Pakistan Taliban kill police polio escort as vaccination drive starts

The Pakistani Taliban claimed the killing of a police officer as he travelled Monday to guard polio vaccinators on the first day of a nationwide immunisation effort after a year of rising cases.The officer was travelling to guard polio vaccinators in the area of Jamrud town in northwestern Khyber Pakhtunkhwa province when he was killed, local police official Zarmat Khan told AFP.”Two motorcycle riders opened fire on him,” he said. “The constable died instantly at the scene.”Pakistan and neighbouring Afghanistan are the only countries where polio is endemic and militants have for decades targeted vaccination teams and their security escorts.The Pakistani Taliban in a statement claimed responsibility for the “targeted attack” and said militants also “seized” the slain officer’s weapon.Pakistan reported at least 73 polio infections in 2024, compared to just six cases in 2023. The vaccination campaign which started on Monday is the first of the year and is due to last a week.”Despite the incident, the polio vaccination drive in the area remains ongoing,” Khan said.Abdul Hameed Afridi, another senior police official in the area, also confirmed details of the attack and said officers have “launched an investigation”.Prime Minister Shehbaz Sharif acknowledged the violence in a statement from his office, saying “the anti-polio campaign will continue with full vigour”.Polio can easily be prevented by the oral administration of a few drops of vaccine, but scores of vaccination workers and their escorts have been killed over the years.In the past, clerics falsely claimed that the vaccine contained pork or alcohol, declaring it forbidden for Muslims.In more recent years the attacks have focused on vulnerable police escorts accompanying the vaccinators as they go door-to-door.Last year, dozens of Pakistani policemen who accompany medical teams on campaigns went on strike after a string of militant attacks targeting them.Pakistan has witnessed rising militant attacks since the Taliban returned to power in neighbouring Afghanistan.More than 1,600 people were killed in 2024 — the deadliest year in almost a decade — according to the Center for Research and Security Studies, an Islamabad-based analysis group.Islamabad accuses Kabul’s new rulers of failing to rout militants organising on Afghan soil, a charge the Taliban government routinely denies.In November, at least seven people — including five children — were killed in a bombing targeting police gathered to guard vaccinators near a school in southwestern Balochistan province.Balochistan — which also neighbours Afghanistan — was the area with the largest number of polio cases in 2024, despite being the most sparsely populated.

