Macron et Poutine divisés sur l’Ukraine, prêts à coopérer sur l’Iran
Les présidents français Emmanuel Macron et russe Vladimir Poutine se sont parlé mardi pour la première fois depuis septembre 2022, affichant leurs divergences sur le conflit en Ukraine mais se disant prêts à coopérer pour encadrer le programme nucléaire iranien après les dégâts causés par les frappes israéliennes et américaines.Cet échange était destiné en premier lieu à faire le point sur l’Iran – Paris et Moscou étant cosignataires de l’accord de Vienne de 2015 sur le nucléaire iranien – mais a aussi en partie porté sur l’Ukraine.Emmanuel Macron a souligné “le soutien indéfectible de la France à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Ukraine”, a insisté l’Elysée, alors que la Russie occupe près de 20% de ce pays.Il a appelé à “l’établissement, dans les meilleurs délais, d’un cessez-le-feu et au lancement de négociations entre l’Ukraine et la Russie pour un règlement solide et durable du conflit”, a poursuivi l’Elysée.Les frappes russes contre l’Ukraine ont augmenté ces dernières semaines. L’Ukraine a de son côté mené mardi une nouvelle attaque en profondeur en Russie, à 1.000 kilomètres de son territoire, contre une usine fabriquant “des systèmes de défense antiaériens” et “des drones” à Ijevsk.Le président russe a prévenu son homologue français que tout accord de paix en Ukraine devait être “global et sur le long terme, prévoir l’élimination des causes profondes de la crise ukrainienne et s’appuyer sur de nouvelles réalités territoriales”, a de son côté souligné le Kremlin.Moscou a déjà revendiqué l’annexion de quatre régions ukrainiennes, en plus de la péninsule de Crimée, qu’elle a envahie en 2014.Pour Vladimir Poutine, le conflit ukrainien est “une conséquence directe de la politique des Etats occidentaux”, qui ont “ignoré les intérêts sécuritaires de la Russie depuis des années” et créé une “tête de pont anti-russe en Ukraine”. – “Rien à discuter” – Malgré leurs positions très éloignées, les deux dirigeants, qui se sont entretenus durant “plus de deux heures au téléphone”, sont convenus de continuer “d’échanger” sur le conflit en Ukraine, a précisé l’Elysée.Ils étaient conjointement à “l’origine” de cet appel, a relevé l’Elysée.  Emmanuel Macron avait averti le président ukrainien Volodymyr Zelensky de son intention de joindre le maître du Kremlin. Il a aussi échangé avec lui après l’appel, a ajouté la présidence française. Le dernier échange entre les dirigeants français et russe remontait au 11 septembre 2022 et avait porté sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée.Le président français, qui s’était vu reprocher de continuer à parler au maître du Kremlin pendant des mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, accusant Vladimir Poutine de “mentir” sur ses intentions et sa volonté de paix.Il a donc pris le risque de renouer avec lui, dans la foulée de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, pour parler d’Iran mais sans omettre de rappeler ses exigences sur l’Ukraine, souligne-t-on à Paris.Pour la politologue russe Tatiana Stanovaya, fondatrice du cabinet de conseil R.Politik, cet appel “ne veut pas dire que l’Ukraine va perdre tout soutien”. “Il montre plutôt la volonté des Européens d’avoir une place à la table” des négociations, même s’il “n’y a rien à discuter” pour l’instant du fait de l’intransigeance russe, a-t-elle déclaré à l’AFP. – La diplomatie d’abord – Concernant le nucléaire iranien, les deux dirigeants ont “décidé de coordonner leurs démarches et de se parler prochainement afin de faire le suivi ensemble” du dossier, selon l’Elysée.Malgré les dommages subis par ses installations nucléaires, Téhéran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l’uranium d’ici “quelques mois”, estime le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi. A cet égard, MM. Poutine et Macron ont martelé que les crises au Moyen-Orient devaient être résolues “par la diplomatie”, a renchéri la présidence russe.Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d’un “règlement durable et exigeant du dossier nucléaire, de la question des missiles de l’Iran et de son rôle dans la région”, a poursuivi l’Elysée.Le président français a demandé que les inspecteurs puissent “reprendre leur travail sans délai” en Iran, alors que Téhéran menace de rompre avec l’AIEA.Vladimir Poutine a de son côté insisté sur le fait que l’Iran avait “le droit” de développer un programme “nucléaire civil”, a précisé le Kremlin.Emmanuel Macron avait annoncé jeudi son intention de parler “dans les prochains jours” avec les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU pour faire en sorte que l’Iran respecte le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).Outre la France et la Russie, les autres membres permanents sont les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Chine.
