Stocks climb as strong US jobs data pushes off rate hike

Stock markets rose and the dollar slid Thursday as strong jobs data showed the resilience of the US economy and reduced the likelihood of interest rate cuts.Investors were also keeping a close eye on President Donald Trump’s bid to push through a tax-cutting budget and reach trade deals.London’s stock market and the pound recovered, having taken a knock Wednesday on rumours that British finance minister Rachel Reeves faced losing her job.Oil prices fell, with OPEC and the cartel’s crude-producing allies expected to announce a rise to output Sunday.Investors had been keenly awaiting the US government’s monthly non-farm payrolls report, seen as one of the best data points on the health of companies and the labour market.Job growth came in at 147,000 last month, beating expectations, and rising from an upwardly revised 144,000 figure in May.”The much stronger non-farm payrolls data means a July rate cut is now no longer in consideration, which is music to stock market bulls’ ears,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.Wall Street’s main indices opened higher, the S&P 500 and Nasdaq Composite pushing up from record closes.”But with the July 9 tariff deadline looming next week, can stocks retain their gains ahead of the long weekend?,” added Razaqzada.US markets are closed on Friday for US Independence Day celebrations, but negotiators from several nations are racing to reach trade deals with Washington ahead of the deadline imposed by Trump.Thursday’s jobs numbers comes one day after a smaller survey showed the US private sector unexpectedly shed jobs last month for the first time since March 2023. That suggested that the US economy was beginning to be hit by the uncertainty caused by Trump’s trade war.Wednesday’s data boosted speculation that the Federal Reserve could cut US interest rates three times this year, with one possibly at the July meeting.But Razaqzada said Thursday’s jobs data ruled out chances of a July cut and a September cut “is now even questionable”.He said investors’ focus was likely to shift to trade talks.The announcement of a US-Vietnam trade deal on Wednesday drew only a muted response.While the pact provided hope that other governments could reach agreements with Washington, dealers were cautious as it emerged that Vietnam must still pay levies of as much as 40 percent for certain exports.The deal means Hanoi will avoid paying the 46-percent levies applied on the April 2 tariff blitz, though the cost of goods going into America will still surge.The stock exchanges in Ho Chi Minh City and Hanoi both dipped Thursday.With less than a week left until Trump’s July 9 deadline to avoid his “reciprocal” levies, in addition to Vietnam only Britain and China have reached preliminary deals.Trump has said he will not push back his deadline to make more deals, though he and some of his officials have said a number were in the pipeline.Elsewhere, US Treasury yields rose amid fresh worries in the bond market over Trump’s “Big, Beautiful Bill” that aims to cut taxes and spending on programmes such as Medicaid.Independent analysis suggests the budget will add $3 trillion to the already-colossal US debt mountain, which observers warn could deal a fresh blow to the world’s top economy.- Key figures at around 1330 GMT -New York – Dow: UP 0.2 percent at 44,580.68 pointsNew York – S&P 500: UP 0.4 percent at 6,252.39  New York – Nasdaq Composite: UP 0.6 percent at 20,519.86 London – FTSE 100: UP 0.4 percent at 8,812.82 Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 7,752.87Frankfurt – DAX: UP 0.3 percent at 23,861.11Tokyo – Nikkei 225: UP 0.1 percent at 39,785.90 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.6 percent at 24,069.94 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,461.15 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1761 from $1.1801 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3653 from $1.3634Dollar/yen: UP at 144.79 yen from 143.65 yenEuro/pound: DOWN at 86.18 pence from 86.52 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.4 percent at $67.15 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $68.80 per barrelburs-rl/jj

