Trump threatens ABC News in Oval Office meltdown

An infuriated Donald Trump threatened a US network’s broadcast license Tuesday after its reporter asked questions about his family’s business and the Jeffrey Epstein scandal at a high-profile White House event.ABC News reporter Mary Bruce posed the questions as Trump hosted Saudi Arabia’s Crown Prince Mohammed bin Salman, who was linked by the CIA to the 2018 murder of Washington Post journalist Jamal Khashoggi.Bruce asked about allegations of inappropriate Middle East deal-making by Trump’s family business.Media reports have highlighted deals being discussed between the Trump Organization and Saudi partners, including a luxury resort development in the Maldives.Bruce also quizzed Prince Mohammed, saying “US intelligence concluded that you orchestrated the brutal murder of a journalist, 9/11 families are furious that you’re here in the Oval Office. Why should Americans trust you?””ABC fake news. One of the worst in the business,” Trump cut in angrily.The president said he has “nothing to do with the family business,” currently run by his two eldest sons.- ‘Piggy’ insult -He also backed Prince Mohammed’s denial of involvement in the Khashoggi murder, despite US intelligence suggesting he approved the operation.”You don’t have to embarrass our guest by asking a question like that,” Trump snapped.Bruce later asked about the flashpoint issue of late sex offender Epstein.Trump’s links to the financier have dogged him for months after his supporters previously fanned flames of conspiracies over Epstein, who died by suicide in 2019 while awaiting trial for sex trafficking.”It’s not the question that I mind. It’s your attitude. I think you are a terrible reporter,” Trump shot back at Bruce.”I have nothing to do with Jeffrey Epstein,” the president said, repeating his claim that the scandal is a “hoax.”And “your crappy company is one of the perpetrators,” he told her.”I’ll tell you something. I think the license should be taken away from ABC, because your news is so fake and it’s so wrong,” he added.He urged the head of the US broadcast regulator — who has previously threatened ABC over its content — to “look at that.”He then pointed at Bruce: “No more questions from you.”The latest clash comes after the president called another female reporter “piggy” last week when she asked about Epstein.

