Iran’s Khamenei orders probe into port blast that killed 40

Iran’s supreme leader Ayatollah Ali Khamenei ordered a thorough investigation Sunday into the causes of a major blast at a key southern port that killed at least 40 people and injured more than 1,000.His instructions came after President Masoud Pezeshkian visited the blast scene in Shahid Rajaee Port near the strategic Strait of Hormuz where a fire still blazed on Sunday more than 24 hours after the explosion.”Security and judicial officials are obliged to thoroughly investigate, uncover any negligence or intent, and follow up in accordance with regulations,” Khamenei said in a message carried by state television.With choking smoke and air pollution spreading throughout the area, all schools and offices in Bandar Abbas, the nearby capital of Hormozgan province, were ordered closed to allow authorities to focus on the emergency effort, state television said.The health ministry urged residents to avoid going outside “until further notice” and to use protective masks.Arriving in Bandar Abbas, the president expressed his appreciation to first responders, adding “we have come to see first-hand if there is anything or any issue that the government can follow up on”.”We will try to take care of the families who lost their loved ones, and we will definitely take care of the dear people who got injured,” he said.A photo released by Pezeshkian’s office later showed him at the bedside of a man hurt in the blast.The Russian embassy said Moscow was sending multiple “aircraft carrying specialists” to help fight the blaze.The New York Times quoted a person with ties to Iran’s Islamic Revolutionary Guard Corps, speaking on condition of anonymity to discuss security matters, as saying that what exploded was sodium perchlorate — a major ingredient in solid fuel for missiles.Defence ministry spokesman Reza Talaei-Nik later told state TV that “there has been no imported or exported cargo for military fuel or military use in the area”.The port’s customs office said in a statement carried by state television that the explosion probably resulted from a fire that broke out at the hazardous and chemical materials storage depot. – Area sealed off -A regional emergency official said several containers had exploded.”For the moment, 40 people have lost their lives as a result of injuries caused by the explosion,” Hormozgan provincial official Mohammad Ashouri told state television.The ISNA news agency, citing the provincial judiciary, gave the number of injured as 1,242.Red Crescent chief Pirhossein Koolivand said some of the injured were airlifted for treatment in the capital Tehran.Aerial photos released by the Iranian presidency showed black smoke rising from the disaster zone on Sunday and drifting towards the sea.”The fire is under control but still not out,” a state TV correspondent reported.Also at the scene on Sunday, Interior Minister Eskandar Momeni said “the situation has stabilised in the main areas” of the facility, Iran’s largest commercial port, and workers had resumed loading containers and customs clearance.Another official on site, Minister of Roads and Urban Development Farzaneh Sadegh, said only one zone of the port was impacted.An image from Iran’s Tasnim news agency on Sunday showed a helicopter dropping water on the disaster zone.Others showed firefighters working among toppled and blackened cargo containers, and carrying out the body of a victim.The authorities have closed off roads leading to the site, and footage from the area has been limited to Iranian media outlets.- Mourning -Beijing’s foreign ministry said in a statement to AFP on Sunday that three injured Chinese nationals were in a “stable” condition.The United Arab Emirates expressed “solidarity with Iran” over the explosion and Saudi Arabia sent condolences, as did Egypt, Pakistan, India, Turkey and the United Nations as well as Russia.The Tehran-backed Lebanese movement Hezbollah also offered condolences, saying Iran, with its “faith and solid will, can overcome this tragic accident”.In the first reaction from a major European country, the German embassy in Tehran said on Instagram: “Bandar Abbas, we grieve with you.”Authorities declared a day of national mourning on Monday, and three days of mourning in Hormozgan province from Sunday.The blast occurred as Iranian and US delegations were meeting in Oman for high-level talks on Tehran’s nuclear programme, with both sides reporting progress.While Iranian authorities so far appear to be treating the blast as an accident, it also comes against the backdrop of years of shadow war with regional foe Israel.According to the Washington Post, Israel launched a cyberattack targeting the Shahid Rajaee Port in 2020.

