‘Wicked’ sequel sees green in weekend-winning N. America debut

Universal’s musical sequel “Wicked: For Good” stole the box office spotlight in its North America debut this weekend, with a record-setting haul to the tune of $150 million, industry estimates showed Sunday.Variety said the film’s debut was the highest ever for a Broadway musical adaptation, while analyst David A. Gross of Franchise Entertainment Research called it a “sensational, record-breaking opening” for a fantasy adventure sequel.Tony Award-winner Cynthia Erivo and pop star Ariana Grande return as the magical land of Oz’s most notable witches — the green-skinned, outcast Elphaba and popular pink-wearing Glinda — to wrap up the story-line introduced in last year’s blockbuster part one.The “Wizard of Oz” retelling is based on the long-running Broadway musical, itself adapted from Gregory Maguire’s 1995 novel.Part two follows Glinda and Elphaba — now dubbed the Wicked Witch of the West — as they struggle against the nefarious mechanizations of The Wizard (Jeff Goldblum) and Madame Morrible (Michelle Yeoh).”This is broad-appeal Hollywood filmmaking at its best, a spectacular adventure story told from a female point of view,” said Gross.”Strong word-of-mouth is going to drive business through next week’s 5-day Thanksgiving holiday and into December,” he added.In second place at the US and Canadian box office, according to Exhibitor Relations, was Lionsgate’s “Now You See Me: Now You Don’t,” with $9.1 million.The third installment in the crime heist franchise dropped from the top spot a week prior, when it took in over $21 million.The film reunites Jesse Eisenberg, Isla Fisher, Dave Franco and Woody Harrelson as Robin Hood-style illusionists targeting dangerous criminals.With $6.3 million, third place went to 20th Century’s “Predator: Badlands,” the latest installment in the decades-old sci-fi horror franchise.Paramount’s “The Running Man” — a new take on Stephen King’s dystopian novel about a murderous game show — fell two spots since its debut last weekend to fourth place, with $5.8 million.Fifth place went to Searchlight’s “Rental Family,” starring Brendan Fraser as a struggling actor who takes on odd stand-in roles in Japan.Gross called the film’s $3.3 million haul a “soft opening for a fall drama,” but said it should get a lift from next week’s long holiday weekend, and that international revenue “should be solid,” given its setting and Fraser’s foreign appeal.Rounding out the top-10 were:”Sisu: Road to Revenge” ($2.6 million)”Regretting You” ($1.5 million)”Nuremberg” ($1.2 million)”Black Phone 2″ ($1.0 million)”Sarah’s Oil” ($770,000)

