Trump says ‘very wealthy’ group to buy TikTok

President Donald Trump said Sunday a group of buyers had been found for TikTok, which faces a looming ban in the United States due to its China ties, adding he could name the purchasers in two weeks.”We have a buyer for TikTok, by the way,” Trump said in an interview on Fox’s Sunday Morning Futures with Maria Bartiromo. “Very wealthy people. It’s a group of wealthy people,” the president said, without revealing more except to say he would make their identities known “in about two weeks.”The president also said he would likely need “China approval” for the sale, “and I think President Xi (Jinping) will probably do it.”TikTok is owned by China-based internet company ByteDance.A federal law requiring TikTok’s sale or ban on national security grounds was due to take effect the day before Trump’s inauguration on January 20. But the Republican, whose 2024 election campaign relied heavily on social media and who has said he is fond of TikTok, put the ban on pause. In mid-June Trump extended a deadline for the popular video-sharing app by another 90 days to find a non-Chinese buyer or be banned in the United States.Tech experts quickly described the TikTok kerfuffle as a symbol of the heated US-China tech rivalry. While Trump had long supported a ban or divestment, he reversed his position and vowed to defend the platform — which boasts almost two billion global users — after coming to believe it helped him win young voters’ support in the November election.”I have a little warm spot in my heart for TikTok,” Trump told NBC News in early May. “If it needs an extension, I would be willing to give it an extension.”Now after two extensions pushed the deadline to June 19, Trump has extended it for a third time.He said in May that a group of purchasers was ready to pay ByteDance “a lot of money” for TikTok’s US operations.The previous month he said China would have agreed to a deal on the sale of TikTok if it were not for a dispute over Trump’s tariffs on Beijing.ByteDance has confirmed talks with the US government, saying key matters needed to be resolved and that any deal would be “subject to approval under Chinese law.”

Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce week-end en France

Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique  visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et 10.000 sur l’ensemble du weekend dans 60 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg, a-t-il indiqué dimanche soir dans un communiqué.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.La mobilisation se poursuivra ce lundi à 11h30 à Paris, par un banquet paysan près du Sénat.dep-dfa-mer-gi/uh/jp

Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce week-end en France

Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique  visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et 10.000 sur l’ensemble du weekend dans 60 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg, a-t-il indiqué dimanche soir dans un communiqué.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.La mobilisation se poursuivra ce lundi à 11h30 à Paris, par un banquet paysan près du Sénat.dep-dfa-mer-gi/uh/jp

Loi Duplomb: des milliers d’opposants au texte mobilisés ce week-end en France

Agriculteurs, ONG, scientifiques … Des milliers d’opposants à la proposition de loi agricole dite Duplomb se sont rassemblés ce weekend partout en France pour demander l’annulation de ce texte qui doit être examiné lundi en commission mixte paritaire.Cette commission, qui réunira 14 sénateurs et députés, aura la charge de trouver un texte de compromis, après un rejet tactique  visant à contourner un mur d’amendements des écologistes et des insoumis.”C’est un coup de force antidémocratique pour faire passer cette loi qui est une régression radicale” aussi bien pour l’environnement que pour la santé publique, ainsi qu’une “négation des faits scientifiques sur la dangerosité des pesticides”, a déclaré le comité Scientifiques en rébellion, présent dimanche sur l’esplanade des Invalides à Paris.Selon le collectif Nourrir, qui rassemble des dizaines d’ONG de défense de l’environnement (Greenpeace, WWF, Générations Futures …), à l’origine de l’appel à la mobilisation du weekend avec notamment la Confédération paysanne, la CGT ou Cancer Colère, environ un millier de personnes se sont réunies à Paris et 10.000 sur l’ensemble du weekend dans 60 villes, dont Creil (Oise), Cherbourg (Manche) ou encore Strasbourg, a-t-il indiqué dimanche soir dans un communiqué.La proposition de loi du sénateur LR Laurent Duplomb se présente comme destinée à “lever les contraintes” des agriculteurs. Elle prévoit notamment la réintroduction du pesticide acétamipride (un néonicotinoïde très toxique notamment pour les pollinisateurs et les milieux naturels) mais aussi des mesures facilitant le stockage de l’eau ou l’agrandissement des élevages intensifs, ainsi qu’une redéfinition du travail de l’Anses.”Non, les paysans ne sont pas derrière cette loi qui ne répond en rien aux difficultés du monde agricole” et “va à l’encontre de l’intérêt général”, a scandé à la tribune parisienne Stéphane Galais, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur bovin en Bretagne, au milieu de banderoles affichant “loi Duplomb, loi poison”.”La loi Duplomb est dangereuse et rétrograde”, a également martelé dimanche Xavier Fromont, porte-parole du syndicat pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, lors d’un rassemblement de 600 personnes habillées en jaune et noir au Puy-en-Velay, fief du sénateur Duplomb.La veille à Pau, ville du Premier ministre François Bayrou, une centaine de personnes avaient scandé “notre santé ne sera pas bradée”, en brandissant une grande bâche noire.”C’est une loi irresponsable et coupable”, a jugé dimanche Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) à Paris.”Mesdames et Messieurs les parlementaires, ressaisissez-vous, votre responsabilité c’est de protéger la population française et pas les intérêts de quelques-uns”, a renchéri la représentante de France Nature environnement (FNE) appelant au “rejet pur et simple du texte”. Les ONG se sont déjà déclarées prêtes à “aller en justice” si cette loi était promulguée.La mobilisation se poursuivra ce lundi à 11h30 à Paris, par un banquet paysan près du Sénat.dep-dfa-mer-gi/uh/jp

