Venezuela: Trump affirme qu’il serait “sage” pour Maduro de partir

Donald Trump a affirmé lundi, dans un avertissement clair, qu’il serait “sage” pour le président vénézuélien Nicolas Maduro de partir, au moment où les Etats-Unis renforcent leur pression sur Caracas.Répondant à un journaliste lui demandant si l’objectif de Washington était de contraindre M. Maduro à quitter le pouvoir, le président américain a répondu: “C’est à …

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Birmanie: Aung San Suu Kyi et Min Aung Hlaing, deux figures des élections

Le général Min Aung Hlaing était à quelques mois de la retraite lorsqu’il a renversé, en février 2021, le gouvernement démocratiquement élu d’Aung San Suu Kyi, lauréate du prix Nobel de la paix en 1991.L’AFP dresse le portrait de ces deux personnages clés des élections législatives organisées par la junte à partir de dimanche.- Aung …

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La Birmanie organise des élections après cinq ans de guerre civile

La junte birmane organise à partir de dimanche des élections législatives qu’elle présente comme une étape vers la réconciliation, près de cinq ans après s’être emparée du pouvoir et avoir déclenché une guerre civile.   L’ancienne cheffe du gouvernement civil Aung San Suu Kyi est en prison depuis le coup d’état militaire de février 2021, qui …

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Markets mostly rise as rate cut hopes bring Christmas cheer

Most markets rose on Tuesday, while gold and silver hit fresh records as optimism for more US interest rate cuts and an easing of AI fears helped investors prepare for the festive break on a positive note.Data showing US unemployment rising and inflation slowing gave the Federal Reserve more room to lower borrowing costs and provided some much-needed pep to markets after a recent swoon.That was compounded by a blockbuster earnings report from Micron Technologies that reinvigorated tech firms.The sector has been the key driver of a surge in world markets to all-time highs this year owing to huge investments in all things artificial intelligence but that trade has been questioned in recent months, sparking fears of a bubble.With few catalysts to drive gains on Wall Street, tech was again at the forefront of buying on Monday, with chip titan Nvidia and Tesla leading the way.”The amount of money being thrown towards AI has been eye-watering,” wrote Michael Hewson of MCH Market Insights.He said the vast sums pumped into the sector “has inevitably raised questions as to how all of this will be financed, when all the companies involved appear to be playing a game of pass the parcel when it comes to cash investment”.”These deals also raise all manner of questions about how this cash will generate a longer-term return on investment,” he added.”With questions now being posed… we may start to get a more realistic picture of who the winners and losers are likely to be, with the losers likely to be punished heavily.”Asian markets enjoyed a bright start, although some stuttered as the day wore on.Sydney, Seoul, Shanghai, Singapore, Taipei, Wellington, Bangkok and Jakarta were all higher, while Tokyo, Mumbai and Manila were flat. Hong Kong dipped.London rose along with Frankfurt but Paris edged down.Precious metals were also pushing ever higher on the back of expectations for more US rate cuts, which makes them more attractive to investors.Bullion jumped to a high above $4,497 per ounce, while silver was just short of $70 an ounce, with the US blockade against Venezuela and the Ukraine conflict adding a geopolitical twist.”The structural tailwinds that have driven both of these to record highs this year persist, be it central bank demand for gold or surging industrial demand for silver,” said Neil Wilson at Saxo Markets.”The latest surge comes after soft inflation and employment readings in the US last week, which reinforced expectations around the Fed’s policy easing next year. Geopolitics remains a factor, too.”On currency markets, the yen extended gains after Japan’s Finance Minister Satsuki Katayama flagged authorities’ powers to step in to support the unit, citing speculative moves in markets.The yen suffered heavy selling after Bank of Japan boss Kazuo Ueda held off signalling another rate hike anytime soon following last week’s increase.”The moves (on Friday) were clearly not in line with fundamentals but rather speculative,” Katayama told Bloomberg on Monday. “Against such movements, we have made clear that we will take bold action, as stated in the Japan–US finance ministers’ joint statement,” she said.Oil prices dipped, having jumped more than two percent Monday on concerns about Washington’s measures against Caracas.The United States has taken control of two oil tankers and is chasing a third, after President Donald Trump last week ordered a blockade of “sanctioned” tankers heading to and leaving Venezuela.- Key figures at around 0815 GMT – Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 50,412.87 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 25,774.14 (close)Shanghai – Composite: UP 0.1 percent at 3,919.98 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,878.86 Dollar/yen: DOWN at 156.10 yen from 156.99 yen on MondayEuro/dollar: UP at $1.1780 from $1.1756Pound/dollar: UP at $1.3498 from $1.3458Euro/pound: DOWN at 87.28 pence from 87.35 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.2 percent at $57.87 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.2 percent at $61.94 per barrelNew York – Dow: UP 0.5 percent at 48,362.68 (close)

