Lebanon slams overnight Israeli strikes that killed one

Lebanese President Joseph Aoun on Saturday condemned overnight Israeli strikes on civilian sites, which reportedly killed at least one person and which Israel said targeted Hezbollah infrastructure.”Once again, southern Lebanon has been the target of a heinous Israeli aggression against civilian installations — without justification or pretext,” Aoun said. “The seriousness of this latest attack lies in the fact that it comes after the ceasefire agreement in Gaza,” he added, questioning whether Israel now sought to expand its attacks on Lebanon.The health ministry said one person was killed and seven wounded in the strike on the Al-Msayleh area.The Israeli army said in a statement that it “struck and dismantled Hezbollah terrorist infrastructure in the area of southern Lebanon, where engineering machinery used to re-establish terrorist infrastructure in the area” was located.The official National News Agency reported that Israeli warplanes carried out 10 raids targeting bulldozer and excavator yards, destroying more than 300 vehicles.An AFP photographer at the scene witnessed massive destruction to the showrooms, with dozens of heavy machinery vehicles burned and firefighters extinguishing the flames.”We woke up terrified by the sound of bombing,” an elderly woman who asked to remain anonymous told AFP, adding that “we saw death with our own eyes”.Al-Msayleh, located over 40 kilometres (25 miles) north of the border with Israel, is where parliament speaker and Hezbollah ally Nabih Berri’s home in southern Lebanon is located.Later on Saturday, the NNA reported another Israeli attack on a vehicle in Qalaouiyah, southern Lebanon.- ‘Deliberate targeting’ -In a statement, Hezbollah condemned the strikes, saying it was “part of the repeated and deliberate targeting of civilians and economic infrastructure, and is intended to prevent people from returning to normal life”.The group called on the Lebanese government to take a “firm” stance against these attacks.Israel has repeatedly bombed Lebanon despite a November ceasefire, which followed more than a year of hostilities with the militant group that culminated in two months of open war.Its latest attack comes a day after a ceasefire took effect between Hamas and Israel in the Gaza Strip.In Lebanon there are fears of intensified Israeli attacks on Hezbollah, which has thus far resisted pressure to surrender its weapons to the state.In October 2023, Hezbollah began launching rockets at Israel in support of Hamas in the Gaza war. Months of exchanges escalated into all-out war in September 2024, before a ceasefire was agreed two months later.

Philippines: des habitants nettoient les débris des deux séismes

Des rescapés de deux violents séismes dans le sud des Philippines se sont réveillés abasourdis samedi au milieu des dégâts, dans une région secouée par des centaines de répliques en quelques heures.De nombreux habitants du littoral de l’île de Mindanao ont passé la nuit dehors, de peur d’être ensevelis par les répliques de ces tremblements de terre de magnitudes 7,4 et 6,7 survenus au large vendredi.Au moins huit personnes ont été tuées, ont indiqué les autorités philippines.Ezzra James Fernandez, porte-parole de la Défense civile, a indiqué qu’aucune personne n’était portée disparue, que les dégâts concernant les infrastructures étaient “minimes” et que des opérations de dégagement des routes étaient en cours.Dans la municipalité de Manay, des habitants déblaient samedi les débris des bâtiments ébranlés.”Notre petite maison et notre petite boutique ont été détruites”, explique à l’AFP Ven Lupogan, qui habite les lieux. “Nous n’avons nulle part où dormir. Il n’y a pas d’électricité. Nous n’avons rien à manger”, dit-il.Un important séisme de magnitude 6,9 avait déjà frappé l’île philippine de Cebu fin septembre, tuant 75 personnes et détruisant quelque 72.000 logements.Le chef de l’Etat, Ferdinand Marcos Jr, a demandé aux pouvoirs publics de poursuivre leurs opérations de secours, selon la présidence.Des habitants de Manay ont dormi dans des tentes, sous des bâches ou sur des hamacs, dans leurs véhicules ou simplement sur des matelas disposés sur le trottoir, tandis que les répliques secouaient cette région de 1,8 million d’habitants.Dans l’hôpital public fortement endommagé de Manay, des patients attendent de bénéficier de soins sur des lits placés en extérieur. Des ingénieurs avaient établi vendredi que la structure du bâtiment était compromise.A proximité, des commerçants nettoient le verre cassé et remettent leurs produits en rayons, ont constaté des journalistes de l’AFP.Vilma Lagnayo s’est précipitée pour récupérer vêtements et objets de sa maison effondrée. “Reconstruire (notre maison) est maintenant difficile (…). L’argent est un problème”, dit-elle.Le bureau de sismologie des Philippines a relevé plus de 800 répliques depuis le premier séisme qui a frappé Mindanao. Celles-ci devraient se poursuivre pendant plusieurs semaines.Les tremblements de terre sont quasi quotidiens aux Philippines, situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, un arc de forte activité sismique qui s’étend de l’Asie du Sud-Est au Japon, et à travers le bassin pacifique jusqu’aux côtes ouest des Amériques, du nord au sud.