Trump ouvre la porte à des discussions avec le Canada et le Mexique

Donald Trump compte discuter lundi avec le Canada et le Mexique au sujet des droits de douane qu’il a imposés à ces pays et dont l’annonce plombe les marchés boursiers, très inquiets du risque d’emballement d’une guerre commerciale. Interrogé dimanche par la presse au sujet des 25% de droits de douane qu’il a imposés aux produits en provenance des deux pays, le président américain a assuré qu’il allait “discuter avec le Premier ministre Trudeau demain matin”. “Je vais également parler avec le Mexique demain matin, je ne m’attends à rien de grave” de leur part, a-t-il dit.Il a également averti le Canada qu’il était prêt à aller plus loin dans les droits de douane si le voisin du Nord persistait dans les représailles qu’il compte imposer à partir de mardi, date d’effet des mesures américaines.Justin Trudeau a annoncé samedi que son pays imposerait des droits de douane de 25% sur des produits américains pour un total de 155 milliards de dollars canadiens (102 milliards d’euros), commençant par une première série de produits, d’une valeur de 30 milliards de dollars canadiens (21 milliards de dollars américains) dès mardi.Donald Trump a fustigé dimanche le Canada, estimant que “globalement, il y a beaucoup de choses qu’ils n’autorisent pas. Et nous autorisons tout à entrer chez nous, c’est à sens unique. Nous subventionnons le Canada à hauteur de 200 milliards de dollars par an et qu’est ce qu’on a en échange?”.Les Bourses en Asie ont nettement baissé lundi, à l’unisson du peso mexicain, du dollar canadien et d’autres devises face au billet vert.M. Trump avait toujours affirmé que l’impact des droits de douane serait supporté par les exportateurs étrangers, sans être répercuté sur les consommateurs américains, contredisant l’avis de la quasi totalité des experts.- Les Américains vont “souffrir” -Dans la matinée, il a toutefois reconnu pour la première fois clairement, dans une série de messages virulents sur son réseau social Truth Social, que les consommateurs et entreprises américains pourraient “souffrir”.”Ce sera le nouvel âge d’or pour les Etats-Unis! Est-ce que cela va faire souffrir? Oui, peut-être. Et peut-être pas. Mais nous allons rendre sa grandeur à l’Amérique et cela vaudra le prix qu’il faudra payer”, a-t-il écrit en lettres capitales.Le président américain a imposé samedi 25% de droits de douane sur tous les produits provenant du Mexique, ainsi que du Canada, à l’exception des hydrocarbures venant du voisin du Nord, désormais taxés à 10%.Donald Trump a également ciblé la Chine en imposant 10% de droits de douane, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants sur un certain nombre de produits chinois.Les mesures doivent entrer en vigueur mardi. Elles pourraient, selon les économistes, entraîner des hausses de prix et freiner l’activité de tous les pays concernés en perturbant les chaînes de production.Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis et représentent au total plus de 40% des importations du pays.Au total cela concerne jusque 1.400 milliards de dollars de produits entrant dans le pays, soit plus de quatre fois la valeur des produits importés taxés durant son premier mandat.- Hymne américain sifflé -Le ministre mexicain de l’Economie, Marcelo Ebrard, a dénoncé dimanche “l’offense faite” à son pays après les commentaires de la Maison Blanche accusant le gouvernement mexicain d'”alliance” avec les narcotrafiquants.Il s’agit, a-t-il estimé, d’un “prétexte pour détourner l’opinion publique de l’énorme erreur que représente l’imposition de droits de douane punitifs sur le Mexique”. Mexico a annoncé des représailles.La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a indiqué dimanche attendre la réponse de Donald Trump à sa proposition de dialogue, ajoutant qu’elle détaillerait la riposte de Mexico lundi matin.Le Canada a également annoncé sa volonté de contester les nouveaux droits de douane devant l’Organisation mondiale du commerce, à l’instar de la Chine, qui a assuré qu’elle prendrait les “mesures correspondantes” pour protéger ses “droits et intérêts”.Ottawa va aussi déposer un recours dans le cadre de l’accord de libre-échange ACEUM, signé durant le premier mandat de Donald Trump entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.Signe du profond mécontentement des Canadiens à l’égard de leur voisin, l’hymne américain, joué en début de rencontre en NBA et en NHL, a été sifflé à Toronto et Calgary dimanche.Concernant l’Union européenne, le président américain a suggéré dimanche qu’elle pourrait elle aussi se voir imposer des nouveaux droits de douanes.Il a en revanche laissé entendre que le Royaume-Uni pourrait y échapper dans l’immédiat.Quant à un accord avec Londres, “je pense qu’on peut en trouver un”, a déclaré M. Trump, “nous nous entendons très bien et nous verrons si nous pouvons ou non équilibrer nos relations” commerciales.

