Foot: Griezmann repousse son rêve américain et prolonge à l’Atlético Madrid jusqu’en 2027

L’Amérique attendra: l’attaquant français Antoine Griezmann, annoncé avec insistance en MLS, le championnat nord-américain, a décidé de rester à l’Atlético Madrid et de prolonger son contrat jusqu’en 2027, a annoncé lundi le club espagnol.En fin de contrat en 2026, le champion du monde 2018, meilleur buteur de l’histoire de l’Atlético avec 197 buts, a signé lundi une prolongation d’un an supplémentaire, au moins jusqu’au 30 juin 2027.Devenu cette saison le joueur étranger ayant disputé le plus de matches dans l’histoire du championnat espagnol, devant le génie argentin Lionel Messi, Griezmann a décidé, à 34 ans, de poursuivre son aventure à Madrid, malgré une fin de saison décevante terminée à la troisième place en Liga, sans titre.Le Mâconnais, fan notoire de sports américains, n’a jamais caché son envie de terminer sa carrière aux Etats-Unis, mais il a repoussé l’échéance pour l’instant, toujours animé par l’envie de quitter son club de coeur par la grande porte, avec un trophée majeur.- Le Mondial des clubs comme objectif ? -Le N.7 des Colchoneros, grand artisan du succès en Ligue Europa en 2018 (face à l’OM 3-0), et finaliste malheureux de la Ligue des champions en 2016 (contre le Real aux tirs au but), court toujours après un premier titre en Liga ou en C1, son “rêve” et son obsession pour étoffer un peu plus sa légende, et son palmarès.Après un mercato estival ambitieux, et la naissance d’un duo prometteur avec l’Argentin Julian Alvarez, l’attaquant français a vu ses espoirs douchés en l’espace d’un mois, en mars dernier.L’Atlético, alors encore en lice dans toutes les compétitions, s’était  fait éliminer cruellement aux tirs au buts par son grand rival le Real en huitièmes de finale de la Ligue des champions (1-2, 1-0, 2-4 t.a.b.), de la Coupe du Roi par son autre rival le FC Barcelone (4-4, 0-1) et distancer dans la course au titre en Liga.Mais l’histoire ne pouvait donc pas s’arrêter-là pour “Grizou”, adulé par ses supporters après avoir été sifflé et renié par certains pour avoir rejoint le FC Barcelone en 2019, avant de reconquérir leurs coeurs à son retour, d’abord en prêt puis définitif, en 2022.Toujours fondamental pour son entraîneur Diego Simeone, l’ex-international français (137 sélections, 44 buts), ménagé en fin de saison, reste l’un des joueurs les plus utilisés par l’emblématique coach argentin.Il a terminé l’exercice 2024-25 avec des statistiques honorables – 25 buts et 9 passes décisives en 55 rencontres toutes compétitions confondues – mais n’a plus le même rendement sur le terrain depuis l’annonce de sa retraite internationale en septembre dernier.Une baisse de régime qui lui vaut certaines critiques dans la capitale espagnole, même s’il y est considéré comme l’un des meilleurs joueurs de l’histoire de la Liga, et l’un des seuls ayant été capable de s’élever au niveau des deux monstres du Barça et du Real Madrid, Lionel Messi et Cristiano Ronaldo.La MLS de Messi, Giroud et Lloris, devra donc patienter avant d’attirer une nouvelle star dans son championnat, mais l’avenir immédiat de Griezmann passera tout de même par les Etats-Unis, où il tentera de remporter cet été le Mondial des clubs (14 juin – 13 juillet), pour rentrer un peu plus dans la légende. 

