Timid hope for change as Botswana heads for electionsTue, 29 Oct 2024 18:53:43 GMT

The red of Botswana’s ruling party colours dominated a modest spread of campaign posters in the capital on Tuesday as parties prepared for final rallies on the eve of elections.A few posters for the blue-themed opposition Umbrella for Democratic Change (UDC) could be seen around the university, a bastion of support for the left-leaning alliance …

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Immigration: Retailleau demande aux préfets “des résultats”

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau demande aux préfets une “complète mobilisation” afin de “renforcer le pilotage de la politique migratoire” et obtenir des “résultats”, dans une circulaire dont l’AFP a eu connaissance mardi. “L’obtention des résultats demandés par nos concitoyens exige votre complète mobilisation”, écrit le ministre aux représentants de l’État dans ce document de sept pages qui donne aux préfets la marche à suivre, décidée par le nouveau locataire de la place Beauvau, en attendant une possible nouvelle loi sur l’immigration annoncée pour l’exécutif pour 2025. “Ces orientations visent tant les étrangers en situation régulière (…) que ceux en situation irrégulière, pour ce qui concerne le maintien en rétention administrative et les mesures et dispositifs de suivi à mettre en place lorsque les possibilités de recourir à cette dernière sont épuisées”, écrit le ministre. “Elles visent, avant et surtout, une mobilisation orientée vers les résultats”, demande Bruno Retailleau.  Tenant d’une ligne dure sur l’immigration, le ministre liste dans la circulaire une série de mesures destinées par exemple à “amplifier” et “systématiser” les mesures d’éloignement visant les étrangers susceptibles de présenter des menaces à l’ordre public en France.Ces orientations ne doivent pas se “limiter aux flux de situations nouvelles”, mais doivent “porter sur les dossiers qui n’avaient pu, par le passé, faire l’objet de mesures appropriées, désormais rendues possibles” par la loi Darmanin promulguée début 2024. Soucieux d’utiliser toutes les dispositions ouvertes par la loi “immigration” du précédent ministre, Bruno Retailleau veut par exemple que les préfets mobilisent “pleinement le levier de l’interdiction de retour en complément de l’OQTF (obligation de quitter le territoire français)”, “lorsqu’un arrêt d’expulsion n’est pas juridiquement valable”.  Pour mener à bien cette politique, le ministre demande aux préfets d’abonder “en ressources humaines, matérielles et budgétaires” les services des étrangers afin d’absorber la charge de travail supplémentaire. Il souhaite également “chaque mois des réponses exhaustives” sur l’activité de police des étrangers de chaque préfecture.   La circulaire insiste par ailleurs sur la situation des étrangers sortants de prison, quelques semaines après le viol et le meurtre d’une étudiante parisienne, Philippine, par un Marocain visé par une OQTF. Ainsi parmi le rappel des mesures déjà existantes, la circulaire ordonne aux préfets de “systématiquement faire appel” après la remise en liberté d’un étranger potentiellement dangereux décidée par un magistrat.

Gouvernement démissionnaire: audition de Gabriel Attal à l’Assemblée le 12 novembre

Le gouvernement démissionnaire a-t-il outrepassé certaines prérogatives cet été? C’est la question creusée par une “mission flash”, mardi à l’Assemblée nationale, qui entend notamment auditionner en novembre Gabriel Attal, a appris l’AFP auprès des deux co-rapporteurs.Menée par le macroniste Stéphane Mazars et l’écologiste Léa Balage El Mariky, cette “mission flash”, le nom donné à des travaux réalisés par des parlementaires en général sur un ou quelques mois, débute ses travaux mardi par les auditions des professeurs de droit Denis Baranger et Benjamin Morel. Elle avait auparavant auditionné d’autres professeurs de droit mais également le Secrétariat général du Gouvernement.Quant à l’ex-Premier ministre, il sera entendu le “12 novembre”, ont annoncé à l’AFP les deux co-rapporteurs. Selon M. Mazars, leurs travaux pourraient aussi conduire à auditionner l’ex-ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, l’ex-ministre des Affaires étrangères Stéphane Séjourné ou encore leur collègue des Sports Amélie Oudéa-Castéra.Démissionnaire mi-juillet après la défaite du camp présidentiel aux élections législatives anticipées, le gouvernement de Gabriel Attal était resté en fonctions jusqu’en septembre pour expédier les affaires courantes, jusqu’à la nomination de Michel Barnier à Matignon puis de ses ministres.Léa Balage El Mariky estimait début octobre que “des décisions majeures ont été prises par des anciens ministres démissionnaires, sans légitimité démocratique ni contrôle parlementaire”. Elle avait également annoncé vouloir se servir de cette mission parlementaire pour clarifier dans le droit les règles d’exercice des gouvernements démissionnaires.Il y a dix jours, le Conseil d’État a jugé qu’un décret pris par Gabriel Attal lorsqu’il était à la fois Premier ministre démissionnaire et député était bien valable, car si les deux fonctions sont incompatibles selon la Constitution, cette règle est “dépourvue d’effet sur l’exercice des fonctions de membre du gouvernement”.

