Trump urges pardon for Netanyahu over ‘cigars and champagne’

US President Donald Trump on Monday told the Israeli parliament that Prime Minister Benjamin Netanyahu, who is on trial in three separate corruption cases, should be pardoned.Netanyahu and his wife Sara are accused in one case of accepting more than $260,000 worth of luxury goods such as cigars, jewellery and champagne from billionaires in exchange for political favours.”Cigars and champagne, who the hell cares about that?” Trump joked, declaring his ally Netanyahu’s one of Israel’s greatest wartime leaders.”Hey, I have an idea, Mr President,” Trump said, addressing his Israeli counterpart Isaac Herzog, “Why don’t you give him a pardon?” “By the way, that was not in the speech, as you probably know. But I happen to like this gentleman right over here,” he added, indicating Netanyahu.The Israeli prime minister has repeatedly denied any wrongdoing in the three court cases, and his supporters have dismissed the long-running trials as politically motivated.Besides the gifts affair, Netanyahu is accused of attempting to negotiate more favourable coverage from two Israeli media outlets in two other cases. During his current term, which started in late 2022, Netanyahu has proposed far-reaching judicial reforms that critics say sought to weaken the courts.Those prompted massive protests that were only curtailed after the onset of the Gaza war.Last month, Herzog indicated that he could grant Netanyahu a pardon, saying in an interview that the prime minister’s case “weighs heavily on Israeli society”.The Israeli premier is also subject to an arrest warrant issued by the International Criminal Court (ICC) on suspicion of ordering war crimes in his government’s assault on Hamas militants in Gaza.Trump, a frequent vocal defender of Netanyahu, did not address the international case in his Knesset speech, but Washington has previously condemned the warrant and imposed sanctions on some ICC staff. In a post published on his social media network Truth Social in June, Trump called Netanyahu’s trials a “political witch hunt” that was “very similar to the witch hunt that I was forced to endure”. Trump himself has long accused his political opponents of using the Justice Department to target him during his time out of office. 

Dossier libyen: Nicolas Sarkozy connaît les modalités de son incarcération

L’ex-président Nicolas Sarkozy a appris lundi les modalités de son incarcération imminente dans le dossier libyen, qui n’étaient pas connues dans l’immédiat, lors de sa convocation par le parquet national financier (PNF) au tribunal de Paris.Contactés par l’AFP, ni son avocat Christophe Ingrain ni le PNF n’ont souhaité s’exprimer.Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris a déclaré l’ancien chef de l’Etat coupable d’association de malfaiteurs pour avoir laissé ses plus proches collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi en vue d’un financement illégal de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007. Il l’a condamné à cinq ans de prison ferme.Bien qu’ayant fait appel du jugement, Nicolas Sarkozy, 70 ans, va être incarcéré en raison du mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire prononcé à son encontre. Une mesure que le tribunal a justifié par l'”exceptionnelle gravité des faits”, commis par un responsable politique aspirant alors à la fonction suprême de la République.Convoqué par le PNF, M. Sarkozy est arrivé au tribunal judiciaire de Paris vers 13H45 à bord d’une voiture aux vitres fumées, avant de repartir peu avant 14H30 sans faire de déclaration, ont constaté des journalistes de l’AFP.Contrairement aux deux autres condamnés avec mandat de dépôt dans ce procès, l’intermédiaire Alexandre Djouhri et le banquier Wahib Nacer, Nicolas Sarkozy, qui a toujours répondu aux convocations de la justice, a bénéficié d’un délai avant son incarcération pour prendre ses dispositions professionnelles.La mise sous écrou doit théoriquement intervenir dans un délai de quatre mois à compter de cette convocation mais Nicolas Sarkozy sera incarcéré dans un “délai relativement proche”, avait indiqué à l’AFP une source judiciaire au moment du jugement.L’ancien champion de la droite va alors devenir le premier ex-chef d’Etat d’un pays de l’Union européenne à aller derrière les barreaux.En principe, en région parisienne, la ventilation dans les établissements pénitentiaires se fait selon une répartition alphabétique. Mais pour assurer sa sécurité, l’ex-président pourrait être incarcéré soit dans un “quartier vulnérable” (QPV), soit en quartier d’isolement. En région parisienne, seules deux maisons d’arrêt disposent d’un “quartier vulnérable”: la Santé à Paris et Fleury-Mérogis, en Essonne.- “Verre d’adieu” -Dès son entrée en prison, la défense de M. Sarkozy pourra déposer une demande de mise en liberté devant la cour d’appel. Celle-ci a un maximum de deux mois pour statuer sur cette demande. En cas de rejet, M. Sarkozy pourra déposer de nouvelles demandes.Mercredi soir, selon le récit qu’en a fait le quotidien Le Figaro, il a réuni une centaine d’ex-collaborateurs, dont l’actuel secrétaire général de l’Elysée Emmanuel Moulin, pour un “verre d’adieu”.”L’affaire Dreyfus a commencé avec un faux!”, leur a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par le journal qui y assistait. “+Le Comte de Monte-Cristo+ commence par un faux! A chaque fois, la vérité finit toujours par triompher, ce n’est qu’une question de temps.”Critiquée à droite et à l’extrême droite, l’incarcération de Nicolas Sarkozy avant son appel est estimée “juste” par 61% des sondés, contre 38% qui la trouvent “injuste”, selon un sondage Elabe réalisé du 29 au 30 septembre.Les sept prévenus condamnés dans le procès libyen ont fait appel, de même que le PNF. Le ministère public a aussi fait appel de relaxes prononcées par le tribunal de Paris, comme celle d’Eric Woerth, trésorier de la campagne de 2007.Un nouveau procès se tiendra donc au cours des prochains mois devant la cour d’appel de Paris.En première instance, le tribunal a considéré que des flux d’argent sont effectivement partis de Libye mais que la procédure ne démontrait pas qu’ils étaient arrivés dans les caisses de la campagne Sarkozy.