Kenyan rights campaigner relates Tanzania sexual tortureMon, 02 Jun 2025 14:00:47 GMT

Kenyan human rights campaigner Boniface Mwangi broke down in tears Monday as he recounted  brutal treatment including “sexual torture” at the hands of Tanzanian security forces which he said left him broken.Award-winning Ugandan activist Agather Atuhaire, who was with Mwangi when they were both abducted in Tanzania on May 19, had previously made similar allegations …

Kenyan rights campaigner relates Tanzania sexual tortureMon, 02 Jun 2025 14:00:47 GMT Read More »

Sanofi se renforce en immunologie avec le rachat de la biotech américaine Blueprint Medicines

Le géant pharmaceutique français Sanofi se renforce dans les maladies immunologiques rares avec l’acquisition de la biotech américaine Blueprint Medicines, une opération qui s’inscrit dans sa stratégie actuelle visant à devenir un leader mondial en immunologie.Pour cette acquisition d’envergure annoncée lundi,Sanofi, qui fait régulièrement son marché aux États-Unis, versera 129 dollars par action, soit une valeur d’environ 9,1 milliards de dollars (plus de 7,9 milliards d’euros). “Sous réserve de la réalisation” de plusieurs étapes de développement clinique et de réglementation, la valorisation totale pourra grimper à 9,5 milliards de dollars (8,3 milliards d’euros), selon le groupe français. Cette annonce survient quelques jours après que le groupe pharmaceutique a annoncé l’échec de l’une des deux études de phase 3 — dernière étape avant une éventuelle commercialisation — concernant son traitement expérimental, l’itépekimag, contre la bronchite du fumeur (BPCO).A la Bourse de Paris, l’action reculait de 1,65% dans un marché en baisse de 0,46% à 15H20. L’acquisition de Blueprint est la plus importante depuis celle de Bioverativ rachetée en 2018 pour 11,6 milliards de dollars.Elle “renforce significativement notre position dans les maladies rares, notamment la mastocytose systémique”, a résumé le directeur financier François Roger au cours d’une conférence téléphonique.Le portefeuille acquis auprès de Blueprint comprend principalement la molécule avapritinib, le seul médicament approuvé pour traiter la mastocytose systémique avancée et indolente aux États-Unis où il est commercialisé sous le nom d’Ayvakit.Le médicament est également approuvé dans l’Union européenne sous le nom d’Ayvakyt pour le traitement des adultes atteints de mastocytose systémique indolente, la forme la plus fréquente de la maladie et qui progresse lentement.La mastocytose systémique est une maladie rare du système immunitaire où les cellules mastocytes, qui jouent un rôle clé dans la défense de l’organisme, s’accumulent de manière anormale dans plusieurs organes du corps.On les trouve surtout dans les zones comme la peau, les poumons ou le tube digestif.- “Acquisitions pertinentes” -Cette opération permettra en outre à Sanofi d’ajouter deux autres médicaments en développement à son portefeuille, l’un en stade avancé dans la mastocytose systémique (l’élénéstinib) et l’autre en phase précoce, le BLU-808 présenté comme ayant “le potentiel de traiter un large éventail de maladies en immunologie”.”L’objectif n’est pas de faire des acquisitions pour le simple plaisir d’en faire, mais de nous assurer de trouver des acquisitions pertinentes d’un point de vue stratégique, scientifique, avec des actifs différenciés et qui offrent un rendement adéquat à nos actionnaires”, a souligné le directeur financier François Roger.”Au cours des dix dernières années, Sanofi a investi 40 milliards d’euros en fusions-acquisitions et en développement commercial”, a-t-il détaillé.”Nous avons perdu seulement 10%, soit 4 milliards d’euros, ce qui n’est pas énorme en réalité, et presque entièrement dans le domaine de l’oncologie” et “les décisions récemment prises concernant l’oncologie et les 36 milliards restants ont généré beaucoup de valeur”, a-t-il complété.En 2019, Sanofi a pris un virage en recentrant ses activités de recherche et développement sur l’immunologie et les maladies rares, une réorientation qui s’est traduite par un désengagement progressif de la recherche en oncologie.Le rachat de Blueprint s’accompagnera d'”une augmentation immédiate de notre marge brute et des impacts positifs attendus sur le résultat opérationnel et le bénéfice par action après 2026″, a affirmé M. Roger.Sanofi avait fait son entrée dans les maladies rares en achetant la biotech américaine biotech Genzyme en 2011 pour environ 20 milliards de dollars.Après Genzyme, il a acquis Bioverativ en 2018 qui lui a ouvert les portes du marché des traitements de l’hémophilie ou encore Principia Biopharma dans les maladies auto-immunes en 2020 pour 3,7 milliards de dollars.”Si l’on considère la valeur de cette acquisition (Principia Biopharma), elle a probablement été multipliée par trois ou quatre aujourd’hui”, a cité en exemple le directeur financier.Toujours dans le domaine des maladies auto-immunes, Sanofi a également décidé lundi d’étendre sa collaboration lancée en 2019 avec la société américaine Nurix Therapeutics en prenant une licence exclusive sur sa plateforme de développement de thérapies ciblées contre des maladies inflammatoires dont la dermatite atopique et l’asthme.