Ligue 1: Lyon cale à Auxerre, Lille prolifique, Nantes évite la zone rouge

Lyon a été tenu en échec (0-0) sur le terrain de la lanterne rouge Auxerre dimanche, ouvrant la porte du wagon de tête à Lille, tombeur du Paris FC (4-2) en clôture d’une 13e journée de Ligue 1 marquée par une bataille pour le maintien.La journée de dimanche n’a pas bousculé la hiérarchie de la Ligue 1, dont les places de prestige s’étaient disputées samedi.Lyon avait néanmoins l’occasion de passer devant Strasbourg sur la pelouse d’Auxerre et de se rapprocher du trio de tête composé du Paris Saint Germain (30 points), de l’OM et de Lens (28 points).Mais les Rhodaniens ont calé chez la lanterne rouge et continuent de faire du surplace en championnat où, avec 21 points, ils pointent désormais à la 7e place, à sept longueurs du podium.. Lille en profiteUn contre-temps favorable à Lille, qui réalise la bonne opération de la 13e journée en bondissant à la quatrième place (23 points) grâce à sa victoire contre le Paris FC (4-2), porté par un doublé d’Olivier Giroud.L’attaquant le plus prolifique de l’histoire de l’équipe de France n’avait plus marqué depuis trois mois en championnat, et son dernier but remontait à une rencontre de Ligue Europa contre les Norvégiens de Brann Bergen le 25 septembre.Revenus à cinq point du duo Marseille-Lens, les Nordistes devancent Strasbourg (22 points) et Rennes (21 points), tombeur samedi de Monaco (4-1) malgré le retour de Paul Pogba après 26 mois loin des terrains.Le bas de classement a, lui, fait l’objet d’une âpre bataille. . Bonne opération pour AngersBut refusé, penalty manqué, les Auxerrois sont passés tout près de batttre l’OL mais doivent se contenter d’un match nul qui les maintient à la dernière place du classement (8 points), à trois longueurs derrière Lorient, Nantes et Metz (11 pts).Les Messins, en position de relégable, ont quant à eux été battus sur le fil par Brest (14e) qui renoue avec la victoire après six matches sans succès grâce à un penalty de Romain Del Castillo au bout des arrêts de jeu (90e+10, 3-2). Cruel pour le gardien messin, le Danois Jonathan Fischer, qui avait déjà arrêté un penalty du même Del Castillo quelques instants auparavant. Et fin de série pour les Lorrains, qui restaient sur trois succès.A la Beaujoire, les Nantais (15e), longtemps menés par Lorient (16e) et menacés de basculer dans la zone rouge, se sont eux aussi sortis d’affaire dans le temps additionnel. Chidozie Awaziem, coupable d’un but contre son camp dans les arrêts de jeu de la première période, a réparé son impair en égalisant dans le temps additionnel de la seconde (1-1) pour décrocher le point du nul.Enfin, Toulouse (10e) est rejoint au classement par son adversaire Angers après avoir concédé une défaite frustrante sur sa pelouse (0-1). Le but angevin a été inscrit par Yassine Belkhdim, et le SCO se donne de l’air, passant devant Le Havre et le Paris FC.

Nigeria: 50 élèves kidnappés d’une école se sont échappés, 38 fidèles enlevés d’une église secourus