1er-mai: sénateurs et gouvernement veulent assouplir les règles pour les boulangers et fleuristes

A quelques jours du 1er mai, journée emblématique des droits des travailleurs, des sénateurs centristes appuyés par le gouvernement veulent assouplir les règles encadrant le travail en ce jour chômé, en particulier pour les boulangers et les fleuristes. “Pas question”, répond la CGT.”Il y a 364 autres jours pour ouvrir. Je rappelle que le 1er mai, les patrons peuvent travailler s’ils le souhaitent mais pour les travailleurs et les travailleuses, c’est férié, c’est chômé”, a fustigé la N.1 de la CGT, Sophie Binet, interrogée sur LCI. “Il a été acquis dans le sang et dans les larmes des ouvriers”, a-t-elle ajouté en disant craindre que cet assouplissement des règles du travail le 1er-mai ne conduise au même processus qui a permis de “complètement libéraliser le travail du dimanche”. Les sénateurs centristes viennent de déposer une proposition de loi pour permettre aux établissement déjà autorisés à ouvrir le dimanche de pouvoir le faire le 1er-mai, visant notamment les boulangers et fleuristes.- Flou juridique -Cette initiative entend répondre à la polémique de ces derniers jours autour des boulangers, dont certains avaient subi l’an passé des contrôles inopinés de l’inspection du Travail en ce traditionnel jour férié.La proposition de loi, portée par la sénatrice de Vendée Annick Billon et le patron du groupe Union centriste Hervé Marseille, veut adapter “le droit aux réalités du terrain”, selon le texte consulté par l’AFP, en modifiant le Code du Travail.Si le texte est adopté, pourront travailler les salariés des établissements et services “dont le fonctionnement ou l’ouverture est rendu nécessaire par les contraintes de la production, de l’activité ou les besoins du public”. La liste des catégories concernées, qui est la même que celle permettant à certaines entreprises d’ouvrir le dimanche, serait fixée par décret. Y figurent donc les boulangers, dont la convention collective autorisait certes déjà l’ouverture le 1er-mai, mais dans un certain flou juridique. La possibilité pour ces entreprises de faire travailler des salariés ce jour-là reposait jusqu’à présent sur une position ministérielle du 23 mai 1986. Mais cette dérogation est devenue obsolète après une décision de la Cour de cassation en 2006.”Il ne s’agit en aucun cas de remettre en cause le caractère férié et chômé de cette journée, mais de reconnaître la spécificité de certaines activités – à l’instar des boulangeries ou des fleuristes – qui participent pleinement à notre vie quotidienne et à notre patrimoine culturel”, ont souligné les auteurs de la proposition de loi, qui espèrent l’inscrire à l’ordre du jour du Sénat “avant fin juin”.- Volontariat et CA -La ministre Catherine Vautrin (Travail, Santé, Solidarités) a dit à l’AFP que “le gouvernement soutiendra cette initiative, car elle vient sécuriser notre droit et répondre aux attentes des boulangers, mais aussi de tous ceux dont l’activité est indispensable”, “dans le respect absolu du volontariat” des salariés. “Ce texte ne se limite pas aux boulangers: il apportera de la clarté et de la sécurité juridique pour toutes les professions concernées”, a-t-elle insisté.Avec le texte, “on devrait pouvoir clarifier (…) Un boulanger ne peut pas ouvrir” en prenant le risque de “prendre 5.000, 10.000 euros de PV”, en référence aux contrôles de l’inspection du travail, a commenté auprès de l’AFP Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie.  “Beaucoup de salariés” seraient d’accord pour travailler le 1er mai, parce que ce jour est payé double, avance encore le représentant de la profession, qui prend soin de souligner qu’il doit s’agir avant tout d’une démarche “volontaire”. Il souligne en outre que le 1er-mai “est une journée intéressante” en termes de chiffre d’affaires, en particulier dans les zones touristiques. A l’Assemblée nationale, les députés LR Alain Marleix et Alexandre Portier ont annoncé eux aussi déposer un texte pour “permettre l’ouverture encadrée des commerces de proximité le 1er mai”.Interrogé sur France 3, le député RN Julien Odoul a apporté son soutien à la proposition de loi: “on a besoin de libérer le travail (…) Le 1er-mai, c’est la fête du travail, ce n’est pas la fête de l’oisiveté, ce n’est pas la fête de l’assistanat. Nonobstant la CGT qui veut nous renvoyer au XIXe siècle”.grd-bpa-jmt-est-nal/pta