Renaissance: la voie est libre pour Attal, qui obtient le ralliement d’Elisabeth Borne

Il n’y aura pas de duel d’anciens Premiers ministres pour s’emparer du parti du président: Élisabeth Borne s’est retirée mardi de la course à la tête de Renaissance pour une “candidature d’union” avec Gabriel Attal, qui conforte sa position de premier héritier, quoique rebelle, d’Emmanuel Macron.Un peu plus de deux mois après l’annonce de sa candidature, dans un entretien accordé mi-août au Parisien, l’ancienne Première ministre se rallie à son successeur à Matignon, dont la grande majorité des cadres du parti considéraient la victoire comme acquise.Le Congrès de Renaissance est prévu les 23 et 24 novembre et l’élection du successeur de Stéphane Séjourné, récemment nommé commissaire européen, se tiendra le 7 décembre.Les candidats ont jusqu’à lundi pour déposer une liste pour l’élection du Conseil national. Lequel concourra, avec les présidents d’assemblées départementales, les membres du bureau exécutif du parti et ceux de l’Assemblée des territoires, à l’élection du nouveau secrétaire général.Mais il semble peu probable qu’une seconde liste vienne concurrencer celle du nouveau président du groupe macroniste à l’Assemblée.”Gabriel Attal a fait savoir qu’il souhaitait être candidat au poste de secrétaire général. Dans cette période déterminante pour notre pays et pour notre famille politiques, des discussions se sont engagées pour rechercher une solution de complémentarité plutôt que de division”, écrivent les deux camps dans un communiqué commun.”Gabriel Attal et Élisabeth Borne ont ainsi fait le choix d’une candidature d’union et de rassemblement. Ni la situation de notre pays, ni celle de notre parti ne supporteraient la division”, poursuivent-ils.”Si les militants le confirment par leur vote, Gabriel Attal sera alors le secrétaire général de Renaissance. Élisabeth Borne sera présidente du Conseil national” (sorte de parlement du parti), selon le texte.Les deux anciens Premiers ministres d’Emmanuel Macron “s’engagent pour créer les conditions du rassemblement le plus large possible”.- “fin du macronisme” -Mme Borne, qui vient de publier un livre sur son expérience à Matignon dans lequel elle n’épargne guère le président, avait reçu le soutien de plusieurs cadres du mouvement présidentiel comme les anciens ministres Aurore Bergé et Clément Beaune et l’ancien patron du groupe à l’Assemblée Sylvain Maillard.Surtout, la députée du Calvados avait d’emblée tenté de placer la pression sur son concurrent non déclaré en estimant qu’il n’était pas d'”usage” de cumuler les fonctions de premier dirigeant du parti et de président du groupe à l’Assemblée. Or Gabriel Attal s’est fait élire président du groupe macroniste en juillet. Un point qui n’est pas abordé dans le communiqué commun.Renoncer à cumuler ? “Je pense que ce n’est pas impossible qu’il le fasse une fois élu, mais il ne le mettra jamais dans le deal”, expliquait lundi un soutien de M. Attal.L’entente au sommet porte également, selon plusieurs sources, sur la place accordée aux soutiens de Mme Borne au sein du futur bureau exécutif du parti.”On a obtenu un très bon accord. Au forceps. Un bon accord qui garantit une véritable représentation dans le parti”, assure un soutien de Mme Borne.Depuis plusieurs semaines, et malgré plusieurs rencontres de négociations, les deux dirigeants sillonnaient les fédérations du parti présidentiel, se succédant parfois dans un même lieu dans une sorte de jeu du chat et de la souris.Le ralliement de Mme Borne ôte un obstacle sur la route de Gabriel Attal, en froid avec Emmanuel Macron depuis la dissolution. L’Élysée avait déjà échoué à obtenir le report de l’élection à la présidence du groupe en juillet. Et avait tenté, sans aller jusqu’au bout, d’obtenir un report de ce Congrès.Cet accord annoncé mardi “correspond à la volonté d’union maintes fois réitérée par le président de la République, donc cela va dans le bon sens”, juge mardi un conseiller de l’exécutif.Fondateur d’En Marche en 2016, devenu La République en marche en 2017, Emmanuel Macron est le président d’honneur de Renaissance, nouveau nom du parti depuis 2022.”Le fait qu’Attal prenne le parti et le groupe, ça acte définitivement la fin du macronisme, et le début de l’attalisme”, juge un des soutiens de l’ancien Premier ministre.