Au moins 50 des plus de 300 élèves enlevés vendredi dans une école catholique de l’ouest du Nigeria se sont échappés, tandis que 38 fidèles kidnappés récemment dans leur église ont tous été secourus par les forces de sécurité, a annoncé le président nigérian Bola Tinubu dimanche.Au total, 303 élèves et 12 enseignants avaient été emmenés vendredi par des hommes armés non identifiés ayant attaqué l’école catholique mixte Saint Mary, située dans l’Etat du Niger, l’un des plus importants enlèvements de masse jamais perpétrés au Nigeria, pays ravagé par le phénomène.Agés de huit à 18 ans, les garçons et filles enlevés à Saint Mary représentent près de la moitié de ses 629 élèves.L’Association chrétienne du Nigeria (CAN) a annoncé dimanche que 50 élèves de l’école Saint Mary – située à Papiri, à environ 600 km au nord-ouest d’Abuja – s’étaient “échappés” entre vendredi et samedi et avaient depuis “retrouvé leurs parents”.Dans un post sur X, le président Tinubu s’est dit “heureux que 51 des élèves disparus de l’école catholique dans l’Etat du Niger aient été retrouvés”.Plus tôt dans la semaine, un autre groupe d’hommes armés avait pris d’assaut lundi un lycée de l’Etat voisin de Kebbi (nord-ouest) et enlevé 25 jeunes filles, dont l’une est parvenue à s’enfuir. Le lendemain soir, une église pentecôtiste d’Eruku, dans l’ouest du Nigeria, avait été attaquée en plein service, retransmis en direct en ligne: deux personnes avaient été tuées et un nombre indéterminé emmenés par les assaillants non identifiés.- écoles fermées -Le président Tinubu, qui avait annulé dans la foulée de cette série de violences ses engagements internationaux, notamment sa participation au sommet du G20 ce week-end à Johannesburg, a également annoncé que les forces de sécurité avaient libéré “les 38 fidèles” enlevés dans leur église de la congrégation locale de l’Eglise apostolique du Christ (CAC).”Grâce aux efforts de nos forces de sécurité ces derniers jours, l’ensemble des 38 fidèles enlevés à Eruku, dans l’Etat de Kwara, ont été secourus”, indique le chef de l’Etat, sans autre détail sur les auteurs présumés de l’attaque ou les circonstances dans lesquels les otages ont été secourus.Près d’une semaine après, les 24 élèves enlevées dans l’Etat de Kebbi sont toujours portées disparues. Une source sécuritaire a confié que de potentiels lieux de détention avaient été localisés.Cette nouvelle série d’enlèvements dans des écoles a entraîné la fermeture par précaution de nombreux établissements scolaires à travers le pays le plus peuplé d’Afrique (230 millions d’habitants), confronté à de multiples menaces.Les autorités combattent depuis 2009 une insurrection jihadiste dans le nord-est du pays et font face à des bandes criminelles lourdement armées, appelées localement “bandits”, qui ont intensifié ces dernières années leurs attaques meurtrières dans le nord-ouest et le centre, parfois accompagnées d’enlèvements pour obtenir des rançons.- victimes musulmanes et chrétiennes -Aucune des récentes attaques n’a été revendiquée.Le Nigeria reste profondément marqué par un autre enlèvement de masse, celui de près de 300 jeunes filles par les jihadistes de Boko Haram à Chibok, dans l’Etat de Borno (nord-est), en avril 2014. Plus de dix ans plus tard, certaines d’entre elles sont toujours portées disparues.Selon Aisha Yesufu, cofondatrice du mouvement #BringBackOurGirls (Ramenez nos filles) créé après ce terrible événement, les enlèvements continuent car “les autorités ne font rien”.”Ils sont plus intéressés par leur propagande” visant “à ne pas paraître inapte ou incompétent”, a-t-elle affirmé à l’AFP.Vendredi, le président américain Donald Trump avait réagi à ces récentes attaques en estimant que “ce qui se passe au Nigeria est une honte”. Il a récemment menacé d’intervenir militairement au Nigeria, accusant les autorités nigérianes de “tolérer les meurtres de chrétiens” par des islamistes radicaux.Les autorités d’Abuja ont estimé ces accusations “erronées” et nié toute “persécution religieuse systématique” au Nigeria, divisé de manière presque égale entre un nord à majorité musulmane et un sud majoritairement chrétien.Les attaques dans le pays visent et tuent aussi bien des chrétiens que des musulmans, souvent sans distinction.Samedi, 13 femmes et filles “toutes musulmanes” et âgées de 16 à 23 ans ont été kidnappées près de leurs fermes de l’Etat de Borno, selon Abubakar Mazhinyi, un édile local, ajoutant que la zone concernée se trouvait à 20 km d’une réserve naturelle devenue un sanctuaire jihadiste. L’un des femmes a été libérée après avoir affirmé à ses ravisseurs être mariée.

