Global stocks rise as no surprise on US inflation data

Global stock markets rose on Thursday as US inflation data that came in as expected reinforced the prospect of a Federal Reserve interest rate cut next week.Meanwhile, the European Central Bank held rates steady for a second consecutive meeting, as expected, and raised its forecasts for eurozone growth and inflation this year.Labor Department data showed the consumer price index (CPI) picked up to 2.9 percent in August, as economists monitor the impact of President Donald Trump’s tariffs on the world’s biggest economy.The figure was in line with analysts’ expectations and is seen as unlikely to deter the Fed from cutting interest rates next week.While inflation is above the Fed’s two-percent target, recent weak jobs figures “have strengthened the likelihood of monetary policy easing”, said Richard Flax, chief investment officer at European asset manager Moneyfarm.Data released last week showed that the US economy added only 22,000 jobs in August, while revised figures showed job growth was significantly weaker than previously reported in the year through March.Separate data released on Thursday showed initial claims for jobless benefits rose by 27,000 to 263,000 last week, the highest level since October 2021.”The real news of the day sits with the weekly jobless claims,” said Art Hogan of B. Riley Wealth Management, who expects the Fed to lower interest rates by 75 basis points by the end of the year.”That’s just more evidence that we’re seeing weakness in the labor market,” Hogan said. “So, clearly, the Fed’s full employment mandate is front and center.”Meanwhile official figures that showed producer prices falling in the world’s biggest economy last month helped reassure analysts that the inflationary effect of the tariffs on consumer prices will be modest and short-lived.”While a 2.9 percent CPI rate is not exactly dovish, the lack of feed-through from tariffs into the CPI report could ease Fed concerns about the future path of inflation,” said XTB research director Kathleen Brooks.”In the aftermath of this report, the dollar has done a 180-degree turn and is lower across the board,” and yields on US government bonds have fallen, she added.Wall Street’s three main indices struck fresh records following the data.European stocks held onto gains following the ECB’s rate decision.The bank now expects the eurozone economy to expand by 1.2 percent this year, up from its previous forecast of a 0.9-percent expansion, with inflation to come in at 2.1 percent.In Asia, the Tokyo stock market hit a record high, helped by a 10-percent surge in the share price of tech investment titan SoftBank. Oil prices fell Thursday as ample supply of crude helped to offset this week’s escalation of tensions in the Middle East and over the Russia-Ukraine war.The International Energy Agency on Thursday said global oil supply hit a record high in August as the OPEC+ grouping and other countries ramped up production, with a looming surplus keeping prices in check.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: UP 1.3 percent at 46,064.58 pointsNew York – S&P 500: UP 0.8 percent at 6,584.43New York – Nasdaq Composite: UP 0.7 percent at 22,039.77London – FTSE 100: UP 0.8 percent at 9,297.58 (close) Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,283.52 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.3 percent at 23,703.65 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.2 percent at 44,372.50 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.4 percent at 26,086.32 (close)Shanghai – Composite: UP 1.7 percent at 3,875.31 (close)Euro/dollar: UP at $1.1739 from $1.1696 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3572 from $1.3528 Dollar/yen: DOWN at 147.19 from 147.40 yen Euro/pound: UP at 86.49 pence from 86.46 penceBrent North Sea Crude: DOWN 1.6 percent at $66.41 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 1.8 percent at $62.51 per barrelburs-rl/rlp

S.Sudan vice president charged with murder, crimes against humanityThu, 11 Sep 2025 15:59:47 GMT

South Sudan’s Vice-President Riek Machar has been charged with murder, treason and crimes against humanity over an attack on a military base that killed more than 250 soldiers, the justice minister said Thursday.A fragile power-sharing agreement between President Salva Kiir and his first vice-president Machar has been unravelling for months in the world’s youngest country. In …

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Le coût de la vie continue d’augmenter pour les Américains