Trump ouvre la porte à des discussions avec le Canada et le Mexique

Donald Trump compte discuter lundi avec le Canada et le Mexique au sujet des droits de douane qu’il a imposés à ces pays et dont l’annonce plombe les marchés boursiers, très inquiets du risque d’emballement d’une guerre commerciale. Interrogé dimanche par la presse au sujet des 25% de droits de douane qu’il a imposés aux produits en provenance des deux pays, le président américain a assuré qu’il allait “discuter avec le Premier ministre Trudeau demain matin”. “Je vais également parler avec le Mexique demain matin, je ne m’attends à rien de grave” de leur part, a-t-il dit.Il a également averti le Canada qu’il était prêt à aller plus loin dans les droits de douane si le voisin du Nord persistait dans les représailles qu’il compte imposer à partir de mardi, date d’effet des mesures américaines.Justin Trudeau a annoncé samedi que son pays imposerait des droits de douane de 25% sur des produits américains pour un total de 155 milliards de dollars canadiens (102 milliards d’euros), commençant par une première série de produits, d’une valeur de 30 milliards de dollars canadiens (21 milliards de dollars américains) dès mardi.Donald Trump a fustigé dimanche le Canada, estimant que “globalement, il y a beaucoup de choses qu’ils n’autorisent pas. Et nous autorisons tout à entrer chez nous, c’est à sens unique. Nous subventionnons le Canada à hauteur de 200 milliards de dollars par an et qu’est ce qu’on a en échange?”.Les Bourses en Asie ont nettement baissé lundi, à l’unisson du peso mexicain, du dollar canadien et d’autres devises face au billet vert.M. Trump avait toujours affirmé que l’impact des droits de douane serait supporté par les exportateurs étrangers, sans être répercuté sur les consommateurs américains, contredisant l’avis de la quasi totalité des experts.- Les Américains vont “souffrir” -Dans la matinée, il a toutefois reconnu pour la première fois clairement, dans une série de messages virulents sur son réseau social Truth Social, que les consommateurs et entreprises américains pourraient “souffrir”.”Ce sera le nouvel âge d’or pour les Etats-Unis! Est-ce que cela va faire souffrir? Oui, peut-être. Et peut-être pas. Mais nous allons rendre sa grandeur à l’Amérique et cela vaudra le prix qu’il faudra payer”, a-t-il écrit en lettres capitales.Le président américain a imposé samedi 25% de droits de douane sur tous les produits provenant du Mexique, ainsi que du Canada, à l’exception des hydrocarbures venant du voisin du Nord, désormais taxés à 10%.Donald Trump a également ciblé la Chine en imposant 10% de droits de douane, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants sur un certain nombre de produits chinois.Les mesures doivent entrer en vigueur mardi. Elles pourraient, selon les économistes, entraîner des hausses de prix et freiner l’activité de tous les pays concernés en perturbant les chaînes de production.Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis et représentent au total plus de 40% des importations du pays.Au total cela concerne jusque 1.400 milliards de dollars de produits entrant dans le pays, soit plus de quatre fois la valeur des produits importés taxés durant son premier mandat.- Hymne américain sifflé -Le ministre mexicain de l’Economie, Marcelo Ebrard, a dénoncé dimanche “l’offense faite” à son pays après les commentaires de la Maison Blanche accusant le gouvernement mexicain d'”alliance” avec les narcotrafiquants.Il s’agit, a-t-il estimé, d’un “prétexte pour détourner l’opinion publique de l’énorme erreur que représente l’imposition de droits de douane punitifs sur le Mexique”. Mexico a annoncé des représailles.La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a indiqué dimanche attendre la réponse de Donald Trump à sa proposition de dialogue, ajoutant qu’elle détaillerait la riposte de Mexico lundi matin.Le Canada a également annoncé sa volonté de contester les nouveaux droits de douane devant l’Organisation mondiale du commerce, à l’instar de la Chine, qui a assuré qu’elle prendrait les “mesures correspondantes” pour protéger ses “droits et intérêts”.Ottawa va aussi déposer un recours dans le cadre de l’accord de libre-échange ACEUM, signé durant le premier mandat de Donald Trump entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.Signe du profond mécontentement des Canadiens à l’égard de leur voisin, l’hymne américain, joué en début de rencontre en NBA et en NHL, a été sifflé à Toronto et Calgary dimanche.Concernant l’Union européenne, le président américain a suggéré dimanche qu’elle pourrait elle aussi se voir imposer des nouveaux droits de douanes.Il a en revanche laissé entendre que le Royaume-Uni pourrait y échapper dans l’immédiat.Quant à un accord avec Londres, “je pense qu’on peut en trouver un”, a déclaré M. Trump, “nous nous entendons très bien et nous verrons si nous pouvons ou non équilibrer nos relations” commerciales.