Macron et Poutine divisés sur l’Ukraine, prêts à coopérer sur l’Iran
Les présidents français Emmanuel Macron et russe Vladimir Poutine se sont parlé mardi pour la première fois depuis septembre 2022, affichant leurs divergences sur le conflit en Ukraine mais se disant prêts à coopérer pour encadrer le programme nucléaire iranien après les dégâts causés par les frappes israéliennes et américaines.Cet échange était destiné en premier lieu à faire le point sur l’Iran – Paris et Moscou étant cosignataires de l’accord de Vienne de 2015 sur le nucléaire iranien – mais a aussi en partie porté sur l’Ukraine.Emmanuel Macron a souligné “le soutien indéfectible de la France à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Ukraine”, a insisté l’Elysée, alors que la Russie occupe près de 20% de ce pays.Il a appelé à “l’établissement, dans les meilleurs délais, d’un cessez-le-feu et au lancement de négociations entre l’Ukraine et la Russie pour un règlement solide et durable du conflit”, a poursuivi l’Elysée.Les frappes russes contre l’Ukraine ont augmenté ces dernières semaines. L’Ukraine a de son côté mené mardi une nouvelle attaque en profondeur en Russie, à 1.000 kilomètres de son territoire, contre une usine fabriquant “des systèmes de défense antiaériens” et “des drones” à Ijevsk.Le président russe a prévenu son homologue français que tout accord de paix en Ukraine devait être “global et sur le long terme, prévoir l’élimination des causes profondes de la crise ukrainienne et s’appuyer sur de nouvelles réalités territoriales”, a de son côté souligné le Kremlin.Moscou a déjà revendiqué l’annexion de quatre régions ukrainiennes, en plus de la péninsule de Crimée, qu’elle a envahie en 2014.Pour Vladimir Poutine, le conflit ukrainien est “une conséquence directe de la politique des Etats occidentaux”, qui ont “ignoré les intérêts sécuritaires de la Russie depuis des années” et créé une “tête de pont anti-russe en Ukraine”. – “Rien à discuter” – Malgré leurs positions très éloignées, les deux dirigeants, qui se sont entretenus durant “plus de deux heures au téléphone”, sont convenus de continuer “d’échanger” sur le conflit en Ukraine, a précisé l’Elysée.Ils étaient conjointement à “l’origine” de cet appel, a relevé l’Elysée.  Emmanuel Macron avait averti le président ukrainien Volodymyr Zelensky de son intention de joindre le maître du Kremlin. Il a aussi échangé avec lui après l’appel, a ajouté la présidence française. Le dernier échange entre les dirigeants français et russe remontait au 11 septembre 2022 et avait porté sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée.Le président français, qui s’était vu reprocher de continuer à parler au maître du Kremlin pendant des mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, accusant Vladimir Poutine de “mentir” sur ses intentions et sa volonté de paix.Il a donc pris le risque de renouer avec lui, dans la foulée de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, pour parler d’Iran mais sans omettre de rappeler ses exigences sur l’Ukraine, souligne-t-on à Paris.Pour la politologue russe Tatiana Stanovaya, fondatrice du cabinet de conseil R.Politik, cet appel “ne veut pas dire que l’Ukraine va perdre tout soutien”. “Il montre plutôt la volonté des Européens d’avoir une place à la table” des négociations, même s’il “n’y a rien à discuter” pour l’instant du fait de l’intransigeance russe, a-t-elle déclaré à l’AFP. – La diplomatie d’abord – Concernant le nucléaire iranien, les deux dirigeants ont “décidé de coordonner leurs démarches et de se parler prochainement afin de faire le suivi ensemble” du dossier, selon l’Elysée.Malgré les dommages subis par ses installations nucléaires, Téhéran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l’uranium d’ici “quelques mois”, estime le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi. A cet égard, MM. Poutine et Macron ont martelé que les crises au Moyen-Orient devaient être résolues “par la diplomatie”, a renchéri la présidence russe.Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d’un “règlement durable et exigeant du dossier nucléaire, de la question des missiles de l’Iran et de son rôle dans la région”, a poursuivi l’Elysée.Le président français a demandé que les inspecteurs puissent “reprendre leur travail sans délai” en Iran, alors que Téhéran menace de rompre avec l’AIEA.Vladimir Poutine a de son côté insisté sur le fait que l’Iran avait “le droit” de développer un programme “nucléaire civil”, a précisé le Kremlin.Emmanuel Macron avait annoncé jeudi son intention de parler “dans les prochains jours” avec les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU pour faire en sorte que l’Iran respecte le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).Outre la France et la Russie, les autres membres permanents sont les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Chine.