Dossier libyen: Nicolas Sarkozy connaît les modalités de son incarcération

L’ex-président Nicolas Sarkozy a appris lundi les modalités de son incarcération imminente dans le dossier libyen, qui n’étaient pas connues dans l’immédiat, lors de sa convocation par le parquet national financier (PNF) au tribunal de Paris.Contactés par l’AFP, ni son avocat Christophe Ingrain ni le PNF n’ont souhaité s’exprimer.Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris a déclaré l’ancien chef de l’Etat coupable d’association de malfaiteurs pour avoir laissé ses plus proches collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi en vue d’un financement illégal de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007. Il l’a condamné à cinq ans de prison ferme.Bien qu’ayant fait appel du jugement, Nicolas Sarkozy, 70 ans, va être incarcéré en raison du mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire prononcé à son encontre. Une mesure que le tribunal a justifié par l'”exceptionnelle gravité des faits”, commis par un responsable politique aspirant alors à la fonction suprême de la République.Convoqué par le PNF, M. Sarkozy est arrivé au tribunal judiciaire de Paris vers 13H45 à bord d’une voiture aux vitres fumées, avant de repartir peu avant 14H30 sans faire de déclaration, ont constaté des journalistes de l’AFP.Contrairement aux deux autres condamnés avec mandat de dépôt dans ce procès, l’intermédiaire Alexandre Djouhri et le banquier Wahib Nacer, Nicolas Sarkozy, qui a toujours répondu aux convocations de la justice, a bénéficié d’un délai avant son incarcération pour prendre ses dispositions professionnelles.La mise sous écrou doit théoriquement intervenir dans un délai de quatre mois à compter de cette convocation mais Nicolas Sarkozy sera incarcéré dans un “délai relativement proche”, avait indiqué à l’AFP une source judiciaire au moment du jugement.L’ancien champion de la droite va alors devenir le premier ex-chef d’Etat d’un pays de l’Union européenne à aller derrière les barreaux.En principe, en région parisienne, la ventilation dans les établissements pénitentiaires se fait selon une répartition alphabétique. Mais pour assurer sa sécurité, l’ex-président pourrait être incarcéré soit dans un “quartier vulnérable” (QPV), soit en quartier d’isolement. En région parisienne, seules deux maisons d’arrêt disposent d’un “quartier vulnérable”: la Santé à Paris et Fleury-Mérogis, en Essonne.- “Verre d’adieu” -Dès son entrée en prison, la défense de M. Sarkozy pourra déposer une demande de mise en liberté devant la cour d’appel. Celle-ci a un maximum de deux mois pour statuer sur cette demande. En cas de rejet, M. Sarkozy pourra déposer de nouvelles demandes.Mercredi soir, selon le récit qu’en a fait le quotidien Le Figaro, il a réuni une centaine d’ex-collaborateurs, dont l’actuel secrétaire général de l’Elysée Emmanuel Moulin, pour un “verre d’adieu”.”L’affaire Dreyfus a commencé avec un faux!”, leur a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par le journal qui y assistait. “+Le Comte de Monte-Cristo+ commence par un faux! A chaque fois, la vérité finit toujours par triompher, ce n’est qu’une question de temps.”Critiquée à droite et à l’extrême droite, l’incarcération de Nicolas Sarkozy avant son appel est estimée “juste” par 61% des sondés, contre 38% qui la trouvent “injuste”, selon un sondage Elabe réalisé du 29 au 30 septembre.Les sept prévenus condamnés dans le procès libyen ont fait appel, de même que le PNF. Le ministère public a aussi fait appel de relaxes prononcées par le tribunal de Paris, comme celle d’Eric Woerth, trésorier de la campagne de 2007.Un nouveau procès se tiendra donc au cours des prochains mois devant la cour d’appel de Paris.En première instance, le tribunal a considéré que des flux d’argent sont effectivement partis de Libye mais que la procédure ne démontrait pas qu’ils étaient arrivés dans les caisses de la campagne Sarkozy.

