Trump offers more US troops to Poland’s nationalist president
US President Donald Trump offered Friday to send more troops to Poland as he welcomed the country’s new nationalist president Karol Nawrocki to the White House with a military flyover.Trump also hinted at taking stronger action against Russia if it fails to end its war with Ukraine, which has put NATO ally Poland on edge since Moscow’s invasion in 2022.Nawrocki, a conservative historian and fervent Trump supporter, visited the White House during Poland’s election campaign and is now making his first foreign trip as president.Trump gave him a warm welcome — including an offer to boost the US military footprint in Poland, where around 8,000 US troops are currently reinforcing NATO’s eastern flank, according to US media.”We’ll put more there if they want,” Trump, 79, said after shaking hands with Nawrocki, 42, in the Oval Office. “We’re with Poland all the way and we’ll help Poland protect itself.”Trump added that the flyover by F-16 and F-35 jets during Nawrocki’s arrival was “very much in honor” of a Polish F-16 jet pilot killed last week while preparing for an air show.”He was a legend in Poland,” Trump said of the pilot, Major Maciej “Slab” Krakowian, 37.- ‘Very proud’ -Nawrocki then praised the US troop presence and said it was “the first time in history” that Poland had been happy to host foreign troops.He also stressed that Warsaw aims to keep increasing its own military spending within the NATO alliance to meet Trump’s demands — despite already being the top spender based on the proportion of GDP.Trump meanwhile prided himself on having backed political novice Nawrocki in Polish elections, the latest in a series of right-wing leaders in Europe supported by Trump.Trump welcomed Nawrocki to the Oval Office in June before the Polish election, with the White House posting a picture of the pair grinning and giving the thumbs-up sign.”I don’t endorse too many people, but I endorsed him, and I was very proud of the job he’s done,” Trump said on Wednesday.The eastern European nation is deeply polarized, with the nationalist Nawrocki clashing with the pro-EU government led by Prime Minister Donald Tusk, a former European Council chief. During the election campaign, Nawrocki highlighted the importance of ties with the United States and his close relationship with Trump. His “Poland First, Poles First” echoed Trump’s “America First” slogan.- Strong Ukraine support -The talks were set to be dominated by the war in Poland’s neighbor Ukraine.While Trump and Nawrocki see eye-to-eye politically, Poland is closely watching the US leader’s peace efforts in Ukraine, which Warsaw has largely been frozen out of.Poland has been a strong supporter of Ukraine since Russia’s 2022 invasion and is a vital transit country for military and humanitarian supplies.Trump said that “you’ll see things happen” if he’s dissatisfied with President Vladimir Putin’s response, hinting at fresh sanctions or tariffs against Moscow.”I have no message to President Putin, he knows where I stand, and he’ll make a decision one way or the other,” Trump told reporters.Trump will speak with Ukrainian President Volodymyr Zelensky on Thursday, a White House official told AFP. He is also set to speak to European leaders, the French presidency said.Ukraine is proving divisive in Poland too.Nawrocki recently blocked a law extending Ukrainian refugees’ rights proposed by Tusk’s government. Nawrocki has also, like Trump, opposed Ukraine’s desire for NATO membership.
Californie: un incendie ravage une ville remontant à la ruée vers l’or
Une ville datant de l’époque de la ruée vers l’or en Californie était en ruines mercredi après que des orages ont déclenché une vingtaine d’incendies de forêt.Chinese Camp a été ravagée par les flammes mardi, comme le montrent les photos des carcasses fumantes de bâtiments du XIXe siècle. Certaines constructions ont même été réduites en cendres.Environ 5.000 hectares sont partis en fumée à cause de 22 incendies distincts qui se sont déclarés à environ 160 kilomètres à l’est de San Francisco, selon les autorités. Cet ensemble de foyers, désigné comme comme le “TCU September Lightning Complex”, s’est déclenché lorsque des éclairs ont frappé la région et enflammé la végétation asséchée.Des centaines de pompiers sont mobilisés pour lutter contre les flammes dans cette zone rurale et isolée, où le feu se propage parfois à travers des endroits difficiles d’accès, selon l’agence CalFire.”Un certain nombre de structures ont été endommagées ou détruites, et une équipe d’inspection des dommages a été dépêchée sur place”, a expliqué l’autorité californienne de lutte contre les incendies dans un communiqué.Le vent créé par les conditions orageuses compliquent la lutte contre les flammes et “plusieurs communautés restent menacées, notamment les terres ancestrales de tribus” amérindiennes, a-t-elle précisé.Des ordres d’évacuation et des alertes ont été émis pour la région.Au milieu du XIXe siècle, la ruée vers l’or a attiré des dizaines de milliers de prospecteurs en Californie, notamment en provenance de Chine.Chinese Camp est décrit par l’office de tourisme de la région comme une “ville fantôme abandonnée”, mais elle abrite toujours des dizaines de personnes, selon les données du recensement américain.Elle comporte plusieurs bâtiments historiques, dont un bureau de poste construit il y a 170 ans et l’une des plus anciennes églises catholiques de cette partie de la Californie. Les feux de forêt font partie de la vie naturelle de l’Ouest américain. Mais selon les scientifiques, le dérèglement climatique augmente leur fréquence et leur intensité.
