Tokyo Metro: Asia’s oldest subway goes public

Every day six and a half million people ride Tokyo Metro’s nine lines, part of a dizzyingly complex transport network serving the Japanese megacity and its sprawling suburbs.Tokyo Metro shares rocketed more than 40 percent on their stock market debut Wednesday, raising $2.3 billion in Japan’s biggest initial public offering (IPO) in six years.Here are some facts about the company and its listing:- Asia’s first subway -London built the first public underground railway, but in 1927 Tokyo became the first Asian city with a subway thanks to a 2.2-kilometre (1.4-mile) track from Ueno to Asakusa.The trains ran every three minutes on what is now part of Tokyo Metro’s modern-day Ginza Line but were crowded with passengers who previously overran the city’s trams.Having slowed during and after World War II, construction of public transport picked up pace as Japan rebuilt itself into a major economic power.The company Tokyo Metro was incorporated in 2004, adopting its heart-shaped “M” logo in place of the network’s previous one: a spiky, space-age “S” for subway.- Complex map -Tokyo Metro’s nine lines — named Ginza, Marunouchi, Hibiya, Tozai, Chiyoda, Yurakucho, Hanzomon, Namboku and Fukutoshin — stretch for a total of 195 kilometres.The spotless and punctual air-conditioned trains form only one part of a vast underground and overground rail system serving Greater Tokyo, often cited as the world’s biggest urban area.All but two of the nine Tokyo Metro routes connect to other train lines, allowing direct access to the capital for commuters in farther flung areas.Four other subway lines are run separately by the Tokyo government, alongside private services and East Japan Railway’s overground routes like the Yamanote Line, whose green trains carry millions in a loop around the city.Unique jingles are played at each Tokyo Metro station when a train is at the platform. For example, at Ginza Station, the Marunouchi line’s tunes are called “Tomorrow’s Door” and “The March of a Little Bird”.- IPO -The IPO is Japan’s largest since 2018 when tech and telecoms conglomerate SoftBank Group raised a national record of $23.5 billion by listing its mobile unit.On Wednesday morning, Tokyo Metro shares traded at 1,745 yen, up 45 percent from their issue price of 1,200 yen, with reports saying the issue was 15 times oversubscribed among investors.Before the IPO, the national government owned just over half of Tokyo Metro shares and the Tokyo city government owned the rest. The listing reduces total state ownership to around 50 percent.The funds raised will be used to repay bonds issued to finance the reconstruction of northeastern Japan after the 2011 earthquake, tsunami and nuclear disaster that killed 18,000 people.- Free tickets -Tokyo Metro says investors who buy 200 shares or more will receive some free tickets to its museum and golf range, as well as free tempura toppings at its noodle stands.The “low volatility” of a firm like Tokyo Metro makes their shares a safe investment prospect for Japanese households, said Hideaki Miyajima, a professor of commerce at Waseda University.”And for institutional investors, the Japanese market is very favourable given the very low exchange rate” of the yen and recent corporate governance reforms, he told AFP.- Going underground -In earthquake-prone Japan, Tokyo Metro trains are set up to stop just before a powerful jolt hits, using real-time seismic data from monitoring stations.Climate change is also bringing more frequent and intense flooding to the capital, with some Tokyo subway stations inundated in August by torrential rain.Also buried beneath the Greater Tokyo area is the world’s largest flood tank, a cavernous subterranean reservoir built to protect the metropolis from storms and typhoons.

Retraites: l’abrogation façon RN en commission, la gauche en plein dilemme à l’Assemblée