A Sarreguemines, l’ “immense tristesse” après le suicide de Sara, 9 ans

Des roses blanches sur les grilles de l’école, des parents angoissés face au harcèlement scolaire: une “immense tristesse” frappe Sarreguemines (Moselle) après le probable suicide de Sara, 9 ans. Lundi matin, une dizaine de parents se sont rassemblés devant l’école Montagne Supérieure, située à Beausoleil, un quartier parsemé de logements sociaux entourés de verdure.”On a passé un week-end horrible, on n’arrive pas à dormir”, témoigne une mère de famille, refusant de donner son nom. “J’ai vu une photo de son visage. Et depuis, je m’imagine, je me mets à la place de sa mère. Comment elle va vivre avec cette douleur?”, ajoute-t-elle en évoquant Sara.La petite fille, scolarisée en CM2, a été retrouvée morte à son domicile samedi. Elle avait laissé un mot d’adieu à ses proches.Devant son école, un bâtiment orange d’un étage, des parents d’élèves se sont regroupés “en soutien” à sa famille mais aussi pour exprimer leur “inquiétude” et leur “colère” après le drame qui a frappé cette ville de 20.000 habitants située non loin de la frontière allemande.Plusieurs parents ont été reçus par les services du rectorat et une cellule d’écoute a été mise en place.”La tristesse de toute la communauté éducative est immense, la mienne aussi”, a déclaré à la presse le recteur de Nancy-Metz, Pierre-François Mourier, précisant avoir reçu les parents de Sara, “dévastés mais en même temps d’une extraordinaire dignité”. “Je souhaite évidement que tout l’éclairage soit fait. Il y a une enquête de police, il y aura des conclusions, et il est hors de question que quoi que ce soit, s’il y a quoi que ce soit, reste sous le tapis. Je m’y engage”, a déclaré M. Mourier.Selon des sources policières à l’AFP, Sara subissait, aux dires de sa mère, des railleries de ses camarades de classe en raison de son surpoids et elle avait déjà évoqué un passage à l’acte.Interrogé à ce sujet, le parquet a dit n’avoir “aucune information laissant penser qu’elle aurait évoqué un potentiel passage à l’acte” et a dit rester “très prudent” au sujet d’un éventuel harcèlement.- “Ils se moquaient” -“En classe, elle rigolait, elle était joyeuse un peu, mais des fois (d’autres enfants) l’insultaient”, raconte Abnor 9 ans, camarade de classe de Sara.”C’était souvent pas en classe mais après l’école quand on partait vers la route”, explique-t-il, ajoutant, “ils se moquaient”.”C’est pas gentil, (…) On est dans un établissement scolaire c’est pour apprendre, pour avoir un bon métier, avoir des sous, c’est pas un endroit pour harceler. Ni ici ni partout dans le monde”, commente l’enfant.Selon une proche de la famille de Sara, qui a voulu garder l’anonymat, un signalement du harcèlement avait déjà été effectué auprès de l’établissement. Pour la mère d’Abnor, “les enfants et les parents doivent être entendus”.”Quand nos enfants reviennent et nous disent qu’ils se sont fait embêter, on a beau leur dire de le dire au maître ou à la maîtresse, ça ne bouge pas. On va plus loin, on voit la directrice, on fait ce qui est en notre pouvoir. Mais on ne peut pas faire plus”, déplore une autre mère.Des roses blanches ont été accrochées aux grilles de l’établissement avant d’être retirées dans la matinée.Yoann Simon, un habitant de Forbach, à une vingtaine de km de là, est de ceux qui ont apporté une rose, confiant avoir “mal au coeur pour la famille”. “Il faut faire bouger les choses, le harcèlement ça devrait être puni”, observe-t-il.Selon une vaste enquête menée en novembre 2023, dans le sillage d’un plan interministériel contre le harcèlement scolaire, 5% des écoliers du CE2 au CM2, 6% des collégiens et 4% des lycéens sont considérés comme victimes de harcèlement. Mère de deux enfants en CE1, Elsa Deichel-Bohrer explique être venue devant l’école de Sara pour soutenir “la famille de la petite”, mais aussi “les élèves, parce qu’ils ne doivent pas comprendre ce qu’il s’est passé”. Pour elle, il faudrait “leur parler plus que trois heures par an de harcèlement”.