Sanofi se renforce en immunologie avec le rachat de la biotech américaine Blueprint Medicines

Le géant pharmaceutique français Sanofi se renforce dans les maladies immunologiques rares avec l’acquisition de la biotech américaine Blueprint Medicines, une opération qui s’inscrit dans sa stratégie actuelle visant à devenir un leader mondial en immunologie.Pour cette acquisition d’envergure annoncée lundi,Sanofi, qui fait régulièrement son marché aux États-Unis, versera 129 dollars par action, soit une valeur d’environ 9,1 milliards de dollars (plus de 7,9 milliards d’euros). “Sous réserve de la réalisation” de plusieurs étapes de développement clinique et de réglementation, la valorisation totale pourra grimper à 9,5 milliards de dollars (8,3 milliards d’euros), selon le groupe français. Cette annonce survient quelques jours après que le groupe pharmaceutique a annoncé l’échec de l’une des deux études de phase 3 — dernière étape avant une éventuelle commercialisation — concernant son traitement expérimental, l’itépekimag, contre la bronchite du fumeur (BPCO).A la Bourse de Paris, l’action reculait de 1,65% dans un marché en baisse de 0,46% à 15H20. L’acquisition de Blueprint est la plus importante depuis celle de Bioverativ rachetée en 2018 pour 11,6 milliards de dollars.Elle “renforce significativement notre position dans les maladies rares, notamment la mastocytose systémique”, a résumé le directeur financier François Roger au cours d’une conférence téléphonique.Le portefeuille acquis auprès de Blueprint comprend principalement la molécule avapritinib, le seul médicament approuvé pour traiter la mastocytose systémique avancée et indolente aux États-Unis où il est commercialisé sous le nom d’Ayvakit.Le médicament est également approuvé dans l’Union européenne sous le nom d’Ayvakyt pour le traitement des adultes atteints de mastocytose systémique indolente, la forme la plus fréquente de la maladie et qui progresse lentement.La mastocytose systémique est une maladie rare du système immunitaire où les cellules mastocytes, qui jouent un rôle clé dans la défense de l’organisme, s’accumulent de manière anormale dans plusieurs organes du corps.On les trouve surtout dans les zones comme la peau, les poumons ou le tube digestif.- “Acquisitions pertinentes” -Cette opération permettra en outre à Sanofi d’ajouter deux autres médicaments en développement à son portefeuille, l’un en stade avancé dans la mastocytose systémique (l’élénéstinib) et l’autre en phase précoce, le BLU-808 présenté comme ayant “le potentiel de traiter un large éventail de maladies en immunologie”.”L’objectif n’est pas de faire des acquisitions pour le simple plaisir d’en faire, mais de nous assurer de trouver des acquisitions pertinentes d’un point de vue stratégique, scientifique, avec des actifs différenciés et qui offrent un rendement adéquat à nos actionnaires”, a souligné le directeur financier François Roger.”Au cours des dix dernières années, Sanofi a investi 40 milliards d’euros en fusions-acquisitions et en développement commercial”, a-t-il détaillé.”Nous avons perdu seulement 10%, soit 4 milliards d’euros, ce qui n’est pas énorme en réalité, et presque entièrement dans le domaine de l’oncologie” et “les décisions récemment prises concernant l’oncologie et les 36 milliards restants ont généré beaucoup de valeur”, a-t-il complété.En 2019, Sanofi a pris un virage en recentrant ses activités de recherche et développement sur l’immunologie et les maladies rares, une réorientation qui s’est traduite par un désengagement progressif de la recherche en oncologie.Le rachat de Blueprint s’accompagnera d'”une augmentation immédiate de notre marge brute et des impacts positifs attendus sur le résultat opérationnel et le bénéfice par action après 2026″, a affirmé M. Roger.Sanofi avait fait son entrée dans les maladies rares en achetant la biotech américaine biotech Genzyme en 2011 pour environ 20 milliards de dollars.Après Genzyme, il a acquis Bioverativ en 2018 qui lui a ouvert les portes du marché des traitements de l’hémophilie ou encore Principia Biopharma dans les maladies auto-immunes en 2020 pour 3,7 milliards de dollars.”Si l’on considère la valeur de cette acquisition (Principia Biopharma), elle a probablement été multipliée par trois ou quatre aujourd’hui”, a cité en exemple le directeur financier.Toujours dans le domaine des maladies auto-immunes, Sanofi a également décidé lundi d’étendre sa collaboration lancée en 2019 avec la société américaine Nurix Therapeutics en prenant une licence exclusive sur sa plateforme de développement de thérapies ciblées contre des maladies inflammatoires dont la dermatite atopique et l’asthme.