Wall Street ouvre en hausse, satisfaite des chiffres de l’emploi en juin

La Bourse de New York a ouvert en hausse jeudi, soutenue par des chiffres de l’emploi meilleurs qu’attendu aux Etats-Unis pour le mois de juin, mais toujours dans l’attente de développements sur le front des négociations commerciales. Vers 13H50 GMT, le Dow Jones gagnait 0,49%, l’indice Nasdaq prenait 0,62% et l’indice élargi S&P 500 avançait de 0,52%, les deux derniers indices touchant de nouveaux records en séance.Les investisseurs ont été satisfaits jeudi du dernier rapport sur l’emploi aux Etats-Unis, selon lequel le taux de chômage a légèrement reculé à 4,1% en juin et davantage d’emplois qu’attendu ont été créés.”Les données sur l’emploi sont bien plus positives que ce que l’on avait anticipé (…), ce qui est sans aucun doute une bonne nouvelle pour les marchés”, commente auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management. La première économie mondiale a créé 147.000 emplois le mois dernier, soit plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (110.000, selon le consensus publié par MarketWatch). Le taux de chômage a légèrement reculé, passant de 4,2% à 4,1% – un niveau considéré comme proche du plein emploi, et alors que les analystes s’attendaient au contraire à une légère dégradation à 4,3%.”L’incertitude entourant les droits de douane (…) n’a apparemment pas incité les entreprises à licencier des travailleurs”, souligne dans une note Jeffrey Roach, de LPL Financial.En outre, les premières demandes d’allocation chômage sont ressorties en baisse par rapport à la semaine passée et en deçà des attentes du marché (233.000).Cela “prouve que nous avons un marché du travail solide et stable”, estime M. Hogan, selon qui “cela repousse probablement l’idée d’une baisse des taux d’intérêt”.Ces chiffres devraient en effet permettre à la Réserve fédérale (Fed) d’attendre encore avant de baisser ses taux d’intérêt.Les investisseurs “se tournent maintenant vers la saison des résultats d’entreprises du deuxième trimestre, qui débutera au retour du long week-end”, note Art Hogan. Dans le même temps, les acteurs du marché continuent de surveiller les derniers développements sur le front commercial, à quelques jours du retour annoncé de droits de douane punitifs sur les produits en provenance de dizaines de partenaires commerciaux des Etats-Unis. “Les négociations commerciales restent mitigées”, résume M. Hogan. Dernier épisode en date, Donald Trump a annoncé mercredi avoir scellé un accord prévoyant “zéro” droit de douane sur les produits américains entrant au Vietnam et à l’inverse une surtaxe d’au moins 20% sur les exportations vietnamiennes vers les Etats-Unis.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt américain à dix ans se tendait encore à 4,33%, contre 4,28% à la clôture mercredi. Au tableau des valeurs, la société d’informatique Datadog s’envolait (+9,00% à 147,15 dollars) après l’annonce de son intégration au sein de l’indice S&P 500 le 9 juillet, remplaçant l’équipementier en télécommunications Juniper Networks.Les groupes Synopsys (+4,40% à 546,14 dollars) et Cadence (+4,76% à 325,75 dollars), spécialisés dans le développement de logiciels pour l’industrie des semiconducteurs, étaient recherchés après avoir annoncé que les États-Unis allaient lever certaines des restrictions imposées à la Chine sur les exportations de puces.Le groupe américain de livraison de plis et de colis Fedex gagnait du terrain (+2,32% à 244,70 dollars) après une réévaluation à la hausse de son titre par BNP Paribas.La séance sera écourtée de trois heures à cause de la fête nationale du 4 juillet, vendredi, lors de laquelle Wall Street sera fermée.

