Gaza: le Hamas prêt à négocier une trêve, 52 morts selon la Défense civile

Le Hamas a annoncé vendredi soir être prêt à “engager immédiatement” des négociations sur la mise en oeuvre d’une proposition d’accord de cessez-le-feu à Gaza où, selon la Défense civile, l’offensive israélienne a fait 52 morts en 24 heures. L’annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour rencontrer le président Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre.A l’issue de “consultations internes et avec (d’autres forces) palestiniennes”, le mouvement islamiste palestinien a indiqué dans un communiqué être “prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en oeuvre” d’une proposition de trêve parrainée par Washington et qui lui a été transmise par la médiation du Qatar et de l’Egypte.Selon une source palestinienne proche des discussions, la proposition “comprend une trêve de 60 jours” pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël.Le Jihad islamique, principal mouvement palestinien allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Dans un communiqué, il a dit vouloir “aller vers un accord” tout en demandant des “garanties supplémentaires” permettant d’assurer qu’Israël “ne reprendra pas son agression” une fois les otages libérés.L’armée israélienne a poursuivi vendredi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d’aide humanitaire.- “Ils nous tirent dessus” -Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile à Gaza.A l’hôpital Nasser de Khan Younès (sud), où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts.A côté, des femmes en pleurs entourent le corps d’un proche.”Mon fils est allé chercher de la farine! Ils nous disent ‘venez chercher les aides’, nous y allons et ils nous tirent dessus”, se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d’un site de distribution d’aide.La distribution de l’aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisation au financement opaque soutenue par Israël et les Etats-Unis.L’ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près de sites de la GHF. La fondation nie tout incident “à proximité” de ses sites.Interrogé sur les bombardements rapportés par la Défense civile (une organisation de premiers secours), l’armée israélienne a déclaré “mener des opérations pour démanteler les capacités militaires du Hamas”. Elle a aussi fait état de “la mort au combat” d’un soldat à Gaza.L’ONG Médecins sans frontières a affirmé de son côté qu’un de ses anciens collaborateurs, Abdallah Hammad, figurait parmi les Palestiniens tués jeudi alors qu’ils attendaient des camions d’aide près de Khan Younès. Cette semaine, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé vouloir éliminer “jusqu’à la racine” le Hamas tout en indiquant que la priorité première était de ramener “tous” les otages encore détenus, à Gaza, “sans exception”.La guerre a été déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.- Cessez-le-feu “permanent” -Donald Trump a assuré mardi qu’Israël avait accepté de finaliser les termes d’un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l’accepter, évoquant un accord proche.Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, réclame publiquement un cessez-le-feu “permanent” et un retrait israélien de Gaza.Une première trêve d’une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, ont permis le retour de nombreux otages israéliens en échange de la libération Palestiniens détenus par Israël.En mars, faute d’accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a coupé l’arrivée de l’aide humanitaire à Gaza (ne desserrant que partiellement son blocus en mai) avant de reprendre son offensive sur le petit territoire côtier, où quelque 2,4 millions de Palestiniens vivent dans conditions terribles selon l’ONU et des ONG.L’attaque du 7-Octobre a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles.Au moins 57.268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire de représailles israélienne sur la bande de Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Gaza: le Hamas prêt à négocier une trêve, 52 morts selon la Défense civile