India close in on Test series sweep despite West Indies fightback

India closed in on a 2-0 series sweep in the second Test despite some spirited West Indies batting led by centuries from John Campbell and Shai Hope on Monday.Needing 121 for victory after bowling out the West Indies for 390, the hosts reached 63-1 at stumps on day four at Delhi’s Arun Jaitley Stadium.KL Rahul, on 25, and Sai Sudharsan, on 30, were batting in a stand of 54 at close of an absorbing day’s play.Yashasvi Jaiswal fell early for eight after left-arm spinner Jomel Warrican had the Indian opener caught at long-on while attempting an ambitious heave.Rahul and the left-handed Sudharsan steadied the ship and the pair kept up the scoring with singles and occasional boundaries against a persistent West Indies spin attack.Earlier, Justin Greaves with an unbeaten 50 and Jayden Seales (32) put on 79 runs for the final wicket to frustrate India after the West Indies slipped to 311-9 in the second session.Greaves and the left-handed number 10 defied the bowlers for 133 deliveries with straight-bat shots before Jasprit Bumrah dismissed Seales in the final session for his third wicket.Left-arm wrist spinner Kuldeep Yadav also took three wickets to add to his five-wicket haul in the West Indies’ first innings.Campbell (115) and Hope (103) had steered the West Indies into the lead after the tourists resumed the day on 173-2 while following on.”I think it’s a big positive for us,” Campbell said of their fightback. “Having not gotten the best first innings, we came out second innings and batted over 100 overs, so that’s a big plus for us.”The left-right batting pair of Campbell and Hope put on 177 runs for the third wicket.- Kuldeep strikes -Opener Campbell reached his first Test ton with a six off Ravindra Jadeja before the left-arm spinner trapped him lbw in the morning session.Hope kept up the charge after lunch and reached his first Test hundred in eight years with a boundary off pace bowler Mohammed Siraj.Siraj had his revenge soon after when the batter dragged his delivery onto his stumps.Kuldeep then took over to send back wicketkeeper Tevin Imlach, trapped lbw for two.The left-arm wrist spinner then struck twice in three balls including skipper Roston Chase for 40 before Greaves and Seales put on a defiant partnership.India bowled more than 200 overs on a slow pitch that made life tough for bowlers.The visitors had waged a fightback after being reduced to 35-2 in their second innings on day three, but the batters made sure the game will go the distance to day five.”Good to be bowling long spells and heartening to have taken 20 West Indies wickets,” Indian spinner Washington Sundar told reporters.”We got to be really fit and on top of our game. In Test cricket you honestly expect most of the Test matches to go till the fith day and challenge you in every way possible,”the off-spinner said.India enforced the follow-on after they bowled out the West Indies for 248, a deficit of 270 from the hosts’ first-innings 518-5 declared.The hosts won the first Test, in Ahmedabad, by an innings and 140 runs.

