YouTuber Paul cruises past Chavez Jr
YouTuber-turned-boxer Jake Paul cruised to victory over Mexico’s Julio Cesar Chavez Jr on Saturday in a one-sided cruiserweight bout in California.Paul, whose last fight was a controversial clash with 58-year-old former heavyweight champion Mike Tyson in November, dominated from the outset to win by unanimous decision. The 28-year-old influencer, who has earned millions from a string of lucrative contests in a ring career that has spanned 13 fights, had too much speed and power for Chavez Jr.The three judges at ringside scored the 10-round fight 99-91, 97-93, 98-92 in Paul’s favour.Chavez Jr, the 39-year-old son of Mexican boxing great Julio Cesar Chavez, barely looked capable of mustering a response during a one-sided bout.Chavez Jr failed to land a single punch in the opening round, a pattern that followed the remainder of the contest, with Paul easily outscoring the veteran of 63 professional fights.Paul, who reportedly pocketed around $40 million for his made-for-Netflix fight with Tyson last year, received around $300,000 guaranteed from Saturday’s bout.However the American is expected to earn around $8-10 million from the fight once earnings from pay-per-view and sponsorships are taken into account.
Mondial des clubs: Chelsea écarte Benfica au terme d’un scénario fou
Au bout d’une partie interminable, suspendue durant plus de deux heures pour prévenir un orage, et au scénario incroyable, Chelsea a arraché sa qualification pour les quarts de finale du Mondial des clubs en battant largement le Benfica Lisbonne 4-1 après prolongation, samedi à Charlotte.Les quelque 20.000 spectateurs présents dans le Bank of America Stadium se souviendront longtemps de ce match, qui a défié toutes les prévisions.Alors que les Blues se dirigeaient tranquillement vers le prochain tour après un but inscrit sur coup franc par Reece James (64e), la rencontre a soudainement basculé dans l’irréel avec la décision de l’arbitre de la suspendre à seulement 5 minutes de la fin du temps réglementaire en vertu des protocoles de sécurité en vigueur aux Etats-Unis quand des coups de tonnerre sont détectés dans un rayon de 8 miles (13 km).Le plus fou restait à venir. Après deux heures d’attente sans aucune goutte de pluie, le jeu a fini par reprendre mais Benfica, pourtant totalement dominé avant cette longue pause, est parvenu à égaliser dans la foulée contre toute attente sur un penalty transformé par Angel Di Maria pour une faute de main dans la surface de réparation du défenseur français Malo Gusto (90e+5). L’exclusion au tout début de la prolongation du Lisboète Gianluca Prestianni (92e) a encore accentué le caractère insensé de cette fin de partie. Un carton rouge fatal à Benfica qui a alors totalement craqué, encaissant trois buts en rafale par Christopher Nkunku (108e), Pedro Neto (114e) puis Kiernan Dewsbury-Hall (117e).Les Blues ont ainsi prolongé leur séjour américain après ce match à rebondissements et peuvent désormais voir encore plus loin puisqu’ils seront favoris au moment de défier les Brésiliens de Palmeiras, vendredi à Philadelphie, pour une place en demi-finales. De quoi embellir encore un peu plus une saison marquée par leur succès en Ligue Conférence et une 4e place en Premier League, synonyme de billet pour la prochaine Ligue des champions.Malgré la victoire, l’entraîneur des Blues Enzo Maresca s’est agacé de la quantité de rencontres suspendues en raison de la météo, bien qu’il puisse “comprendre les raisons de sécurité”.”Cela fait déjà (six) matches interrompus ici (…) Ce n’est pas du football” mais une “plaisanterie”, a critiqué l’Italien, estimant que de telles perturbations “signifient que ce n’est probablement pas le bon endroit pour organiser cette compétition”.- Les adieux de Di Maria -De son côté, Benfica est apparu trop timide et trop limité pour lutter contre les Londoniens, loin de la belle résistance opposée au Bayern Munich au premier tour (victoire 1-0) et de son parcours honorable en C1, conclu après un 8e de finale à suspense face au FC Barcelone.    Cette élimination marque également la fin de l’histoire d’Angel Di Maria à Lisbonne. Le champion du monde argentin, âgé de 37 ans et nanti d’un palmarès exceptionnel, avait annoncé son départ à l’issue du tournoi de Benfica, où il était revenu en 2023, et va rentrer au pays pour retrouver Rosario Central, là où il avait débuté sa longue carrière professionnelle en 2005. Le succès de Chelsea a été long à se concrétiser en raison de la météo mais reste logique, l’équipe londonienne ayant globalement survolé les débats en s’appuyant sur ses deux principaux atouts offensifs, Pedro Neto et Cole Palmer, son véritable leader technique.Les Blues ont aussi souvent buté sur l’excellent gardien de Benfica. Déjà décisif face au Bayern, l’Ukrainien Anatolii Trubin a multiplié les parades et a longtemps repoussé l’échéance.  Mais le malheureux Trubin, déjà fautif sur le coup franc excentré de Reece James au premier poteau, a été abandonné en prolongation par sa défense et ses coéquipiers, en infériorité numérique. Un dénouement cruel pour le portier de Benfica mais qui a fait finalement la joie de Chelsea.”Ça fait mal, ça fait très mal car nous étions venus avec l’envie de donner une belle prestation (…) Malheureusement, nous n’avons pas contrôlé le début des prolongations avec l’expulsion à la première minute”, a réagi l’entraîneur des Portugais, Bruno Lage.