Philippines: des habitants nettoient les débris des deux séismes

Des rescapés de deux violents séismes dans le sud des Philippines se sont réveillés abasourdis samedi au milieu des dégâts, dans une région secouée par des centaines de répliques en quelques heures.De nombreux habitants du littoral de l’île de Mindanao ont passé la nuit dehors, de peur d’être ensevelis par les répliques de ces tremblements de terre de magnitudes 7,4 et 6,7 survenus au large vendredi.Au moins huit personnes ont été tuées, ont indiqué les autorités philippines.Ezzra James Fernandez, porte-parole de la Défense civile, a indiqué qu’aucune personne n’était portée disparue, que les dégâts concernant les infrastructures étaient “minimes” et que des opérations de dégagement des routes étaient en cours.Dans la municipalité de Manay, des habitants déblaient samedi les débris des bâtiments ébranlés.”Notre petite maison et notre petite boutique ont été détruites”, explique à l’AFP Ven Lupogan, qui habite les lieux. “Nous n’avons nulle part où dormir. Il n’y a pas d’électricité. Nous n’avons rien à manger”, dit-il.Un important séisme de magnitude 6,9 avait déjà frappé l’île philippine de Cebu fin septembre, tuant 75 personnes et détruisant quelque 72.000 logements.Le chef de l’Etat, Ferdinand Marcos Jr, a demandé aux pouvoirs publics de poursuivre leurs opérations de secours, selon la présidence.Des habitants de Manay ont dormi dans des tentes, sous des bâches ou sur des hamacs, dans leurs véhicules ou simplement sur des matelas disposés sur le trottoir, tandis que les répliques secouaient cette région de 1,8 million d’habitants.Dans l’hôpital public fortement endommagé de Manay, des patients attendent de bénéficier de soins sur des lits placés en extérieur. Des ingénieurs avaient établi vendredi que la structure du bâtiment était compromise.A proximité, des commerçants nettoient le verre cassé et remettent leurs produits en rayons, ont constaté des journalistes de l’AFP.Vilma Lagnayo s’est précipitée pour récupérer vêtements et objets de sa maison effondrée. “Reconstruire (notre maison) est maintenant difficile (…). L’argent est un problème”, dit-elle.Le bureau de sismologie des Philippines a relevé plus de 800 répliques depuis le premier séisme qui a frappé Mindanao. Celles-ci devraient se poursuivre pendant plusieurs semaines.Les tremblements de terre sont quasi quotidiens aux Philippines, situées sur la Ceinture de feu du Pacifique, un arc de forte activité sismique qui s’étend de l’Asie du Sud-Est au Japon, et à travers le bassin pacifique jusqu’aux côtes ouest des Amériques, du nord au sud.

