Trump évoque la peine capitale pour des démocrates qui appellent l’armée à désobéir

Donald Trump a évoqué jeudi la peine de mort pour des élus démocrates ayant appelé les militaires et les agents du renseignement américains à désobéir aux “ordres illégaux” de son gouvernement.”COMPORTEMENT SEDITIEUX, passible de la peine de MORT!”, a écrit le président américain sur son réseau Truth Social.”Absolument infâme”, a réagi le Parti démocrate sur …

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Trump plans massive expansion of offshore oil drilling

President Donald Trump’s administration is planning to open up millions of square miles (kilometers) of US coastal waters to oil and gas drilling, it said Thursday, in a step that could lead to a massive expansion of fossil fuel extraction.The move comes as Washington looks increasingly out of step with much of the developed world, where there is growing acceptance of the reality of human-caused climate change.Under the plan announced by the US Department of the Interior, 34 lease sales will be offered, allowing for drilling in 1.27 billion acres (500 million hectares) — an area the size of the Amazon.The proposal includes waters off the north coast of Alaska that have never been drilled before, in the Gulf of Mexico — which the administration calls the Gulf of America — and off California.”The Biden administration slammed the brakes on offshore oil and gas leasing and crippled the long-term pipeline of America’s offshore production,” said Secretary of the Interior Doug Burgum, referring to Trump’s predecessor Joe Biden.Burgum insisted that offshore energy production requires a lot of time and investment.”By moving forward with the development of a robust, forward-thinking leasing plan, we are ensuring that America’s offshore industry stays strong, our workers stay employed, and our nation remains energy dominant for decades to come.”Trump speaks frequently of what he says is the need for America to drill for more fossil fuel, and is disparaging about the global shift to renewables, which he calls a “scam.” He regularly calls climate change science “a con.”Under his presidency, the country has pulled back from international agreements on fighting climate change, and did not send an official delegation to the ongoing COP30 climate summit in Brazil.But the plans announced Thursday are likely to face pushback domestically, particularly from California, whose government pledged to block drilling in the state’s coastal waters.”Trump’s idiotic plan endangers our coastal economy and communities and hurts the well-being of Californians. This reckless attempt to sell out our coastline to his Big Oil donors is dead in the water,” said Governor Gavin Newsom.”Californians remember the environmental and economic devastation of past oil spills. For decades, California has stood firm in our opposition to new offshore drilling, and nothing will change that. The proposals are also expected to face opposition in the Gulf, where memories remain of the devastating Deepwater Horizon spill in 2010, which saw millions of gallons (liters) of oil wreck tourism and fishing.Rick Scott, a Republican senator for Florida, was quick to lodge his objections to the Trump plan.”Florida’s coasts must remain off the table for oil drilling to protect Florida’s tourism, environment, and military training opportunities,” he wrote on X.

Ukraine: Washington juge son plan “bon” pour les deux parties, Zelensky veut une “paix digne”