Israël dit s’attendre à la fuite d’un million d’habitants de Gaza-ville
Israël a affirmé mercredi s’attendre à ce qu’un million de Palestiniens fuient Gaza-ville, menacée d’une opération militaire d’envergure, à l’heure où des milliers d’Israéliens manifestent à Jérusalem pour la fin de la guerre et le retour des otages.Dans la bande de Gaza dévastée, assiégée et en proie à la famine selon l’ONU, la Défense civile locale a fait état de 62 morts mercredi dans l’offensive israélienne, lancée en riposte à l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a dit vouloir détruire le Hamas, qui a pris le pouvoir dans la bande de Gaza en 2007, et prendre le contrôle sécuritaire du territoire situé à la frontière sud d’Israël.Mais après près de 23 mois de guerre, il est confronté à une très forte pression, en Israël comme à l’étranger, pour faire taire les armes et obtenir la libération des otages enlevés durant l’attaque du 7-Octobre et retenus à Gaza.L’armée israélienne, qui contrôle aujourd’hui environ 75% de la bande de Gaza, dit préparer une offensive pour s’emparer de Gaza-ville, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien.Selon un haut responsable militaire israélien, “un million” de personnes pourraient quitter Gaza-ville dans le nord en direction du sud du territoire.”Nous souhaitons identifier une zone humanitaire” pour ces déplacés, qui serait comprise dans un périmètre allant des camps du centre jusqu’à al-Mawassi (sud) et incluant l’est du territoire, a-t-il ajouté.”Nous intensifions nos opérations sur le front principal”, a lancé le chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, lors d’une visite mercredi auprès des soldats déployés à un poste d’observation donnant sur Gaza-ville, selon un communiqué.- “Milices fascistes” -Brandissant des pancartes sur lesquelles est écrit, “Arrêter la guerre” et “Ne les sacrifiez pas”, les manifestants sont descendus de nouveau dans la rue en soirée à Jérusalem à l’appel des familles d’otages.Celles-ci et des militants ont appelé à un mouvement de protestation de trois jours à Jérusalem à l’approche du 700e jour du début de la guerre, vendredi.”Cela fait 700 jours que j’attends que vous fassiez sortir mon enfant de l’enfer. Je pourrais revoir Matan dès demain, par une seule décision de votre part”, a lancé Anat Angrest, mère de Matan, un soldat retenu en otage, à l’occasion d’un autre rassemblement plus tôt à Jérusalem. Nira Sharabi, dont le mari Yossi est mort en captivité, a estimé que “la pression militaire met en danger la vie des otages, qui endurent les conditions physiques et psychologiques les plus horribles. Elle compromet également la possibilité de ramener les (otages) morts”.Dans un quartier résidentiel proche de la résidence de M. Netanyahu, des manifestants ont incendié une poubelle dans la matinée et le feu s’est propagé, détruisant la voiture d’un réserviste. Le ministre de la Justice Yariv Levin a condamné un “acte de terreur”.”Dans une démocratie, manifester est quelque chose de légitime. Mais ce qui se passe dans ces manifestations (…) contre le gouvernement a dépassé toutes les limites”, a affirmé M. Netanyahu dans une vidéo, diffusée par son bureau.”Ils menacent quotidiennement de me tuer, moi, le Premier ministre, ainsi que ma famille. Ils mettent aussi le feu (…) exactement comme des milices fascistes”, a-t-il ajouté.”Honte à toi”, lui a rétorqué au micro lors de la manifestation, Ofir Braslavski, dont le fils Rom, otage à Gaza, a été vu amaigri et faible dans une vidéo de propagande diffusée début août par le Jihad islamique, un allié du Hamas.- 62 morts à Gaza selon les secours -Dans le territoire palestinien, la Défense civile a fait état de 62 Palestiniens tués dans les bombardements israéliens.Des images de l’AFP ont montré des Palestiniens pleurant la mort de proches au milieu des décombres à Gaza-ville.”Nous avons trouvé les corps de ma fille, de son mari et de leurs filles déchiquetés”, a dit Oum Abd Abou al-Jubain, son petit-fils dans ses bras.Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans de la Défense civile et les informations des différentes parties.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là , 47 restent otages à Gaza, dont 25 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.La campagne de représailles israélienne a fait au moins 63.746 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU.Â
Israël dit s’attendre à la fuite d’un million d’habitants de Gaza-ville