IMF meetings to start under fresh cloud of US-China trade tensions

The IMF and World Bank’s semi-annual gathering of finance ministers and central bank governors gets underway in Washington on Monday, against the backdrop of new trade threats from the world’s two largest economies.Last week, China unveiled new export restrictions on critical minerals, prompting a fierce response from US President Donald Trump, who said he would impose new 100 percent tariffs on Beijing in response.The news, delivered just after US stock markets closed on Friday, sent shares plunging after hours, as investors digested the prospect of a reinvigorated trade war. Trump dialed back his rhetoric over the weekend, and by Monday morning traders appeared to have settled somewhat, with futures for Wall Street’s three major indices trading higher before markets opened. – Economy, jobs in spotlight -International Monetary Fund managing director Kristalina Georgieva told an event in Washington last week that the world economy is doing “better than feared, but worse than we need.”She added that the Fund now expects global growth to slow “only slightly this year and next,” propped up by better-than-expected conditions in the United States, and among some other advanced economies, emerging markets and developing countries. The annual meetings in Washington will take place at the IMF and World Bank’s headquarters, a short distance from the White House. For the World Bank, the focus is likely to remain on job creation, with bank President Ajay Banga set to take part in several events aimed at boosting labor market participation in countries facing a surge in population growth. The IMF will hold press conferences to discuss its regular trio of reports focused on the health of the global economy, fiscal policy, and global financial stability.At the annual meetings there will be another roundtable on Ukraine, a country still facing near-daily drone and missile attacks more than three years after the start of Russia’s full-scale invasion.The event will be an opportunity to discuss “the needs for ongoing support to Ukraine and efforts needed for its reconstruction,” according to the IMF. There will also be meetings of finance ministers from the G7 group of advanced Western economies, and a gathering of the G20 group of nations, a forum that includes both the United States and China. – Ongoing trade tensions -Even before the most recent trade spat broke out, Trump’s tariff plans had raised US import taxes on goods to the highest level in decades, cooling growth and pushing up prices. So far, however, “all signs point to a world economy that has generally withstood acute strains from multiple shocks,” Georgieva said last week.”The world has avoided a tit-for-tat slide into trade war — so far,” she added. The White House continues to insist that the long-term effect of tariffs will be positive for the United States, pointing to their relatively muted economic impact thus far.

Le gouvernement Lecornu 2 s’installe, pour combien de temps?

Le deuxième gouvernement de Sébastien Lecornu, mêlant ministres politiques et techniciens, s’installe lundi mais pour combien de temps ? L’objectif du Premier ministre est d’éviter une censure possible dès cette semaine s’il n’annonce pas aux socialistes une suspension de la réforme des retraites.Après des passations de pouvoir que Matignon a souhaité “sobres”, sans presse ni invités, le chef du gouvernement réunit ses nouveaux ministres à 14H30 à Matignon, où il livrera quelques mots d’introduction pour marteler sa priorité de “donner un budget à la France d’ici la fin de l’année” et d’essayer de sortir le pays d’une crise politique inédite.Un premier Conseil des ministres doit se tenir mardi matin à l’Elysée. Le gouvernement y présentera les deux projets de budget, de l’Etat et de la Sécurité sociale, afin qu’ils puissent être transmis dans les temps au Parlement.Parallèlement, la commission des Finances de l’Assemblée nationale, présidée par le député LFI Eric Coquerel, commencera ses auditions.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7%, a confirmé la nouvelle porte-parole du gouvernement Maud Bregeon. Un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.L’heure de vérité sera la déclaration de politique générale que le Premier ministre a prévu de prononcer mardi à 15h00. Les socialistes y attendent notamment la suspension “immédiate et complète” de la réforme des retraites de 2023.- Corde raide -Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS.Depuis l’Egypte, où il assiste au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron a appelé les forces politiques à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, le président de la République avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Mais ce geste reste insuffisant aux yeux de la gauche, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT, dont la priorité est de “figer l’âge légal” selon sa patronne Marylise Léon.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir tard une équipe composée de nouveaux visages: huit de la société civile et 26 issus de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été aussitôt exclus du parti Les Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2.L’ex Première ministre Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Le locataire de Matignon a, lui, passé la main aux Armées à l’ex-ministre du Travail et de la Santé Catherine Vautrin. Il a confirmé une hausse des dépenses militaires, jugeant “indispensable” d'”accélérer (le) réarmement” du pays face au “durcissement” du monde.- “Fond de tiroir” -Moins attendu, alors que Sébastien Lecornu ne souhaitait pas s’entourer de personnalités ayant des ambitions présidentielles, Gérald Darmanin a été renommé garde des Sceaux.Avant de se rendre à Matignon lundi à l’heure du déjeuner, il a annoncé se mettre “en congé de (ses) activités partisanes”.Après les prises de distance successives de la droite et de la plupart de ses alliés centristes durant le week-end, le Premier ministre a remercié ceux qui “s’engagent dans ce gouvernement en toute liberté, au-delà des intérêts personnels et partisans”. Ce nouvel exécutif de 34 ministres a toutefois une durée de vie qui pourrait être limitée. Le gouvernement “va évidemment tomber”, a pronostiqué Jean-Luc Mélenchon lundi, le leader de La France insoumise estimant que les socialistes allaient voter la motion déposée dans la matinée par le groupe LFI.Le RN a également déposé lundi une motion de censure et votera celle des insoumis – l’inverse n’étant pas vrai.Le président du parti d’extrême droite Jordan Bardella s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites pour ne pas voter la censure d’un gouvernement de “fond de tiroir”.A ses yeux, une “victoire symbolique” sur les retraites n’est pas prioritaire sur la dissolution réclamée par “une majorité de Français”.