“On ne sait pas où sont les vélos”: à Paris, 640 Vélib’ disparaissent chaque semaine

Avec quelque 640 vélos qui disparaissent chaque semaine de ses radars, l’Agemob, organisme public qui gère les vélos partagés Vélib’ en région parisienne, “alerte” d’un niveau de vandalisme “trois fois supérieur” à la normale. “Ce ne sont que quelques centaines de fraudeurs, mais ça suffit à mettre le système en l’air”, s’est inquieté jeudi auprès de l’AFP Sylvain Raifaud, président de l’Agemob. “En ce moment, il nous manque 3.000 vélos” sur un parc qui doit en principe compter 20.000 Vélib’ en circulation, 40% d’électriques et 60% de mécaniques, chiffre-t-il.”Le phénomène de vandalisme a toujours existé, mais il était relativement contenu” jusqu’à présent. Or “là, on est sur une alerte, puisque le nombre de vélos abandonnés est trois fois supérieur à l’ordinaire (…) depuis un mois” : 640 par semaine, contre 230 habituellement, selon lui. Comment est-ce possible ? “Des personnes secouent les vélos jusqu’à ce qu’ils se décrochent et puis ils partent avec”, indique M. Raifaud. Les engins, qui se bloquent automatiquement après 24 heures, sont alors abandonnées.Problème, “on ne sait pas où sont les vélos, ils n’ont pas de puce GPS”, déplore le président de l’organisme. Et si “16 personnes supplémentaires ont été embauchées pour aller chercher les Vélib'” par Smovengo, l’exploitant (depuis 2018) de ce service public, la marge de manÅ“uvre reste limitée pour l’Agemob, qui n’a pas de moyens d’identifier ou de sanctionner les auteurs, puisqu’ils contournent le système.Afin de “couper le robinet du vandalisme”, l’organisme a “besoin des communes, des polices (…) pour mieux surveiller les stations”, et des usagers “pour signaler” les vélos égarés, plaide le dirigeant.Pourquoi cette augmentation ? “On ne sait pas”, avoue-t-il, se demandant s’il existe “un tuto qui circule (sur) comment débloquer un vélo gratuitement”, et estimant qu’il s’agit sûrement d'”actions un peu coordonnées.”Pour lui, ce trou dans la flotte entraîne l’usure des vélos restants, qui mécontente les utilisateurs. “Les vélos qui sont disponibles sont beaucoup plus utilisés, beaucoup plus fatigués”, notamment les engins électriques, davantage demandés et dont les batteries “n’ont pas le temps de recharger”. “C’est ce qui fait que vous avez des stations entières (…) (avec) des vélos qui ne sont pas utilisables”, et que “les usagers sont extrêmement frustrés”, estime le président de l’Agemob.Le service est de plus en plus sollicité : en mai dernier, Vélib’ a enregistré 16% de courses en plus qu’en mai 2024. 

“On ne sait pas où sont les vélos”: à Paris, 640 Vélib’ disparaissent chaque semaine

Avec quelque 640 vélos qui disparaissent chaque semaine de ses radars, l’Agemob, organisme public qui gère les vélos partagés Vélib’ en région parisienne, “alerte” d’un niveau de vandalisme “trois fois supérieur” à la normale. “Ce ne sont que quelques centaines de fraudeurs, mais ça suffit à mettre le système en l’air”, s’est inquieté jeudi auprès de l’AFP Sylvain Raifaud, président de l’Agemob. “En ce moment, il nous manque 3.000 vélos” sur un parc qui doit en principe compter 20.000 Vélib’ en circulation, 40% d’électriques et 60% de mécaniques, chiffre-t-il.”Le phénomène de vandalisme a toujours existé, mais il était relativement contenu” jusqu’à présent. Or “là, on est sur une alerte, puisque le nombre de vélos abandonnés est trois fois supérieur à l’ordinaire (…) depuis un mois” : 640 par semaine, contre 230 habituellement, selon lui. Comment est-ce possible ? “Des personnes secouent les vélos jusqu’à ce qu’ils se décrochent et puis ils partent avec”, indique M. Raifaud. Les engins, qui se bloquent automatiquement après 24 heures, sont alors abandonnées.Problème, “on ne sait pas où sont les vélos, ils n’ont pas de puce GPS”, déplore le président de l’organisme. Et si “16 personnes supplémentaires ont été embauchées pour aller chercher les Vélib'” par Smovengo, l’exploitant (depuis 2018) de ce service public, la marge de manÅ“uvre reste limitée pour l’Agemob, qui n’a pas de moyens d’identifier ou de sanctionner les auteurs, puisqu’ils contournent le système.Afin de “couper le robinet du vandalisme”, l’organisme a “besoin des communes, des polices (…) pour mieux surveiller les stations”, et des usagers “pour signaler” les vélos égarés, plaide le dirigeant.Pourquoi cette augmentation ? “On ne sait pas”, avoue-t-il, se demandant s’il existe “un tuto qui circule (sur) comment débloquer un vélo gratuitement”, et estimant qu’il s’agit sûrement d'”actions un peu coordonnées.”Pour lui, ce trou dans la flotte entraîne l’usure des vélos restants, qui mécontente les utilisateurs. “Les vélos qui sont disponibles sont beaucoup plus utilisés, beaucoup plus fatigués”, notamment les engins électriques, davantage demandés et dont les batteries “n’ont pas le temps de recharger”. “C’est ce qui fait que vous avez des stations entières (…) (avec) des vélos qui ne sont pas utilisables”, et que “les usagers sont extrêmement frustrés”, estime le président de l’Agemob.Le service est de plus en plus sollicité : en mai dernier, Vélib’ a enregistré 16% de courses en plus qu’en mai 2024. 