Le Hamas a annoncé vendredi soir être prêt à “engager immédiatement” des négociations sur la mise en oeuvre d’une proposition d’accord de cessez-le-feu à Gaza où, selon la Défense civile, l’offensive israélienne a fait 52 morts en 24 heures. L’annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour rencontrer le président Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre.A l’issue de “consultations internes et avec (d’autres forces) palestiniennes”, le mouvement islamiste palestinien a indiqué dans un communiqué être “prêt à engager immédiatement et sérieusement un cycle de négociations sur le mécanisme de mise en oeuvre” d’une proposition de trêve parrainée par Washington et qui lui a été transmise par la médiation du Qatar et de l’Egypte.Selon une source palestinienne proche des discussions, la proposition “comprend une trêve de 60 jours” pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël.Le Jihad islamique, principal mouvement palestinien allié du Hamas, a soutenu le principe des négociations. Dans un communiqué, il a dit vouloir “aller vers un accord” tout en demandant des “garanties supplémentaires” permettant d’assurer qu’Israël “ne reprendra pas son agression” une fois les otages libérés.L’armée israélienne a poursuivi vendredi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d’aide humanitaire.- “Ils nous tirent dessus” -Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile à Gaza.A l’hôpital Nasser de Khan Younès (sud), où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts.A côté, des femmes en pleurs entourent le corps d’un proche.”Mon fils est allé chercher de la farine! Ils nous disent ‘venez chercher les aides’, nous y allons et ils nous tirent dessus”, se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d’un site de distribution d’aide.La distribution de l’aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), organisation au financement opaque soutenue par Israël et les Etats-Unis.L’ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près de sites de la GHF. La fondation nie tout incident “à proximité” de ses sites.Interrogé sur les bombardements rapportés par la Défense civile (une organisation de premiers secours), l’armée israélienne a déclaré “mener des opérations pour démanteler les capacités militaires du Hamas”. Elle a aussi fait état de “la mort au combat” d’un soldat à Gaza.L’ONG Médecins sans frontières a affirmé de son côté qu’un de ses anciens collaborateurs, Abdallah Hammad, figurait parmi les Palestiniens tués jeudi alors qu’ils attendaient des camions d’aide près de Khan Younès. Cette semaine, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé vouloir éliminer “jusqu’à la racine” le Hamas tout en indiquant que la priorité première était de ramener “tous” les otages encore détenus, à Gaza, “sans exception”.La guerre a été déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas sur Israël le 7 octobre 2023. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.- Cessez-le-feu “permanent” -Donald Trump a assuré mardi qu’Israël avait accepté de finaliser les termes d’un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l’accepter, évoquant un accord proche.Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, réclame publiquement un cessez-le-feu “permanent” et un retrait israélien de Gaza.Une première trêve d’une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, ont permis le retour de nombreux otages israéliens en échange de la libération Palestiniens détenus par Israël.En mars, faute d’accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a coupé l’arrivée de l’aide humanitaire à Gaza (ne desserrant que partiellement son blocus en mai) avant de reprendre son offensive sur le petit territoire côtier, où quelque 2,4 millions de Palestiniens vivent dans conditions terribles selon l’ONU et des ONG.L’attaque du 7-Octobre a fait 1.219 morts du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles.Au moins 57.268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire de représailles israélienne sur la bande de Gaza, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.