1er-mai: sénateurs et gouvernement veulent assouplir les règles pour les boulangers et fleuristes

A quelques jours du 1er mai, journée emblématique des droits des travailleurs, des sénateurs centristes appuyés par le gouvernement veulent assouplir les règles encadrant le travail en ce jour chômé, en particulier pour les boulangers et les fleuristes. “Pas question”, répond la CGT.”Il y a 364 autres jours pour ouvrir. Je rappelle que le 1er mai, les patrons peuvent travailler s’ils le souhaitent mais pour les travailleurs et les travailleuses, c’est férié, c’est chômé”, a fustigé la N.1 de la CGT, Sophie Binet, interrogée sur LCI. “Il a été acquis dans le sang et dans les larmes des ouvriers”, a-t-elle ajouté en disant craindre que cet assouplissement des règles du travail le 1er-mai ne conduise au même processus qui a permis de “complètement libéraliser le travail du dimanche”. Les sénateurs centristes viennent de déposer une proposition de loi pour permettre aux établissement déjà autorisés à ouvrir le dimanche de pouvoir le faire le 1er-mai, visant notamment les boulangers et fleuristes.- Flou juridique -Cette initiative entend répondre à la polémique de ces derniers jours autour des boulangers, dont certains avaient subi l’an passé des contrôles inopinés de l’inspection du Travail en ce traditionnel jour férié.La proposition de loi, portée par la sénatrice de Vendée Annick Billon et le patron du groupe Union centriste Hervé Marseille, veut adapter “le droit aux réalités du terrain”, selon le texte consulté par l’AFP, en modifiant le Code du Travail.Si le texte est adopté, pourront travailler les salariés des établissements et services “dont le fonctionnement ou l’ouverture est rendu nécessaire par les contraintes de la production, de l’activité ou les besoins du public”. La liste des catégories concernées, qui est la même que celle permettant à certaines entreprises d’ouvrir le dimanche, serait fixée par décret. Y figurent donc les boulangers, dont la convention collective autorisait certes déjà l’ouverture le 1er-mai, mais dans un certain flou juridique. La possibilité pour ces entreprises de faire travailler des salariés ce jour-là reposait jusqu’à présent sur une position ministérielle du 23 mai 1986. Mais cette dérogation est devenue obsolète après une décision de la Cour de cassation en 2006.”Il ne s’agit en aucun cas de remettre en cause le caractère férié et chômé de cette journée, mais de reconnaître la spécificité de certaines activités – à l’instar des boulangeries ou des fleuristes – qui participent pleinement à notre vie quotidienne et à notre patrimoine culturel”, ont souligné les auteurs de la proposition de loi, qui espèrent l’inscrire à l’ordre du jour du Sénat “avant fin juin”.- Volontariat et CA -La ministre Catherine Vautrin (Travail, Santé, Solidarités) a dit à l’AFP que “le gouvernement soutiendra cette initiative, car elle vient sécuriser notre droit et répondre aux attentes des boulangers, mais aussi de tous ceux dont l’activité est indispensable”, “dans le respect absolu du volontariat” des salariés. “Ce texte ne se limite pas aux boulangers: il apportera de la clarté et de la sécurité juridique pour toutes les professions concernées”, a-t-elle insisté.Avec le texte, “on devrait pouvoir clarifier (…) Un boulanger ne peut pas ouvrir” en prenant le risque de “prendre 5.000, 10.000 euros de PV”, en référence aux contrôles de l’inspection du travail, a commenté auprès de l’AFP Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie.  “Beaucoup de salariés” seraient d’accord pour travailler le 1er mai, parce que ce jour est payé double, avance encore le représentant de la profession, qui prend soin de souligner qu’il doit s’agir avant tout d’une démarche “volontaire”. Il souligne en outre que le 1er-mai “est une journée intéressante” en termes de chiffre d’affaires, en particulier dans les zones touristiques. A l’Assemblée nationale, les députés LR Alain Marleix et Alexandre Portier ont annoncé eux aussi déposer un texte pour “permettre l’ouverture encadrée des commerces de proximité le 1er mai”.Interrogé sur France 3, le député RN Julien Odoul a apporté son soutien à la proposition de loi: “on a besoin de libérer le travail (…) Le 1er-mai, c’est la fête du travail, ce n’est pas la fête de l’oisiveté, ce n’est pas la fête de l’assistanat. Nonobstant la CGT qui veut nous renvoyer au XIXe siècle”.grd-bpa-jmt-est-nal/pta