La Poste : la cyberattaque “a baissé en intensité” mais “se poursuit”

Le ministre de l’Economie Roland Lescure a affirmé mardi sur BFMTV/RMC que la cyberattaque qui a touché lundi La Poste et ses services en ligne de suivi du courrier et de banque a “baissé en intensité” mais “se poursuit”.”Elle a baissé en intensité mais ça reste une cyberattaque qui se poursuit”, a répondu Roland Lescure à une question sur l’attaque informatique qui a touché les services en ligne de La Poste lundi. La Poste a confirmé à l’AFP que l'”attaque est toujours en cours”.”Aucune donnée personnelle n’a été aspirée”, a par ailleurs déclaré Roland Lescure.”Si vous avez demandé un colis pour Noël, vous n’avez pas aujourd’hui les moyens d’aller voir sur le site où il en est mais le colis, lui, est en train d’arriver”, a-t-il assuré, expliquant que “la priorité des priorités, c’est de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël”.Les postiers “mettent les bouchées doubles pour y arriver et ils me disent que oui, ils vont y arriver”.La cyberattaque intervient au début de la semaine des fêtes de Noël, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, La Poste trie et distribue 180 millions de colis.C’est un “incident de type +déni de service+” selon les termes de La Poste, qui consiste à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Les paiements en ligne de La Banque Postale ne restaient possibles qu’avec une authentification par SMS, a expliqué lundi La Poste, précisant que la distribution du courrier et des colis était aussi affectée.Lundi matin, le groupe BPCE (Banque Populaire, Caisse d’épargne) a lui été victime “d’un dysfonctionnement interne” et “temporaire” sur les applications et les sites internet. 

La Poste : la cyberattaque “a baissé en intensité” mais “se poursuit”

Le ministre de l’Economie Roland Lescure a affirmé mardi sur BFMTV/RMC que la cyberattaque qui a touché lundi La Poste et ses services en ligne de suivi du courrier et de banque a “baissé en intensité” mais “se poursuit”.”Elle a baissé en intensité mais ça reste une cyberattaque qui se poursuit”, a répondu Roland Lescure à une question sur l’attaque informatique qui a touché les services en ligne de La Poste lundi. La Poste a confirmé à l’AFP que l'”attaque est toujours en cours”.”Aucune donnée personnelle n’a été aspirée”, a par ailleurs déclaré Roland Lescure.”Si vous avez demandé un colis pour Noël, vous n’avez pas aujourd’hui les moyens d’aller voir sur le site où il en est mais le colis, lui, est en train d’arriver”, a-t-il assuré, expliquant que “la priorité des priorités, c’est de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël”.Les postiers “mettent les bouchées doubles pour y arriver et ils me disent que oui, ils vont y arriver”.La cyberattaque intervient au début de la semaine des fêtes de Noël, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, La Poste trie et distribue 180 millions de colis.C’est un “incident de type +déni de service+” selon les termes de La Poste, qui consiste à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Les paiements en ligne de La Banque Postale ne restaient possibles qu’avec une authentification par SMS, a expliqué lundi La Poste, précisant que la distribution du courrier et des colis était aussi affectée.Lundi matin, le groupe BPCE (Banque Populaire, Caisse d’épargne) a lui été victime “d’un dysfonctionnement interne” et “temporaire” sur les applications et les sites internet. 