La Coordination rurale réunie en congrès à Auch dans une ambiance tendue

Retrouvailles et déchirements: la Coordination rurale est réunie dans une ambiance électrique depuis mardi pour son congrès de deux jours à Auch: deux camps s’affrontent pour prendre la tête du 2e syndicat agricole français, après sa percée historique aux dernières élections.La présidente sortante Véronique Le Floc’h, qui brigue un nouveau mandat de trois ans, fait face à Bertrand Venteau, président de la chambre d’agriculture de la Haute-Vienne depuis 2019.L’éleveuse de 52 ans qui produit du lait bio en Bretagne veut accompagner “la crise de croissance” du syndicat après son succès aux élections de chambres d’agriculture de janvier, et “consolider sa position d’acteur incontournable du monde agricole”.À la tribune de la salle polyvalente du Mouzon, à Auch, elle évoque la concurrence des marchés mondiaux et la lutte pour le revenu paysan: “Il faut aussi mener les combats là où se prennent les décisions, dans les ministères, dans les institutions françaises et européennes.””Je veux le dire avec force: nous ne construirons rien en nous divisant”, lance-t-elle à la salle, déjà désertée par nombre d’adhérents du Sud-Ouest. Son adversaire, Bertrand Venteau, 46 ans, éleveur de vaches de race Limousine, promeut un syndicat “au service des équipes départementales dans la défense des paysans”. Une façon de rappeler aux sortants la primauté du terrain.Il est soutenu par les dirigeants des places fortes du syndicat aux bonnets jaunes, du Gers au Lot-et-Garonne: les “sudistes” estiment que la percée aux élections leur est largement attribuable, portée par des actions musclées, comme la tentative de blocage de Paris en janvier ou le saccage de bureaux de l’Office français de la biodiversité.Ils défendent une ligne dure, vue comme l’ADN d’un mouvement bâti de blocages en coups d’éclat. Certains ne cachent pas leur proximité avec l’extrême droite, à rebours d’une ligne officiellement “apolitique”.- “Dégagisme” -Pendant le discours de la présidente sortante, des “bonnets jaunes” du Sud-Ouest bavardent autour de leur mentor Serge Bousquet-Cassagne, ex-président de la chambre d’agriculture du Lot-et-Garonne, la bouillonnante “CR47”.Poids lourd du syndicat, qui revendique “18 procès en 30 ans” et dont la gestion “clientéliste” de la chambre d’agriculture a été sanctionnée par la Cour des comptes, il a choisi de peser au côté de Bertrand Venteau. Et a souvent été faiseur de roi, rappellent des adhérents dans les couloirs.Le suspense sera levé mercredi: un premier scrutin départagera les deux candidats à la présidence avant un second vote pour élire le comité directeur. Le corps électoral est composé des présidents des sections départementales de la CR, qui disposent chacun d’un à sept mandats au prorata du nombre d’adhérents de leur section.Les résultats seront proclamés en fin de matinée, et sont d’autant plus imprévisibles que la CR a vu ses rangs gonfler depuis le dernier congrès électif.A l’issue d’une campagne de “dégagisme” qui a ébranlé l’alliance historique FNSEA-Jeunes agriculteurs (JA), elle a obtenu près de 30% des voix des agriculteurs (contre 20% six ans auparavant).Ce dégagisme s’appliquera-t-il en interne ?Car la notabilisation de la direction, qui se pose en interlocutrice du pouvoir et pousse ses dossiers, déplaît au sud de la Loire, où le reproche de “cogestion avec l’État” adressé à la FNSEA vise désormais Véronique Le Floc’h et son comité directeur.- “Pas de bain de sang” -Insultes, intimidations, voire menaces, le ton est monté ces derniers mois, les “sudistes” souhaitant que le national paye les amendes de ses adhérents qui ont fait le coup de poing en manifestation ou s’aligne sur les méthodes de la bouillante “CR47”.Pour Christian Convers, secrétaire général sortant et soutien de Véronique Le Floc’h, “il y a deux lignes qui diffèrent sur la méthode et non sur la ligne syndicale. Ca ne va pas se finir dans un bain de sang. C’est normal qu’il y ait des ambitions… vu la progression de notre syndicat”.Mais il estime aussi qu'”on peut être ferme et respectueux”. Hors salle, Bertrand Venteau tempête encore contre l’équipe sortante accusée de “se complaire dans la bobosphère parisienne” au lieu “de donner des moyens aux départements”. À ses yeux, la CR, victime de sa crise de croissance, “n’a pas formé de cadres” et il faut maintenant “faire le boulot”. 

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Perrier: la vente de la célèbre eau gazeuse reste autorisée par la justice