Le gouvernement Lecornu 2 s’installe, pour combien de temps?

Le deuxième gouvernement de Sébastien Lecornu, mêlant ministres politiques et techniciens, s’installe lundi mais pour combien de temps ? L’objectif du Premier ministre est d’éviter une censure possible dès cette semaine s’il n’annonce pas aux socialistes une suspension de la réforme des retraites.Après des passations de pouvoir que Matignon a souhaité “sobres”, sans presse ni invités, le chef du gouvernement réunit ses nouveaux ministres à 14H30 à Matignon, où il livrera quelques mots d’introduction pour marteler sa priorité de “donner un budget à la France d’ici la fin de l’année” et d’essayer de sortir le pays d’une crise politique inédite.Un premier Conseil des ministres doit se tenir mardi matin à l’Elysée. Le gouvernement y présentera les deux projets de budget, de l’Etat et de la Sécurité sociale, afin qu’ils puissent être transmis dans les temps au Parlement.Parallèlement, la commission des Finances de l’Assemblée nationale, présidée par le député LFI Eric Coquerel, commencera ses auditions.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7%, a confirmé la nouvelle porte-parole du gouvernement Maud Bregeon. Un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.L’heure de vérité sera la déclaration de politique générale que le Premier ministre a prévu de prononcer mardi à 15h00. Les socialistes y attendent notamment la suspension “immédiate et complète” de la réforme des retraites de 2023.- Corde raide -Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS.Depuis l’Egypte, où il assiste au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron a appelé les forces politiques à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, le président de la République avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Mais ce geste reste insuffisant aux yeux de la gauche, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT, dont la priorité est de “figer l’âge légal” selon sa patronne Marylise Léon.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir tard une équipe composée de nouveaux visages: huit de la société civile et 26 issus de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été aussitôt exclus du parti Les Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2.L’ex Première ministre Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Le locataire de Matignon a, lui, passé la main aux Armées à l’ex-ministre du Travail et de la Santé Catherine Vautrin. Il a confirmé une hausse des dépenses militaires, jugeant “indispensable” d'”accélérer (le) réarmement” du pays face au “durcissement” du monde.- “Fond de tiroir” -Moins attendu, alors que Sébastien Lecornu ne souhaitait pas s’entourer de personnalités ayant des ambitions présidentielles, Gérald Darmanin a été renommé garde des Sceaux.Avant de se rendre à Matignon lundi à l’heure du déjeuner, il a annoncé se mettre “en congé de (ses) activités partisanes”.Après les prises de distance successives de la droite et de la plupart de ses alliés centristes durant le week-end, le Premier ministre a remercié ceux qui “s’engagent dans ce gouvernement en toute liberté, au-delà des intérêts personnels et partisans”. Ce nouvel exécutif de 34 ministres a toutefois une durée de vie qui pourrait être limitée. Le gouvernement “va évidemment tomber”, a pronostiqué Jean-Luc Mélenchon lundi, le leader de La France insoumise estimant que les socialistes allaient voter la motion déposée dans la matinée par le groupe LFI.Le RN a également déposé lundi une motion de censure et votera celle des insoumis – l’inverse n’étant pas vrai.Le président du parti d’extrême droite Jordan Bardella s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites pour ne pas voter la censure d’un gouvernement de “fond de tiroir”.A ses yeux, une “victoire symbolique” sur les retraites n’est pas prioritaire sur la dissolution réclamée par “une majorité de Français”.