Foot: revenir en “équipe de France serait un rêve” pour Paul Pogba

Revenir en “équipe de France ce serait bien sûr un rêve encore et un bonus pour moi”, a dit Paul Pogba, lors de sa présentation officielle à l’AS Monaco, jeudi.”La Pioche” (91 sélections, 11 buts) n’a plus porté le maillot des Bleus depuis le 29 mars 2022 contre l’Afrique du Sud (5-0), enchaînant trois saisons loin des terrains en raison de blessures puis d’une suspension pour dopage de 18 mois qui a pris fin en mars.”C’est le souhait de tout joueur de foot français de jouer en équipe de France, mais il y a des étapes, aujourd’hui je suis à l’étape 1: revenir et être performant”, a expliqué le champion du monde 2018.”Il y a des places à gagner et il faut les mériter parce qu’il y a un très, très grand groupe, une belle équipe”, a-t-il ajouté.Sans lui, les Bleus ont de nouveau atteint la finale de la Coupe du monde 2022 mais ont été battus par l’Argentine (3-3, 4 t.a.b. à 2).Paul Pogba s’est engagé samedi pour deux ans avec l’AS Monaco afin de relancer sa carrière après trois saisons quasi blanches en raison de sa suspension, de blessures et d’une affaire de séquestration dont il a été victime.Le milieu de terrain, qui n’a jamais évolué en Ligue 1 -il avait quitté jeune Le Havre, son club formateur, pour Manchester United-, est l’un des deux champions du monde 2018 de retour en France cet été avec Olivier Giroud, présenté mercredi à Lille.

Des dizaines de milliers de vacanciers affectés par une grève des aiguilleurs du ciel