Gazans fear renewed displacement after Israeli strikes

When her children, trembling with fear, ask where the family can go to escape Israel’s continued bombardment in southern Gaza’s Khan Yunis area, Umm Ahmed has no answer.In her small, devastated village near Khan Yunis city, recent Israeli drone and artillery strikes shattered the tenuous sense of peace delivered by a ceasefire that has largely held since October 10.Residents say the strikes have targeted neighbourhoods east of the so-called Yellow Line — a demarcation established under the truce between Israel and Hamas.The Israeli military says its troops are deployed in the area in accordance with the ceasefire framework, accusing Hamas militants of “crossing the Yellow Line and carrying out terrorist activities”.More than two years after Hamas’s October 7 attack on Israel sparked a devastating war, tens of thousands of Gazans still live in tents or damaged homes in these areas, where the Israeli army maintains control and operates checkpoints.Now, many fear being forced from their homes, compelled to move west of the Yellow Line.”We don’t sleep at night because of fear. The bombardments in the east are relentless,” said Umm Ahmed, 40.”My children tremble at every explosion and ask me, ‘Where can we go?’ And I have no answer.”Her home in Bani Suheila has been completely destroyed, yet the family has stayed, pitching a tent beside the ruins.”Staying close to our destroyed home is easier than facing the unknown,” Umm Ahmed said.Crossing the Yellow Line to Al-Mawasi, west of Khan Yunis, is not an option for them.There, makeshift camps stretch as far as the eye can see, housing tens of thousands of Palestinians who fled the fighting.”There is no place left for anyone there, and not enough food or water,” Umm Ahmed said, as Gaza remains trapped in a catastrophic humanitarian crisis.- ‘We will not leave’ -The Israeli military blames continued threats from Hamas militants for its actions in the area.”The IDF’s current operations in Gaza, and their deployment in the Yellow Line area in particular, are carried out to address direct threats from terrorist organisations in Gaza,” the Israeli military said in a statement to AFP.The war in Gaza began with Hamas’s attack on Israel on October 7, 2023 that resulted in the deaths of 1,221 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures.Since the war began, more than 70,000 people have been killed in Gaza, according to the Hamas-run territory’s health ministry. The vast majority of Gaza’s more than two million residents were displaced during the war, many multiple times.A fragile ceasefire has been in place since October 10, though both sides regularly accuse each other of violations.Under the truce, Israeli forces withdrew to positions east of the Yellow Line.Earlier this month, Israeli army chief Lieutenant General Eyal Zamir described the Yellow Line as the “new border line” with Israel.”The Yellow Line is a new border line — serving as a forward defensive line for our communities and a line of operational activity,” he said to reserve soldiers in Gaza.For Palestinian officials, the line is seen as a tool for permanent displacement.”The objective is to frighten residents, expel them from their areas, and force them west,” said Alaa al-Batta, mayor of Khan Yunis, denouncing the bombardments as “violations of the ceasefire agreement”.Mahmud Baraka, 45, from Khuzaa, east of Khan Yunis, described constant artillery fire and home demolitions in the area.”It feels like we are still living in a war zone,” he said.”Explosions happen as if they are right next to us. The objective of the occupation is clear: to intimidate us and drive us out, so the region is emptied.”For now, residents feel trapped between bombardment and displacement, uncertain how long they can endure.Despite the danger, Abdel Hamid, 70, refuses to leave his home located north of Khan Yunis, where he lives with his five children.”We will not leave… this is our land,” he said.”Moving would not be a solution, but yet another tragedy.”bur-az-tgg-jd-glp/ser