La proposition de loi du Rassemblement national pour ramener l’âge de la retraite à 62 ans arrive mercredi en commission à l’Assemblée, où la gauche hésite encore sur sa ligne de conduite entre vote pour, contre ou abstention.Premier test pour l’abrogation de la réforme des retraites dans la nouvelle Assemblée. Le texte porté par le député Thomas Ménagé sera examiné à partir de 9H30, avant de passer en séance plénière lors de la journée réservée aux textes du groupe RN le 31 octobre.Ce texte entend rétablir l’âge légal de départ à 62 ans, ainsi que la durée de cotisation à 42 ans pour une pension à taux plein, le tout financé par une hausse des prix du tabac.Inacceptable pour la droite et pour les macronistes qui avaient défendu l’an dernier le passage progressif à 64 ans d’ici 2030. Avec 23 sièges en commission pour le bloc central contre 17 à l’extrême droite, la gauche et ses 25 représentants se retrouvent donc en position d’arbitre.Position peu confortable puisque les quatre partis du Nouveau Front populaire ont fait campagne en juin sur l’abrogation de cette même réforme, mais refusent de donner le point au RN.Ils dénoncent d’ailleurs “l’imposture” d’une proposition de loi qui n’aurait “aucune chance de prospérer” au Sénat, où le parti à la flamme n’a qu’une poignée d’élus, comme l’a encore rappelé Arthur Delaporte (PS) mardi.Au contraire, un texte d’abrogation programmé le 28 novembre par LFI pourrait en cas de succès être repris par les communistes au Sénat fin janvier puis de nouveau à l’Assemblée par les écologistes début février, a affirmé lundi la cheffe des députés LFI Mathilde Panot.Pour imposer leur calendrier sans se déjuger, les groupes ont discuté jusqu’au bout de la meilleure stratégie. Les socialistes ont ainsi décidé mardi après-midi qu’ils “ne prendront pas part au vote”.Le groupe LFI a lui “décidé de ne pas dévoiler sa stratégie de vote”, quand le groupe écologiste a choisi d’organiser en interne “un vote électronique” mardi soir pour décider de la marche à suivre, constatant que “le groupe est partagé”. Son résultat est attendu mercredi matin, a-t-on fait savoir au groupe.Les communistes étaient eux “partagés à 50-50” entre ceux qui “ne souhaitent pas faire sauter la digue” avec l’extrême droite et ceux qui “pensent qu’on ne peut pas ne pas voter ce texte”, a reconnu leur chef André Chassaigne, prêt pour sa part à “assumer le vote”.

Surtaxe sur les hauts revenus, cotisations patronales: le gouvernement en difficulté à l’Assemblée

La surtaxe temporaire sur les hauts revenus du projet de budget 2025 a été pérennisée par les députés contre l’avis du gouvernement, qui a vu dans le même temps mardi ses propres soutiens s’opposer à une mesure phare du budget de la Sécu en commission.”Victoire!”, se réjouissait peu après minuit sur X la patronne des députés LFI Mathilde Panot. “Aucun 49.3 ne doit revenir sur cet acquis !”, a appelé le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.Quelques minutes auparavant, une large majorité de députés a adopté l’article prévoyant la surtaxe sur les hauts revenus proposée par le gouvernement, censée rapporter deux milliards d’euros en 2025. Mais là où l’exécutif veut une contribution “exceptionnelle” pour trois ans, l’Assemblée a voté pour la rendre pérenne, à l’initiative de la gauche et du MoDem, membre de la coalition gouvernementale.”Vous demandez de faire des efforts à tout le monde (…) et les seuls à qui vous dites +rassurez-vous, c’est exceptionnel!+, c’est ceux qui ont très largement de quoi vivre”, a asséné Eric Coquerel, président de la commission des Finances (LFI).Les contribuables doivent “savoir (…) qu’il y aura une fin” à de telles mesures, pour avoir de la “visibilité”, a rétorqué le ministre du Budget Laurent Saint-Martin.Si 62.500 foyers entraient théoriquement dans le champ de cette mesure, une étude préalable publiée par le ministère du Budget estimait que 24.300 foyers seraient effectivement redevables.Le rapporteur général du budget, le centriste Charles de Courson (Liot), a en réponse fait adopter un amendement visant à limiter la possibilité pour des contribuables très aisés de recourir à des avantages fiscaux ou des crédits d’impôts pour réduire la facture.Si l’écrasante majorité des députés NFP et du RN ont voté pour le texte ainsi amendé, les groupes de la coalition présidentielle se sont divisés entre pour, contre et abstentions.Le texte du gouvernement “a été déséquilibré par une forme d’idéologie de revanche fiscale permanente”, a déploré le macroniste Mathieu Lefèvre, (EPR), espérant que l’exécutif ne retiendra pas cette version pérennisée en cas de recours au 49.3 pour faire passer le texte sans vote.”Je pense que M. Barnier a déjà prévu de déclencher le 49.3, et qu’il se moque du monde”, a commenté Jean-Philippe Tanguy (RN), regrettant que le gouvernement “ne négocie rien” et “n’a soutenu aucun amendement d’où qu’il vienne de l’opposition”.- Les cotisations de la discorde -Quelques heures plus tôt, c’est le projet de budget de la Sécurité sociale qui a subi un revers, cette fois en commission. Les députés des groupes EPR et Droite républicaine (ex-LR) ont mené la charge et, à l’instar du RN, fait adopter des amendements supprimant un article-phare, censé rapporter entre quatre et cinq milliards d’euros selon les sources.Une défaite toutefois symbolique à ce stade, car les députés repartiront dans l’hémicycle du texte initial du gouvernement.L’exécutif prévoit de limiter et répartir différemment les allègements de cotisations patronales, aujourd’hui fortement concentrés au niveau du Smic, dans l’espoir d’obtenir des recettes et inciter à des augmentations de salaires.Avec un nouveau cocktail d’allègements de cotisations qui s’arrêteraient par ailleurs à trois Smic, contre 3,5 Smic aujourd’hui. Mais la mesure annoncée hérisse le patronat comme certains députés qui y voient une hausse du coût du travail et une “menace” pour l’emploi.Les groupes de gauche ont eux voté, en vain, contre les amendements de suppression, soutenant les baisses d’exonérations.Le groupe LFI a en revanche fait adopter un amendement prévoyant un système de compensation pour les caisses de la Sécu, si elles sont pénalisées par des réductions ou exonérations de cotisations. Compensation qui se ferait soit via le budget de l’Etat, soit en baissant ou supprimant d’autres exonérations ailleurs.Le socialiste Jérôme Guedj a quant à lui fait voter un amendement pour inciter toutes les branches professionnelles à faire remonter leurs minima conventionnels au niveau du SMIC, en refondant le calcul de leurs allègements.