Blackout cripples northern Nigeria after jihadist attackTue, 29 Oct 2024 17:11:53 GMT

Conflict-ridden northern Nigeria has been plunged into darkness for nearly two weeks after jihadists sabotaged infrastructure, authorities say, depriving millions of electricity and paralysing economic activity.Members of a jihadist group vandalised a major transmission line in Niger state’s Shiroro district, crippling the power supply in 19 of the West African country’s 36 states, according to …

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Global stock markets diverge with eyes on megatech results, rates

Global stock markets diverged Tuesday as many investors sat on their hands ahead of a slew of US economic data releases and tech earnings, and as bond yields rose.In midday trading in New York, the Dow was lower, the wider S&P little changed, and the tech-heavy Nasdaq higher. Shares closed mostly lower in Europe.Alphabet reports earnings after the market closes and many investors are awaiting to hear what the Google-parent has to say before taking any bets.”When a mega-cap stock reports earnings, the stock market pays extra attention not only to the report itself, but also to any guidance,” said Patrick O’Hare, an analyst at Briefing.com.In total, five of the “Magnificent Seven” US tech giants will report over the next three days, including Amazon, Apple, Facebook-parent Meta, and Microsoft.On the economic front, the US government will release third quarter GDP growth estimates Wednesday, as well as inflation data Thursday and the closely watched monthly labour market report Friday. Together, they should provide more clues about the health of the world’s largest economy and the direction of the Federal Reserve’s interest rate policy.Meanwhile, yields on 10-year US Treasuries have inched up to above 4.3 percent this week, the highest since early July, indicating that some market participants are increasingly counting on more limited rate cuts from the Federal Reserve.The higher rates, which hurt company earnings and deter investors from taking money out of savings accounts to invest in the stock market, could also reflect unease about the deficit spending plans of both candidates in next Tuesday’s presidential elections, said Joe Mazzola, a strategist at Charles Schwab.”The relentless climb in Treasury yields continues and threatens to overshadow any news, good or bad, on the earnings front,” he said. Boeing was up almost two percent after reporting that its stock offering was over-subscribed. The London, Paris and Frankfurt stock markets all closed lower Tuesday while Asian markets ended mixed. London shed 0.8 percent as investors awaited the first budget of Britain’s new Labour government on Wednesday, expected to include tax rises on businesses. Adidas shares were up almost 4 percent in Frankfurt after the sportswear giant again raised its full-year revenue outlook.  Oil prices initially recovered some of Monday’s losses after the US government said it would add to its Strategic Petroleum Reserve, but then resumed their recent slide on expectations of a coming over-supply.  Bitcoin rose above $72,000 to levels last seen in June and close to its record highs on expectations that Donald Trump, who has sought the support of the crypto-currency world, will win next week’s elections. “Trump’s campaign appears to be building upside momentum, and that’s going down well with the crypto bros,” said David Morrison, analyst at Trade Nation. In Asia, Tokyo and Hong Kong stocks climbed but Shanghai and Singapore retreated.Investors are awaiting the Bank of Japan’s rate decision later this week, with the central bank expected to stand pat following two hikes earlier this year.Focus is also on a key political meeting in Beijing next week, with investors hoping for details of an expected major stimulus plan to support China’s struggling economy.- Key figures around 1640 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 42,281.58 pointsNew York – S&P 500: UP 0.1 percent at 5,828.99 New York – Nasdaq Composite: UP 0.4 percent at 18,642.55 London – FTSE 100: DOWN 0.8 percent at 8,219.61 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,511.11 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.3 at 19,478.07 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 38,903.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.5 percent at 20,701.14 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.1 percent at 3,286.41 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0797 from $1.0815 on MondayPound/dollar: UP at $1.2994 from $1.2972Dollar/yen: UP at 153.54 yen from 153.24 yenEuro/pound: DOWN at 83.09 pence from 83.37 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $71.07 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.4 percent at $67.12 per barrel