Euro-2025: l’Allemagne surclasse la Pologne mais tremble pour Gwinn

L’Allemagne a lancé son Euro de football avec une victoire 2-0 sur la Pologne, vendredi à Saint-Gall (Suisse), grâce à deux buts de Jule Brand et Lea Schüller, mais a perdu sur blessure sa capitaine Giulia Gwinn.Les médaillées de bronze des JO-2024, en quête depuis 2013 d’un neuvième titre continental, prennent la tête du groupe C à la même hauteur que les Suédoises, qui ont battu un peu plus tôt le Danemark sur un score plus étriqué (1-0).Les Allemandes, finalistes malheureuses de l’Euro-2022 remporté par les Anglaises, avaient l’occasion de répondre à l’entrée en lice tonitruante de l’Espagne jeudi face au Portugal (5-0), confirmant son statut de grande favorite.Mais pour leur première phase finale d’un Euro, les Polonaises ont paru pendant près d’une heure capables de créer l’exploit, ou du moins de neutraliser leur prestigieuse voisine, pourtant arrivée avec l’impressionnant bilan de 24 buts en cinq succès cette année.Fortes d’une solidarité impeccable, repliées sur leur cage dès la perte de balle, les joueuses de Nina Patalon se sont efforcées de piquer en contre avec Ewa Pajor, impériale cette saison avec le FC Barcelone (43 buts), mais tantôt trop esseulée tantôt imprécise vendredi.Il a fallu un exploit individuel de Jule Brand, jusque-là aussi muselée que ses coéquipières, pour débloquer le match: d’une frappe limpide du gauche, pleine lucarne, décochée depuis l’entrée de la surface, la recrue lyonnaise de 22 ans n’a laissé aucune chance à Kinga Szemik (1-0, 52e).Dans une seconde période plus débridée, où les joueuses de Christian Wück ont offert des appels plus tranchants, Lea Schüller a doublé la mise en reprenant de la tête un long centre venu de la droite, toujours de Jule Brand (2-0, 66e), s’offrant à seulement 27 ans un 53e but en sélection.La soirée allemande est cependant ternie par la sortie à la 40e minute de la latérale droite et capitaine Giulia Gwinn, manifestement touchée au genou gauche après une intervention défensive face à Ewa Pajor.La joueuse du Bayern, icône en Allemagne, a tenté de reprendre la rencontre avant de sortir en larmes, enlacée par Lea Schüller. A seulement 26 ans, Gwinn s’est déjà rompue les ligaments croisés des deux genoux, manquant pour cette raison le Mondial-2023.Les Allemandes avaient été éliminées lors de la phase de poules de cette compétition, un échec très loin de leur standard, et se présentent cet été en Suisse avec un groupe rajeuni et revanchard.

BRICS nations to gather without Xi, Putin

BRICS leaders will meet in Rio de Janeiro from Sunday, with the bloc depleted by the absence of China’s Xi Jinping, who is skipping the annual summit of emerging economies for the first time in 12 years.The grouping — often seen as a Chinese-driven counterbalance to Western power — meets as members face imminent and costly tariff wars with the United States.Conceived two decades ago as a forum for fast-growing economies, the BRICS have come to be dominated by Beijing, which grew much faster and larger than the rest.China has not said why Xi will miss the summit, a first since he became president in 2012.”I expect there will be speculation about the reasons for Xi’s absence,” said Ryan Hass, a former China director at the US National Security Council who is now with the Brookings Institution think tank.”The simplest explanation may hold the most explanatory power. Xi recently hosted Lula in Beijing,” said Hass.The Chinese leader will not be the only notable absentee. War crime-indicted Russian President Vladimir Putin is also opting to stay away, but will participate via video link, according to the Kremlin.So too will Iran’s President Masoud Pezeshkian, whose nation is still reeling from a 12-day conflict with Israel. Hass said that Putin’s non-attendance and the fact that India’s prime minister will be a guest of honor in Brazil could also be factors in Xi’s absence.”Xi does not want to appear upstaged by Modi,” who will receive a state lunch, he said. “I expect Xi’s decision to delegate attendance to Premier Li (Qiang) rests amidst these factors.”Still, the Xi no-show is a blow to host President Luiz Inacio Lula da Silva, who wants Brazil to play a bigger role on the world stage.In the year to November 2025, Brazil will have hosted a G20 summit, a BRICS summit, and COP30 international climate talks, all before heading into fiercely contested presidential elections next year.Lula is expected to run again for an unprecedented fourth term in office.- ‘Cautious tone’ -For BRICS leaders who do make the trip to the “cidade maravilhosa” — the marvelous city — the economy will be top of the agenda.Lula on Friday defended the idea of finding an alternative to the dollar for trade among BRICS nations.”I know it is complicated. There are political problems,” Lula said at a BRICS banking event. “But if we do not find a new formula, we are going to finish the 21st century the way we started the 20th.”But with many, including China, locked in difficult trade negotiations with the United States, they may be wary of roiling the mercurial US president.President Donald Trump has warned that starting Friday, countries will receive letters stating the amount their exports to the United States will be tariffed.He has also threatened to impose 100 percent tariffs on countries that challenge the dollar’s international dominance.”We’re anticipating a summit with a cautious tone: it will be difficult to mention the United States by name in the final declaration,” Marta Fernandez, director of the BRICS Policy Center at Rio’s Pontifical Catholic University, told AFP.This is particularly the case for China, she said: “This doesn’t seem to be the right time to provoke further friction” between the world’s two leading economies.On a range of other issues, from the Middle East to climate, BRICS members will have to overcome deep-seated differences.- Consensus-building difficult -Original members of the bloc Brazil, Russia, India, and China have been joined by South Africa and, more recently, by Saudi Arabia, Iran, the United Arab Emirates, Egypt, Ethiopia, and Indonesia.Analysts say that it has given the grouping more potential international punch. The BRICS now represent nearly half of the world’s population and 40 percent of its GDP. But it has also opened many new fault lines, not least over how strongly to challenge the United States.This expansion “makes it all the more difficult to build a strong consensus,” said Fernandez.BRICS members did not issue a strong statement on the Iran-Israel conflict and subsequent US military strikes due to their “diverging” interests, according to Oliver Stuenkel, a professor of international relations at the Getulio Vargas Foundation.Brazil, nevertheless, hopes that countries can take a common stand at the summit, including on the most sensitive issues.”BRICS (countries), throughout their history, have managed to speak with one voice on major international issues, and there’s no reason why that shouldn’t be the case this time on the subject of the Middle East,” Brazil’s Foreign Minister Mauro Vieira told AFP.Artificial intelligence and global governance reform will also be on the menu.

