Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella se sont rencontrés mardi à l’initiative de l’ex-président

Nicolas Sarkozy a rencontré mardi matin Jordan Bardella, dans les bureaux parisiens de l’ancien président, a-t-on appris de leurs entourages respectifs, confirmant une information du Parisien.Le rendez-vous a eu lieu à l’initiative de l’ex-chef de l’Etat, envers lequel M. Bardella a exprimé à plusieurs reprises une forme d’admiration pour sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.Selon l’entourage du leader d’extrême droite, il s’agissait d'”un échange courtois et chaleureux sur la situation politique et l’avenir de la France”.”Marine Le Pen était au courant de ce rendez-vous”, a encore souligné la même source.Le rendez-vous n’avait “aucun sens politique”, “il s’agissait d’un moment humain”, “très cordial”, lors duquel les deux personnalités ont “parlé de la France”, a pour sa part fait valoir l’entourage de Nicolas Sarkozy.Dans son livre paru à l’automne “Ce que je cherche” (Fayard), Jordan Bardella avait notamment estimé que “l’idée de réunir dans un même élan les Français issus des classes populaires et une partie de la bourgeoisie conservatrice comme Nicolas Sarkozy le fit en 2007 est pertinente”.Le président du RN avait tourné une vidéo un an plus tôt dans son bureau, en mettant en évidence au-dessus d’une pile de dossiers les mémoires de M. Sarkozy, “Le temps des combats” (Fayard).Mi-juin, Jordan Bardella avait par ailleurs exprimé son “sentiment” qu'”il y a une volonté” d’humilier l’ex-chef de l’Etat après que sa légion d’honneur lui avait été retirée en raison de sa condamnation définitive à un an d’emprisonnement ferme dans l’affaire dite Bismuth.Nicolas Sarkozy, toujours membre du parti Les Républicains, y avait été “sensible”, a rappelé mardi son entourage.

Chantage sur Karine Le Marchand: Mimi Marchand condamnée à 18 mois de prison avec sursis

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mardi la papesse de la presse people Mimi Marchand à une peine de 18 mois de prison avec sursis pour avoir exercé un chantage contre l’animatrice Karine Le Marchand avec des photos volées de sa fille mineure.Michèle dite Mimi Marchand, présente pour écouter la décision, a également été condamnée à 25.000 euros d’amende. Les infractions ont été permises grâce au “réseau” de la puissante patronne de l’agence Bestimage, qui a “joué” de son carnet d’adresses pour s'”attirer des faveurs par tous les moyens”, pour “s’enrichir”, “au mépris des victimes” et “avec une certaine mesquinerie”, lui a dit la présidente.”Mimi Marchand a été condamnée pour une infraction d’extorsion qui n’est caractérisée ni juridiquement ni matériellement d’autant que le tribunal a reconnu qu’elle n’avait en aucun cas sollicité d’argent, nous allons donc immédiatement interjeter appel”, a déclaré son avocate Caroline Toby à la presse en sortant de la salle d’audience.Karine Le Marchand n’était pas présente pour la décision mais son avocat Jean Ennochi a jugé qu’elle était “satisfaisante”.La peine est plus lourde que celle réclamée à l’issu du procès le mois dernier par le parquet, qui avait requis un an de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende à l’encontre de Mimi Marchand.En février 2020, elle avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre des photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. Elle l’avait rassurée, disant les avoir “bloquées” en donnant 3.000 euros au photographe.A la barre, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” -les images avaient été faites par l’un de ses paparazzi habituels, Sébastien Valiela. “Merci Mimi”, avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.Le tribunal a condamné Mimi Marchand à payer ces 1.600 euros à Karine Le Marchand car “peu importe qu’un remboursement n’est pas explicitement été demandé” à partir du moment où Mimi Marchand a accepté l’argent, a dit le tribunal.Elle devra aussi payer 1.500 euros à l’animatrice en réparation du “préjudice moral constitué par la crainte et le stress vécu pendant six mois”. 