Le gouvernement Lecornu 2 s’installe, pour combien de temps?

Le deuxième gouvernement de Sébastien Lecornu, mêlant ministres politiques et techniciens, s’installe lundi mais pour combien de temps ? L’objectif du Premier ministre est d’éviter une censure possible dès cette semaine s’il n’annonce pas aux socialistes une suspension de la réforme des retraites.Après des passations de pouvoir que Matignon a souhaité “sobres”, sans presse ni invités, le chef du gouvernement réunit ses nouveaux ministres à 14H30 à Matignon, où il livrera quelques mots d’introduction pour marteler sa priorité de “donner un budget à la France d’ici la fin de l’année” et d’essayer de sortir le pays d’une crise politique inédite.Un premier Conseil des ministres doit se tenir mardi matin à l’Elysée. Le gouvernement y présentera les deux projets de budget, de l’Etat et de la Sécurité sociale, afin qu’ils puissent être transmis dans les temps au Parlement.Parallèlement, la commission des Finances de l’Assemblée nationale, présidée par le député LFI Eric Coquerel, commencera ses auditions.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7%, a confirmé la nouvelle porte-parole du gouvernement Maud Bregeon. Un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.L’heure de vérité sera la déclaration de politique générale que le Premier ministre a prévu de prononcer mardi à 15h00. Les socialistes y attendent notamment la suspension “immédiate et complète” de la réforme des retraites de 2023.- Corde raide -Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS.Depuis l’Egypte, où il assiste au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron a appelé les forces politiques à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, le président de la République avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Mais ce geste reste insuffisant aux yeux de la gauche, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT, dont la priorité est de “figer l’âge légal” selon sa patronne Marylise Léon.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir tard une équipe composée de nouveaux visages: huit de la société civile et 26 issus de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été aussitôt exclus du parti Les Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2.L’ex Première ministre Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Le locataire de Matignon a, lui, passé la main aux Armées à l’ex-ministre du Travail et de la Santé Catherine Vautrin. Il a confirmé une hausse des dépenses militaires, jugeant “indispensable” d'”accélérer (le) réarmement” du pays face au “durcissement” du monde.- “Fond de tiroir” -Moins attendu, alors que Sébastien Lecornu ne souhaitait pas s’entourer de personnalités ayant des ambitions présidentielles, Gérald Darmanin a été renommé garde des Sceaux.Avant de se rendre à Matignon lundi à l’heure du déjeuner, il a annoncé se mettre “en congé de (ses) activités partisanes”.Après les prises de distance successives de la droite et de la plupart de ses alliés centristes durant le week-end, le Premier ministre a remercié ceux qui “s’engagent dans ce gouvernement en toute liberté, au-delà des intérêts personnels et partisans”. Ce nouvel exécutif de 34 ministres a toutefois une durée de vie qui pourrait être limitée. Le gouvernement “va évidemment tomber”, a pronostiqué Jean-Luc Mélenchon lundi, le leader de La France insoumise estimant que les socialistes allaient voter la motion déposée dans la matinée par le groupe LFI.Le RN a également déposé lundi une motion de censure et votera celle des insoumis – l’inverse n’étant pas vrai.Le président du parti d’extrême droite Jordan Bardella s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites pour ne pas voter la censure d’un gouvernement de “fond de tiroir”.A ses yeux, une “victoire symbolique” sur les retraites n’est pas prioritaire sur la dissolution réclamée par “une majorité de Français”.