Trump blasts ‘communist’ winner of NY Democratic primary

US President Donald Trump branded the winner of New York City’s mayoral Democratic primary a “pure communist” in remarks that aired Sunday, an epithet the progressive candidate dismissed as political theatrics.Zohran Mamdani’s shock win last week against a scandal-scarred political heavyweight resonated as a thunderclap within the party, and drew the ire of Trump and his collaborators, who accused Mamdani of being a radical extremist.The Republican’s aggressive criticism of the self-described democratic socialist is sure to ramp up over the coming months as Trump’s party seeks to push Democrats away from the political center and frame them as too radical to win major US elections.”He’s pure communist” and a “radical leftist… lunatic,” Trump fumed on Fox News talk show “Sunday Morning Futures with Maria Bartiromo.””I think it’s very bad for New York,” added Trump, who grew up in the city and built his sprawling real estate business there.”If he does get in, I’m going to be president and he is going to have to do the right thing (or) they’re not getting any money” from the federal government.Trump’s White House has repeatedly threatened to curb funding for Democratic-led US cities if they oppose his policies, including cutting off money to so-called sanctuary cities which limit their cooperation with immigration authorities. Mamdani also took to the talk shows Sunday, asserting he would “absolutely” maintain New York’s status as a sanctuary city so that “New Yorkers can get out of the shadows and into the full life of the city that they belong to.”Asked directly on NBC’s “Meet the Press” whether he is a communist, Mamdani — a 33-year-old immigrant aiming to become New York’s first Muslim mayor — responded “No, I am not. “And I have already had to start to get used to the fact that the president will talk about how I look, how I sound, where I’m from, who I am, ultimately because he wants to distract from what I’m fighting for,” Mamdani said.”I’m fighting for the very working people that he ran a campaign to empower, that he has since then betrayed.”The Ugandan-born state assemblyman had trailed former governor Andrew Cuomo in polls but surged on a message of lower rents, free daycare and buses, and other populist ideas in the notoriously expensive metropolis.Although registered Democrats outnumber Republicans three to one in New York, victory for Mamdani in November is not assured.Current Mayor Eric Adams is a Democrat but is campaigning for re-election as an independent, while Cuomo may also run unaffiliated.