Chantage sur Karine Le Marchand: Mimi Marchand condamnée à 18 mois de prison avec sursis

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mardi la papesse de la presse people Mimi Marchand à une peine de 18 mois de prison avec sursis pour avoir exercé un chantage contre l’animatrice Karine Le Marchand avec des photos volées de sa fille mineure.Michèle dite Mimi Marchand, présente pour écouter la décision, a également été condamnée à 25.000 euros d’amende. Les infractions ont été permises grâce au “réseau” de la puissante patronne de l’agence Bestimage, qui a “joué” de son carnet d’adresses pour s'”attirer des faveurs par tous les moyens”, pour “s’enrichir”, “au mépris des victimes” et “avec une certaine mesquinerie”, lui a dit la présidente.”Mimi Marchand a été condamnée pour une infraction d’extorsion qui n’est caractérisée ni juridiquement ni matériellement d’autant que le tribunal a reconnu qu’elle n’avait en aucun cas sollicité d’argent, nous allons donc immédiatement interjeter appel”, a déclaré son avocate Caroline Toby à la presse en sortant de la salle d’audience.Karine Le Marchand n’était pas présente pour la décision mais son avocat Jean Ennochi a jugé qu’elle était “satisfaisante”.La peine est plus lourde que celle réclamée à l’issu du procès le mois dernier par le parquet, qui avait requis un an de prison avec sursis et 20.000 euros d’amende à l’encontre de Mimi Marchand.En février 2020, elle avait alerté l’animatrice de “L’amour est dans le pré” qu’un “jeune” photographe inconnu avait tenté de lui vendre des photos de sa fille mineure sortant de garde à vue. Elle l’avait rassurée, disant les avoir “bloquées” en donnant 3.000 euros au photographe.A la barre, Mimi Marchand a reconnu avoir “menti” -les images avaient été faites par l’un de ses paparazzi habituels, Sébastien Valiela. “Merci Mimi”, avait répondu soulagée Karine Le Marchand, avant de “rembourser” une première partie de l’argent avancé, 1.600 euros.Le tribunal a condamné Mimi Marchand à payer ces 1.600 euros à Karine Le Marchand car “peu importe qu’un remboursement n’est pas explicitement été demandé” à partir du moment où Mimi Marchand a accepté l’argent, a dit le tribunal.Elle devra aussi payer 1.500 euros à l’animatrice en réparation du “préjudice moral constitué par la crainte et le stress vécu pendant six mois”. 