1er-mai: sénateurs et gouvernement veulent assouplir les règles pour les boulangers et fleuristes

A quelques jours du 1er mai, journée emblématique des droits des travailleurs, des sénateurs centristes appuyés par le gouvernement veulent assouplir les règles encadrant le travail en ce jour chômé, en particulier pour les boulangers et les fleuristes. “Pas question”, répond la CGT.”Il y a 364 autres jours pour ouvrir. Je rappelle que le 1er mai, les patrons peuvent travailler s’ils le souhaitent mais pour les travailleurs et les travailleuses, c’est férié, c’est chômé”, a fustigé la N.1 de la CGT, Sophie Binet, interrogée sur LCI. “Il a été acquis dans le sang et dans les larmes des ouvriers”, a-t-elle ajouté en disant craindre que cet assouplissement des règles du travail le 1er-mai ne conduise au même processus qui a permis de “complètement libéraliser le travail du dimanche”. Les sénateurs centristes viennent de déposer une proposition de loi pour permettre aux établissement déjà autorisés à ouvrir le dimanche de pouvoir le faire le 1er-mai, visant notamment les boulangers et fleuristes.- Flou juridique -Cette initiative entend répondre à la polémique de ces derniers jours autour des boulangers, dont certains avaient subi l’an passé des contrôles inopinés de l’inspection du Travail en ce traditionnel jour férié.La proposition de loi, portée par la sénatrice de Vendée Annick Billon et le patron du groupe Union centriste Hervé Marseille, veut adapter “le droit aux réalités du terrain”, selon le texte consulté par l’AFP, en modifiant le Code du Travail.Si le texte est adopté, pourront travailler les salariés des établissements et services “dont le fonctionnement ou l’ouverture est rendu nécessaire par les contraintes de la production, de l’activité ou les besoins du public”. La liste des catégories concernées, qui est la même que celle permettant à certaines entreprises d’ouvrir le dimanche, serait fixée par décret. Y figurent donc les boulangers, dont la convention collective autorisait certes déjà l’ouverture le 1er-mai, mais dans un certain flou juridique. La possibilité pour ces entreprises de faire travailler des salariés ce jour-là reposait jusqu’à présent sur une position ministérielle du 23 mai 1986. Mais cette dérogation est devenue obsolète après une décision de la Cour de cassation en 2006.”Il ne s’agit en aucun cas de remettre en cause le caractère férié et chômé de cette journée, mais de reconnaître la spécificité de certaines activités – à l’instar des boulangeries ou des fleuristes – qui participent pleinement à notre vie quotidienne et à notre patrimoine culturel”, ont souligné les auteurs de la proposition de loi, qui espèrent l’inscrire à l’ordre du jour du Sénat “avant fin juin”.- Volontariat et CA -La ministre Catherine Vautrin (Travail, Santé, Solidarités) a dit à l’AFP que “le gouvernement soutiendra cette initiative, car elle vient sécuriser notre droit et répondre aux attentes des boulangers, mais aussi de tous ceux dont l’activité est indispensable”, “dans le respect absolu du volontariat” des salariés. “Ce texte ne se limite pas aux boulangers: il apportera de la clarté et de la sécurité juridique pour toutes les professions concernées”, a-t-elle insisté.Avec le texte, “on devrait pouvoir clarifier (…) Un boulanger ne peut pas ouvrir” en prenant le risque de “prendre 5.000, 10.000 euros de PV”, en référence aux contrôles de l’inspection du travail, a commenté auprès de l’AFP Dominique Anract, président de la Confédération nationale de la boulangerie-pâtisserie.  “Beaucoup de salariés” seraient d’accord pour travailler le 1er mai, parce que ce jour est payé double, avance encore le représentant de la profession, qui prend soin de souligner qu’il doit s’agir avant tout d’une démarche “volontaire”. Il souligne en outre que le 1er-mai “est une journée intéressante” en termes de chiffre d’affaires, en particulier dans les zones touristiques. A l’Assemblée nationale, les députés LR Alain Marleix et Alexandre Portier ont annoncé eux aussi déposer un texte pour “permettre l’ouverture encadrée des commerces de proximité le 1er mai”.Interrogé sur France 3, le député RN Julien Odoul a apporté son soutien à la proposition de loi: “on a besoin de libérer le travail (…) Le 1er-mai, c’est la fête du travail, ce n’est pas la fête de l’oisiveté, ce n’est pas la fête de l’assistanat. Nonobstant la CGT qui veut nous renvoyer au XIXe siècle”.grd-bpa-jmt-est-nal/pta