La France assommée par la canicule, 84 départements en vigilance orange lundi

L’épisode de canicule va encore gagner en intensité et s’étendre la semaine prochaine en France, où 84 départements ont été placés en vigilance orange à partir de lundi, plongeant la quasi-totalité du pays dans une chaleur étouffante au moins jusqu’au milieu de la semaine.Dimanche, des “températures maximales affichant souvent entre 35 et 38°C sur le sud du pays” avec des pointes à 40°C sur le Midi méditerranéen ont été relevées et seuls les bords de Manche peuvent profiter de températures inférieures à 30°C, selon Météo-France.La température est montée à 40,9 °C à Grospierres en Ardèche, 40,1 °C à Vinsobres dans la Drôme ou encore 39,9 °C à Cadenet dans le Vaucluse, ont indiqué les prévisionnistes. A 16H00, la barre des 30°C avait été dépassée à Nice, à Rennes ou encore à Dijon.Cet “épisode caniculaire intense”, qui a débuté vendredi, s’étendra lundi à presque tout l’Hexagone: “Les températures maximales seront stationnaires sur le pourtour méditerranéen, comprises entre 37 et 40°C. Sur le reste du pays, elles seront souvent comprises entre 34 et 38°C, très ponctuellement 39/40°C”, a ajouté Météo-France.84 départements seront en vigilance orange, contre 73 dimanche, avant le “paroxysme” de l’épisode attendu pour mardi et mercredi, “avec des minimales très élevées, comprises entre 20 et 24°C voire un peu plus très localement et des maximales atteignant 36 à 40°C avec quelques pointes à 41°C”.- Incendies dans l’Aude -Une réunion interministérielle de crise consacrée à la canicule a été convoquée dans la soirée à Beauvau pour “repasser toutes les consignes” notamment en matière de “santé”, a annoncé le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur BFMTV.Le ministère de l’Education a déjà rappelé les mesures à prendre dans les écoles pour faire face aux très fortes chaleurs, qui peuvent aller, dans certains cas, jusqu’à l’autorisation de garder les enfants à domicile.La ville de Tours, comme d’autres communes en France, a déjà tranché et annoncé fermer toutes ses écoles lundi et mardi après-midi pour “protéger les enfants et les personnels”.Cette 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, la 33e du XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules, qui frappe la France depuis le 19 juin, a aussi fait augmenter le risque d’incendie dans plusieurs massifs.Dans l’Aude, où la température a parfois dépassé 40°C, d’importants feux de forêt se sont déclenchés dimanche dans le massif des Corbières. Un camping et une abbaye ont été évacués par précaution.- “Plus fréquent” -Le thermomètre a aussi atteint 36°C de Bordeaux et la plage du lac, au nord de la ville, a été prise d’assaut dès les premières heures de la journée par des familles à la recherche d’ombre sous les pins.”Chez nous, dans l’appart, c’est tout simplement un enfer. On vit dans le noir, c’est un four”, résume Evan Bernard, venu avec son fils de 18 mois.Les touristes et les Parisiens ont aussi cherché aussi un peu de fraicheur dans la capitale, où 30°C ont été relevés.”Ce n’est pas habituel, mais il faut s’y habituer parce que ça sera plus fréquent”, prédit Catherine Delourt, retraitée attablée en terrasse.Ils étaient aussi des dizaines à Lyon venus se  laisser porter par le courant du Rhône dans le cadre d’un événement organisé par la municipalité, une initiative appréciée devant les 35°C affichés.Cette vague de chaleur concerne tout le sud de l’Europe, de l’Italie au Portugal, où Lisbonne et plusieurs régions sont en alerte rouge. En Espagne, il a fait jusqu’à 46°C samedi à El Granado et les températures s’attendait à des pics de 43 degrés dans le sud du pays. La cause de ce nouveau pic est un dôme de chaleur: un large et puissant anticyclone forme une sorte de couvercle qui vient bloquer l’air en basses couches, empêchant l’entrée de perturbations, tout en le réchauffant progressivement.Les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse ont été placés pour la journée de lundi en alerte de niveau 1 en raison d’un épisode de pollution de l’air à l’ozone a annoncé la préfecture, tandis qu’Airparif prévoit également un risque de dépassement à Paris.burs-tmn/laf/gvy