Un tribunal français a autorisé mardi la poursuite de la commercialisation de la célèbre eau gazeuse Perrier, dont une association de consommateurs contestait la vente comme “eau minérale naturelle” en jugeant que la marque de Nestlé Waters était coupable de “tromperies”.”L’existence d’un risque sanitaire pour le consommateur lié aux eaux Perrier étiquetées +eaux minérales naturelles+ n’est nullement établie”, a décidé le tribunal de Nanterre, en région parisienne. En concluant “qu’aucun dommage imminent n’est démontré”.L’association de consommateurs UFC-Que Choisir arguait que la microfiltration utilisée par le groupe sur ses eaux faisait que celles-ci ne pouvaient plus prétendre à l’appellation “eau minérale naturelle”. Et demandait en conséquence à la justice une “interdiction de commercialisation” et “la cessation des tromperies”.Le tribunal a débouté l’association et l’a condamnée à verser 5.000 euros au groupe Nestlé Waters Premium Beverages pour couvrir ses frais de justice. “Nous sommes en colère”, a réagi sa présidente, Marie-Amandine Stévenin.Nestlé Waters, qui produit en France les eaux Perrier, Vittel, Contrex ou encore Hépar, a pour sa part salué une décision qui “confirme que la sécurité alimentaire des eaux minérales naturelles Source Perrier a toujours été garantie”.Il s’agit du enième rebondissement d’un feuilleton de deux ans. Qui a trouvé sa source quand le groupe suisse a admis, début 2024 sous le coup de plusieurs enquêtes de presse, avoir utilisé par le passé des traitements interdits (charbon, UV) pour ses eaux.L’avocat d’UFC-Que Choisir, Alexis Macchetto, était allé jusqu’à dire qu’il existait “un risque réel pour le consommateur”.Nestlé Waters avait contesté “fermement” les demandes de l’association, “notamment les allégations mettant en cause la sécurité alimentaire des produits”.- Commercialisation “trompeuse”? -Le groupe utilise depuis 2024 une microfiltration à 0,2 micron dont la légalité a été contestée, l’eau minérale naturelle ne pouvant faire l’objet de désinfection ou traitement de nature à modifier ses caractéristiques, sauf exception pour retirer du fer ou du manganèse considérés comme nocifs.Le groupe affirme l’avoir fait dans le cadre d’un plan de transformation validé par le gouvernement français en 2023.Depuis, les autorités sanitaires ont estimé que cette microfiltration à 0,2 micron modifiait le microbisme de l’eau, poussant le groupe, sous injonction préfectorale, à la remplacer par une microfiltration à 0,45 micron.Si Nestlé Waters affirme que ce degré de microfiltration a été validé par les autorités, il a dû déposer de nouvelles demandes d’autorisation préfectorale pour exploiter ses forages et commercialiser sous l’appellation eau minérale naturelle.Alors que les préfets n’ont toujours pas rendu leur décision, UFC-Que Choisir soutient que la commercialisation actuelle est “trompeuse”.Nestlé Waters s’en défend, soulignant la mise en place depuis juin, indépendamment de la procédure judiciaire, d’une “vaste” campagne de communication dans les supermarchés et la presse, affirmant bien que les eaux Perrier, Contrex et Hépar “sont susceptibles” de ne pas être minérales naturelles selon “l’analyse par l’Etat de leur microfiltration”.- Pas d’impact sur les ventes -Dans l’immédiat, cette campagne ne semble pas avoir eu d’impact sur les ventes. Sur les bouteilles Perrier classiques, “le nombre de foyers acheteurs est resté stable”, souligne l’entreprise à l’AFP, précisant qu’elle vend toute sa production. Sur le dernier trimestre, avec une météo propice à la consommation d’eau, les ventes sont “même en croissance”.En revanche, la production des bouteilles bleues de Perrier fines bulles a reculé puisque des forages ont été suspendus depuis le début du scandale, et le groupe reconnaît que les ventes ont mécaniquement baissé.Une autre campagne de communication a été lancée ces dernières semaines, cette fois par les concurrents français de Nestlé Waters réunis dans la Maison des eaux minérales naturelles.”L’appellation eau minérale naturelle se mérite”, affirme le syndicat qui rassemble Danone (Evian, Badoit, Salvetat, Volvic) avec des plus petits acteurs (Wattwiller, Mont-Roucous, Eau neuve, Bonneval).Pour eux, la réglementation, dont Nestlé Waters a demandé une clarification, est limpide. “Nous partageons une responsabilité commune: protéger la pureté originelle. Sans traitement. Sans compromis”. C’est-à-dire avec une microfiltration à 0,45 micron réservée au retrait du fer ou du manganèse, ce qui n’est pas le cas pour les filtres utilisés par Nestlé Waters dans le cadre des demandes d’autorisation en cours.