C1 féminine: Lyon tombe de haut face à Arsenal

Corrigé 4 à 1 à domicile par Arsenal en demi-finale retour dimanche, Lyon ne briguera pas cette saison une neuvième victoire en Ligue des champions féminine.Finalistes l’an passé, les Lyonnaises pensaient pourtant avoir pris une option sur une nouvelle finale en s’imposant 2-1 à Londres à l’aller, mais elles ont été dépassées et inoffensives dans leur stade au retour.Arsenal, vainqueur de la C1 en 2007, affrontera donc le FC Barcelone, double tenant du titre, en finale le 24 mai à Lisbonne. Les Espagnoles ont écarté Chelsea dans l’autre demi-finale (4-1, 4-1). Eliminées prématurément de la Coupe de France, les Rhodaniennes n’ont désormais plus que la Première Ligue, dont elles ont dominé outrageusement le championnat régulier, pour bien terminer une saison lors de laquelle elles avaient l’objectif de réaliser le triplé avec la C1. Il s’agira donc de bien négocier les play-offspour ne pas terminer sur une feuille blanche qui sonnerait comme un échec total.Par ailleurs, cette élimination en Ligue des champions  a un goût amer pour la défenseure centrale internationale et capitaine, Wendie Renard qui fêtait ce dimanche son 500e match avec l’OL, toutes compétitions confondues. Longtemps incertaine après une blessure à un pied, Renard a finalement été titularisée aux côtés de Vanessa Gilles en défense centrale avant de sortir à la 75e minute, remplacée par Alice Sombath.Ce n’est pas la première fois que les Gunners font un mauvais coup à Lyon au Groupama Stadium. Le 19 octobre 2022, en phase régulière de la Ligue des champions, elles étaient venues s’imposer 5-1, l’un des plus mauvais souvenirs de Wendie Renard.- Montemurro en échec -Par rapport au match aller, l’entraîneur Joe Montemurro avait choisi de titulariser Ada Hegerberg en pointe  en faisant reculer en milieu très offensive, Melchie Dumornay, un changement au détriment de Daniëlle van de Donk.Cette modification a été un échec. Devant 20.045 spectateurs, l’OL a été largement dominé dans l’entrejeu, ce qui a nui à l’équipe dans la récupération du ballon autant que dans les phases de relance.L’Olympique lyonnais a totalement raté son début de match. Dès la 5e minute, Christiane Endler a détourné magnifiquement un tir de Kim Little, mais sur le corner qui a suivi, la gardienne chilienne a manqué sa sortie aérienne avant de marquer contre son camp sur un ballon de Damaris Egurrola qu’elle avait malencontreusement touché du dos.Dans le temps additionnel de la première période, Mariona Caldentey a porté le score à 2-0 d’un tir se logeant dans la lucarne (45+1) avant qu’Alessia Russo n’inscrive un troisième but après une passe de Frida Maanum qui a profité sur l’action d’une mésentente entre Renard et Ellie Carpenter puis d’une erreur de Vanessa Gilles (46).Peu après l’heure de jeu, Caitlin Foord, en profitant d’une glissade de Gilles sur une sortie de but jouée par Endler, a donné une avance de quatre buts à Arsenal (63e) mais tout était consommé depuis longtemps, même si Dumornay a réduit l’écart à dix minutes de la fin d’un bon tir du droit (81e).Avant cela, seule Egurrola avait été sérieusement dangereuse sur une reprise de la tête arrêtée par la gardienne Daphne van Domselaar après un centre de Selma Bacha (45+3).