Trump metal tariffs wreak havoc on US factory
In the sweltering US summer, metal containers decorated with snowmen and sleighs are taking shape — but tempers are also rising as their manufacturer grapples with President Donald Trump’s steep steel tariffs.At Independent Can’s factory in Belcamp, Maryland northeast of Baltimore, CEO Rick Huether recounts how he started working at his family’s business at age 14.Huether, now 73, says he is determined to keep his manufacturing company afloat for generations to come. But Trump’s tariffs are complicating this task.”We’re living in chaos right now,” he told AFP.Since returning to the presidency in January, Trump imposed tariffs of 25 percent on imported steel and aluminum — and then doubled the rate to 50 percent.This has weighed on operations at Independent Can, and Huether expects he eventually will have to raise prices.- Not enough tinplate -With the steady beat of presses, steel plates that have been coated with tin — to prevent corrosion — are turned into containers for cookies, dried fruit, coffee and milk powder at Huether’s factory.But there is not enough of such American-made tinplate for companies like his.”In the United States, we can only make about 25 percent of the tinplate that’s required to do what we do,” in addition to what other manufacturers need, Huether said.”Those all require us to buy in the neighborhood of 70 percent of our steel outside of the United States,” he added.While Huether is a proponent of growing the US manufacturing base, saying globalization has “gone almost a little bit too far,” he expressed concern about Trump’s methods.Trump has announced a stream of major tariffs only to later back off parts of them or postpone them, and also imposed duties on items the country does not produce.For now, Independent Can — which employs nearly 400 people at four sites — is ruling out any layoffs despite the current upheaval.But Huether said one of the company’s plants in Iowa closed last year in part because of a previous increase in steel tariffs, during Trump’s first presidential term.- Price hikes -With steel tariffs at 50 percent now, Huether expects he will ultimately have to raise his prices by more than 20 percent, given that tinplate represents a part of his production costs.Some buyers have already reduced their orders this year by 20 to 25 percent, over worries about the economy and about not having enough business themselves.Others now seem more inclined to buy American, but Huether expressed reservations over how long this trend might last, citing his experiences from the Covid-19 crisis. “During the pandemic, we took everybody in. As China shut down and the ports were locked up, our business went up 50 percent,” he explained.But when the pandemic was over, customers turned back to purchasing from China, he said.”Today if people want to come to us, we’ll take them in,” he said, but added: “We need to have a two-year contract.”Huether wants to believe that his company, which is almost a century old after being founded during the Great Depression, will weather the latest disruptions.”I think that our business will survive,” he said, but added: “It’s trying to figure out what you’re going to sell in the next six months.”
Mondial des clubs: Palmeiras force le verrou Botafogo et passe en quart
Palmeiras, plus entreprenant que Botafogo (1-0 a.p.), s’est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe du monde des clubs, samedi au Lincoln Financial Field de Philadelphie, loin d’être rempli pour cette affiche plus fado que samba entre Brésiliens.La délivrance pour l’équipe de Sao Paulo est venue à la 100e minute, par l’intermédiaire de l’attaquant Paulinho, auteur d’un exploit personnel. Son prochain adversaire au prochain tour sera un club européen, Chelsea, qui a aussi eu besoin d’une prolongation pour écarter Benfica (4-1).Ces deux clubs emblématiques du championnat brésilien en ont vu passer des anciennes gloires, pour certaines entrées dans la légende de la Seleçao, les Garrincha, Jairzinho, Didi, Mario Zagalo, Leonidas, sous le maillot rayé noir et blanc de Botafogo; les Vava, Roberto Carlos, Rivaldo, Juninho, Ademir sous celui vert foncé de Palmeiras.Leur évocation laissait poindre l’espoir d’assister à un peu de jogo bonito, mais sur la pelouse brûlante du Lincoln Field Stadium on n’y a pas vraiment eu droit. Jusqu’au but de Paulinho, seule la pépite Estevao avait allumé quelques étincelles pour Palmeiras, sans faire toutefois naître le feu.Car Botafogo s’est distingué, comme il l’avait fait avec plus de succès face au Paris SG (1-0), par sa solidité défensive digne d’un “catenaccio” italien des années 1990, et Palmeiras a longtemps peiné à se montrer dangereux malgré ses intentions offensives louables.- Mérité pour Palmeiras -Il a fallu attendre le temps additionnel de la première période pour voir le milieu colombien Richard Rios allumer la première grosse mèche d’un tir puissant à l’entrée de la surface mais John a effleuré le ballon, envoyé en corner (45+5).En seconde période, le jeune Estevao, 18 ans, a encore sollicité le gardien (47e), avant même de marquer en deux temps (50e) mais il était en position de hors-jeu au départ.Palmeiras a encore poussé, sans que Mauricio de la tête ne trompe la vigilance de John (73e), encore à la parade dans la prolongation pour détourner un missile de Richard Rios (96e), mais finalement impuissant sur le tir placé de Paulinho, qui s’était infiltré d’un crochet subtil entre deux défenseurs dans la surface (100e).Sous les yeux de son propriétaire américain John Textor, bien loin de Lyon où il est devenu persona non grata depuis l’annonce de la relégation en Ligue 2 de l’OL, décidée par le gendarme financier du football professionnel français (DNCG) et qui suscite la colère des supporteurs, Botafogo s’est alors enfin jeté à l’attaque dans la prolongation.Et il s’en est fallu de pas grand-chose pour que l’égalisation se produise, quand Vitinho, oublié au second poteau, a repris un coup franc. Les filets ont tremblé, mais du mauvais côté, et tout Palmeiras avec (115e). Il y a eu aussi cet ultime cafouillage dans la surface après un corner, mais Weverton a pu attraper le ballon (120+5).Palmeiras a tenu bon sa qualification. “Nous l’avons méritée, parce que nous avons travaillé dur. Je tiens à féliciter les joueurs pour tous leurs efforts”, a réagi leur entraîneur Abel Ferreira.