US says ‘very optimistic’ on Ukraine plan as Geneva talks end

US Secretary of State Marco Rubio boasted “tremendous” progress after a day of meetings with Ukrainian and European officials in Geneva on a proposal to halt the Ukraine war, but numerous uncertainties remain. The head of Ukraine’s delegation Andriy Yermak also told reporters earlier that the sides had made “very good progress”, and were “moving forward to the just and lasting peace Ukrainian people deserve”.US President Donald Trump had given Ukraine until November 27 to approve his controversial plan to end the nearly four-year conflict that erupted after Russia launched its full-scale invasion.But Kyiv is seeking changes to a draft that accepts a range of Russia’s hardline demands, with the 28-point plan requiring the invaded country to cede territory, cut its army and pledge never to join NATO.Rubio, whose delegation included Trump’s son-in-law Jared Kushner and diplomatic envoy Steve Witkoff, told reporters that the work to narrow the areas of disagreement had advanced “in a very substantial way”. “I can tell you that the items that remain open are not insurmountable,” he said, adding “I honestly believe we’ll get there.”Rubio stressed that any final agreement would “have to be agreed upon by the presidents, and there are a couple issues that we need to continue to work on” before trying to bring onboard the Kremlin, which welcomed the original proposal.”Obviously, the Russians get a vote.”- ‘Zero gratitude’ claim -His comments came after Trump earlier lashed out at Ukraine as the talks in Geneva were underway.”UKRAINE ‘LEADERSHIP’ HAS EXPRESSED ZERO GRATITUDE FOR OUR EFFORTS,” Trump wrote on his Truth Social platform, also accusing European countries of not doing enough to stop the war, but offering no direct condemnation of Moscow.Not long after, Ukrainian President Volodymyr Zelensky said on X that his country was “grateful to the United States… and personally to President Trump” for the assistance that has been “saving Ukrainian lives”.The Ukrainian delegation meanwhile referred to a new version of the US draft plan, which has yet to be published, saying it “already reflects most of Ukraine’s key priorities”.At the end of the day, Rubio said he thought Trump was “quite pleased at the reports we’ve given him about the amount of progress that’s been made”.Asked about whether he believed a deal could be reached by Thursday, as demanded by the US president, he said “the deadline is we want to get this done as soon as possible”.”I think we made a tremendous amount of progress. I feel very optimistic that we’re going to get there in a very reasonable period of time, very soon.”The US delegation in Geneva also included US Army Secretary Daniel Driscoll and also, surprisingly, Alexus Grynkewich, the NATO Supreme Allied Commander Europe.Grynkewich did not attend in his NATO capacity but as a senior US military representative, according to a senior NATO official who did not wish to be named.- European ‘centrality’ -Rubio said that his delegation had met Sunday with “national security advisors from various European countries”.Ukraine’s delegation also met with high-level officials from Britain, France and Germany.The US plan was drafted without input from Ukraine’s European allies, who were scrambling Sunday to make their voices heard and boost Kyiv’s position.”Ukraine must have the freedom and sovereign right to choose its own destiny. They have chosen a European destiny,” EU chief Ursula von der Leyen said in a statement, stressing that the “centrality” of the European Union’s role must be “fully reflected” in any peace plan.”The task now is to make the 28-point plan presented by the American government a viable document,” German Chancellor Friedrich Merz meanwhile said at the G20 summit in Johannesburg, adding that he had made a proposal being discussed in Geneva in that direction.European Union countries were planning to meet to discuss the Ukraine situation on the sidelines of a meeting with African leaders in Angola on Monday.And French President Emmanuel Macron, who spoke on the phone with Zelensky Sunday, said the 30 countries in the “coalition of the willing” supporting Kyiv would hold a video call on Tuesday.A number of leaders also called Trump Sunday, with Downing Street saying UK Prime Minister Keir Starmer and the US president had agreed “that we all must work together at this critical moment to bring about a just and lasting peace”.Finnish President Alexander Stubb told AFP that he and Italian leader Giorgia Meloni also called Trump Sunday to discuss his Ukraine proposal.Meloni later told reporters at the G20 that while there were points in the US plan “that certainly need to be discussed”, there was no need for a “complete counterproposal”.

Coup-prone Guinea-Bissau votes to elect new president, parliamentSun, 23 Nov 2025 21:30:38 GMT

Voters in coup-prone Guinea-Bissau cast their ballots Sunday to pick a new president, hoping to turn the page on political turmoil despite the main opposition party being barred from the race.Around 860,000 voters were eligible to choose between 12 presidential candidates, with stability a major issue given multiple political crises that have rocked the west …

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“Réconciliation” France-Algérie et mots choisis: Sansal reprend la parole