Les prix des courses alimentaires et de l’essence ont augmenté le mois dernier pour les Américains, mais la banque centrale (Fed) devrait rester convaincue que la priorité est maintenant de baisser les taux d’intérêt pour relancer l’économie.L’inflation a accéléré en août aux Etats-Unis pour atteindre +2,9%, au plus haut depuis janvier, selon l’indice des prix à la consommation (CPI) publié jeudi par le ministère américain du Travail. Cette évolution annuelle est en ligne avec les attentes des marchés, selon le consensus publié par MarketWatch.Le rythme mensuel, en revanche, s’affiche un peu au-dessus des prévisions, avec +0,4% contre +0,2% en juillet.Se nourrir (+0,5% sur un mois pour les courses alimentaires), se vêtir (+0,5%), se déplacer (+1,9% pour le carburant) et se loger (+0,4%) coûtent plus cher.”Il y a eu de grosses hausses de prix sur les tomates, les pommes et le boeuf en août”, observe Bill Adams, économiste de la banque texane Comerica, qui cite comme “facteurs possibles la météo, le manque d’ouvriers agricoles et les droits de douane” introduits par l’exécutif américain. Selon lui, les nouvelles taxes sur les importations (d’au moins 10%) “font progressivement leur chemin des ports aux entrepôts jusqu’aux tickets de caisse”.Les prix des voitures (neuves comme d’occasion) ont aussi augmenté. L’automobile a été l’un des premiers secteurs touchés par les droits de douane mis en place par le président américain Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier.”Jusqu’à présent, les entreprises américaines semblaient avoir absorbé les surcoûts dus aux droits de douane. Mais il y a clairement une limite (…) et nous pensons que ce n’est qu’une question de temps avant que cette charge soit répercutée sur les consommateurs”, pointe Matthew Ryan, analyste chez Ebury. – Plus d’inscriptions au chômage -“Le président Trump a promis de baisser le coût de la vie au +premier jour+ (de son second mandat, NDLR) mais ses droits de douane chaotiques et son programme économique catastrophique tirent les prix vers le haut”, a dénoncé jeudi la sénatrice démocrate Elizabeth Warren. Le locataire de la Maison Blanche a assuré la veille qu’il n’y avait au contraire “pas d’inflation”, conforté par d’autres indicateurs montrant que l’impact sur les prix est resté relativement contenu.Donald Trump dénonce depuis des mois la posture de la Réserve fédérale (Fed) qui s’est abstenue de baisser ses taux d’intérêt depuis son retour à la Maison Blanche. Les banquiers centraux américains craignaient de contribuer à faire dérailler l’inflation en réduisant le coût de l’argent.Les marchés s’attendent toutefois à ce qu’ils commencent à baisser les taux directeurs dès la semaine prochaine. Non pas parce que l’inflation est maîtrisée, donc, mais parce que le marché du travail paraît dans une mauvaise passe, avec des créations d’emplois très limitées ces derniers mois.Une autre donnée publiée jeudi va dans ce sens: 263.000 personnes se sont inscrites au chômage la semaine dernière, un nombre qui n’avait pas été aussi élevé depuis près de quatre ans.Selon les observateurs, les entreprises ajustent leurs besoins de main-d’oeuvre devant l’incertitude entourant les droits de douane et le ralentissement de la consommation.Si une baisse de taux le 17 septembre fait peu de doute, les investisseurs se demandent si elle sera d’un quart de point, comme de coutume, ou plus importante, d’un demi-point. Ils parient toutefois davantage sur la première hypothèse, l’inflation restant tenace.Interrogée sur la situation économique des Etats-Unis, la porte-parole du Fonds monétaire international (FMI) Julie Kozack a estimé jeudi que “la Fed dispose de marge de manœuvre pour commencer à abaisser ses taux directeurs”. Elle a immédiatement ajouté qu’elle devrait le faire “avec prudence, en s’appuyant sur les données disponibles au cours des prochains mois”.Les banques centrales abaissent leurs taux d’intérêt – qui guident les coûts d’emprunt – pour donner un coup de fouet à l’économie. Et les relèvent à l’inverse pour freiner un emballement inflationniste.

Joggeuse retrouvée morte en mai dans la Vienne: un homme en garde à vue

Première garde à vue dans l’affaire Agathe Hilairet: un homme a été interpellé dans l’enquête sur la mort de la joggeuse de 28 ans, disparue en avril et retrouvée morte début mai dans la Vienne, a annoncé jeudi le parquet.Quatre mois après la découverte du corps de la jeune femme dans un sous-bois près de Vivonne, à 20 km au sud de Poitiers, l’enquête s’est accélérée mercredi avec l’interpellation de trois hommes, comme l’a révélé le quotidien Le Courrier de l’Ouest.Si deux d’entre eux ont été entendus en audition libre selon le journal Le Parisien, le troisième l’a été sous le régime de la garde à vue par les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Poitiers.”Une garde à vue est en cours sur commission rogatoire”, a confirmé jeudi matin Rachel Bray, procureure de la République à Poitiers, précisant que sa prochaine communication interviendrait vendredi par le biais d’un communiqué de presse.Le gardé à vue est connu au Fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (Fijais), a précisé à l’AFP une source proche du dossier.Le 4 mai, c’est un promeneur qui avait découvert le cadavre d’Agathe Hilairet dans un secteur boisé. Cette adepte de trail était partie courir le 10 avril au matin depuis le domicile de ses parents à Vivonne, avant de ne plus donner signe de vie.- Montre connectée -Le corps de la jeune femme se trouvait en périphérie des zones de recherches, avait alors indiqué le parquet, ajoutant que l’autopsie n’avait “pas permis de déterminer, à ce stade, les causes du décès”. Le parquet n’avait pas mentionné d’éventuelles traces de violences ou d’agression.L’examen de la géolocalisation de la joggeuse a permis d’établir que le corps avait été déplacé, accréditant la piste criminelle.Selon la montre connectée de la jeune femme, équipée d’un capteur cardiaque et d’un GPS, son cœur s’est arrêté à l’endroit où les chiens ont perdu sa trace pendant les recherches menées par la gendarmerie, mais le corps a été retrouvé à moins d’un kilomètre de là.D’après Le Parisien, l’examen du capteur cardiaque a révélé également “une hausse importante et brutale des battements de cœur de la sportive, immédiatement suivie d’un arrêt définitif des pulsations”.Le 10 avril, le père d’Agathe Hilairet avait donné l’alerte en ne la voyant pas revenir alors que son téléphone ne répondait plus.Un important dispositif de recherches avait été déployé, puis levé le 17 avril après une semaine de ratissages. Ce déploiement avait mobilisé plus d’une centaine de gendarmes, appuyés par un hélicoptère, des chiens et une équipe de plongeurs, au sein d’une large zone de 100 km2 où la jeune femme avait l’habitude de courir.Sur l’application de géolocalisation sportive Strava, où elle diffusait ses relevés de course, Agathe Hilairet se décrivait comme “adorant la course à pied”, pratiquée “depuis (ses) 17 ans”, se lançant sur des distances de 15 à 20 km à chacune de ses sorties.Elle avait repris en mai 2024 après “plusieurs années d’arrêt”, selon un message posté alors sur son compte Facebook.