Trump ouvre la porte à des discussions avec le Canada et le Mexique

Donald Trump compte discuter lundi avec le Canada et le Mexique au sujet des droits de douane qu’il a imposés à ces pays et dont l’annonce plombe les marchés boursiers, très inquiets du risque d’emballement d’une guerre commerciale. Interrogé dimanche par la presse au sujet des 25% de droits de douane qu’il a imposés aux produits en provenance des deux pays, le président américain a assuré qu’il allait “discuter avec le Premier ministre Trudeau demain matin”. “Je vais également parler avec le Mexique demain matin, je ne m’attends à rien de grave” de leur part, a-t-il dit.Il a également averti le Canada qu’il était prêt à aller plus loin dans les droits de douane si le voisin du Nord persistait dans les représailles qu’il compte imposer à partir de mardi, date d’effet des mesures américaines.Justin Trudeau a annoncé samedi que son pays imposerait des droits de douane de 25% sur des produits américains pour un total de 155 milliards de dollars canadiens (102 milliards d’euros), commençant par une première série de produits, d’une valeur de 30 milliards de dollars canadiens (21 milliards de dollars américains) dès mardi.Donald Trump a fustigé dimanche le Canada, estimant que “globalement, il y a beaucoup de choses qu’ils n’autorisent pas. Et nous autorisons tout à entrer chez nous, c’est à sens unique. Nous subventionnons le Canada à hauteur de 200 milliards de dollars par an et qu’est ce qu’on a en échange?”.Les Bourses en Asie ont nettement baissé lundi, à l’unisson du peso mexicain, du dollar canadien et d’autres devises face au billet vert.M. Trump avait toujours affirmé que l’impact des droits de douane serait supporté par les exportateurs étrangers, sans être répercuté sur les consommateurs américains, contredisant l’avis de la quasi totalité des experts.- Les Américains vont “souffrir” -Dans la matinée, il a toutefois reconnu pour la première fois clairement, dans une série de messages virulents sur son réseau social Truth Social, que les consommateurs et entreprises américains pourraient “souffrir”.”Ce sera le nouvel âge d’or pour les Etats-Unis! Est-ce que cela va faire souffrir? Oui, peut-être. Et peut-être pas. Mais nous allons rendre sa grandeur à l’Amérique et cela vaudra le prix qu’il faudra payer”, a-t-il écrit en lettres capitales.Le président américain a imposé samedi 25% de droits de douane sur tous les produits provenant du Mexique, ainsi que du Canada, à l’exception des hydrocarbures venant du voisin du Nord, désormais taxés à 10%.Donald Trump a également ciblé la Chine en imposant 10% de droits de douane, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants sur un certain nombre de produits chinois.Les mesures doivent entrer en vigueur mardi. Elles pourraient, selon les économistes, entraîner des hausses de prix et freiner l’activité de tous les pays concernés en perturbant les chaînes de production.Le Mexique, le Canada et la Chine sont les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis et représentent au total plus de 40% des importations du pays.Au total cela concerne jusque 1.400 milliards de dollars de produits entrant dans le pays, soit plus de quatre fois la valeur des produits importés taxés durant son premier mandat.- Hymne américain sifflé -Le ministre mexicain de l’Economie, Marcelo Ebrard, a dénoncé dimanche “l’offense faite” à son pays après les commentaires de la Maison Blanche accusant le gouvernement mexicain d'”alliance” avec les narcotrafiquants.Il s’agit, a-t-il estimé, d’un “prétexte pour détourner l’opinion publique de l’énorme erreur que représente l’imposition de droits de douane punitifs sur le Mexique”. Mexico a annoncé des représailles.La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a indiqué dimanche attendre la réponse de Donald Trump à sa proposition de dialogue, ajoutant qu’elle détaillerait la riposte de Mexico lundi matin.Le Canada a également annoncé sa volonté de contester les nouveaux droits de douane devant l’Organisation mondiale du commerce, à l’instar de la Chine, qui a assuré qu’elle prendrait les “mesures correspondantes” pour protéger ses “droits et intérêts”.Ottawa va aussi déposer un recours dans le cadre de l’accord de libre-échange ACEUM, signé durant le premier mandat de Donald Trump entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.Signe du profond mécontentement des Canadiens à l’égard de leur voisin, l’hymne américain, joué en début de rencontre en NBA et en NHL, a été sifflé à Toronto et Calgary dimanche.Concernant l’Union européenne, le président américain a suggéré dimanche qu’elle pourrait elle aussi se voir imposer des nouveaux droits de douanes.Il a en revanche laissé entendre que le Royaume-Uni pourrait y échapper dans l’immédiat.Quant à un accord avec Londres, “je pense qu’on peut en trouver un”, a déclaré M. Trump, “nous nous entendons très bien et nous verrons si nous pouvons ou non équilibrer nos relations” commerciales.