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a plaidé jeudi en faveur d’une “paix digne”, après un entretien avec un haut responsable américain qui lui a présenté le plan de Washington pour mettre fin à l’invasion russe, présenté par la Maison Blanche comme “bon” pour les deux parties.”L’Ukraine a besoin de paix. (…) Une paix digne, afin que les conditions soient respectueuses de notre indépendance, de notre souveraineté et de la dignité du peuple ukrainien”, a indiqué M. Zelensky dans son adresse quotidienne diffusée sur les réseaux sociaux, après s’être entretenu avec le secrétaire américain à l’Armée, Daniel Driscoll.Le dernier plan présenté par Washington semble donner surtout satisfaction aux ambitions de Moscou, alors que l’armée ukrainienne, moins nombreuses et moins équipée, peine à contenir la poussée russe sur le front.La présidence ukrainienne avait indiqué peu avant que M. Zelensky prévoyait de discuter “dans les prochains jours” avec son homologue américain Donald Trump des “possibilités diplomatiques disponibles et des principaux points nécessaires à la paix”.”Nous sommes prêts à travailler de manière constructive avec la partie américaine et nos partenaires en Europe et dans le monde entier afin de parvenir à la paix”, avait-elle ajouté.”Le président (Trump) soutient ce plan. C’est un bon plan à la fois pour la Russie et pour l’Ukraine et nous pensons qu’il est acceptable pour les deux parties”, a toutefois assuré jeudi la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt. Le président Vladimir Poutine s’est de son côté rendu jeudi “dans l’un des postes de commandement du groupement de troupes Ouest” selon le Kremlin – qui n’a pas précisé si ce poste ce trouvait en Russie ou en Ukraine.Le commandant du groupement de troupes Ouest, Sergueï Kouzovlev, a pu lui annoncer devant les caméras de la télévision russe la prise de Koupiansk, l’un des bastions ukrainiens dans l’est du pays.La ville, qui comptait 55.000 habitants avant la guerre, avait été occupée pendant plusieurs mois en 2022 par l’armée russe avant d’être reprise par les troupes ukrainiennes.- Progression russe -Selon le chef de l’état-major, Valéri Guérassimov, les troupes russes “continuent d’étendre leur zone de contrôle” dans les régions de Dnipropetrovsk (centre-est), où elles ont pénétré cet été, et de Zaporijjia (sud), où elles ont avancé ces dernières semaines.Il a aussi fait état d’une “offensive qui se déroule avec succès” à Pokrovsk, un noeud logistique clef pour l’armée ukrainienne qui pourrait tomber prochainement, et à Siversk, une ville qui n’avait pas connu de combats depuis 2022.”Les troupes (…) avancent pratiquement sur tous les fronts”, s’est félicité le général Guérassimov.Selon des éléments fournis à l’AFP par une source proche du dossier, les propositions américaines présentées à l’Ukraine s’approchent des conditions maximalistes avancées précédemment par la Russie et rejetées dans le passé par Kiev qui n’y voit qu’une capitulation de facto.Ce texte comporte 28 propositions, selon des médias américains:  Il prévoit la “reconnaissance de (l’annexion de) la Crimée et d’autres régions prises par la Russie”, qui contrôle presque 20% du territoire ukrainien, a indiqué la source de l’AFP à Kiev. Moscou a déjà réclamé par le passé que Kiev lui cède les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est, et de Kherson et Zaporijjia dans le Sud, qu’elle contrôle partiellement et dont elle revendique l’annexion depuis septembre 2022, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014.Selon des médias américains, le plan exige aussi de l’Ukraine qu’elle reconnaisse le russe comme deuxième langue officielle et que les droits de l’Eglise orthodoxe dépendante du patriarcat de Moscou soient réinstaurés.- “Concessions difficiles mais nécessaires” -Les propositions prévoient aussi “la réduction de l’armée ukrainienne à 400.000 personnes”, soit à peine plus de la moitié de ses effectifs et l’abandon de toutes ses armes à longue portée, selon le haut responsable. La Russie est en outre farouchement opposée à toute présence de troupes de l’Otan en Ukraine ainsi qu’à l’adhésion de Kiev dans l’Alliance.Kiev réclame pour sa part des garanties de sécurité de la part des Occidentaux, dont des troupes européennes sur son sol, ce que prévoit d’interdire le plan américain, selon des médias.Kiev estime que ces propositions ont été préparées par la Russie et approuvées par les Américains, a déclaré à l’AFP le haut responsable à Kiev, soulignant que ce que la Russie était censée faire en retour n’était “pas clair”.D’après le média américain Axios, Washington et Moscou ont travaillé en secret à son élaboration, ce que le Kremlin a refusé de commenter.La présidence ukrainienne s’est dite néanmoins prête à “travailler de manière constructive avec la partie américaine et (ses) partenaires en Europe et dans le monde entier afin de parvenir à la paix”.Selon elle, une conversation entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump à ce sujet est prévue “dans les prochains jours”.”Les deux parties devront accepter de faire des concessions difficiles mais nécessaires”, a de son côté déclaré le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, plaidant pour un “échange d’idées sérieuses et réalistes”.Le Kremlin a déclaré n’avoir aucun commentaire à ce sujet.Les alliés européens de l’Ukraine ont de leur côté insisté pour que tout accord inclue les positions de l’UE et de Kiev.”Pour qu’un plan fonctionne, il faut que les Ukrainiens et les Européens soient impliqués”, a déclaré jeudi la cheffe de la diplomatie de l’UE, Kaja Kallas.bur-ant-mda-pop/lpt-liu/ial/

ExxonMobil relaunches natural gas project in Mozambique

US energy giant ExxonMobil announced Thursday the resumption of its gas development project in Mozambique, which had been suspended for several years due to a jihadist insurgency.”We have lifted force majeure (FM) for the Rovuma LNG project in Area 4,” the company said in a statement, referring to a legal concept that is invoked to suspend a project when there are unforeseen or adverse conditions.ExxonMobil holds a 25 percent stake in the planned onshore liquefied natural gas facility in the southeastern African country that is expected to begin production in 2030.A jihadist insurgency in Cabo Delgado, a northern province, has left more than 6,200 people dead since 2017, according to the NGO Acled, which collects data on conflict zones.However, it was a jihadist offensive in March 2021 that caused some 800 deaths and led oil companies to suspend their projects in the region.According to ExxonMobil’s website, Area 4 is operated by a joint venture called Mozambique Rovuma Venture.The venture is 70 percent owned by a consortium — ExxonMobil, the Italian ENI, and the Chinese CNPC — while XRG (Abu Dhabi), KOGAS (South Korea), and Empresa Nacional de Hidrocarbonetos each hold a 10 percent stake.”We are working with our partners and the government of Mozambique to ensure the safety of our people and facilities, as we look to develop a world-class LNG project that can help drive economic growth,” said the oil giant, which is based in Spring, Texas.It specified that planning was nearing completion and the final investment decision should be made during the course of 2026.In October, ExxonMobil chief executive Darren Woods said the company was optimistic about moving ahead with a liquefied natural gas project in Mozambique, where NGOs have loudly criticized a plan by French petroleum giant TotalEnergies to resume work.Woods that month hosted the president of Mozambique in Houston and rated the meeting as “really productive.” TotalEnergies announced on October 25 that it had lifted the force majeure and resumed its own project in Mozambique after operations were suspended for four years.On Wednesday, Mozambique’s government announced that it would audit losses caused by the suspension of the French group’s project.When AFP asked the company about it on Thursday, ExxonMobil did not indicate whether it also planned to seek compensation for losses.

ExxonMobil relaunches natural gas project in MozambiqueThu, 20 Nov 2025 21:58:53 GMT

US energy giant ExxonMobil announced Thursday the resumption of its gas development project in Mozambique, which had been suspended for several years due to a jihadist insurgency.”We have lifted force majeure (FM) for the Rovuma LNG project in Area 4,” the company said in a statement, referring to a legal concept that is invoked to …

ExxonMobil relaunches natural gas project in MozambiqueThu, 20 Nov 2025 21:58:53 GMT Read More »