Israel strikes south Beirut, prompting Lebanese appeal to ceasefire guarantors

Israel struck south Beirut on Sunday for the third time since a fragile November 27 ceasefire, prompting Lebanese President Joseph Aoun to call on its guarantors France and the United States to force a halt.But Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu’s office said the strike targeted a building used by Hezbollah to store “precision-guided missiles” and vowed to stop the Iran-backed militant group using Beirut’s southern suburbs as a “safe haven”.An AFP correspondent saw a plume of smoke rising over the building in the Hadath neighbourhood after the strike.Lebanese television channels broadcast images of a fire around the hangar-like building.The Israeli military had earlier issued a warning to civilians to evacuate the densely populated neighbourhood.”An urgent warning for those in the southern suburbs of Beirut, especially in the Hadath neighbourhood: Anyone present in the building marked in red on the attached map as well as the surrounding buildings, is near Hezbollah facilities,” said military spokesman Avichay Adraee on X, adding: “You must evacuate”.Netanyahu’s office said Israel “will not allow Hezbollah to grow stronger and create any threat against it — anywhere in Lebanon”.”The Dahiyeh neighbourhood in Beirut will not serve as a safe haven for the terrorist organisation Hezbollah,” it vowed, using the Arabic name for the southern suburbs.In a later statement, the military said that “the storage of missiles in this infrastructure site constitutes a blatant violation of the understandings between Israel and Lebanon.”But the Lebanese president condemned the strike as a new breach of the November 27 ceasefire and urged its guarantors to put a stop to Israel’s continual attacks.Aoun called on “the United States and France, as guarantors of the ceasefire agreement, to assume their responsibilities and compel Israel to halt its attacks immediately”.- ‘Fear of renewed violence’ -The United Nations special coordinator for Lebanon, Jeanine Hennis-Plasschaert, appealed to all sides to halt any actions that could further undermine the ceasefire.”Today’s strike on the southern suburbs of Beirut generated panic and fear of renewed violence among those desperate for a return to normalcy,” she said in a post.”We urge all sides to halt any actions that could further undermine the cessation of hostilities understanding.”The UN peacekeeping force in Lebanon also has a seat on the ceasefire monitoring committee, alongside France and the United States and the Israeli and Lebanese governments.The south Beirut strike was not Israel’s only operation against targets inside Lebanon on Sunday.The Lebanese health ministry said an Israeli drone strike on the border town of Halta killed one person.Lebanese media reported that a man was killed while working on his chicken farm. The Israeli military said it killed a Hezbollah militant.Israel has continued to carry out repeated strikes in Lebanon despite the November truce that sought to halt more than a year of hostilities with Hezbollah, including two months of full-blown war.Under the November deal, Hezbollah was to pull its fighters north of Lebanon’s Litani River, some 30 kilometres (20 miles) from the Israeli border, and dismantle any remaining military infrastructure to its south.Israel was to withdraw all its forces from south Lebanon, but troops remain in five positions that it deems “strategic”.