Hong Kong’s economic growth slows to 2.5% in 2024

Hong Kong’s economic growth slowed to 2.5 percent in 2024 as residents increasingly look to spend elsewhere, the city’s government said on Monday, warning that the year ahead will bring “heightened uncertainties”.The Chinese financial hub saw a post-pandemic rebound in 2023 after the city reopened to international business and travel but lost some momentum as China’s economic slowdown deepened.Gross domestic product increased by 2.5 percent in real terms in 2024, compared with 3.2 percent growth the year before, according to preliminary figures released by the city’s government.”Private consumption expenditure recorded a slight decline, affected by the change in residents’ consumption patterns,” a government spokesperson said.Increasing numbers of Hong Kong residents are choosing to spend in neighbouring Shenzhen since travel resumed, preferring its cheaper groceries, entertainment and even healthcare services.Private consumption dropped by 0.6 percent year-on-year, while other major GDP components all recorded growth.Financial secretary Paul Chan predicted at the start of last year growth of up to 3.5 percent, but revised down his estimate in November to 2.5 percent.- Looming tariffs -The government said it expected Hong Kong’s economy to grow in 2025 “despite heightened uncertainties in the external environment”.US President Donald Trump announced on Saturday 10 percent tariffs against China, sparking fears of trade wars that could pummel the global economy.”Trade protectionist policies implemented by the United States may disrupt global trade flows and adversely affect Hong Kong’s goods exports,” the Hong Kong government spokesperson warned.”They may also lead to a slower pace of interest rate cuts in the US and keep the Hong Kong dollar strong for longer.”However, Hong Kong’s economy would benefit from Beijing’s efforts to stimulate growth and bolster market confidence, he said.The Chinese finance hub had been strained by the high interest rate environment because its currency is pegged to the greenback, with heightened borrowing costs holding back consumption and investment.Hong Kong’s government is also facing pressure to cut its spending, with it on course to log a deficit of nearly HK$100 billion ($12.8 billion) — the third consecutive year of deficit.Government consumption as a component of GDP increased by 0.9 percent in 2024.Exports of goods and services rose by 4.7 and 4.8 percent respectively over that period, with the government citing “improved external demand” for goods and more visitor arrivals.Imports of goods and services rose by 2.3 percent and 11.8 percent respectively.