La France assommée par la canicule, 84 départements en vigilance orange lundi

L’épisode de canicule va encore gagner en intensité et s’étendre la semaine prochaine en France, où 84 départements ont été placés en vigilance orange à partir de lundi, plongeant la quasi-totalité du pays dans une chaleur étouffante au moins jusqu’au milieu de la semaine.Dimanche, des “températures maximales affichant souvent entre 35 et 38°C sur le sud du pays” avec des pointes à 40°C sur le Midi méditerranéen ont été relevées et seuls les bords de Manche peuvent profiter de températures inférieures à 30°C, selon Météo-France.La température est montée à 40,9 °C à Grospierres en Ardèche, 40,1 °C à Vinsobres dans la Drôme ou encore 39,9 °C à Cadenet dans le Vaucluse, ont indiqué les prévisionnistes. A 16H00, la barre des 30°C avait été dépassée à Nice, à Rennes ou encore à Dijon.Cet “épisode caniculaire intense”, qui a débuté vendredi, s’étendra lundi à presque tout l’Hexagone: “Les températures maximales seront stationnaires sur le pourtour méditerranéen, comprises entre 37 et 40°C. Sur le reste du pays, elles seront souvent comprises entre 34 et 38°C, très ponctuellement 39/40°C”, a ajouté Météo-France.84 départements seront en vigilance orange, contre 73 dimanche, avant le “paroxysme” de l’épisode attendu pour mardi et mercredi, “avec des minimales très élevées, comprises entre 20 et 24°C voire un peu plus très localement et des maximales atteignant 36 à 40°C avec quelques pointes à 41°C”.- Incendies dans l’Aude -Une réunion interministérielle de crise consacrée à la canicule a été convoquée dans la soirée à Beauvau pour “repasser toutes les consignes” notamment en matière de “santé”, a annoncé le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur BFMTV.Le ministère de l’Education a déjà rappelé les mesures à prendre dans les écoles pour faire face aux très fortes chaleurs, qui peuvent aller, dans certains cas, jusqu’à l’autorisation de garder les enfants à domicile.La ville de Tours, comme d’autres communes en France, a déjà tranché et annoncé fermer toutes ses écoles lundi et mardi après-midi pour “protéger les enfants et les personnels”.Cette 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, la 33e du XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules, qui frappe la France depuis le 19 juin, a aussi fait augmenter le risque d’incendie dans plusieurs massifs.Dans l’Aude, où la température a parfois dépassé 40°C, d’importants feux de forêt se sont déclenchés dimanche dans le massif des Corbières. Un camping et une abbaye ont été évacués par précaution.- “Plus fréquent” -Le thermomètre a aussi atteint 36°C de Bordeaux et la plage du lac, au nord de la ville, a été prise d’assaut dès les premières heures de la journée par des familles à la recherche d’ombre sous les pins.”Chez nous, dans l’appart, c’est tout simplement un enfer. On vit dans le noir, c’est un four”, résume Evan Bernard, venu avec son fils de 18 mois.Les touristes et les Parisiens ont aussi cherché aussi un peu de fraicheur dans la capitale, où 30°C ont été relevés.”Ce n’est pas habituel, mais il faut s’y habituer parce que ça sera plus fréquent”, prédit Catherine Delourt, retraitée attablée en terrasse.Ils étaient aussi des dizaines à Lyon venus se  laisser porter par le courant du Rhône dans le cadre d’un événement organisé par la municipalité, une initiative appréciée devant les 35°C affichés.Cette vague de chaleur concerne tout le sud de l’Europe, de l’Italie au Portugal, où Lisbonne et plusieurs régions sont en alerte rouge. En Espagne, il a fait jusqu’à 46°C samedi à El Granado et les températures s’attendait à des pics de 43 degrés dans le sud du pays. La cause de ce nouveau pic est un dôme de chaleur: un large et puissant anticyclone forme une sorte de couvercle qui vient bloquer l’air en basses couches, empêchant l’entrée de perturbations, tout en le réchauffant progressivement.Les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse ont été placés pour la journée de lundi en alerte de niveau 1 en raison d’un épisode de pollution de l’air à l’ozone a annoncé la préfecture, tandis qu’Airparif prévoit également un risque de dépassement à Paris.burs-tmn/laf/gvy