US Senate push to pass Trump’s unpopular spending bill enters second day

Republican senators struggled Tuesday for a second day to pass President Donald Trump’s flagship spending bill, which would slash welfare programs for the poor while adding an eye-watering $3 trillion to the national debt.The president wants his “One Big Beautiful Bill” — which polls show is wildly unpopular among Americans — to extend his expiring first-term tax cuts at a cost of $4.5 trillion.Spending will be ramped up for the military and Trump’s project for mass deportations of undocumented migrants and border security.To pay for that, Republican senators are seeking to force through draconian cuts to the social safety net and gutting of clean energy and electric vehicle subsidies — a factor triggering a bitter public feud between Trump and Tesla founder and mega-donor Elon Musk.Around $1 trillion in subsidized health care would be stripped from millions of the poorest Americans. And even with the spending cuts, the bill would still add more than $3.3 trillion to the nation’s already yawning budget deficits over a decade.Trump wants the package on his desk by Independence Day on Friday.Its journey through the Republican-controlled Senate has been at a glacial pace, however, as senators held a so-called “vote-a-rama” — a session allowing members to offer unlimited amendments before a bill can move to final passage.That began Monday, and was still grinding on Tuesday morning.”It’s tough,” Trump told reporters at the White House before leaving to visit a migrant detention center in Florida. “We’re going to get there.”Even if the bill squeaks through the Senate, it still needs a vote in the House of Representatives, where Democrats are again uniformly opposed and several rebels in the slim Republican majority threaten to oppose.- ‘Money to be saved’ -Trump’s insistence on the bill has put the more vulnerable Republicans in a difficult position.Polls show the bill is among the most unpopular ever considered across multiple demographic, age and income groups. Democrats expect to leverage public anger — particularly over the health care cuts — in 2026 midterm elections when they hope to retake the House.Studies show the bill would ultimately pave the way for a historic redistribution of wealth from the poorest 10 percent of Americans to the richest.Cuts to the Medicaid program — which helps low-income Americans get coverage — as well as the Affordable Care Act would see nearly 12 million more uninsured people by 2034 in a country with notoriously expensive health care, independent analysis shows.Senate Democrats have focused their amendments on highlighting the threats to health care, as well as cuts to federal food aid programs and clean energy tax credits.Many Republicans have shown discomfort. Fiscal hawks believe that spending cuts should go even deeper, while moderates are alarmed at the impacts in their own states.Republican Senate Majority Leader John Thune can only lose one more vote to get a win, with conservative Rand Paul and moderate Thom Tillis already on the record as Republican rebels.The bill has also reignited the feud between Trump and his former adviser-turned-critic Musk, the world’s richest person.Musk — who already had an acrimonious public falling out with the president this month over the bill — has repeatedly slammed its cost, and Monday renewed his calls for the formation of a new political party as voting got underway.Trump, in turn, threatened the government subsidies to Musk’s cutting-edge companies SpaceX and Tesla.”Elon may get more subsidy than any human being in history, by far, and without subsidies, Elon would probably have to close up shop and head back home to South Africa,” he posted on Truth Social early Tuesday.”No more Rocket launches, Satellites, or Electric Car Production, and our Country would save a FORTUNE,” he threatened. “BIG MONEY TO BE SAVED!!!”

La ligne ferroviaire Paris-Milan en souffrance face aux conséquences du changement climatique

Symbole de la difficile adaptation des infrastructures au changement climatique, la ligne ferroviaire Paris-Milan est coupée depuis lundi en raison d’une coulée de boue dans les Alpes françaises, tout juste trois mois après sa réouverture en grande pompe après 19 mois d’interruption.Cette fois-ci, c’est un orage violent provoqué par les fortes chaleurs qui est responsable du sinistre. Les pluies ont provoqué une coulée de boue recouvrant les voies en gare de Modane (Savoie), dernière ville desservie avant la frontière italienne, ainsi qu’une crue historique d’un torrent de la vallée de la Maurienne.Fin août 2023, un autre épisode d’intenses précipitations après une période de sécheresse avait provoqué un éboulement gigantesque, le plus important depuis 1978 pour le réseau SNCF, coupant la ligne dans cette vallée savoyarde pendant plus d’un an et demi.La zone, identifiée depuis longtemps par SNCF Réseau comme géologiquement fragile, devient le symbole du défi de l’adaptation au changement climatique auquel est confronté le gestionnaire d’infrastructure ferroviaire.Plus aucun train ne peut rouler entre les gares de Saint-Michel-Valloire et Modane, coupant ainsi la seule liaison pour les trains à grande vitesse entre la France et l’Italie. – Végétation et pluie -SNCF Voyageurs et Trenitalia, qui exploitent à eux deux cinq allers-retours par jour entre Paris et Milan, ont été contraints d’interrompre leur service.Le nettoyage, débuté mardi matin, et la décrue, doivent permettre de dégager la voie pour constater l’étendue des dégâts et déterminer la durée de l’interruption.Le sujet de l’adaptation au changement climatique a été élevé au rang de priorité il y a environ trois ans chez SNCF Réseau.L’entreprise publique travaille avec des scientifiques pour appliquer des modèles climatiques et évaluer les vulnérabilités de l’infrastructure. Le but est de se projeter dans une France réchauffée de 2,7 degrés d’ici 2050 et même 4 degrés en 2100, en s’appuyant sur la trajectoire de référence adoptée par le gouvernement français.A l’heure actuelle, deux grandes menaces ont été identifiées: la végétation, qui pousse davantage avec un climat plus chaud, et les précipitations, qui entraînent inondations et retrait-gonflement d’argile dans les sols, endommageant les rails.La végétation nécessite une taille plus régulière – d’autant plus avec l’abandon du glyphosate – et attire en plus du gibier, parfois percuté par les trains. – Dégâts considérables -Les crues et pluies diluviennes provoquent des dégâts considérables, comme en octobre lors du passage de la tempête Leslie qui a entrainé l’interruption des trains entre Lyon et Saint-Etienne (centre-est de la France) empruntés par 20.000 passagers par jour pendant près de trois semaines.Le problème est mondial. Début novembre, les trains à grande vitesse entre Madrid et Valence n’ont pas pu rouler pendant 15 jours après les inondations catastrophiques qui ont touché Valence le 29 octobre. La chaleur peut aussi engendrer des perturbations en raison de la dilatation des rails et des caténaires, conduisant à réduire la vitesse des trains, ou parfois même à des ruptures caténaires avec à la clef de longues interruptions de circulation.Mardi, SNCF Réseau a toutefois indiqué ne pas avoir mis en place de mesure de réduction de vitesse.  L’orage en vallée de Maurienne a également endommagé plusieurs habitations, commerces et bâtiments publics, une centaine de caves ayant été inondées. Côté axes routiers, après plusieurs fermetures en soirée, seule une départementale restait fermée mardi.Dans les Hautes-Alpes, la commune de Val-des-Prés, dans le Briançonnais, a été touchée: sept habitations et une partie du camping ont été inondés, selon les pompiers, et une route nationale coupée par des coulées de boue.