Affaire du baiser forcé: début du procès de l’ex-patron du foot espagnol

Le procès de l’ancien patron du football espagnol Luis Rubiales, jugé pour un baiser imposé devant le monde entier à l’internationale Jenni Hermoso en 2023 et les pressions exercées sur elle pour étouffer le scandale, s’est ouvert lundi matin près de Madrid.L’audience a débuté peu avant 10H15 (09H15 GMT) devant le tribunal de l’Audience nationale à San Fernando de Henares, près de Madrid, avec l’examen de questions préliminaires.L’ancien homme fort du football espagnol est arrivé au tribunal vers 09H15 (08H15 GMT), quelques minutes avant la footballeuse, qui évolue aujourd’hui au Mexique et doit être la première à témoigner lundi. Jenni Hermoso est devenue un symbole de la lutte contre le sexisme dans le sport après le scandale, qui avait éclaté dans la foulée du sacre des footballeuses espagnoles lors du Mondial en Australie.”Merci encore, Jenni, pour ton courage. (…) Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes avec toi. Plus jamais de baiser non consenti, plus jamais d’agression sexuelle”, a réagi sur X la ministre espagnole de l’Egalité Ana Redondo peu avant le début de l’audience.Luis Rubiales, 47 ans, qui était au moment des faits président de la Fédération espagnole de football (RFEF), comparaît pour agression sexuelle et coercition. Le parquet, qui présente en Espagne ses conclusions avant le procès, réclame une peine de deux ans et demi de prison à son encontre, un an pour agression sexuelle et un an et demi pour les pressions exercées sur la joueuse.Selon l’acte d’accusation, le baiser sur la bouche imposé à la joueuse par Luis Rubiales a été effectué “par surprise et sans le consentement ni l’acceptation de la joueuse”.A partir de ce moment, “des pressions constantes et répétées ont été exercées directement sur la joueuse Jennifer Hermoso Fuentes et par l’intermédiaire de sa famille et de ses amis dans le but (de l’amener à) justifier et approuver publiquement le baiser que Luis Rubiales lui avait donné contre sa volonté”, affirme encore l’accusation.De nombreuses coéquipières de Jenni Hermoso, dont la double Ballon d’Or Alexia Putellas, des dirigeants de la RFEF, ainsi que les sélectionneurs des équipes d’Espagne féminine et masculine, seront appelés à la barre pour témoigner. L’ex-grand patron du foot espagnol, qui a longtemps présenté ce baiser comme un geste consenti et a nié toute coercition, sera entendu à partir du 12 février.- “C’est terminé!” -Aux côtes de Luis Rubiales se trouvent sur le banc des accusés l’ex-sélectionneur de la “Roja” féminine, Jorge Vilda, et deux anciens responsables de la RFEF, Rubén Rivera et Albert Luque, contre qui le parquet a requis un an et demi de prison pour avoir exercé des pressions sur la joueuse afin d’étouffer l’affaire.Le scandale avait éclaté le 20 août 2023 à Sydney, en Australie, lors de la cérémonie de remise des médailles aux joueuses de la “Roja” qui venaient de remporter la finale de la Coupe du monde de football face à l’Angleterre.Devant les caméras du monde entier, Luis Rubiales avait saisi la tête de Jennifer Hermoso avec les deux mains et l’avait embrassé brusquement sur les lèvres, avant de la laisser repartir en lui donnant deux tapes dans le dos.Très vite, ce geste avait déclenché des réactions outrées, le patron du football espagnol se défendant en évoquant “un bisou de célébration entre deux amis” et en assurant que la joueuse était consentante.Dans un documentaire Netflix, la meilleure buteuse de l’histoire de la “Roja” confiera ensuite avoir pleuré après ce baiser.L’affaire s’était transformée immédiatement en un symbole de la lutte contre le sexisme dans le sport et le hashtag #SeAcabó (“C’est terminé!”), lancé par les joueuses de la “Roja”, avait fait le tour du monde. Après s’être d’abord accroché à son poste malgré une suspension de la Fifa (la fédération mondiale du football) pour ce geste et avoir fustigé une manifestation de “faux féminisme” à son encontre, Luis Rubiales avait fini par céder à la pression et démissionné le 10 septembre 2023.Il est également mis en cause dans un autre dossier, une enquête de corruption dans une affaire de contrats irréguliers lorsqu’il était à la tête de la RFEF entre 2018 et 2023, 