Israël a affirmé mercredi s’attendre à ce qu’un million de Palestiniens fuient Gaza-ville, menacée d’une opération militaire d’envergure, à l’heure où des milliers d’Israéliens manifestent à Jérusalem pour la fin de la guerre et le retour des otages.Dans la bande de Gaza dévastée, assiégée et en proie à la famine selon l’ONU, la Défense civile locale a fait état de 62 morts mercredi dans l’offensive israélienne, lancée en riposte à l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a dit vouloir détruire le Hamas, qui a pris le pouvoir dans la bande de Gaza en 2007, et prendre le contrôle sécuritaire du territoire situé à la frontière sud d’Israël.Mais après près de 23 mois de guerre, il est confronté à une très forte pression, en Israël comme à l’étranger, pour faire taire les armes et obtenir la libération des otages enlevés durant l’attaque du 7-Octobre et retenus à Gaza.L’armée israélienne, qui contrôle aujourd’hui environ 75% de la bande de Gaza, dit préparer une offensive pour s’emparer de Gaza-ville, qu’elle présente comme le dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien.Selon un haut responsable militaire israélien, “un million” de personnes pourraient quitter Gaza-ville dans le nord en direction du sud du territoire.”Nous souhaitons identifier une zone humanitaire” pour ces déplacés, qui serait comprise dans un périmètre allant des camps du centre jusqu’à al-Mawassi (sud) et incluant l’est du territoire, a-t-il ajouté.”Nous intensifions nos opérations sur le front principal”, a lancé le chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, lors d’une visite mercredi auprès des soldats déployés à un poste d’observation donnant sur Gaza-ville, selon un communiqué.- “Milices fascistes” -Brandissant des pancartes sur lesquelles est écrit, “Arrêter la guerre” et “Ne les sacrifiez pas”, les manifestants sont descendus de nouveau dans la rue en soirée à Jérusalem à l’appel des familles d’otages.Celles-ci et des militants ont appelé à un mouvement de protestation de trois jours à Jérusalem à l’approche du 700e jour du début de la guerre, vendredi.”Cela fait 700 jours que j’attends que vous fassiez sortir mon enfant de l’enfer. Je pourrais revoir Matan dès demain, par une seule décision de votre part”, a lancé Anat Angrest, mère de Matan, un soldat retenu en otage, à l’occasion d’un autre rassemblement plus tôt à Jérusalem. Nira Sharabi, dont le mari Yossi est mort en captivité, a estimé que “la pression militaire met en danger la vie des otages, qui endurent les conditions physiques et psychologiques les plus horribles. Elle compromet également la possibilité de ramener les (otages) morts”.Dans un quartier résidentiel proche de la résidence de M. Netanyahu, des manifestants ont incendié une poubelle dans la matinée et le feu s’est propagé, détruisant la voiture d’un réserviste. Le ministre de la Justice Yariv Levin a condamné un “acte de terreur”.”Dans une démocratie, manifester est quelque chose de légitime. Mais ce qui se passe dans ces manifestations (…) contre le gouvernement a dépassé toutes les limites”, a affirmé M. Netanyahu dans une vidéo, diffusée par son bureau.”Ils menacent quotidiennement de me tuer, moi, le Premier ministre, ainsi que ma famille. Ils mettent aussi le feu (…) exactement comme des milices fascistes”, a-t-il ajouté.”Honte à toi”, lui a rétorqué au micro lors de la manifestation, Ofir Braslavski, dont le fils Rom, otage à Gaza, a été vu amaigri et faible dans une vidéo de propagande diffusée début août par le Jihad islamique, un allié du Hamas.- 62 morts à Gaza selon les secours -Dans le territoire palestinien, la Défense civile a fait état de 62 Palestiniens tués dans les bombardements israéliens.Des images de l’AFP ont montré des Palestiniens pleurant la mort de proches au milieu des décombres à Gaza-ville.”Nous avons trouvé les corps de ma fille, de son mari et de leurs filles déchiquetés”, a dit Oum Abd Abou al-Jubain, son petit-fils dans ses bras.Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans de la Défense civile et les informations des différentes parties.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là , 47 restent otages à Gaza, dont 25 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.La campagne de représailles israélienne a fait au moins 63.746 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU.Â
Les Européens sont “prêts” à “apporter les garanties de sécurité à l’Ukraine”, dit Macron avec Zelensky
Les Européens sont “prêts” à “apporter les garanties de sécurité à l’Ukraine et aux Ukrainiens, le jour où une paix est signée”, à l’issue d’un long travail préparatoire qui est “achevé”, a annoncé mercredi Emmanuel Macron en recevant à Paris le président ukrainien Volodymyr Zelensky.”L’Europe est au rendez-vous, pour la première fois avec ce niveau d’engagement et d’intensité”, a déclaré le président français devant la presse au palais de l’Elysée.”La question maintenant, c’est de savoir la sincérité de la Russie et de ses engagements successifs lorsqu’elle a proposé la paix aux États-Unis d’Amérique”, a-t-il ajouté à la veille d’un sommet de la “coalition des volontaires” prêts à fournir ces garanties, et d’un échange téléphonique avec Donald Trump.La “coalition des volontaires”, coprésidée par Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer, réunit une trentaine de pays, principalement européens, prêts à apporter un soutien à l’armée ukrainienne, voire à déployer des soldats en Ukraine une fois un cessez-le-feu conclu avec Moscou, pour dissuader la Russie de toute nouvelle agression. Plusieurs États européens réclament toutefois un “filet de sécurité” de Washington pour s’impliquer concrètement.”Les contributions qui ont été préparées, documentées, confirmées cet après-midi au niveau des ministres de la Défense, de manière extrêmement confidentielle, me permettent de dire: +voilà , ce travail de préparation est achevé. Il sera maintenant endossé politiquement+”, a expliqué le chef de l’État français.