La ligne ferroviaire Paris-Milan en souffrance face aux conséquences du changement climatique

Symbole de la difficile adaptation des infrastructures au changement climatique, la ligne ferroviaire Paris-Milan est coupée depuis lundi en raison d’une coulée de boue dans les Alpes françaises, tout juste trois mois après sa réouverture en grande pompe après 19 mois d’interruption.Cette fois-ci, c’est un orage violent provoqué par les fortes chaleurs qui est responsable du sinistre. Les pluies ont provoqué une coulée de boue recouvrant les voies en gare de Modane (Savoie), dernière ville desservie avant la frontière italienne, ainsi qu’une crue historique d’un torrent de la vallée de la Maurienne.Fin août 2023, un autre épisode d’intenses précipitations après une période de sécheresse avait provoqué un éboulement gigantesque, le plus important depuis 1978 pour le réseau SNCF, coupant la ligne dans cette vallée savoyarde pendant plus d’un an et demi.La zone, identifiée depuis longtemps par SNCF Réseau comme géologiquement fragile, devient le symbole du défi de l’adaptation au changement climatique auquel est confronté le gestionnaire d’infrastructure ferroviaire.Plus aucun train ne peut rouler entre les gares de Saint-Michel-Valloire et Modane, coupant ainsi la seule liaison pour les trains à grande vitesse entre la France et l’Italie. – Végétation et pluie -SNCF Voyageurs et Trenitalia, qui exploitent à eux deux cinq allers-retours par jour entre Paris et Milan, ont été contraints d’interrompre leur service.Le nettoyage, débuté mardi matin, et la décrue, doivent permettre de dégager la voie pour constater l’étendue des dégâts et déterminer la durée de l’interruption.Le sujet de l’adaptation au changement climatique a été élevé au rang de priorité il y a environ trois ans chez SNCF Réseau.L’entreprise publique travaille avec des scientifiques pour appliquer des modèles climatiques et évaluer les vulnérabilités de l’infrastructure. Le but est de se projeter dans une France réchauffée de 2,7 degrés d’ici 2050 et même 4 degrés en 2100, en s’appuyant sur la trajectoire de référence adoptée par le gouvernement français.A l’heure actuelle, deux grandes menaces ont été identifiées: la végétation, qui pousse davantage avec un climat plus chaud, et les précipitations, qui entraînent inondations et retrait-gonflement d’argile dans les sols, endommageant les rails.La végétation nécessite une taille plus régulière – d’autant plus avec l’abandon du glyphosate – et attire en plus du gibier, parfois percuté par les trains. – Dégâts considérables -Les crues et pluies diluviennes provoquent des dégâts considérables, comme en octobre lors du passage de la tempête Leslie qui a entrainé l’interruption des trains entre Lyon et Saint-Etienne (centre-est de la France) empruntés par 20.000 passagers par jour pendant près de trois semaines.Le problème est mondial. Début novembre, les trains à grande vitesse entre Madrid et Valence n’ont pas pu rouler pendant 15 jours après les inondations catastrophiques qui ont touché Valence le 29 octobre. La chaleur peut aussi engendrer des perturbations en raison de la dilatation des rails et des caténaires, conduisant à réduire la vitesse des trains, ou parfois même à des ruptures caténaires avec à la clef de longues interruptions de circulation.Mardi, SNCF Réseau a toutefois indiqué ne pas avoir mis en place de mesure de réduction de vitesse.  L’orage en vallée de Maurienne a également endommagé plusieurs habitations, commerces et bâtiments publics, une centaine de caves ayant été inondées. Côté axes routiers, après plusieurs fermetures en soirée, seule une départementale restait fermée mardi.Dans les Hautes-Alpes, la commune de Val-des-Prés, dans le Briançonnais, a été touchée: sept habitations et une partie du camping ont été inondés, selon les pompiers, et une route nationale coupée par des coulées de boue.