La France assommée par la canicule, 84 départements en vigilance orange lundi

L’épisode de canicule va encore gagner en intensité et s’étendre la semaine prochaine en France, où 84 départements ont été placés en vigilance orange à partir de lundi, plongeant la quasi-totalité du pays dans une chaleur étouffante au moins jusqu’au milieu de la semaine.Dimanche, des “températures maximales affichant souvent entre 35 et 38°C sur le sud du pays” avec des pointes à 40°C sur le Midi méditerranéen ont été relevées et seuls les bords de Manche peuvent profiter de températures inférieures à 30°C, selon Météo-France.La température est montée à 40,9 °C à Grospierres en Ardèche, 40,1 °C à Vinsobres dans la Drôme ou encore 39,9 °C à Cadenet dans le Vaucluse, ont indiqué les prévisionnistes. A 16H00, la barre des 30°C avait été dépassée à Nice, à Rennes ou encore à Dijon.Cet “épisode caniculaire intense”, qui a débuté vendredi, s’étendra lundi à presque tout l’Hexagone: “Les températures maximales seront stationnaires sur le pourtour méditerranéen, comprises entre 37 et 40°C. Sur le reste du pays, elles seront souvent comprises entre 34 et 38°C, très ponctuellement 39/40°C”, a ajouté Météo-France.84 départements seront en vigilance orange, contre 73 dimanche, avant le “paroxysme” de l’épisode attendu pour mardi et mercredi, “avec des minimales très élevées, comprises entre 20 et 24°C voire un peu plus très localement et des maximales atteignant 36 à 40°C avec quelques pointes à 41°C”.- Incendies dans l’Aude -Une réunion interministérielle de crise consacrée à la canicule a été convoquée dans la soirée à Beauvau pour “repasser toutes les consignes” notamment en matière de “santé”, a annoncé le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur BFMTV.Le ministère de l’Education a déjà rappelé les mesures à prendre dans les écoles pour faire face aux très fortes chaleurs, qui peuvent aller, dans certains cas, jusqu’à l’autorisation de garder les enfants à domicile.La ville de Tours, comme d’autres communes en France, a déjà tranché et annoncé fermer toutes ses écoles lundi et mardi après-midi pour “protéger les enfants et les personnels”.Cette 50e vague de chaleur nationale depuis 1947, la 33e du XXIe siècle, conséquence du réchauffement climatique qui augmente l’intensité et la fréquence des canicules, qui frappe la France depuis le 19 juin, a aussi fait augmenter le risque d’incendie dans plusieurs massifs.Dans l’Aude, où la température a parfois dépassé 40°C, d’importants feux de forêt se sont déclenchés dimanche dans le massif des Corbières. Un camping et une abbaye ont été évacués par précaution.- “Plus fréquent” -Le thermomètre a aussi atteint 36°C de Bordeaux et la plage du lac, au nord de la ville, a été prise d’assaut dès les premières heures de la journée par des familles à la recherche d’ombre sous les pins.”Chez nous, dans l’appart, c’est tout simplement un enfer. On vit dans le noir, c’est un four”, résume Evan Bernard, venu avec son fils de 18 mois.Les touristes et les Parisiens ont aussi cherché aussi un peu de fraicheur dans la capitale, où 30°C ont été relevés.”Ce n’est pas habituel, mais il faut s’y habituer parce que ça sera plus fréquent”, prédit Catherine Delourt, retraitée attablée en terrasse.Ils étaient aussi des dizaines à Lyon venus se  laisser porter par le courant du Rhône dans le cadre d’un événement organisé par la municipalité, une initiative appréciée devant les 35°C affichés.Cette vague de chaleur concerne tout le sud de l’Europe, de l’Italie au Portugal, où Lisbonne et plusieurs régions sont en alerte rouge. En Espagne, il a fait jusqu’à 46°C samedi à El Granado et les températures s’attendait à des pics de 43 degrés dans le sud du pays. La cause de ce nouveau pic est un dôme de chaleur: un large et puissant anticyclone forme une sorte de couvercle qui vient bloquer l’air en basses couches, empêchant l’entrée de perturbations, tout en le réchauffant progressivement.Les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse ont été placés pour la journée de lundi en alerte de niveau 1 en raison d’un épisode de pollution de l’air à l’ozone a annoncé la préfecture, tandis qu’Airparif prévoit également un risque de dépassement à Paris.burs-tmn/laf/gvy