Ex-Abercrombie CEO charged with sex crimes

The former chief executive of the Abercrombie and Fitch clothing empire has been arrested and charged with the trafficking of male models for sex parties around the world, US prosecutors said Tuesday.Ex-CEO Mike Jeffries, his partner Matthew Smith and the pair’s fixer James Jacobson allegedly used a “casting couch” ploy to groom aspiring male models to attend sex parties at which victims were plied with alcohol and drugs.They were taken to Jeffries’s and Smith’s US homes, as well as venues as far afield as Britain, France, Italy and Morocco for the events, at which some of the men were given Viagra and muscle relaxants, prosecutors said.”The indictment alleges on more than one occasion when men did not or could not consent, Jeffries and Smith violated the bodily integrity of these men by subjecting them or continuing to subject them to invasive sexual and violent contact,” US Attorney Breon Peace told a media briefing.”They spent millions of dollars on a massive infrastructure to support this operation, and to maintain its secrecy,” he added.The trio, who are also charged with interstate prostitution, used “force, fraud and coercion to traffic those men for their own sexual gratification,” Peace said. “The defendants employed a referral system in an interview process that did not inform the men of the details of the sex events before they attended, including the full extent and nature of the sexual activity that would be required of the men at these events,” the attorney said. “They caused the men to believe that attending these sex events could yield modeling opportunities with Abercrombie.”Jeffries was bailed on a $10 million bond, Jacobson on a $500,000 bond, while Smith was denied bail after prosecutors argued that as a British passport holder he was a flight risk.”We will respond in detail to the allegations after the indictment is unsealed, and when appropriate,” Jeffries’s and Smith’s lawyers said in a statement to US media.Jeffries smiled as he left a Florida courthouse with his lawyer before getting into a black BMW.- ‘Appalled and disgusted’ -Fifteen anonymous victims were cited in the charging documents, but prosecutors suggested that the scale of the alleged offending was likely far larger and called on witnesses or victims to come forward.”Today’s arrests are monumental for the aspiring male models who were victimized by these individuals,” said Brittany Henderson, a lawyer representing victims of the alleged crimes.”Their fight for justice does not end here. We look forward to holding Abercrombie and Fitch liable for facilitating this terrible conduct and ensuring that this cannot happen again,” she added in a statement to AFP.The case stems from a 2023 BBC investigation, “The Abercrombie Guys: The Dark Side of Cool,” in which several men spoke out about signing non-disclosure agreements for sex events allegedly run by Jeffries.Abercrombie and Fitch has previously said it was “appalled and disgusted” by the allegations about Jeffries’s behavior and has “zero tolerance for abuse, harassment or discrimination of any kind.”Jeffries left Abercrombie in 2014 with a golden parachute worth $25 million, according to corporate filings.Peace said he did not have evidence that the offending took place on company grounds.Jeffries and Smith will appear at a federal court in West Palm Beach, Florida, while Jacobson was arrested in Wisconsin and will make his initial appearance in federal court in Saint Paul, Minnesota. 