Libya and Italy sign slew of cooperation dealsTue, 29 Oct 2024 15:56:01 GMT

Libya and Italy signed several agreements on Tuesday covering sectors including development, investments and infrastructure, aiming to boost cooperation between the two Mediterranean states.The accords were signed by Prime Minister Abdulhamid Dbeibah and his Italian counterpart, Georgia Meloni, during the Italian-Libyan Business Forum, being held in the capital Tripoli after a decade’s hiatus.Libya is still …

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Législatives: LFI investit le militant des droits de l’enfant Lyes Louffok en Isère

La France insoumise a annoncé mardi avoir investi le militant des droits de l’enfant Lyes Louffok comme candidat à l’élection législative partielle dans la 1ère circonscription de l’Isère, où les socialistes locaux ont également proposé une candidate.”Lyes Louffok mènera une campagne décisive pour renforcer les rangs du Nouveau Front populaire, seule opposition à Emmanuel Macron”, a déclaré dans un communiqué ce Comité électoral de LFI, alors que la question d’une candidature unique à gauche dans cette circonscription divise les forces du Nouveau Front populaire (NFP). Le siège est vacant depuis la démission le 9 octobre de l’insoumis Hugo Prévost, accusé de violences sexistes et sexuelles. Selon le Dauphiné Libéré, les militants insoumis locaux ont approuvé la candidature de Lyes Louffok à l’unanimité. Alors que des tensions traversent l’alliance de gauche, LFI invite les forces locales du NFP à se réunir mercredi à Grenoble pour “engager avec elles la campagne pour l’élection de Lyes Louffok”, indique le député insoumis Paul Vannier à l’AFP. Le secrétaire général du PS Pierre Jouvet a confirmé à l’AFP qu’une réunion locale des partis du NFP était prévue mercredi soir, à l’initiative du Parti communiste.Mais il s’agit pour lui de “se mettre autour de la table pour discuter de la meilleure stratégie et de la meilleure candidature”, explique-t-il, au regard d'”un contexte politique particulier” avec la démission du député et dans “une circonscription difficile”, où “l’implantation politique locale aura une influence plus grande”. “Notre obsession au Parti socialiste, c’est que cette élection législative partielle ne soit pas pour nos oppositions le moyen de dire: +regardez, la faiblesse du NFP, qui dès qu’il y a une élection, la perd+”.”Nous considérons que pour garder cette circonscription dans le giron de NFP, la meilleure candidate est Amandine Germain”, conseillère départementale présidente du groupe communiste, socialiste, écologiste et insoumis au Conseil départemental.- Soutien des écologistes -Après cette discussion des partenaires locaux, “on verra quelle décision on prend”, a-t-il ajouté.”Il n’y a aucune volonté de notre part de briser le NFP”, assure-t-il, mais envoyer “un candidat parachuté, malgré toutes ses qualités, ne nous parait pas le scenario optimal pour conserver cette circonscription”.  Mais dans un tweet, la patronne des écologistes Marine Tondelier a déjà choisi son camp, évoquant le “total soutien des Ecologistes” à Lyes Louffok.  La candidate du Nouveau Front populaire à Matignon, Lucie Castets, avait un temps envisagé de se présenter dans cette circonscription, avant de renoncer. Les Insoumis exigeaient qu’elle siège au sein de leur groupe, en vertu de l’accord du Nouveau Front populaire conclu au mois de juin, qui leur réserve cette circonscription. Candidat dans le Val-de-Marne en juin dernier, Lyes Louffok avait été battu au second tour par le candidat des Républicains. C’est donc dans l’ancienne circonscription de l’ex-ministre Olivier Véran, qui reste silencieux sur ses intentions potentielles de briguer un nouveau mandat, que le jeune homme, travailleur social et porte-voix des enfants placés, va tenter de s’imposer.Lyes Louffok, “personnalité engagée n’appartenant à aucune formation politique”, proposera une “grande réforme de l’Aide sociale à l’enfance”, un combat “urgent et essentiel”, a plaidé LFI dans son communiqué.