At open-air Church party, many thousands of young Catholics eagerly await popeSat, 02 Aug 2025 14:59:13 GMT
Swarms of enthusiastic young Catholics gathered under the hot sun in Rome on Saturday in a festive, open-air celebration to be capped by an evening prayer vigil led by Pope Leo XIV.The Vatican said it was expecting up to one million young people for the vigil, which, together with a Sunday mass, marks the culmination …
At open-air Church party, many thousands of young Catholics eagerly await pope
Swarms of enthusiastic young Catholics gathered under the hot sun in Rome on Saturday in a festive, open-air celebration to be capped by an evening prayer vigil led by Pope Leo XIV.The Vatican said it was expecting up to one million young people for the vigil, which, together with a Sunday mass, marks the culmination of the week-long youth pilgrimage — a key event in the Catholic Church’s Jubilee holy year. By Saturday afternoon, the vast open area on the outskirts of Rome — which at over 500,000 square metres was the size of around 70 football fields — was packed by young people. Crowds continued to arrive, music blared over loudspeakers, and a festive atmosphere prevailed. “I’m so happy to be here, even if I’m a bit far from the pope. I knew what to expect!” British student Andy Hewellyn told AFP.The massive stage with its golden arch and towering cross was not visible from his seat, but a video screen was nearby. “The main thing is that we’re all together,” he said, as other young people nearby played guitars, sang, or took a snooze in the sun.Italian broadcaster Rai dubbed the event a Catholic “Woodstock”, as nearly two dozen musical and dance groups, many of them religious, entertained the crowds ahead of the pope’s arrival. “The world needs you!” screamed a performer from the stage to the pilgrims who sprawled with blankets, cushions, umbrellas and flags across the dusty area. Most pilgrims said they planned to spend the night, to attend a final mass Sunday morning led by the pope. In a video message, Italian Prime Minister Giorgia Meloni welcomed pilgrims to the capital, which she said was “literally invaded by hundreds of thousands of young men and women” who were “praying, singing, joking amongst themselves, celebrating…in an extraordinary party”.- Water and suncream -The “Jubilee of Youth”, which began Monday, has seen young pilgrims from more than 146 countries flood the city.It comes nearly three months after Leo, 69, the first American pontiff, began his papacy, and 25 years after the last such massive youth gathering in Rome under Poland’s Pope John Paul II. Early Saturday, countless groups of young people set off for the venue in Tor Vergata east of Rome after filling water bottles, applying suncream and adjusting backpacks — ready to spend the next 24 hours surrounded by a crowd of people and then sleep under the stars.Victoria Perez, who carried a Spanish flag, could not contain her excitement at seeing “the pope up close”.”It’s the first time I’m going to see him, and I can’t wait,” the 21-year-old told AFP, looking forward to a “night of prayers under the stars”. French pilgrim Quentin Remaury, 26, said he had been inspired by the late pope Francis’s rousing message to youth during a 2016 visit to Krakow, Poland. “Pope Francis told us to ‘get off your couches,’ and that really gave me a boost,” he said. – Open-air confessional –  Throughout the week, attendees have participated in various Church-planned events, such as confession at Circus Maximus, one of Rome’s top tourist spots.On Friday, approximately 1,000 priests were on hand, with 200 white gazebos serving as makeshift confessionals lining the hippodrome where chariot races were once held in Ancient Rome.The pilgrimage unfolds as under-30s contemplate economic uncertainty and anxiety over climate change. Samarei Semos, 29, who said she had travelled three days from her native Belize to get to Rome, said she hoped Leo would have a strong say about “third world countries”. As Parisian student Alice Berry explained: “What does he have to say to us? What is his message for young people?”The Vatican said the pope on Saturday met and prayed with travellers accompanying an 18-year-old Egyptian pilgrim who died Friday night. Rai News reported that the young woman died of a heart attack on a bus while returning to her lodging from an event in Rome.Â
Mondiaux de natation: Maxime Grousset, papillon doré