Affaire du baiser forcé: début du procès de l’ex-patron du foot espagnol

Le procès de l’ancien patron du football espagnol Luis Rubiales, jugé pour un baiser imposé devant le monde entier à l’internationale Jenni Hermoso en 2023 et les pressions exercées sur elle pour étouffer le scandale, s’est ouvert lundi matin près de Madrid.L’audience a débuté peu avant 10H15 (09H15 GMT) devant le tribunal de l’Audience nationale à San Fernando de Henares, près de Madrid, avec l’examen de questions préliminaires.L’ancien homme fort du football espagnol est arrivé au tribunal vers 09H15 (08H15 GMT), quelques minutes avant la footballeuse, qui évolue aujourd’hui au Mexique et doit être la première à témoigner lundi. Jenni Hermoso est devenue un symbole de la lutte contre le sexisme dans le sport après le scandale, qui avait éclaté dans la foulée du sacre des footballeuses espagnoles lors du Mondial en Australie.”Merci encore, Jenni, pour ton courage. (…) Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes avec toi. Plus jamais de baiser non consenti, plus jamais d’agression sexuelle”, a réagi sur X la ministre espagnole de l’Egalité Ana Redondo peu avant le début de l’audience.Luis Rubiales, 47 ans, qui était au moment des faits président de la Fédération espagnole de football (RFEF), comparaît pour agression sexuelle et coercition. Le parquet, qui présente en Espagne ses conclusions avant le procès, réclame une peine de deux ans et demi de prison à son encontre, un an pour agression sexuelle et un an et demi pour les pressions exercées sur la joueuse.Selon l’acte d’accusation, le baiser sur la bouche imposé à la joueuse par Luis Rubiales a été effectué “par surprise et sans le consentement ni l’acceptation de la joueuse”.A partir de ce moment, “des pressions constantes et répétées ont été exercées directement sur la joueuse Jennifer Hermoso Fuentes et par l’intermédiaire de sa famille et de ses amis dans le but (de l’amener à) justifier et approuver publiquement le baiser que Luis Rubiales lui avait donné contre sa volonté”, affirme encore l’accusation.De nombreuses coéquipières de Jenni Hermoso, dont la double Ballon d’Or Alexia Putellas, des dirigeants de la RFEF, ainsi que les sélectionneurs des équipes d’Espagne féminine et masculine, seront appelés à la barre pour témoigner. L’ex-grand patron du foot espagnol, qui a longtemps présenté ce baiser comme un geste consenti et a nié toute coercition, sera entendu à partir du 12 février.- “C’est terminé!” -Aux côtes de Luis Rubiales se trouvent sur le banc des accusés l’ex-sélectionneur de la “Roja” féminine, Jorge Vilda, et deux anciens responsables de la RFEF, Rubén Rivera et Albert Luque, contre qui le parquet a requis un an et demi de prison pour avoir exercé des pressions sur la joueuse afin d’étouffer l’affaire.Le scandale avait éclaté le 20 août 2023 à Sydney, en Australie, lors de la cérémonie de remise des médailles aux joueuses de la “Roja” qui venaient de remporter la finale de la Coupe du monde de football face à l’Angleterre.Devant les caméras du monde entier, Luis Rubiales avait saisi la tête de Jennifer Hermoso avec les deux mains et l’avait embrassé brusquement sur les lèvres, avant de la laisser repartir en lui donnant deux tapes dans le dos.Très vite, ce geste avait déclenché des réactions outrées, le patron du football espagnol se défendant en évoquant “un bisou de célébration entre deux amis” et en assurant que la joueuse était consentante.Dans un documentaire Netflix, la meilleure buteuse de l’histoire de la “Roja” confiera ensuite avoir pleuré après ce baiser.L’affaire s’était transformée immédiatement en un symbole de la lutte contre le sexisme dans le sport et le hashtag #SeAcabó (“C’est terminé!”), lancé par les joueuses de la “Roja”, avait fait le tour du monde. Après s’être d’abord accroché à son poste malgré une suspension de la Fifa (la fédération mondiale du football) pour ce geste et avoir fustigé une manifestation de “faux féminisme” à son encontre, Luis Rubiales avait fini par céder à la pression et démissionné le 10 septembre 2023.Il est également mis en cause dans un autre dossier, une enquête de corruption dans une affaire de contrats irréguliers lorsqu’il était à la tête de la RFEF entre 2018 et 2023,Â