Attal et le bloc central, Wauquiez et Barnier: capharnaüm sur le “socle commun”

Encore raté: la perte mardi d’un nouveau poste à responsabilité à l’Assemblée nationale illustre les divisions entre le camp d’Emmanuel Macron, conduit par Gabriel Attal, et la droite emmenée par Laurent Wauquiez (LR), précaire “socle commun” du gouvernement de Michel Barnier.Dix jours après l’élection de la député insoumise Aurélie Trouvé à la présidence de la Commission des Affaires économiques, nouvelle “paume” au Palais-Bourbon. Pour remplacer la LR Annie Genevard nommée au gouvernement, les députés, après trois tours de scrutin, ont élu mardi soir le député écologiste Jérémie Iordanoff, qui a devancé de 14 voix la candidate LR soutenue par le camp présidentiel, Virginie Duby-Muller.Même cause, mêmes effets. Et jeu perdant-perdant pour le “socle commun” à l’Assemblée. Pour les LR, qui perdent une vice-présidence malgré le profil très “Macron-compatible” de la députée de Haute-Savoie. Pour le camp présidentiel qui, empêtré dans sa querelle avec le groupe de Laurent Wauquiez, s’est au demeurant divisé, avec la candidature au deux premiers tours de Christophe Blanchet qui a ratissé bien au delà de son seul groupe MoDem.Chez Ensemble pour la République (EPR), Gabriel Attal avait pourtant battu le rappel en faveur de la candidate LR. Dans la matinée, l’ancien Premier ministre avait assuré cette position à Matignon devant son successeur, Michel Barnier, et les autres cadres du “socle commun”. Consigne avait été donnée d’outrepasser la rancœur contre LR après l’épisode Aurélie Trouvé.”Le MoDem ne nous aide pas sur ce coup-là”, a-t-on regretté mardi soir dans l’entourage de Gabriel Attal.”Je sens bien qu’on va nous faire porter tous les chapeaux de la terre”, a ironisé le président du groupe MoDem, Marc Fesneau. Le parti centriste, déjà victime des premiers atermoiements du fameux “socle commun” en juillet, a présenté son candidat. “M. Attal a dit à ses troupes de voter pour les LR et pas pour le MoDem (…) C’est un mauvais axe pour M. Attal, qui vient du PS, avec des gens (LR, NDLR) qui demain lui taperont dessus”, a cinglé le député MoDem Richard Ramos.- Coalition sans contrat -C’est le paradoxe de cette Assemblée issue d’une dissolution décidée un soir de juin à l’Élysée: ce “socle”, allant des soutiens d’Emmanuel Macron – Renaissance, MoDem, Horizons – aux Républicains (LR) en passant par une partie du groupe centriste Liot s’est formé pour assurer la réélection au perchoir de la macroniste Yaël Braun-Pivet, et servir de base à la nomination à Matignon de Michel Barnier. Voilà la gauche écartée.Mais depuis lors, c’est le grand désaccord, sur la répartition des postes à l’Assemblée, l’attitude envers le gouvernement Barnier ou encore pour l’examen du budget.Une coalition sans contrat de coalition. Dont la fragilité apparaît vote après vote au Palais-Bourbon, alors qu’a débuté l’examen du budget, à qui l’ensemble des observateurs promettent une adoption par 49.3.Revenus comme par miracle au pouvoir dont ils étaient éloignés depuis douze ans, les LR jouent les bons élèves. “On ne joue pas à +si vous ne nous suivez pas, on vote la censure+, on ne joue pas à +si vous n’augmentez pas mon budget, je démissionne+. On essaie d’être solide dans la période”, explique l’un d’eux, dans une claire allusion aux députés et ministres macronistes.Mais pas question pour autant de défendre le bilan d’Emmanuel Macron. Et le groupe LR repris en main par Laurent Wauquiez s’estime lésé depuis le mois de juillet. Se juge désormais sous-représenté aux postes importants de l’Assemblée. Et accuse même Gabriel Attal et les macronistes d’avoir “dealé avec le RN”.Côté présidentiel, l’équation est encore plus complexe. En froid avec l’Élysée, mais confortablement élu président de groupe par ses pairs députés, Gabriel Attal joue une partition délicate: soutenir Michel Barnier, qui ne l’épargne guère, tout en défendant le bilan de sept ans de macronisme au gouvernement.”Certaines de ses décisions, il les prend plus pour garder son groupe ensemble qu’autre chose”, juge une figure du Palais-Bourbon. Le président du groupe Ensemble pour la République (EPR) n’a pas que des soutiens chez les macronistes. Lui qui juge au contraire que sa présence à la tête du groupe a permis de maintenir l’unité, menacée après les législatives, et devrait probablement concourir face à Elisabeth Borne pour la direction du parti Renaissance.”Ne tombons pas dans le piège des LR”, insiste-t-on mardi dans l’entourage de Gabriel Attal. bpa-arz-sl-sac/hr/cbn