Perrier: la vente de la célèbre eau gazeuse reste autorisée par la justice

Un tribunal français a autorisé mardi la poursuite de la commercialisation de la célèbre eau gazeuse Perrier, dont une association de consommateurs contestait la vente comme “eau minérale naturelle” en jugeant que la marque de Nestlé Waters était coupable de “tromperies”.”L’existence d’un risque sanitaire pour le consommateur lié aux eaux Perrier étiquetées +eaux minérales naturelles+ n’est nullement établie”, a décidé le tribunal de Nanterre, en région parisienne. En concluant “qu’aucun dommage imminent n’est démontré”.L’association de consommateurs UFC-Que Choisir arguait que la microfiltration utilisée par le groupe sur ses eaux faisait que celles-ci ne pouvaient plus prétendre à l’appellation “eau minérale naturelle”. Et demandait en conséquence à la justice une “interdiction de commercialisation” et “la cessation des tromperies”.Le tribunal a débouté l’association et l’a condamnée à verser 5.000 euros au groupe Nestlé Waters Premium Beverages pour couvrir ses frais de justice. “Nous sommes en colère”, a réagi sa présidente, Marie-Amandine Stévenin.Nestlé Waters, qui produit en France les eaux Perrier, Vittel, Contrex ou encore Hépar, a pour sa part salué une décision qui “confirme que la sécurité alimentaire des eaux minérales naturelles Source Perrier a toujours été garantie”.Il s’agit du enième rebondissement d’un feuilleton de deux ans. Qui a trouvé sa source quand le groupe suisse a admis, début 2024 sous le coup de plusieurs enquêtes de presse, avoir utilisé par le passé des traitements interdits (charbon, UV) pour ses eaux.L’avocat d’UFC-Que Choisir, Alexis Macchetto, était allé jusqu’à dire qu’il existait “un risque réel pour le consommateur”.Nestlé Waters avait contesté “fermement” les demandes de l’association, “notamment les allégations mettant en cause la sécurité alimentaire des produits”.- Commercialisation “trompeuse”? -Le groupe utilise depuis 2024 une microfiltration à 0,2 micron dont la légalité a été contestée, l’eau minérale naturelle ne pouvant faire l’objet de désinfection ou traitement de nature à modifier ses caractéristiques, sauf exception pour retirer du fer ou du manganèse considérés comme nocifs.Le groupe affirme l’avoir fait dans le cadre d’un plan de transformation validé par le gouvernement français en 2023.Depuis, les autorités sanitaires ont estimé que cette microfiltration à 0,2 micron modifiait le microbisme de l’eau, poussant le groupe, sous injonction préfectorale, à la remplacer par une microfiltration à 0,45 micron.Si Nestlé Waters affirme que ce degré de microfiltration a été validé par les autorités, il a dû déposer de nouvelles demandes d’autorisation préfectorale pour exploiter ses forages et commercialiser sous l’appellation eau minérale naturelle.Alors que les préfets n’ont toujours pas rendu leur décision, UFC-Que Choisir soutient que la commercialisation actuelle est “trompeuse”.Nestlé Waters s’en défend, soulignant la mise en place depuis juin, indépendamment de la procédure judiciaire, d’une “vaste” campagne de communication dans les supermarchés et la presse, affirmant bien que les eaux Perrier, Contrex et Hépar “sont susceptibles” de ne pas être minérales naturelles selon “l’analyse par l’Etat de leur microfiltration”.- Pas d’impact sur les ventes -Dans l’immédiat, cette campagne ne semble pas avoir eu d’impact sur les ventes. Sur les bouteilles Perrier classiques, “le nombre de foyers acheteurs est resté stable”, souligne l’entreprise à l’AFP, précisant qu’elle vend toute sa production. Sur le dernier trimestre, avec une météo propice à la consommation d’eau, les ventes sont “même en croissance”.En revanche, la production des bouteilles bleues de Perrier fines bulles a reculé puisque des forages ont été suspendus depuis le début du scandale, et le groupe reconnaît que les ventes ont mécaniquement baissé.Une autre campagne de communication a été lancée ces dernières semaines, cette fois par les concurrents français de Nestlé Waters réunis dans la Maison des eaux minérales naturelles.”L’appellation eau minérale naturelle se mérite”, affirme le syndicat qui rassemble Danone (Evian, Badoit, Salvetat, Volvic) avec des plus petits acteurs (Wattwiller, Mont-Roucous, Eau neuve, Bonneval).Pour eux, la réglementation, dont Nestlé Waters a demandé une clarification, est limpide. “Nous partageons une responsabilité commune: protéger la pureté originelle. Sans traitement. Sans compromis”. C’est-à-dire avec une microfiltration à 0,45 micron réservée au retrait du fer ou du manganèse, ce qui n’est pas le cas pour les filtres utilisés par Nestlé Waters dans le cadre des demandes d’autorisation en cours.