Pour sa première prise de parole depuis sa libération par l’Algérie et son retour en France, l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal a assuré dimanche avoir toujours voulu “la réconciliation” entre les deux pays, en reconnaissant que sa parole était bridée par les enjeux diplomatiques.”Je suis depuis toujours pour la réconciliation entre la France et l’Algérie”, a déclaré M. Sansal dans le journal de 20h00 de France 2, en estimant que les deux pays avaient “raté le coche” après l’indépendance de l’ancienne colonie en 1962.”Soixante années sont passées, on est encore en train d’utiliser des discours de la guerre de libération”, a-t-il déploré.Sa parole est-elle bridée par les enjeux diplomatiques, lui a demandé le journaliste Laurent Delahousse? “Oui, en quelque sorte, je ne vous parle pas de manière naturelle (…), je contrôle chacun de mes mots”, a-t-il concédé.”Je pense à Christophe Gleizes”, journaliste français emprisonné en Algérie et qui sera jugé en appel le 3 décembre, a-t-il enchaîné.Incarcéré en Algérie pendant un an pour certaines prises de position sur son pays natal, Boualem Sansal, 81 ans, a retrouvé la liberté le 12 novembre. Il a été gracié par le président algérien Abdelmadjid Tebboune, qui a répondu favorablement à une demande des autorités allemandes.- Sahara occidental -L’écrivain, qui était au cœur d’une crise diplomatique entre Alger et Paris, est rentré en France mardi, après avoir d’abord été transféré à Berlin pour des soins médicaux, et a été reçu par Emmanuel Macron dès son retour. Un retour discret, hors de la vue des médias.Selon lui, les positions de la France sur le Sahara occidental, sujet de tensions entre l’Algérie et le Maroc, ont en partie motivé son arrestation.Fin juillet 2024, le président français avait apporté son soutien total à un plan d’autonomie sous souveraineté marocaine pour le Sahara occidental, revendiqué depuis 50 ans par les indépendantistes du Polisario soutenus par Alger.”Tout est parti de là”, a estimé M. Sansal, selon qui cela a déclenché “une guerre” entre la France et l’Algérie.”En bonne santé” après avoir été traité “de manière remarquable” pour son cancer de la prostate, il a dit avoir appris sa libération seulement “la veille”. Cela a suivi sa rencontre en prison avec “un monsieur très autoritaire”, qu’il pensait être un membre “des services secrets” ou “un personnage très important”.”Il disait toujours: +Dans l’hypothèse où vous sortez, est-ce que vous allez continuer vos critiques sur l’Algérie+? J’ai dit +Monsieur, je n’ai jamais critiqué l’Algérie, je critique un régime, je critique des gens, je critique une dictature+”, a raconté l’écrivain.Il a en outre affirmé que Bruno Retailleau était son “ami”, tout en admettant que l’ex-ministre de l’Intérieur, très ferme face à l’Algérie, avait pu être “d’une certaine manière” un obstacle à sa libération.”Il offrait à l’Algérie l’occasion de rebondir sur: +Regardez, c’est notre ennemi, ils nous détestent, etc.+ Mais avec ou sans Bruno Retailleau, ils auraient réagi de la même manière avec n’importe qui”, a jugé l’écrivain.- “Stratège” -Écrivain dissident admirateur de Camus et Orwell, polémiste révéré par les droites françaises, Boualem Sansal purgeait en Algérie une peine de cinq ans de prison notamment pour “atteinte à l’unité nationale”.Le romancier avait été condamné pour avoir notamment déclaré en octobre 2024 au média français d’extrême droite Frontières que l’Algérie avait hérité sous la colonisation française de régions appartenant précédemment, selon lui, au Maroc.Cet ancien haut fonctionnaire en Algérie avait été arrêté le 16 novembre 2024 à son arrivée à l’aéroport d’Alger avant d’être emprisonné, aggravant le froid diplomatique entre la France et son ancienne colonie.Le retour médiatique de M. Sansal a été soigneusement orchestré. Outre le 20h00 de France 2, il s’est exprimé dans Le Figaro et sera l’invité de la matinale de France Inter lundi.Au Figaro, il a expliqué avoir écrit “au moins dix fois” à M. Tebboune pour demander sa libération. Après de premières lettres “très accusatoires”, il a décidé “d’être plus stratège”: “Je lui ai expliqué que la seule solution, c’était de me libérer, de réconcilier l’Algérie avec la France”.Enfin, il a assuré vouloir retourner bientôt dans son pays natal. “Si vous subissez une injustice, vous cherchez naturellement à obtenir réparation. Pour moi, aller (en Algérie) et ressortir” serait “une grosse réparation”, a-t-il déclaré à France Inter selon de premiers extraits diffusés par la radio.