England captain Stokes relishing Pant battle in India series

England captain Ben Stokes said Tuesday he “absolutely loves” watching Rishabh Pant play cricket even when he’s on the receiving end of the India star’s outrageous stroke-play.Pant became only the second wicketkeeper in Test history to score hundreds in both innings of a match against England at Headingley, although his heroics were unable to prevent a five-wicket defeat last week that left the hosts 1-0 up in a five-match contest.The 27-year-old Pant made his intentions clear when he charged down the pitch to just the second ball he faced in Leeds and straight drove Stokes for four — a shot that brought an admiring grin from the England skipper.Stokes, well capable of aggressive batting himself, expects more fireworks from Pant, even if he hopes to limit the Indian’s runs after scores of 134 and 118.”Even though he’s my opposition, I absolutely love watching Rishabh play cricket,” Stokes told reporters in a pre-match press conference on the eve of the second Test at Edgbaston starting Wednesday. “I love the way he takes it on in all formats of the game. He’s got a bit of stick in his time, but that type of talent, when you let that type of talent be free, that’s what happened last week. “When you look back on last week and credit to him, two hundreds in the game, we know we’re going to get our chances with the way that Rishabh plays. On a different day, it could have looked a little bit different if one of those had gone straight to hand. “He’s a very dangerous player. We know what he brings to the Indian team, but I really enjoy watching Rishabh play cricket.”Stokes, asked if he was prepared for more of the same in Birmingham, replied: “I don’t think there’s going to be much change in the way that Rishabh takes it on.”- ‘More pressure on India’ -A relatively youthful India team, with new captain Shubman Gill leading from the front with a century, were competitive for much of the time at Headingley in a match England won after pulling off the tenth-highest chase in Test history by scoring 371.But batting collapses of 7-41, after they had been 430-3, and 6-31, from 333-4, proved costly for India in Leeds.”They are a good team,” said Stokes on Tuesday. “They always fight hard, come hard, a very passionate team.”No cricket team faces such intense scrutiny as India, who have now lost seven of their 11 Tests under coach Gautam Gambhir, given the mass enthusiasm for the sport in the world’s most populous nation.”I think it’s pretty clear that there’s always pressure on the shoulders of international sportsmen,” said Stokes. “But playing for India, especially in cricket, there’s probably a bit more of it than any other nation. But we don’t take anything for granted from last week.”We tried to put in a performance there (Headingley). Hopefully, we can put one in here that take us to 2-0 this week.”