BRICS nations to gather without Xi, Putin

BRICS leaders will meet in Rio de Janeiro from Sunday, with the bloc depleted by the absence of China’s Xi Jinping, who is skipping the annual summit of emerging economies for the first time in 12 years.The grouping — often seen as a Chinese-driven counterbalance to Western power — meets as members face imminent and costly tariff wars with the United States.Conceived two decades ago as a forum for fast-growing economies, the BRICS have come to be dominated by Beijing, which grew much faster and larger than the rest.China has not said why Xi will miss the summit, a first since he became president in 2012.”I expect there will be speculation about the reasons for Xi’s absence,” said Ryan Hass, a former China director at the US National Security Council who is now with the Brookings Institution think tank.”The simplest explanation may hold the most explanatory power. Xi recently hosted Lula in Beijing,” said Hass.The Chinese leader will not be the only notable absentee. War crime-indicted Russian President Vladimir Putin is also opting to stay away, but will participate via video link, according to the Kremlin.So too will Iran’s President Masoud Pezeshkian, whose nation is still reeling from a 12-day conflict with Israel. Hass said that Putin’s non-attendance and the fact that India’s prime minister will be a guest of honor in Brazil could also be factors in Xi’s absence.”Xi does not want to appear upstaged by Modi,” who will receive a state lunch, he said. “I expect Xi’s decision to delegate attendance to Premier Li (Qiang) rests amidst these factors.”Still, the Xi no-show is a blow to host President Luiz Inacio Lula da Silva, who wants Brazil to play a bigger role on the world stage.In the year to November 2025, Brazil will have hosted a G20 summit, a BRICS summit, and COP30 international climate talks, all before heading into fiercely contested presidential elections next year.Lula is expected to run again for an unprecedented fourth term in office.- ‘Cautious tone’ -For BRICS leaders who do make the trip to the “cidade maravilhosa” — the marvelous city — the economy will be top of the agenda.Lula on Friday defended the idea of finding an alternative to the dollar for trade among BRICS nations.”I know it is complicated. There are political problems,” Lula said at a BRICS banking event. “But if we do not find a new formula, we are going to finish the 21st century the way we started the 20th.”But with many, including China, locked in difficult trade negotiations with the United States, they may be wary of roiling the mercurial US president.President Donald Trump has warned that starting Friday, countries will receive letters stating the amount their exports to the United States will be tariffed.He has also threatened to impose 100 percent tariffs on countries that challenge the dollar’s international dominance.”We’re anticipating a summit with a cautious tone: it will be difficult to mention the United States by name in the final declaration,” Marta Fernandez, director of the BRICS Policy Center at Rio’s Pontifical Catholic University, told AFP.This is particularly the case for China, she said: “This doesn’t seem to be the right time to provoke further friction” between the world’s two leading economies.On a range of other issues, from the Middle East to climate, BRICS members will have to overcome deep-seated differences.- Consensus-building difficult -Original members of the bloc Brazil, Russia, India, and China have been joined by South Africa and, more recently, by Saudi Arabia, Iran, the United Arab Emirates, Egypt, Ethiopia, and Indonesia.Analysts say that it has given the grouping more potential international punch. The BRICS now represent nearly half of the world’s population and 40 percent of its GDP. But it has also opened many new fault lines, not least over how strongly to challenge the United States.This expansion “makes it all the more difficult to build a strong consensus,” said Fernandez.BRICS members did not issue a strong statement on the Iran-Israel conflict and subsequent US military strikes due to their “diverging” interests, according to Oliver Stuenkel, a professor of international relations at the Getulio Vargas Foundation.Brazil, nevertheless, hopes that countries can take a common stand at the summit, including on the most sensitive issues.”BRICS (countries), throughout their history, have managed to speak with one voice on major international issues, and there’s no reason why that shouldn’t be the case this time on the subject of the Middle East,” Brazil’s Foreign Minister Mauro Vieira told AFP.Artificial intelligence and global governance reform will also be on the menu.