Krunal Pandya leads Bengaluru to top of IPL table

Indian all-rounder Krunal Pandya starred with bat and ball as Royal Challengers Bengaluru beat Delhi Capitals by six wickets to top the Indian Premier League table on Sunday.Chasing 163 for victory, Bengaluru slipped to 26-3 before Virat Kohli and Pandya put together 119 runs to achieve their target with nine balls to spare at Delhi’s Feroz Shah Kotla ground.Delhi-born Kohli hit 51. The left-handed Pandya smashed an unbeaten 73 off 47 balls after he returned 1-28 with his left-arm spin in Bengaluru’s seventh win of this season from 10 matches to reach the top of the 10-team table.It was Bengaluru’s sixth successive away win as they and Kohli search for their first IPL title since the league’s inception in 2008.Bowlers set up victory after Bhuvneshwar Kumar and fellow pace bowler Josh Hazlewood shared five wickets between them to restrict Delhi to 162-8.Delhi skipper Axar Patel opened the bowling and struck two early blows to send back IPL debutant Jacob Bethel, out for 12, and Devdutt Padikkal, for a duck, two balls later.Bengaluru skipper Rajat Patidar was then run out for six, but Kohli and Pandya waded through the overs with caution and quick running between the wickets.Once set, Pandya unleashed his power with boundaries and reached his fifty off 38 balls with a four off Axar.Kohli hit his sixth half-ton as he went past Mumbai Indians batter Suryakumar Yadav (427) as the leading batsman of this season with 443 runs.He finally fell to Sri Lanka fast bowler Dushmantha Chameera before Pandya and Tim David, who hit an unbeaten 19 off five balls, took the team over the line.Earlier, Bengaluru’s Australian import Hazlewood struck first, taking the wicket of Abishek Porel in the fourth over after the opener had got Delhi off to a flying start with his 11-ball 28.Delhi lost another wicket in the next over before Faf du Plessis, who hit 22 on his return from a groin injury he suffered earlier this month, and KL Rahul (41) steadied the innings.Pandya cut short Du Plessis’ knock but Rahul stood firm on a sluggish pitch, putting on stands with Axar and then with Tristan Stubbs.Axar was bowled by Hazlewood and Kumar got Rahul, but Stubbs kept up the charge as he smashed 34 off 18 balls.Kumar gave away just nine runs off his last two overs and took three wickets to return figures of 3-33.Hazlewood, who starred in his team’s previous win with figures of 4-33, leads this season’s bowling chart with 18 wickets in 10 matches.

Présidence LR: Wauquiez met Retailleau sous pression sur sa présence au gouvernement