Les Européens sont “prêts” à “apporter les garanties de sécurité à l’Ukraine”, dit Macron avec Zelensky
Les Européens sont “prêts” à “apporter les garanties de sécurité à l’Ukraine et aux Ukrainiens, le jour où une paix est signée”, à l’issue d’un long travail préparatoire qui est “achevé”, a annoncé mercredi Emmanuel Macron en recevant à Paris le président ukrainien Volodymyr Zelensky.”L’Europe est au rendez-vous, pour la première fois avec ce niveau d’engagement et d’intensité”, a déclaré le président français devant la presse au palais de l’Elysée.”La question maintenant, c’est de savoir la sincérité de la Russie et de ses engagements successifs lorsqu’elle a proposé la paix aux États-Unis d’Amérique”, a-t-il ajouté à la veille d’un sommet de la “coalition des volontaires” prêts à fournir ces garanties, et d’un échange téléphonique avec Donald Trump.La “coalition des volontaires”, coprésidée par Emmanuel Macron et le Premier ministre britannique Keir Starmer, réunit une trentaine de pays, principalement européens, prêts à apporter un soutien à l’armée ukrainienne, voire à déployer des soldats en Ukraine une fois un cessez-le-feu conclu avec Moscou, pour dissuader la Russie de toute nouvelle agression. Plusieurs États européens réclament toutefois un “filet de sécurité” de Washington pour s’impliquer concrètement.”Les contributions qui ont été préparées, documentées, confirmées cet après-midi au niveau des ministres de la Défense, de manière extrêmement confidentielle, me permettent de dire: +voilà , ce travail de préparation est achevé. Il sera maintenant endossé politiquement+”, a expliqué le chef de l’État français.
Plusieurs morts et des blessés graves dans l’accident d’un funiculaire à Lisbonne
Un accident impliquant un funiculaire d’un des quartiers les plus touristiques de Lisbonne a fait plusieurs morts et des blessés graves, a déploré le président portugais dans un communiqué publié mercredi soir.Marcelo Rebelo de Sousa a déploré “profondément” l’accident qui a fait des “victimes mortelles” et des “blessés graves”, sans indiquer précisément le nombre de victimes.D’après des médias locaux, citant les services d’urgence, le wagon du célèbre funiculaire de la Gloria, qui relie la place du Rossio aux quartiers du Bairro Alto et du Principe Real, a déraillé, provoquant au moins trois morts.Les images diffusées en boucle sur les télévisions locales montraient l’important dispositif monté par les pompiers, la police et le service d’urgences médicales au milieu de la rue très inclinée où se trouvait le véhicule, tombé sur le flanc et très endommagé.Cet ascenseur, d’une capacité d’une quarantaine de passagers, est un moyen de transport très apprécié des nombreux touristes qui visitent la capitale portugaise.L’accident s’est produit à 18H05 (heure locale) près de l’avenue de la Liberté et les pompiers s’affairaient encore au sauvetage des personnes.Des sources de la Protection Civile ont indiqué au journal Público qu’une vingtaine de personnes avaient été blessées, dont cinq dans un état critique, mais aucun bilan officiel n’a été diffusé à ce stade.Selon les témoignages recueillis par les médias locaux, le funiculaire aurait été détruit après avoir percuté un bâtiment.Un témoin de l’accident a déclaré à la chaîne SIC qu’elle avait vu le transport descendre “à toute vitesse” sur la pente abrupte où il circule quotidiennement avant de heurter un immeuble.”Il a percuté un bâtiment avec une force brutale et s’est effondré comme une boîte en carton, il n’avait aucun frein”, a raconté cette femme.Le maire de Lisbonne devait s’exprimer devant les médias dans la soirée.