Jadeja says Gill’s ton of runs a ‘good sign’ for Indian cricket

Captain Shubman Gill struck his fifth Test century of the year to put India firmly in control against West Indies on Saturday, earning praise from his deputy Ravindra Jadeja for his remarkable consistency.The 26-year-old Gill, who took over as Test skipper in May, was unbeaten on 129 when India declared their innings at 518-5 on the second day of the second Test in New Delhi.With his latest hundred, Gill equalled Virat Kohli’s Indian record of five Test tons in a calendar year as captain, a feat Kohli achieved in 2017 and 2018.Gill has been in prolific form since becoming captain, topping the scoring charts in the five-Test series in England this year. That series ended in a draw but he amassed 754 runs and four centuries, including a career-best 269.Jadeja said “consistency” was the hallmark of Gill’s batting as a leader.”That’s a good sign for Indian cricket because he has been scoring a lot of runs since taking charge,” the vice-captain said.”If the captain performs, the whole team benefits,” Jadeja told reporters.The 36-year-old all-rounder also praised India’s younger players, highlighting opener Yashasvi Jaiswal’s rapid rise.”The young generation are taking responsibility for themselves, like Jaiswal. He has also scored plenty of runs in the last two years. Indian cricket will benefit a lot from this in the future,” he said.Gill’s latest century was his 10th since making his Test debut in December 2020. He shared a 74-run stand for the third wicket with 23-year-old Jaiswal, who made 175 before being run out in a mix-up with Gill.Jadeja also praised Jaiswal’s maturity, saying his temperament has helped him become a reliable player at the top of the order.The left-hander brought up his seventh Test hundred as India look to wrap up a 2-0 series win over the visitors.

Deuxième jour de trêve à Gaza, les déplacés retournent dans des ruines

Des milliers de Palestiniens déplacés sont rentrés chez eux, à Gaza-ville ou Khan Younès, samedi au deuxième jour du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas pour découvrir l’ampleur des destructions causées par deux ans de guerre.Raja Salmi est parvenue, après un “voyage particulièrement épuisant”, à revenir dans son quartier d’al-Rimal, au coeur de la ville de Gaza, où les bombardements des dernières semaines ont détruit ce que l’armée israélienne a présenté comme des zones censées abriter des milliers de combattants du Hamas.Mais son appartement avait disparu: l’immeuble “n’existe plus, c’est juste un tas de décombres”.”J’étais debout devant (ces ruines) et je me suis mise à pleurer, tous les souvenirs ont été réduits en poussière”, a-t-elle raconté à l’AFP.- “Destruction, destruction” -“Je ne sais pas quoi dire, ce que je vois est plus fort que tous les mots… Destruction, destruction, et encore destruction”, a dit à l’AFP Saher Abu Al-Atta, un autre habitant de retour dans la ville, depuis les décombres de l’hôpital pédiatrique al-Rantissi.Sur la route Al-Rachid, qui s’étend en bord de mer sur toute la longueur de la bande de Gaza, la file de piétons et de véhicules continue d’avancer depuis l’annonce de l’entrée en vigueur du cessez-le-feu par l’armée israélienne, vendredi à midi (09h00 GMT).Des camions sur lesquels flottent des drapeaux égyptiens transportent des Palestiniens du sud vers le nord, comme l’a constaté un journaliste de l’AFP installé sur le bord de la route dans le centre de la bande de Gaza.La Défense civile, organisation de premiers secours opérant sous l’autorité du Hamas, estime qu’environ 250.000 déplacés sont rentrés dans le nord de la bande de Gaza (ce qui inclut Gaza-ville) dans les 24 heures ayant suivi l’entrée en vigueur du cessez-le-feu.A travers la bande de Gaza, des secouristes continuent de fouiller les décombres à la recherche de corps après le repli des troupes israéliennes derrières les lignes convenues, à l’intérieur du territoire palestinien, dans le cadre du cessez-le-feu.L’armée avait averti vendredi que plusieurs zones restaient “extrêmement dangereuses” pour la population civile. Plusieurs sources palestiniennes ont fait état de tirs sporadiques, notamment dans le gouvernorat de Khan Younès, dans le sud, ce que l’armée n’a pas confirmé.L’entrée en vigueur du cessez-le-feu a déclenché une période de 72 heures maximum pendant laquelle le Hamas doit remettre les 48 otages restants, vivants ou morts.En échange, Israël doit libérer 250 “détenus pour des raisons de sécurité” dont de nombreux condamnés pour des attentats meurtriers anti-israéliens, et 1.700 Palestiniens arrêtés par l’armée israélienne dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre en octobre 2023.- “Etapes à venir” -Le président américain Donald Trump s’est dit confiant que le cessez-le-feu “tiendra”.Il doit se rendre ce week-end au Moyen-Orient, d’abord en Israël, où il doit s’adresser à la Knesset, puis en Egypte où il prévoit de rencontrer lundi “de nombreux dirigeants” pour discuter de l’avenir de la bande de Gaza.Sur le front politique, le Hamas a fait savoir qu’il espérait la réunion imminente d’un conseil national de mouvements palestiniens afin de déterminer quelles seraient “les étapes à venir.”L’un de ses responsables, Bassem Naïm, a déclaré à la télévision britannique Sky News vendredi soir que les armes du mouvement ne seraient rendues qu’à une force palestinienne, alors que cette question est un enjeu crucial des négociations, notamment pour la deuxième phase du cessez-le-feu, après la libération des otages et des prisonniers.Un autre responsable, Moussa Abou Marzouk, a confirmé sur la chaîne qatarie al-Jazeera, en précisant que la possibilité d’avoir une force de maintien de la paix dans la bande de Gaza était étudiée.Le mouvement islamiste, qui a pris le contrôle du territoire en 2007, y installant un gouvernement parallèle à celui de l’Autorité palestinienne, a de son côté affirmé avoir mené au cours des dernières 24 heures des milliers d’opérations de service public, des hôpitaux aux infrastructures.L’AFP n’a pas été en mesure de vérifier ces dires mais ses journalistes ont vu des policiers municipaux se déployer dans différents lieux, dont la ville de Gaza.En Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, l’armée israélienne a annoncé samedi avoir tué la veille un Palestinien à Jénine (nord) après qu’il eut “jeté un engin explosif” en direction de soldats en opérations dans la zone. 