US consumer inflation heats up but unlikely to deter rate cut

US consumer inflation rose last month to its highest level since January, government data showed Thursday, although analysts believe that this will not deter the central bank from an interest rate cut next week.The data also underscored cost-of-living pressures on households as President Donald Trump’s tariffs filter through the world’s biggest economy, complicating the Federal Reserve’s role in maintaining stable prices.The consumer price index (CPI) picked up to 2.9 percent in August, accelerating from 2.7 percent on a year-on-year basis in July, said the Labor Department.The figure was in line with analysts’ expectations, as economists try to gauge if Trump’s duties will trigger a one-off price increase or lead to persistently higher costs.On a month-on-month basis, CPI rose 0.4 percent in August, the report said, also picking up from 0.2 percent in July.A measure of underlying inflation, stripping away the volatile food and energy components, was up by 3.1 percent from a year ago.”We are seeing some impact from tariffs, especially with higher prices on cars and clothes,” said LPL Financial chief economist Jeffrey Roach.He added that grocery costs also clocked their biggest jump since 2022, adding to consumers’ stress.Since returning to the presidency in January, Trump has imposed a 10-percent tariff on almost all trading partners and higher rates hitting dozens of economies.He has separately targeted sector-specific imports such as steel and autos, and economists warn that the cumulative effect will take time to reach consumers.- Rate cuts to begin -All eyes are on inflation numbers given their potential bearing on the Fed’s interest rate decisions.But the central bank is poised to start cutting rates at its next policy meeting from September 16-17 even with slightly hotter inflation, Nationwide chief economist Kathy Bostjancic told AFP.”The jump in initial jobless claims to its highest reading since October 2021 overshadows the importance of the inflation report,” she said, referring to a separate set of data released Thursday.The uptick signals that the labor market is losing steam “and reinforces that the Fed needs to start cutting rates next week.”International Monetary Fund spokesperson Julie Kozack told reporters Thursday that “some strains are beginning to show” in the US economy, with demand cooling and job growth slowing.”There is scope for the Fed to begin to lower policy rates,” she added at a press briefing, noting risks to the employment market.A rate reduction, which would be the first since December, will likely also be the start of a series of cuts, Bostjancic said.Traders widely anticipate that the Fed will lower the benchmark lending rate by 25 basis points at the end of its September meeting.While Trump has repeatedly pushed for lower interest rates, policymakers have kept levels unchanged this year as they monitored the effects of tariffs on prices.With employment weakening, however, the Fed might be inclined to make a cut to boost the economy, as opposed to keeping rates at a higher level when seeking to contain inflation.- ‘Middle-class squeeze’ -The August CPI boost however came as food, energy and shelter costs all increased.”The middle-class squeeze from tariffs is here,” warned Navy Federal Credit Union chief economist Heather Long.”It’s troubling that so many basic necessities now cost more,” she added in a note, cautioning that “this is only the beginning.” While businesses stockpiled inventory in anticipation of Trump’s tariffs, allowing them to stave off some immediate price hikes, they will eventually have to replenish stock at higher import costs.”Coffee is up 21 percent from last August, audio equipment is up 12 percent and living and dining room furniture is up 10 percent. These items are directly impacted by tariffs,” Long said.Roach, the LPL economist, added that August’s inflation data may not change the Fed’s immediate plans for a rate reduction.But “it’s possible the Fed will hold in October if inflation expectations no longer look well-contained,” he said.