Italie: la Juventus Turin s’offre Jonathan David

La Juventus Turin a officialisé vendredi l’arrivée de l’attaquant international canadien Jonathan David, en provenance de Lille en Ligue 1 où il a passé les cinq dernières saisons.”Jonathan David est officiellement un joueur de la Juventus ! L’attaquant canadien de 25 ans a signé un contrat de cinq ans avec le club, soit jusqu’au 30 juin 2030″, a indiqué dans un communiqué le club le plus titré du football italien.David a marqué 109 buts sous le maillot de Lille en 232 matches toutes compétitions confondues. Passé par La Gantoise (2018-20), il a marqué les esprits cette saison sur la scène européenne en contribuant aux victoires de Lille en Ligue des champions contre le Real Madrid (1-0) et l’Atlético (3-1).Il s’est forgé en France la réputation d’un attaquant fiable, terminant cette saison à la quatrième place du classement des buteurs de Ligue 1, à la deuxième place la saison d’avant et à la troisième en 2022-2023.David est la première recrue de la Juve depuis que le Français Damien Comolli a pris le mois dernier ses fonctions de directeur général.Le Canadien, sacré champion de France avec Lille en 2021, rejoint un club qui n’a remporté qu’un trophée (Coupe d’Italie 2024) depuis 2021 et qui sort d’une saison décevante, terminée à la 4e place en Serie A et marquée par le licenciement de son entraîneur Thiago Motta huit mois seulement après son arrivée. La Juve, éliminée en 8e de finale du Mondial des clubs par le Real Madrid (1-0), n’entend pas en rester là pour muscler son secteur offensif.Les Bianconeri convoitent le Nigérian Victor Osimhen, que David avait d’ailleurs remplacé à Lille.Osimhen est sous contrat avec Naples qui l’a prêté la saison dernière au club turc du Galatasaray pour qui il a inscrit 26 buts en 30 matches de championnat. Mais le Napoli qui a remporté le titre de champion d’Italie, sans lui, réclame 70 millions d’euros pour le laisser partir.Les dirigeants piémontais veulent par ailleurs obtenir du Paris SG un nouveau prêt d’une saison, assorti cette fois d’une obligation d’achat de Randal Kolo Muani. L’international français, arrivé à Turin en janvier, a marqué huit buts en seize matches de Serie A.Selon la presse italienne, la Juve, entraînée depuis mars par le Croate Igor Tudor, s’intéresse également à l’international anglais de Manchester United, Jadon Sancho.Ces arrivées permettraient à la Juve de se séparer du Serbe Dusan Vlahovic, plus gros salaire de Serie A, dont le rendement (10 buts en championnat) et l’attitude ont déçu la saison dernière.