Trump defends Saudi prince over journalist Khashoggi’s murder

US President Donald Trump defended Saudi Arabia’s Crown Prince Mohammed bin Salman Tuesday over the 2018 killing of dissident journalist Jamal Khashoggi as he wooed the key ally with a lavish welcome to the White House.Trump insisted the de facto Saudi leader “knew nothing” about the killing of the Washington Post columnist, after greeting the prince with a flypast of F-35 stealth fighters which he has promised to sell to Riyadh.The Saudi royal, who came bearing a pledge of a $1 trillion investment in the United States on his first US visit since the killing, said Khashoggi’s murder was “painful” and a “huge mistake.”A US intelligence assessment in 2021 concluded that Prince Mohammed had ordered the operation to kill Khashoggi, who was murdered and dismembered inside the Saudi consulate in Istanbul.Saudi officials blamed rogue agents.The killing during Trump’s first term caused a diplomatic crisis at the time, but the US president made it clear he now wanted to brush over it as he boosts his relationship with the Saudis.Trump raged at a journalist who asked the prince about the murder in the Oval Office. He called Khashoggi “extremely controversial” and accused the reporter who asked the question of embarrassing the Saudi visitor.”Things happened, but he knew nothing about it,” Trump said of the Saudi prince. “You don’t have to embarrass our guest by asking a question like that.”- ‘No justification’ -The journalist’s widow, Hanan Elatr Khashoggi, said in response to Trump’s comments that there was “no justification to murder my husband.”She also urged the Saudi prince in a post on social media to “meet me, apologize and compensate me” for the killing of her spouse.Trump, 79, pulled out all the stops to impress Prince Mohammed, 40, giving him a parade of soldiers on horseback and thundering cannon fire on his arrival at the White House.The Republican then showed the prince a new gallery of presidential portraits by the Rose Garden — including one portraying his Democratic predecessor Joe Biden as an autopen.The flattery continued inside the Oval Office, as Trump called the Saudi a “very good friend” and hailed him as being “incredible, in terms of human rights, and everything else.” The heir to the throne then delighted Trump by announcing that he was increasing the $600 billion Saudi investment he promised Trump when the US president visited the country in May.”We can announce that we are going to increase that $600 billion to almost $1 trillion for investment,” he said.The two countries were also set to seal a host of deals on defense, energy and AI, the White House said, including a deal on a framework for civilian nuclear cooperation.- Abraham Accords -Trump said he had also pushed Prince Mohammed to normalize relations with Israel through the Abraham Accords, as he seeks to turn the fragile ceasefire between Israel and Hamas in Gaza into a longer-lasting regional peace.The Saudi said he wanted to join the accords — Trump’s signature diplomatic achievement during his first term — but first needed a “clear path” to Palestinian statehood.Trump meanwhile reiterated his intention to sell Saudi Arabia coveted F-35 stealth fighters, despite concerns from Israel and warnings from US officials that China could steal the technology.The pomp was set to continue later in the day as First Lady Melania Trump hosts a gala dinner for the Saudi leader. Portugal soccer legend Cristiano Ronaldo, who plays in Saudi Arabia, will also be at the White House, a US official told AFP.Prince Mohammed has fostered close ties with Trump and his family over the years, including through investment pledges to the property billionaire-turned-US president.Trump denied any conflicts of interest, a day after a Saudi developer announced a new hotel partnership in the Maldives with the Trump Organization, which is run by his sons.”I have nothing to do with the family business. I have left,” Trump said.

Trump defends Saudi prince over journalist Khashoggi’s murder

US President Donald Trump defended Saudi Arabia’s Crown Prince Mohammed bin Salman Tuesday over the 2018 killing of dissident journalist Jamal Khashoggi as he wooed the key ally with a lavish welcome to the White House.Trump insisted the de facto Saudi leader “knew nothing” about the killing of the Washington Post columnist, after greeting the prince with a flypast of F-35 stealth fighters which he has promised to sell to Riyadh.The Saudi royal, who came bearing a pledge of a $1 trillion investment in the United States on his first US visit since the killing, said Khashoggi’s murder was “painful” and a “huge mistake.”A US intelligence assessment in 2021 concluded that Prince Mohammed had ordered the operation to kill Khashoggi, who was murdered and dismembered inside the Saudi consulate in Istanbul.Saudi officials blamed rogue agents.The killing during Trump’s first term caused a diplomatic crisis at the time, but the US president made it clear he now wanted to brush over it as he boosts his relationship with the Saudis.Trump raged at a journalist who asked the prince about the murder in the Oval Office. He called Khashoggi “extremely controversial” and accused the reporter who asked the question of embarrassing the Saudi visitor.”Things happened, but he knew nothing about it,” Trump said of the Saudi prince. “You don’t have to embarrass our guest by asking a question like that.”- ‘No justification’ -The journalist’s widow, Hanan Elatr Khashoggi, said in response to Trump’s comments that there was “no justification to murder my husband.”She also urged the Saudi prince in a post on social media to “meet me, apologize and compensate me” for the killing of her spouse.Trump, 79, pulled out all the stops to impress Prince Mohammed, 40, giving him a parade of soldiers on horseback and thundering cannon fire on his arrival at the White House.The Republican then showed the prince a new gallery of presidential portraits by the Rose Garden — including one portraying his Democratic predecessor Joe Biden as an autopen.The flattery continued inside the Oval Office, as Trump called the Saudi a “very good friend” and hailed him as being “incredible, in terms of human rights, and everything else.” The heir to the throne then delighted Trump by announcing that he was increasing the $600 billion Saudi investment he promised Trump when the US president visited the country in May.”We can announce that we are going to increase that $600 billion to almost $1 trillion for investment,” he said.The two countries were also set to seal a host of deals on defense, energy and AI, the White House said, including a deal on a framework for civilian nuclear cooperation.- Abraham Accords -Trump said he had also pushed Prince Mohammed to normalize relations with Israel through the Abraham Accords, as he seeks to turn the fragile ceasefire between Israel and Hamas in Gaza into a longer-lasting regional peace.The Saudi said he wanted to join the accords — Trump’s signature diplomatic achievement during his first term — but first needed a “clear path” to Palestinian statehood.Trump meanwhile reiterated his intention to sell Saudi Arabia coveted F-35 stealth fighters, despite concerns from Israel and warnings from US officials that China could steal the technology.The pomp was set to continue later in the day as First Lady Melania Trump hosts a gala dinner for the Saudi leader. Portugal soccer legend Cristiano Ronaldo, who plays in Saudi Arabia, will also be at the White House, a US official told AFP.Prince Mohammed has fostered close ties with Trump and his family over the years, including through investment pledges to the property billionaire-turned-US president.Trump denied any conflicts of interest, a day after a Saudi developer announced a new hotel partnership in the Maldives with the Trump Organization, which is run by his sons.”I have nothing to do with the family business. I have left,” Trump said.