Macron et Poutine divisés sur l’Ukraine, prêts à coopérer sur l’Iran
Les présidents français Emmanuel Macron et russe Vladimir Poutine se sont parlé mardi pour la première fois depuis septembre 2022, affichant leurs divergences sur le conflit en Ukraine mais se disant prêts à coopérer pour encadrer le programme nucléaire iranien après les dégâts causés par les frappes israéliennes et américaines.Cet échange était destiné en premier lieu à faire le point sur l’Iran – Paris et Moscou étant cosignataires de l’accord de Vienne de 2015 sur le nucléaire iranien – mais a aussi en partie porté sur l’Ukraine.Emmanuel Macron a souligné “le soutien indéfectible de la France à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de l’Ukraine”, a insisté l’Elysée, alors que la Russie occupe près de 20% de ce pays.Il a appelé à “l’établissement, dans les meilleurs délais, d’un cessez-le-feu et au lancement de négociations entre l’Ukraine et la Russie pour un règlement solide et durable du conflit”, a poursuivi l’Elysée.Les frappes russes contre l’Ukraine ont augmenté ces dernières semaines. L’Ukraine a de son côté mené mardi une nouvelle attaque en profondeur en Russie, à 1.000 kilomètres de son territoire, contre une usine fabriquant “des systèmes de défense antiaériens” et “des drones” à Ijevsk.Le président russe a prévenu son homologue français que tout accord de paix en Ukraine devait être “global et sur le long terme, prévoir l’élimination des causes profondes de la crise ukrainienne et s’appuyer sur de nouvelles réalités territoriales”, a de son côté souligné le Kremlin.Moscou a déjà revendiqué l’annexion de quatre régions ukrainiennes, en plus de la péninsule de Crimée, qu’elle a envahie en 2014.Pour Vladimir Poutine, le conflit ukrainien est “une conséquence directe de la politique des Etats occidentaux”, qui ont “ignoré les intérêts sécuritaires de la Russie depuis des années” et créé une “tête de pont anti-russe en Ukraine”. – “Rien à discuter” – Malgré leurs positions très éloignées, les deux dirigeants, qui se sont entretenus durant “plus de deux heures au téléphone”, sont convenus de continuer “d’échanger” sur le conflit en Ukraine, a précisé l’Elysée.Ils étaient conjointement à “l’origine” de cet appel, a relevé l’Elysée.  Emmanuel Macron avait averti le président ukrainien Volodymyr Zelensky de son intention de joindre le maître du Kremlin. Il a aussi échangé avec lui après l’appel, a ajouté la présidence française. Le dernier échange entre les dirigeants français et russe remontait au 11 septembre 2022 et avait porté sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes et dont la sécurité était alors menacée.Le président français, qui s’était vu reprocher de continuer à parler au maître du Kremlin pendant des mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, en février 2022, a ensuite cessé tout contact, accusant Vladimir Poutine de “mentir” sur ses intentions et sa volonté de paix.Il a donc pris le risque de renouer avec lui, dans la foulée de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, pour parler d’Iran mais sans omettre de rappeler ses exigences sur l’Ukraine, souligne-t-on à Paris.Pour la politologue russe Tatiana Stanovaya, fondatrice du cabinet de conseil R.Politik, cet appel “ne veut pas dire que l’Ukraine va perdre tout soutien”. “Il montre plutôt la volonté des Européens d’avoir une place à la table” des négociations, même s’il “n’y a rien à discuter” pour l’instant du fait de l’intransigeance russe, a-t-elle déclaré à l’AFP. – La diplomatie d’abord – Concernant le nucléaire iranien, les deux dirigeants ont “décidé de coordonner leurs démarches et de se parler prochainement afin de faire le suivi ensemble” du dossier, selon l’Elysée.Malgré les dommages subis par ses installations nucléaires, Téhéran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l’uranium d’ici “quelques mois”, estime le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi. A cet égard, MM. Poutine et Macron ont martelé que les crises au Moyen-Orient devaient être résolues “par la diplomatie”, a renchéri la présidence russe.Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d’un “règlement durable et exigeant du dossier nucléaire, de la question des missiles de l’Iran et de son rôle dans la région”, a poursuivi l’Elysée.Le président français a demandé que les inspecteurs puissent “reprendre leur travail sans délai” en Iran, alors que Téhéran menace de rompre avec l’AIEA.Vladimir Poutine a de son côté insisté sur le fait que l’Iran avait “le droit” de développer un programme “nucléaire civil”, a précisé le Kremlin.Emmanuel Macron avait annoncé jeudi son intention de parler “dans les prochains jours” avec les membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU pour faire en sorte que l’Iran respecte le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).Outre la France et la Russie, les autres membres permanents sont les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Chine.
US college bans transgender athletes following swimming furor
The University of Pennsylvania has agreed to ban transgender athletes from its women’s sports teams, settling a federal civil rights case stemming from the furor around swimmer Lia Thomas, the US government said Tuesday.The US Department of Education said in a statement that UPenn had entered into a resolution agreement vowing to comply with Title IX, the federal law which prohibits sex-based discrimination in any educational program.It follows an investigation by the department’s Office for Civil Rights which found the university had violated Title IX by allowing transgender swimmer Thomas to compete in women’s competitions in 2021-2022.US President Donald Trump, who campaigned on the issue of trans athletes, has worked to prohibit them from competing in girls and women’s sports since returning to office.Trump issued an executive order in February aimed at banning transgender athletes, allowing federal agencies to halt funding to any institution that does not consider birth-assigned genders in determining sex.US Secretary of Education Linda McMahon said in a statement on Tuesday the resolution of the UPenn case marked a “great victory for women and girls … across our nation.””The Department commends UPenn for rectifying its past harms against women and girls, and we will continue to fight relentlessly to restore Title IX’s proper application and enforce it to the fullest extent of the law.”Under the terms of the settlement, UPenn will restore all individual swimming records and titles to female athletes affected by Thomas’s participation.The university will also send a “personalized letter of apology” to each swimmer impacted by the case.The college will also be required to issue a public statement specifying it will “not allow males to compete in female athletic programs” or use Penn Athletics facilities for women, such as locker rooms.Thomas became a lightning rod around the debate of transgender athletes in women’s sport after competing in female collegiate competitions in 2022. She had earlier swam on UPenn’s men’s team while undergoing hormone replacement therapy. Her participation in women’s events sparked widespread outrage, with critics and some fellow swimmers saying she should not have been allowed to compete due to an unfair physiological advantage. Her supporters argued she should be allowed to compete as a woman.One of Thomas’s competitors, Riley Gaines, welcomed Tuesday’s announcement.Gaines has been a long-time critic of Thomas’s participation in women’s collegiate swimming, and tied for fifth place with her in the 200-yard freestyle at a national collegiate meeting in 2022.”It is my hope that today demonstrates to educational institutions that they will no longer be allowed to trample upon women’s civil rights, and renews hope in every female athlete that their country’s highest leadership will not relent until they have the dignity, safety, and fairness they deserve,” Gaines said in a statement.