Uganda fuel truck explosion kills 11Tue, 22 Oct 2024 20:53:22 GMT

A fuel truck ran out of control and exploded into flames near the Ugandan capital on Tuesday, killing 11 people, including two minors, police said.The impoverished East African country has witnessed several similar disasters in recent years as people rushed to steal fuel from tankers involved in road accidents.Ugandan police said the latest tragedy struck …

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L’écologiste Jérémie Iordanoff élu vice-président de l’Assemblée

L’écologiste Jérémie Iordanoff a été élu mardi vice-président de l’Assemblée, en battant la candidate LR Virginie Duby-Muller, qui a pâti des divisions du “socle commun” réunissant LR et les macronistes en soutien du gouvernement.M. Iordanoff a obtenu 175 voix au troisième tour et Mme Duby-Muller 161, dans un scrutin à suspense pour remplacer Annie Genevard (LR) partie au gouvernement. Au premier et au deuxième tour les voix du “socle commun” se sont partagées entre la candidate de la droite et un candidat MoDem, Christophe Blanchet. Celui-ci s’est finalement retiré, mais cela n’a pas suffi à faire élire la députée de Haute-Savoie.Au premier tour, la députée a totalisé 127 voix et M. Blanchet 69, soit davantage que les 33 voix de son groupe. Au deuxième, Mme Duby-Muller a obtenu 125 voix, et Christophe Blanchet 46. M. Iordanoff, qui avait obtenu 149 voix au 2e tour du scrutin, a bénéficié de la mobilisation de son camp et peut-être de l’apport de quelques voix du “socle commun”.La mésentente entre LR et le camp présidentiel s’était déjà traduite le 9 octobre par l’élection à la présidence de la commission des Affaires économique de l’Insoumise Aurélie Trouvé, face au député apparenté EPR Stéphane Travert, qui n’avait pas obtenu le soutien de LR à sa candidature.- “Equipe bidon” -“C’est la défaite” du socle commun “on voit qu’ils ne sont plus majoritaires dans cet hémicycle, leur division leur a coûté une vice-présidence”, a commenté M. Iordanoff devant la presse, remerciant les députés du NFP de leur vote.Le chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon a félicité M. Iordanoff sur X. “Équipe bidon, stratégie bidon, Macron et Barnier sont des encombrants inutiles”, a-t-il taclé.”Cette victoire est d’abord celle de l’union du Nouveau Front populaire. Ce bloc de soutien à Michel Barnier n’a pas de cohérence sur le plan programmatique et pas de solidarité dans les moments importants”, a salué la présidente du groupe écologiste Cyrielle Chatelain.Auprès de la presse, le président du groupe MoDem Marc Fesneau a affirmé ne pas être “satisfait du tout” de ce résultat, et assuré avoir “demandé à (ses) députés de faire en sorte que ce ne soit pas le NFP qui ait le siège”.”Je fais des additions. Je constate que Christophe Blanchet a perdu 23 voix entre le premier et le deuxième tour et que ces 23 voix ne sont pas allées chez Mme Duby-Muller”, a-t-il dit, soupçonnant des “gens qui soutenaient le candidat Stéphane Travert à la commission des Affaires économiques” d’être “vraiment pas contents”.”Il y a forcément des MoDem qui n’ont pas voté pour le LR. Quand il y a des alliances contre nature ça ne peut pas marcher (…) M. Attal est devenu le ventriloque de (Laurent) Wauquiez”, président du groupe LR, a affirmé à l’AFP le député Modem Richard Ramos.Du côté du groupe Ensemble pour la République (ex-Renaissance), on a regretté une candidature MoDem qui ne servait “à rien” et assuré que le groupe avait été “responsable depuis le début”. “Ce n’est pas parce que Laurent Wauquiez n’a pas respecté ses engagements qu’on doit faire pareil (…) Force est de constater que le Modem ne nous aide pas sur ce coup-là”, a-t-on réagi.

Uganda fuel truck explosion kills at least 10Tue, 22 Oct 2024 18:28:30 GMT

A fuel truck ran out of control and exploded into flames near the Ugandan capital on Tuesday, killing at least 10 people, a local official told AFP.The impoverished East African country has witnessed several similar disasters in recent years as people rushed to steal fuel from tankers involved in road accidents.Tuesday’s blast occurred on a …

Uganda fuel truck explosion kills at least 10Tue, 22 Oct 2024 18:28:30 GMT Read More »