Dans un entrepôt robotisé d’Amazon, l’algorithme dicte la cadence des fêtes

Dans son entrepôt de Brétigny-sur-Orge en région parisienne, le géant Amazon tourne à plein régime avant Noël. Non sans pression, les salariés se relaient pour acheminer des centaines de milliers de colis, au rythme des robots et sous le patronage de l’algorithme roi.Votre prochaine commande Amazon n’est pas encore validée, mais l’article est sans doute déjà en chemin, dans le dédale automatisé de l’entrepôt de Brétigny ou d’un autre centre logistique de la plateforme américaine. Grâce à l’intelligence artificielle (IA), Amazon analyse les tendances pour prédire quels articles seront commandés puis optimise les flux pour stocker et enfin livrer le client au plus vite.Selon les produits, il sera encore possible de commander mercredi pour avoir le cadeau sous le sapin. Pour le promettre, Amazon compte sur cette fourmilière au sud-est de Paris, où plusieurs centaines de milliers d’articles transitent chaque jour. Dans ce premier site robotisé d’Amazon en France, construit en 2019, jusqu’à un million de colis sont gérés en 24 heures, avec “en cette période de pic d’activité, 33% d’articles en plus”, explique à l’AFP le directeur des lieux, Jean-Stéphane Phinera-Horth.Sous la lumière artificielle et le vrombissement des machines, c’est bouchons aux oreilles qu’il explique faire appel à 1.700 saisonniers en CDD pour prêter main forte aux 4.500 salariés. Jour et nuit, sept jours sur sept, ils répondent à la demande frénétique de consommation entre le Black Friday et Noël.- 4.000 robots autonomes -Des articles entrent par cartons ou sur des palettes, ils ressortent individualisés, emballés, étiquetés, prêts à être distribués. Dans l’intervalle, ils sont trimballés, selon des règles d’optimisation décidées par l’algorithme, sur dix kilomètres de tapis roulants coupant l’espace en large et en travers, sur trois niveaux de 70.000 m2 chacun.Les 2e et 3e étages composent le “cœur technologique” du réacteur, sourit M. Phinera-Horth. “C’est là que vous avez toute la zone de stockage. Vous avez 40.000 armoires qui sont transportées par 4.000 unités autonomes d’un point A à un point B.”Il faut s’imaginer un immense hangar où les rayonnages ne sont pas fixés au sol, comme dans un supermarché, mais attendent d’être portés par des sortes d’aspirateurs-robots. Ces machines courtes sur pattes suivent des QR codes au sol, le long d'”autoroutes” et d'”allées”, passent sous les armoires, collées les unes aux autres, avant d’en cueillir une pour l’acheminer. Un ballet millimétré.Sur cet échiquier géant, les humains ne rentrent pas, sauf pour réparer des robots ou ramasser des articles tombés. Ils attendent que l’armoire vienne à eux. Un ordinateur leur dit alors quels produits ils doivent déposer, ou à l’inverse récupérer, et ce dans quel compartiment de l’armoire. Là des éponges partagent un espace avec du dentifrice, ici des jouets avec des biscuits.- “Chantage” et “pression” -Alexandre, 24 ans, est salarié ici depuis trois ans. Il fait partie d’une rotation entre les différents postes de la chaîne. Ce jour-là, il doit prendre des produits et les ranger dans les armoires jaunes qui viennent à lui. Debout, de 13H20 à 20H50, avec une pause de 16H30 à 17H.”C’est fatigant, au niveau du dos surtout, ce sont des mouvements répétitifs”, concède-t-il, sans vouloir s’étendre sur les conditions de travail.D’autres salariés croisés, habillés de doudoune et bonnet Force ouvrière, sont plus causants. S’ils reconnaissent des avancées technologiques au service des salariés et une bonne gestion du pic d’activité, Teoman Sarica et Nathan Ouayekolo, délégués syndicaux, regrettent une “pression” et un “chantage” des managers.De nombreux salariés signent des “avenants” à leur contrat initial afin de travailler la nuit ou le week-end, des postes mieux payés. Or ces délégués syndicaux affirment que si un salarié n’est pas assez productif, la direction utilise le renouvellement des avenants comme levier. Un retour vers des horaires de jour en semaine peut parfois être brusque. Des méthodes qu’ils qualifient de “pression psychologique”.Ces méthodes, niées par la direction, seront l’un des sujets de discussion, avec les salaires et la sécurité, lors des négociations annuelles qui commenceront en février. D’ici là, les colis de millions de Français seront passés entre les mains de ces employés.