Global stocks mixed as markets track US trade deal prospects
Global stocks were mixed Tuesday as markets monitored congressional progress on Donald Trump’s massive tax and spending legislation and weighed the prospects for US trade deals ahead of Trump’s July 9 tariff deadline.The Republican-led upper congressional chamber narrowly cleared Trump’s mammoth domestic policy bill, sending the measure back to the House of Representatives, where the vote is also expected to be close.Equity market viewers have cheered the prospects of extending tax cuts while expressing misgivings about projections that the measure will add some $3 trillion to the US national debt.The Dow advanced Tuesday, while both the S&P 500 and Nasdaq retreated from records.Earlier European markets had also ended mixed, while Japan’s Nikkei suffered a 1.2 percent drop after Trump threatened new levies on Japan over a row about the country accepting US rice exports.”The next few days are going to be testing times for governments in many parts of the world as they try to hammer out trade deals with the US,” said Dan Coatsworth, an investment analyst at AJ Bell.While few trade agreements have been reached so far, the week began with some optimism as Canada and the United States agreed to restart trade talks after Ottawa scrapped a digital services tax contested by US tech giants.Comments from Trump and some of his top officials also suggested the deadline was flexible, and that several pacts were nearly completed.”We expect risk sentiment to remain shaky until a deal is agreed… investors are on pause for now and are waiting for concrete news before making their next move,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB. The dollar extended its retreat against the euro and other major currencies.The Dollar Index, which compares the greenback to a basket of major currencies, fell 10.8 percent in the first half of the year, its steepest decline since the dollar became the global benchmark currency. Investors increasingly expect the Federal Reserve to cut rates at least twice this year — with Trump having loudly criticized Fed chief Jerome Powell for not doing so sooner — and all eyes will be on US jobs data due this week.Powell responded on Tuesday at a central bankers’ gathering in Portugal, insisting that the Fed must remain “completely non-political” to successfully pursue its strategy of financial and economic stability.Among individual companies, Tesla fell 5.3 percent as the electric car company’s CEO Elon Musk sparred with Trump over the tax and spending bill. After Musk lambasted the legislation as wasteful and misguided, Trump warned of retribution against Tesla and other Musk ventures. “This high-profile feud introduces political risk,” Briefing.com said of the tiff.”The personal nature of the conflict, amplified by Trump’s comments implying Tesla’s reliance on subsidies for survival, has sparked fears of broader policy shifts targeting Musk’s business empire. This political uncertainty undermines investor confidence.” – Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: UP 0.9 percent at 44,494.94 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.1 percent at 6,198.01 (close)New York – Nasdaq: DOWN 0.8 percent at 20,202.89 (close)London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,785.33 points (close)Paris – CAC 40: FLAT at 7,662.59 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 1.0 percent at 23,673.29 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 1.2 percent at 39,986.33 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,457.75 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: Closed for holiday Euro/dollar: UP at $1.1806 from $1.1787 on MondayPound/dollar: UP at $1.3740 from $1.3732Dollar/yen: DOWN at 143.41 yen from 144.03 yenEuro/pound: UP at 85.87 pence from 85.82 penceBrent North Sea Crude: UP 0.6 percent at $67.11 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.5 percent at $65.45 per barrel
Wimbledon: Sinner et Djokovic continuent, Gauff et Zverev prennent la porte