Des centaines de vols annulés et de nombreux retards, affectant des dizaines de milliers de passagers: une grève des contrôleurs aériens français, jeudi et vendredi, perturbe le début des vacances d’été et fait perdre “des millions d’euros” aux compagnies.”On essaie de positiver, il y a plus grave mais c’est agaçant”, témoigne à l’AFP Nadia Rivet, 51 ans. Le vol de cette employée de banque entre Pau et Paris prévu jeudi matin a été supprimé, alors qu’elle voulait passer six jours de congés dans la capitale pour y voir sa sÅ“ur et se rendre à l’anniversaire d’un ami.  “Le droit à la grève, chacun peut l’exercer, mais c’est pénalisant, les contrôleurs aériens ne sont pas les plus mal lotis”, ajoute-t-elle, espérant pouvoir prendre le même vol vendredi, même si elle redoute une nouvelle annulation “car le préavis de grève est posé pour deux jours”.Le deuxième syndicat d’aiguilleurs du ciel, l’Unsa-Icna (17% des voix aux dernières élections professionnelles) a lancé ce mouvement pour réclamer de meilleures conditions de travail et des effectifs plus importants. Il a été rejoint par la troisième force syndicale de la profession, l’Usac-CGT (16%). De source proche du dossier, 270 contrôleurs aériens se sont déclarés grévistes jeudi, sur un effectif total de quelque 1.400.La Direction générale de l’aviation civile, pour mettre en adéquation le nombre de contrôleurs à leur poste et le volume de vols, a demandé aux compagnies de renoncer à une partie de leurs programmes.Cela concerne notamment 50% des vols à Nice, Bastia et Calvi et 25% dans les aéroports desservant Paris, Charles-de-Gaulle et Orly, qui en période de pointe estivale voient transiter quelque 350.000 voyageurs par jour au total, mais aussi Beauvais, place forte du “low cost”.Peu après 14h30 jeudi, des vols maintenus accusaient d’importants retards, par exemple entre 46 minutes et une heure et 10 min à l’arrivée et au départ à Nice et Marseille, selon la DGAC.”Je venais pour des vacances, pour l’anniversaire de ma femme, pour ses 40 ans, et je me retrouve bloqué” à Charles-de-Gaulle, raconte Julien Barthélémy, 45 ans, arrivant de New York et espérant rejoindre Marseille. “Là, j’ai trois vols sur lesquels je suis sur la +waiting list+ et j’attends que le prochain se libère”.- Perturbations dans toute l’Europe -Vendredi, veille des vacances scolaires, la situation sera encore plus tendue dans les aéroports parisiens et à Beauvais, la DGAC y ayant ordonné une réduction du nombre de vols de 40%.Au-delà de la France, le trafic aérien européen pâtit du mouvement.Quelque 31.500 vols commerciaux sont prévus jeudi en Europe, selon une mise à jour de l’organisme de surveillance du trafic aérien Eurocontrol, qui a relevé plus de 20 minutes de retard par liaison en moyenne à 14h27, des délais imputables à 73% à la grève française.La première compagnie aérienne européenne, Ryanair, a annoncé jeudi avoir dû annuler 170 vols, affectant 30.000 passagers. “Une fois de plus, les familles européennes sont prises en otage par les grèves des contrôleurs aériens français”, a dénoncé son patron Michael O’Leary.Air France a confirmé avoir été “contrainte d’adapter son programme de vols”, sans préciser le nombre d’annulations, mais souligné que son réseau long-courrier n’était pas affecté.L’association Airlines for Europe, qui fédère outre Ryanair, Air France-KLM, Lufthansa, British Airways et EasyJet, a jugé la grève “intolérable”.Celle-ci fait perdre “des millions d’euros” aux compagnies aériennes, a prévenu jeudi le ministre des Transports Philippe Tabarot, en répétant ne pas vouloir céder aux demandes “inacceptables” des syndicats.- Long-courriers d’Air France pas affectés -Une réforme contestée est en cours pour établir un pointage des contrôleurs à la prise de poste, à la suite d’un “incident grave” à l’aéroport de Bordeaux fin 2022, quand deux avions avaient failli entrer en collision. Une enquête en avait fait peser la responsabilité sur une organisation défaillante du travail des aiguilleurs.”Quand on n’a rien à se reprocher, on peut très bien pointer le matin et le soir comme le font des milliers, voire des millions de Français”, a fait valoir le ministre.Parmi les griefs de l’Unsa-Icna: “un sous-effectif entretenu et responsable des retards une bonne partie de l’été”, des outils obsolètes et “un management toxique, incompatible avec les impératifs de sérénité et de sécurité exigés”.Le premier syndicat d’aiguilleurs du ciel, le SNCTA (60% des voix), n’a pas appelé à la grève.tq-ms-vid-cor/jum/LyS