”, a-t-il ajouté, joint par téléphone. “Le bateau (reliant Santorin au Pirée) était plein”, a-t-il ajouté.  L’épicentre du séisme de magnitude 4,9 est situé entre Santorin et l’île proche d’Anafi, également touristique, a indiqué cet institut.Quelques minutes après, les résidents ont reçu un message d’alerte sur leurs téléphones portables les prévenant du “risque de glissement de terrain” dans certains villages.La compagnie aérienne Aegean Airlines a affrété des vols supplémentaires lundi et mardi au départ et à destination de Santorin, selon l’agence de presse ANA.Tous les établissements scolaires de l’île ainsi que des îles voisines d’Amorgos et de Ios resteront fermés jusqu’à vendredi, ont décidé les autorités.- Vigilance -Selon des sismologues, l’activité sismique touche aussi d’autres îles proches, également touristiques, comme Anafi, Ios et Amorgos, célèbre depuis qu’une partie du film “Le Grand bleu” y a été tourné.Le Royaume-Uni comme l’Allemagne ont recommandé aux voyageurs sur place de suivre les conseils du ministère grec de la Protection civile.Les autorités ne cessent d’appeler à la plus grande vigilance. Les riverains doivent se tenir à l’écart de certains ports de Santorin, vider leurs piscines et éviter les rassemblements à l’intérieur des bâtiments.Mais le ministre de la Protection civile, Vassilis Kikilias a répété au Parlement à Athènes que toutes les mesures adoptées jusqu’ici étaient “préventives”.Athènes a insisté sur le fait que les secousses n’étaient pas le résultat d’une activité volcanique mais d’une activité tectonique. Santorin est l’une des îles volcaniques des Cyclades les plus prisées des touristes: elle en a accueilli 3,4 millions en 2023, au point de susciter des inquiétudes quant au phénomène du surtourisme.Mais les touristes se font rares à cette période de l’année. En Bulgarie, Bayko Baykov, PDG de l’agence de voyages Bohemia a toutefois prévenu que de nombreux clients étaient alarmés. “Mais il reste du temps pour que la situation se calme” avant la haute saison, a-t-il fait valoir. En 1956, l’île avait été touchée par un séisme de 7,5 sur l’échelle de Richter qui avait fait une cinquantaine de morts et provoqué un tsunami.Le paysage spectaculaire de Santorin a été créé par une éruption volcanique vers 1.600 ans avant Jésus-Christ.

Grèce: des milliers d’habitants fuient Santorin frappée par des séismes à répétition

Quelques milliers d’habitants de Santorin ont quitté cette île mondialement connue de Grèce, frappée de nouveau lundi par des secousses sismiques, malgré les appels au calme du Premier ministre.Plus de 200 secousses telluriques ont été enregistrées depuis dimanche au large de cette île touristique de l’archipel des Cyclades, en mer Égée, connue notamment pour ses chapelles à coupoles bleues accrochées aux falaises volcaniques.La plus forte secousse a atteint une magnitude de 4,9 lundi en milieu de journée, selon l’Institut géodynamique de l’Observatoire d’Athènes. “Nous devons gérer un phénomène géologique très intense”, a prévenu le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis depuis Bruxelles. “Je souhaite avant tout demander aux habitants de l’île de rester calmes”, a-t-il ajouté. Depuis dimanche, quelques milliers de résidents ont quitté l’île qui compte 15.500 habitants permanents, apeurés par la fréquence intense de ces secousses en particulier ces deux derniers jours.Environ un millier de passagers ont embarqué lundi après-midi à bord d’un ferry à destination du Pirée, le grand port au sud d’Athènes, ont constaté des journalistes de l’AFP sur place.- “Ça secouait” -Plus d’un millier de personnes avaient déjà quitté Santorin dimanche. “La nuit dernière, nous avons vérifié, le (ferry) Blue Star Chios avait à son bord 1.100 personnes originaires de Santorin”, a ainsi précisé une garde-côte à l’AFP.Toutefois, l’AFP n’a constaté aucun mouvement de panique des habitants. Des files d’attente se sont formées dans le calme devant certaines agences de voyage locales.Selon une employée d’une agence de voyages, un ferry supplémentaire devrait quitter Santorin vers 1H00 du matin (23h00 GMT).”Nous sommes tous inquiets (…) On doit tous partir et faire la queue pour attendre le ferry, surtout pour (protéger) nos enfants”, a expliqué à l’AFP Dimitris Selistaï, 45 ans, qui travaille à Santorin depuis 25 ans.”Ça secouait, ça secouait, ça secouait toutes les 3 ou 4 heures hier. Je n’ai jamais vécu cela avant” à Santorin, a témoigné auprès de l’AFP Kostas Sakavaras, un guide touristique installé depuis 17 ans sur l’île, qu’il a quittée dimanche avec sa famille.”Nous avons décidé de partir pour des raisons de sécurité”, a-t-il ajouté, joint par téléphone. “Le bateau (reliant Santorin au Pirée) était plein”, a-t-il ajouté.  L’épicentre du séisme de magnitude 4,9 est situé entre Santorin et l’île proche d’Anafi, également touristique, a indiqué cet institut.Quelques minutes après, les résidents ont reçu un message d’alerte sur leurs téléphones portables les prévenant du “risque de glissement de terrain” dans certains villages.La compagnie aérienne Aegean Airlines a affrété des vols supplémentaires lundi et mardi au départ et à destination de Santorin, selon l’agence de presse ANA.Tous les établissements scolaires de l’île ainsi que des îles voisines d’Amorgos et de Ios resteront fermés jusqu’à vendredi, ont décidé les autorités.- Vigilance -Selon des sismologues, l’activité sismique touche aussi d’autres îles proches, également touristiques, comme Anafi, Ios et Amorgos, célèbre depuis qu’une partie du film “Le Grand bleu” y a été tourné.Le Royaume-Uni comme l’Allemagne ont recommandé aux voyageurs sur place de suivre les conseils du ministère grec de la Protection civile.Les autorités ne cessent d’appeler à la plus grande vigilance. Les riverains doivent se tenir à l’écart de certains ports de Santorin, vider leurs piscines et éviter les rassemblements à l’intérieur des bâtiments.Mais le ministre de la Protection civile, Vassilis Kikilias a répété au Parlement à Athènes que toutes les mesures adoptées jusqu’ici étaient “préventives”.Athènes a insisté sur le fait que les secousses n’étaient pas le résultat d’une activité volcanique mais d’une activité tectonique. Santorin est l’une des îles volcaniques des Cyclades les plus prisées des touristes: elle en a accueilli 3,4 millions en 2023, au point de susciter des inquiétudes quant au phénomène du surtourisme.Mais les touristes se font rares à cette période de l’année. En Bulgarie, Bayko Baykov, PDG de l’agence de voyages Bohemia a toutefois prévenu que de nombreux clients étaient alarmés. “Mais il reste du temps pour que la situation se calme” avant la haute saison, a-t-il fait valoir. En 1956, l’île avait été touchée par un séisme de 7,5 sur l’échelle de Richter qui avait fait une cinquantaine de morts et provoqué un tsunami.Le paysage spectaculaire de Santorin a été créé par une éruption volcanique vers 1.600 ans avant Jésus-Christ.