L’ex-N.1 mondial Novak Djokovic et l’actuel patron du tennis masculin Jannik Sinner ont réussi mardi leur entrée en lice sur le gazon londonien, au contraire d’Alexander Zverev (3e), premier top 5 à tomber, tout comme les Américaines Coco Gauff (2e) et Jessica Pegula (3e) chez les femmes.Le septuple lauréat Novak Djokovic, à 38 ans, a bien lancé sa quête d’un 25e titre en Grand Chelem en battant sans trembler dans la soirée le Français Alexandre Müller, même s’il a laissé filer un set dans un tie break accroché, 6-1, 6-7 (7/9), 6-2, 6-2.Il affrontera au prochain tour le Britannique Daniel Evans (35 ans), qui l’a battu lors de leur uniquement confrontation en 2021 à Monte-Carlo.Il y a eu encore moins de suspense plus tôt dans la journée sur le court N.1, où Sinner n’a fait ni dans le détail, ni dans la durée (1h48) pour éliminer son compatriote Luca Nardi (95e joueur mondial en trois sets, (6-4, 6-3, 6-0).”J’ai senti que je servais vraiment bien. Au début nous avions un peu de mal tous les deux, mais je suis content de la manière dont j’ai terminé ce match”, a commenté l’Italien de 23 ans.L’incroyable finale perdue contre son grand rival Carlos Alcaraz à Roland-Garros, en cinq sets et malgré trois balles de match en sa faveur, est déjà derrière lui. “C’est un nouveau tournoi, un nouveau défi”, s’est projeté l’actuel patron du circuit ATP.- Zverev déprimé -Le N.3 mondial, Alexander Zverev, est lui déjà sorti du tableau après sa défaite surprise en deux jours et cinq sets contre le Français Arthur Rinderknech, 7-6 (7/3), 6-7 (8/10), 6-3, 6-7 (5/7), 6-4.L’Allemand, qui n’a jamais été dans son jardin à Wimbledon, avec trois huitièmes de finale pour meilleurs résultats, n’avait plus perdu au premier tour d’un tournoi du Grand Chelem depuis 2019, déjà sur le gazon londonien.”Je ne me suis jamais senti aussi vide. Je ne ressens aucune joie dans tout ce que je fais, même quand je gagne, comme à Stuttgart (finale) ou Halle (demi-finale)”, a commenté Zverev, qui a confessé se sentir “très seul” en ce moment.Même punition pour le N.7 mondial, Lorenzo Musetti, qui jouait son premier match de la saison sur gazon. L’Italien de 23 ans a été éliminé par le qualifié géorgien Nikoloz Basilashvili, ex-membre du top 20 retombé au 126e rang mondial. “Normalement je sais comment me déplacer, mais aujourd’hui c’était comme si je n’avais jamais joué sur cette surface”, a réagi le demi-finaliste 2024, de retour d’une blessure à la jambe gauche. Le couperet n’est pas passé loin pour l’Américain Taylor Fritz (N.5), finalement venu à bout du gros serveur français Giovanni Mpetshi Perricard (36e mondial), défait 6-7 (6/8), 6-7 (8/10), 6-4, 7-6 (8/6), 6-4, au bout d’un match entamé lundi avant d’être interrompu.- Swiatek OK, Pegula et Gauff KO -Le tableau féminin ne compte lui déjà plus les N.2 et N.3 mondiales, les Américaines Coco Gauff et Jessica Pegula, toutes deux éliminées mardi.Gauff, 21 ans et couronnée à Roland-Garros il y a moins d’un mois, a été battue 7-6 (7/3), 6-1 par l’Ukrainienne Dayana Yastremska (42e).C’est seulement la troisième fois dans l’ère Open que la lauréate de Roland-Garros s’incline la même année au premier tour de Wimbledon après la Belge Justine Henin en 2005 et l’Italienne Francesca Schiavone en 2010.Pegula, 31 ans, a elle été balayée en deux sets (6-2, 6-3) par l’Italienne Elisabetta Cocciaretto (116e). La finaliste de l’US Open en 2024 a subi une défaite surprise et expéditive en 58 minutes, trois jours après avoir remporté le tournoi allemand de Bad Homburg (WTA 500), également sur gazon.”Est-ce que je pense avoir joué le meilleur match de ma carrière? Non, mais je ne pense vraiment pas avoir mal joué. Son tennis était juste incroyable, (…) c’était son jour”, a réagi Pegula.Battue par l’Américaine en finale de Bad Homburg, la Polonaise Iga Swiatek (4e) s’est elle imposée sans forcer contre la Russe Polina Kudermetova (64e) et affrontera au prochain tour l’Américaine Caty Mcnally, ex-N.11 mondiale retombée au 125e rang.La tenante du titre, la Tchèque Barbora Krejcikova (16e mondiale), a elle aussi tenu son rang mais a dû batailler trois sets (3-6, 6-2, 6-1) pour écarter l’étoile montante philippine Alexandra Eala (56e), récente finaliste à Eastbourne.