Le patron des députés Les Républicains, Laurent Wauquiez, a mis dimanche sous pression son concurrent à la présidence du parti Bruno Retailleau, l’obligeant à assumer des désaccords avec des positions gouvernementales sur la proportionnelle ou encore la possible suppression d’un abattement fiscal pour les retraités.Chassé-croisé sur BFMTV dimanche des deux rivaux pour la tête des LR qui, faute de débattre face à face, se sont répondus par média interposé.Alors que M. Retailleau est donné favori de l’élection du 17 mai – “je ne le sens pas mal”, a-t-il admis dimanche – M. Wauquiez a sonné la charge contre son concurrent. Un exercice délicat, avec l’écueil d’offrir le spectacle d’un parti déchiré.Le patron des députés LR, qui a clamé dimanche “je vais gagner”, a creusé un de ses sillons favoris: le manque supposé “d’indépendance” du pensionnaire de Beauvau, qui serait tenu par la solidarité gouvernementale, quand lui nourrirait “une parole libre”.Exemple avec l’instauration de la proportionnelle aux législatives – une idée défendue de longue date par François Bayrou qui entame lundi des consultations sur le sujet, mais historiquement combattue par la droite.”La proportionnelle aboutira à ce qu’on va institutionnaliser le chaos politique qu’on connaît en ce moment et qui deviendra la règle. La proportionnelle, c’est les régimes partisans, ce sont les petits accords d’arrière-boutique. C’est les Français qui ne choisissent plus leurs candidats. Je déteste ça”, a tonné M. Wauquiez.”Ce que je demande donc, c’est que Bruno Retailleau, dont c’est la compétence, s’oppose à cette volonté de François Bayrou” et “impose au Premier ministre” d’abandonner l’idée de légiférer dessus, a-t-il poursuivi.Même coup de boutoir sur un autre sujet: la suppression de l’abattement fiscal de 10% pour certains retraités évoquée par Bercy. M. Wauquiez est “radicalement contre”. “Mais on est complètement fou ! Enfin, les propositions qui sont en train de sortir de Bercy sont la tête à l’envers”, s’est-il indigné. Et de mettre en garde: il est prêt à initier un “débat” sur la participation au gouvernement de son parti, si le prochain budget comprenait des augmentations d’impôts.- Haro sur les Frères musulmans -Sur le même plateau quelques heures plus tard, M. Retailleau a donc dû jouer les équilibristes. Invoquant notamment sa “discipline”: “Aucune petite phrase donc je ne rétorquerai pas” à Laurent Wauquiez. Le ministre de l’Intérieur a toutefois bien dû admettre son opposition à la proportionnelle, qui “provoquerait une instabilité chronique structurelle”. “Ca fera du mal au pays et pour moi, c’est rédhibitoire”, a-t-il lancé, promettant de répéter sa position à François Bayrou… sans esquisser de porte de sortie s’il n’était pas entendu.Quant à toucher à l’abattement des retraités, “il faut faire autrement”, a-t-il dit, refusant toute “augmentation d’impôts”. De là à quitter le gouvernement ?”Vous me connaissez, je suis un homme de convictions. Jamais je ne resterais si mes convictions étaient abîmées, simplement”, a-t-il répondu, renvoyant la question à plus tard.Après avoir monté le volume sur la fermeté de ses sorties – il a récemment suggéré d’expédier les personnes sous le coup d’une obligation de quitter le territoire à Saint-Pierre-et-Miquelon – M. Wauquiez s’est de nouveau invité sur le terrain de son rival en lui demandant, cette fois, de classer le mouvement des Frères musulmans comme organisation terroriste. Une décision urgente selon lui – “nous n’avons que trop tardé” – qui “doit s’accompagner de l’interdiction des organisations qui sont affiliées” à ce mouvement promouvant l’instauration d’un islam politique conservateur.Une façon d’enchérir aussi pour M. Wauquiez alors que M. Retailleau doit rendre public dans quelques jours un rapport qu’il qualifie d'”accablant”, sur “les Frères musulmans et leur entrisme”. “On ne peut pas interdire les Frères musulmans en tant que tel” mais “on peut (le faire) dans la manifestation de leur organisation”, a répondu le ministre de l’Intérieur, évoquant des écoles, associations, etc. “Nous n’hésiterons pas dès lors qu’on aura ces preuves à dissoudre”, a-t-il poursuivi. “Il y a des règles de droit. Moi je suis ministre de l’Intérieur et je dois les respecter.”