Cinq jours après son titre sur 50 m papillon, Maxime Grousset a récidivé samedi en se couvrant d’or sur 100 m papillon aux Championnats du monde de natation de Singapour, signant une performance qui le place parmi les très grands de la discipline. Le Néo-Calédonien s’est imposé en 49 sec 62, pulvérisant son propre record de France (50 sec 11), devant le Suisse Noè Ponti (49 sec 83) et le Canadien Ilya Kharun (50 sec 07). Surtout, il signe là la troisième meilleure performance de l’histoire sur la distance; seul l’Américain Caeleb Dressel a nagé plus vite. “C’est fou! Je voulais taper un grand coup, je me suis senti vraiment bien en série puis en demie, et ce matin, je me suis senti encore mieux. Bien reposé, bien dormi, serein. J’avais envie de faire une belle course, de gagner, voilà c’est fait!”, a-t-il lancé. Malgré un temps de réaction moyen sur le plot, Grousset pointait en tête à mi-course, en avance sur le record du monde, avant d’être rattrapé par plusieurs adversaires après le virage. Mais il a ensuite fait parler sa puissance dans les 25 derniers mètres pour conserver la tête et s’envoler vers le titre. Euphorique, il a frappé l’eau de toute ses forces au moment de savourer sa victoire. “J’ai bien senti ce +flow+ surtout sur le premier 50. Sur le deuxième, c’était plutôt au mental car je commençais à craquer un peu à la fin. Je sentais que Noè me rattrapait donc ce n’était pas si évident que ça. Mais j’ai vraiment kiffé”, a-t-il ajouté, redescendu de ses émotions en fin de soirée. – Derrière Dressel, devant Phelps -À 26 ans, il devient au passage le deuxième meilleur performeur de tous les temps derrière la star Dressel, champion olympique en 2021 à Tokyo, et dépasse au classement le Hongrois Kristof Milak, sacré à Paris l’an dernier, ou encore la légende Michael Phelps. Plutôt spécialiste de la nage libre, Grousset était pourtant venu un peu par hasard au papillon, au détour d’une compétition de travail en 2023. “Je sens cette nage, je n’ai pas eu besoin de l’apprivoiser, c’est d’instinct, je me sens bien en papillon. Je suis un nageur qui a de la puissance et faire du papillon, cela m’aide à canaliser cette puissance”, a-t-il expliqué. Il décroche le troisième titre de sa carrière aux Mondiaux, lui qui s’était déjà couvert d’or sur cette distance en 2023, et sa septième médaille au total en individuel.Mais samedi, il a encore ajouté une autre médaille à son palmarès, en remportant une heure plus tard le bronze avec le relais bleu du 4×100 m nage libre mixte. À peine le temps de savourer sa deuxième “Marseillaise” de la semaine, qu’il s’est élancé dans la foulée en premier relayeur, lançant idéalement Yann Le Goff, Marie Wattel et Beryl Gastaldello. – La médaille du collectif -“Pas facile de se mettre derrière le plot et d’être concentré cinq minutes après”, a-t-il reconnu. “Cela s’est vu, c’était un peu dur. J’ai fait un bon chrono mais c’était plus dur qu’en individuel.”Propulsés au rang de favoris au podium après les éliminations surprise de l’Australie et de la Chine en séries, les Bleus se sont montrés au rendez-vous, concluant la course en 3 min 21 sec 35. “Le bronze fait plaisir au collectif, ça fait du bien, c’est autre chose de gagner une médaille en individuel et en collectif”, a-t-il apprécié. La victoire est allée au relais américain, qui a amélioré le record du monde en 3 min 18 sec 48, tandis que le relais russe a pris la médaille d’argent.Le relais apporte à la France sa sixième médaille depuis le début de ces Mondiaux. Pour la dernière journée de compétition dimanche, les Bleus devraient avoir deux dernières chances de podiums avec Léon Marchand, en lice dans le 400 m quatre nages et dans le relais 4×100 m quatre nages masculin.Â
Washington ou Houston: où exposer l’emblématique navette spatiale américaine Discovery?
Niché dans un recoin du budget promulgué par Donald Trump en juillet, un article de loi fait polémique aux Etats-Unis: l’emblématique navette spatiale Discovery pourrait quitter son musée près de la capitale fédérale pour le centre spatial de Houston au Texas.Mais la Smithsonian Institution, administration indépendante qui exploite une vingtaine de musées nationaux et gratuits, principalement à Washington, dont celui de l’Air et de l’Espace, s’oppose dorénavant à ce que le Congrès à courte majorité républicaine s’approprie Discovery. Véritable patrimoine national, l’engin a fait pendant trois décennies la fierté de l’agence spatiale américaine Nasa et de tout un pays.”La Smithsonian Institution possède Discovery et a la confiance de l’opinion publique américaine”, a affirmé vendredi dans un communiqué transmis à l’AFP le réseau de musées.”En 2012, la Nasa a transféré +tous les droits, titres et propriété+ de la navette à la Smithsonian”, poursuit le texte qui rappelle que Discovery est l’une “des pièces majeures” du musée national de l’Air et de l’Espace, qui se partage entre un établissement au coeur de Washington et un immense hangar à Chantilly, en Virginie, tout près de l’aéroport international Dulles.Cette polémique survient alors que la Maison Blanche exerce depuis des mois des pressions sur la Smithsonian pour tenter de la reprendre en main.La présidence a d’abord tenté de renvoyer la directrice de la National Portrait Gallery, avant que Kim Sajet ne démissionne en juin.En mars, Donald Trump a signé un décret visant à contrôler le contenu des musées accusés de “révisionnisme historique” et d'”endoctrinement idéologique” dans les années 2010, sous les mandats de son prédécesseur