Spinners keep India in command after Gill ton against West Indies

India’s spinners struck regular blows to dent West Indies’ reply as the hosts extended their dominance in the second Test after a fluent century from skipper Shubman Gill on Saturday.The tourists were 140-4 at stumps on the second day, still trailing India by 378 runs at Delhi’s Arun Jaitley Stadium.Shai Hope, on 31, and wicketkeeper-batsman Tevin Imlach, on 14, were batting at close of play after left-arm spinner Ravindra Jadeja took three wickets.Gill led from the front with his unbeaten 129 — his fifth hundred of the year in eight Tests — after Yashasvi Jaiswal’s run out on 175 in the second over of the day following a mix-up with the captain.”Misunderstandings happen and it’s part of the game,” Jadeja told reporters. “Thankfully we are in a good position after that and put up a tall score.”Jadeja added that they would try to get the tourists out early on day three even though “there is not much spin on the wicket”.In reply to India’s mammoth first-innings 518-5 declared, opener Tagenarine Chanderpaul (34) and Alick Athanaze (41) offered some resistance before departing. Chanderpaul edged a short-of-a-length ball from Jadeja to slip where KL Rahul caught it after a couple of juggles to end a 66-run second-wicket stand.Left-arm wrist spinner Kuldeep Yadav sent back Athanaze and in the next over skipper Roston Chase was dismissed for a duck off Jadeja.Hope kept up the fight after he survived a close lbw appeal, which India reviewed but lost as ball tracking confirmed the umpire’s call.- Freak catch -“We know it’s very challenging, but I know we have capable batters who can do it,” West Indies spinner Jomel Warrican said. “The wicket is turning a lot more compared to day one, so we just have to apply ourselves and back our ability.”In the second session, West Indies opener John Campbell fell for 10 as Sai Sudharsan somehow took a stunning and slightly lucky reflex catch at forward short-leg.The left-handed Campbell attempted a slog sweep off Jadeja and Sudharsan instinctively held on to the ball with his helmet, chest and hands as he ducked for cover.Gill, who started the day on 20, took on the West Indies attack with his classy strokeplay, hitting 16 fours and two sixes in his 10th Test century.Gill scored three runs off left-arm spinner Khary Pierre to reach a hundred and raised his bat to acknowledge a raucous weekend crowd.He and wicketkeeper-batsman Dhruv Jurel, who made 44, shared 102 runs for the fifth wicket and put on quick runs peppered with regular boundaries after the lunch break to turn the screw on the West Indies.Earlier, the left-handed Jaiswal added just two to his overnight score before departing after the dramatic run out.Attempting a single after pushing the ball to mid-off, Jaiswal set off, but Gill had his back towards the striker and was ball-watching, and Imlach was quick to rattle the stumps.Gill kept calm and put on 91 runs with Nitish Kumar Reddy, who made 43 before Warrican got him out for his third wicket.India are hot favourites to sweep the two-match series after winning the opener by an innings.