Meta wins major antitrust case as US judge rules no monopoly

A US judge dismissed the federal government’s antitrust lawsuit against Meta on Tuesday, ruling that the tech giant’s acquisition of Instagram and Whatsapp did not constitute an illegal monopoly in social media.The ruling delivered a major victory to Meta after a five-year battle that began when the US agency filed suit claiming the company illegally maintained its monopoly by acquiring Instagram in 2012 and WhatsApp in 2014 to eliminate competitive threats.Judge James Boasberg of the federal district court in Washington concluded that Meta faces sufficient competition from rivals TikTok and YouTube, preventing the company from exercising monopoly power in the social media market.The FTC had argued that Facebook, Instagram, Snapchat and minor player MeWe competed in a distinct market of connecting friends and family that was separate from video entertainment platforms like TikTok and YouTube.The US government argued that this hold on friends and family offered a unique ability to build out Meta products and rake in billions of dollars in profits every quarter.But Boasberg found that distinction no longer holds in today’s social media landscape.”Meta holds no monopoly in the relevant market,” the judge declared, noting that Facebook and Instagram have transformed in recent years to primarily show users short videos recommended by algorithms — nearly identical to TikTok’s core offering.The court cited data that Americans now spend only 17 percent of their time on Facebook viewing content from friends, with that figure dropping to just seven percent on Instagram.Instead, users predominantly watch “Reels” — short videos from strangers recommended by AI.”Facebook, Instagram, TikTok, and YouTube have thus evolved to have nearly identical main features,” Boasberg wrote, citing evidence showing that users treat these platforms as substitutes.Meta welcomed the judge’s recognition that the company “faces fierce competition” and said it looked forward to working with the Trump administration “and to invest in America.”Ahead of the trial that began in April, Meta CEO and founder Mark Zuckerberg had made repeated visits to the White House as he tried to persuade President Donald Trump against allowing the FTC to fight the trial.The trial did take place, with Zuckerberg and several top Meta executives brought to the stand.- ‘Intense competition’ -The ruling represents a setback for US antitrust enforcers who have pursued aggressive action against Big Tech companies, with mixed results in court.As part of that push, the US government has launched five major cases against tech giants, including two against Google and suits against Apple and Amazon.A different US judge in September rejected a government bid to break up Google, after the search engine juggernaut was found to have acted as an illegal monopoly.The judge in that case was swayed by similar arguments that Google’s hold on the search engine market was under threat by new actors — ChatGPT and other AI upstarts in Google’s case.”Judge Boasberg correctly grasps how dynamic digital markets are,” said Vidushi Dyall of the Chamber of Progress, a big tech lobby.”Even large tech companies still face intense competition and…new players have disrupted the position of incumbents,” Dyall wrote on X.