Barack Obama. – “Rapporter la navette à la maison” -La tentative pour faire déménager Discovery a débuté en avril par une proposition de loi du sénateur du Texas, John Cornyn, destinée à “rapporter la navette spatiale à la maison”.Mais le texte, bloqué pendant des semaines, a finalement été noyé dans la “grande et belle loi” budgétaire que Donald Trump a promulguée le 4 juillet. Transporter Discovery coûterait entre 85 millions et 325 millions de dollars selon diverses estimations et le ministre actuel des Transports Sean Duffy, administrateur de la Nasa par intérim, a jusqu’à dimanche pour prendre une décision.Il y aurait aussi une difficulté technique de taille: les deux Boeing 747 sur lesquels était juchée la navette sont l’un hors service et l’autre au musée.Nicholas O’Donnell, avocat au cabinet Sullivan & Worcester, dit à l’AFP ne “pas croire que le ministre Duffy ou quiconque au sein du gouvernement fédéral ait plus d’autorité que vous ou moi pour ordonner le déménagement de Discovery”.En outre, pointe aussi auprès de l’AFP l’historien de la conquête spatiale Robert Pearlman, lors du processus de sélection du Texas pour héberger Discovery, “il n’y avait pas beaucoup de soutien à Houston”, pourtant siège du Centre spatial Lyndon B. Johnson.Discovery a cessé de voler en 2011 après 39 missions — dont le lancement en 1990 du télescope Hubble — 365 jours dans l’espace et 5.830 rotations autour de la Terre.Elle a rejoint la Virginie en 2012 et les autres navettes Atlantis, Endeavour et le prototype Enterprise ont été cédées à la Floride, à la Californie et à New York.
Washington ou Houston: où exposer l’emblématique navette spatiale américaine Discovery?
Niché dans un recoin du budget promulgué par Donald Trump en juillet, un article de loi fait polémique aux Etats-Unis: l’emblématique navette spatiale Discovery pourrait quitter son musée près de la capitale fédérale pour le centre spatial de Houston au Texas.Mais la Smithsonian Institution, administration indépendante qui exploite une vingtaine de musées nationaux et gratuits, principalement à Washington, dont celui de l’Air et de l’Espace, s’oppose dorénavant à ce que le Congrès à courte majorité républicaine s’approprie Discovery. Véritable patrimoine national, l’engin a fait pendant trois décennies la fierté de l’agence spatiale américaine Nasa et de tout un pays.”La Smithsonian Institution possède Discovery et a la confiance de l’opinion publique américaine”, a affirmé vendredi dans un communiqué transmis à l’AFP le réseau de musées.”En 2012, la Nasa a transféré +tous les droits, titres et propriété+ de la navette à la Smithsonian”, poursuit le texte qui rappelle que Discovery est l’une “des pièces majeures” du musée national de l’Air et de l’Espace, qui se partage entre un établissement au coeur de Washington et un immense hangar à Chantilly, en Virginie, tout près de l’aéroport international Dulles.Cette polémique survient alors que la Maison Blanche exerce depuis des mois des pressions sur la Smithsonian pour tenter de la reprendre en main.La présidence a d’abord tenté de renvoyer la directrice de la National Portrait Gallery, avant que Kim Sajet ne démissionne en juin.En mars, Donald Trump a signé un décret visant à contrôler le contenu des musées accusés de “révisionnisme historique” et d'”endoctrinement idéologique” dans les années 2010, sous les mandats de son prédécesseur Barack Obama. – “Rapporter la navette à la maison” -La tentative pour faire déménager Discovery a débuté en avril par une proposition de loi du sénateur du Texas, John Cornyn, destinée à “rapporter la navette spatiale à la maison”.Mais le texte, bloqué pendant des semaines, a finalement été noyé dans la “grande et belle loi” budgétaire que Donald Trump a promulguée le 4 juillet. Transporter Discovery coûterait entre 85 millions et 325 millions de dollars selon diverses estimations et le ministre actuel des Transports Sean Duffy, administrateur de la Nasa par intérim, a jusqu’à dimanche pour prendre une décision.Il y aurait aussi une difficulté technique de taille: les deux Boeing 747 sur lesquels était juchée la navette sont l’un hors service et l’autre au musée.Nicholas O’Donnell, avocat au cabinet Sullivan & Worcester, dit à l’AFP ne “pas croire que le ministre Duffy ou quiconque au sein du gouvernement fédéral ait plus d’autorité que vous ou moi pour ordonner le déménagement de Discovery”.En outre, pointe aussi auprès de l’AFP l’historien de la conquête spatiale Robert Pearlman, lors du processus de sélection du Texas pour héberger Discovery, “il n’y avait pas beaucoup de soutien à Houston”, pourtant siège du Centre spatial Lyndon B. Johnson.Discovery a cessé de voler en 2011 après 39 missions — dont le lancement en 1990 du télescope Hubble — 365 jours dans l’espace et 5.830 rotations autour de la Terre.Elle a rejoint la Virginie en 2012 et les autres navettes Atlantis, Endeavour et le prototype Enterprise ont été cédées à la Floride, à la Californie et à New York.