En pleine canicule, les Lyonnais s’offrent une “baignade dérivante” sur le Rhône

“Avec les 40 degrés à l’extérieur, on était bien dans l’eau”: près de 250 Lyonnais ont flotté paisiblement sur le Rhône dimanche, une “baignade dérivante” particulièrement bienvenue en ces temps de canicule.Accrochés à des bouées orange, ils se sont laissés porter par le courant sur près de 400 mètres en plein cÅ“ur de la ville. “C’est très sympa”, confie encore ruisselant Olivier Perrin, venu goûter en famille les eaux fraîches du fleuve. Le quadragénaire apprécie ce “très bon moment”, un répit alors que le thermomètre s’affole depuis plusieurs jours à Lyon.Inspirée d’une tradition helvétique populaire sur l’Aar à Berne, la première “baignade dérivante” de Lyon s’inscrivait dans le cadre du festival entre Rhône et Saône, organisé depuis vendredi par la mairie écologiste.Ici, pas de compétition, pas de chrono, il faut “juste rejoindre l’expérience”, souligne Daniela Munoz, une Chilienne d’une vingtaine d’années, “particulièrement avec cette chaleur terrible”.”Ils se soucient vraiment de notre sécurité: ils ont toute une équipe de sauveteurs. Cela m’a fait me sentir super en sécurité”, dit-elle en louant le travail des responsables de la sécurité du festival qui ont veillé au bon déroulement de la dérive installés sur des paddles.- “Tous les jours” -Comme la jeune femme, quelque 250 participants se sont inscrits pour cette déambulation aquatique. Par série de vingt, tous les quarts d’heure et pendant quelques heures, petits et grands se sont lancés dans le bain après s’être équipés de leurs bouées fluo, formant de petites taches oranges sur le vert de l’eau et le bleu d’un ciel sans nuage. “Je trouve que c’est une excellente initiative et à la limite, j’aimerais que ça se passe tous les jours”, témoigne Albert Fandos. Cette baignade urbaine “fait connaître notre milieu lyonnais”, en permettant de découvrir les berges notamment, souligne-t-il.La ville de Lyon envisage bien de pérenniser l’expérience, a rappelé le maire Grégory Doucet venu encourager les baigneurs. “Nous avons d’ores et déjà réalisé une étude d’implantation d’une baignade en eau vive dans la Darse de la Confluence donc pour pouvoir profiter de l’eau de la Saône, ça devrait être opérationnel en 2027”, a-t-il promis, jugeant ces initiatives indispensables dans le contexte du réchauffement climatique. 

En pleine canicule, les Lyonnais s’offrent une “baignade dérivante” sur le Rhône

“Avec les 40 degrés à l’extérieur, on était bien dans l’eau”: près de 250 Lyonnais ont flotté paisiblement sur le Rhône dimanche, une “baignade dérivante” particulièrement bienvenue en ces temps de canicule.Accrochés à des bouées orange, ils se sont laissés porter par le courant sur près de 400 mètres en plein cÅ“ur de la ville. “C’est très sympa”, confie encore ruisselant Olivier Perrin, venu goûter en famille les eaux fraîches du fleuve. Le quadragénaire apprécie ce “très bon moment”, un répit alors que le thermomètre s’affole depuis plusieurs jours à Lyon.Inspirée d’une tradition helvétique populaire sur l’Aar à Berne, la première “baignade dérivante” de Lyon s’inscrivait dans le cadre du festival entre Rhône et Saône, organisé depuis vendredi par la mairie écologiste.Ici, pas de compétition, pas de chrono, il faut “juste rejoindre l’expérience”, souligne Daniela Munoz, une Chilienne d’une vingtaine d’années, “particulièrement avec cette chaleur terrible”.”Ils se soucient vraiment de notre sécurité: ils ont toute une équipe de sauveteurs. Cela m’a fait me sentir super en sécurité”, dit-elle en louant le travail des responsables de la sécurité du festival qui ont veillé au bon déroulement de la dérive installés sur des paddles.- “Tous les jours” -Comme la jeune femme, quelque 250 participants se sont inscrits pour cette déambulation aquatique. Par série de vingt, tous les quarts d’heure et pendant quelques heures, petits et grands se sont lancés dans le bain après s’être équipés de leurs bouées fluo, formant de petites taches oranges sur le vert de l’eau et le bleu d’un ciel sans nuage. “Je trouve que c’est une excellente initiative et à la limite, j’aimerais que ça se passe tous les jours”, témoigne Albert Fandos. Cette baignade urbaine “fait connaître notre milieu lyonnais”, en permettant de découvrir les berges notamment, souligne-t-il.La ville de Lyon envisage bien de pérenniser l’expérience, a rappelé le maire Grégory Doucet venu encourager les baigneurs. “Nous avons d’ores et déjà réalisé une étude d’implantation d’une baignade en eau vive dans la Darse de la Confluence donc pour pouvoir profiter de l’eau de la Saône, ça devrait être opérationnel en 2027”, a-t-il promis, jugeant ces initiatives indispensables dans le contexte du réchauffement climatique.Â