“Pic de stress” avant les résultats de Parcoursup pour les lycéens de terminale

“L’ambiance générale est au stress”, résume Serena, 17 ans. Deux mois après avoir bouclé leurs dossiers, les lycéens de terminale attendent lundi les premiers résultats de la plateforme d’inscription post-bac, qui tomberont à partir de 19H00.”Je suppose que je vais me connecter en boucle toute la soirée pour voir s’il y a des nouvelles”, dit cette élève de terminale générale dans l’Yonne, qui veut aller en classe préparatoire littéraire à Paris.”Parcoursup, c’est un peu le non-dit d’aujourd’hui. Dès que quelqu’un en parle, tout le monde lui lance un regard noir pour dire que c’est le sujet interdit”, ajoute-t-elle.Dans la procédure, “il y a des pics de stress: le moment où on doit rendre les lettres de motivation, celui où on doit rentrer tous les voeux et aujourd’hui”, dit-elle. “Ils nous maintiennent en haleine”.Chloé, 17 ans, lycéenne à Vincennes (Val-de-Marne), qui se destine aussi à des études littéraires, ne se met “pas tant la pression par rapport à ça”. “Ça ne me fait vraiment ni chaud ni froid”, assure-t-elle. “Je suis pratiquement sûre d’être acceptée dans la prépa que je veux, et sinon, je serai acceptée à la fac, et je me dis que c’est pas si mal que ça non plus”, tempère-t-elle.Parcoursup n’est “qu’une étape” qu’il faut “dédramatiser”, a déclaré lundi le ministre de l’Enseignement supérieur Philippe Baptiste. La question cruciale est celle de l’orientation, sur laquelle le gouvernement fera des annonces “dans quelques jours”, a-t-il ajouté sur franceinfo.Cette année, les lycéens avaient jusqu’à mi-mars pour inscrire leurs voeux sur la plateforme, puis jusqu’au 2 avril pour compléter leur dossier et confirmer leurs vÅ“ux. Parcoursup, qui a succédé en 2018 à APB, a recueilli les voeux de 980.000 candidats dans l’enseignement supérieur, contre 945.500 l’an dernier. Parmi eux, les plus nombreux sont des lycéens: ils sont 650.000, contre 183.000 étudiants souhaitant changer de voie.Plusieurs réponses sont possibles pour chaque formation: être accepté (oui), être accepté sous condition (oui si, pour des filières universitaires qui demandent à l’étudiant de suivre un parcours d’accompagnement pédagogique ou personnalisé), être sur liste d’attente ou encore être refusé (uniquement pour les filières sélectives).- Le bac comme condition -Elsa, 18 ans, lycéenne à Strasbourg, qui espère être prise en licence intensive de sciences sociales, dit être “dans le flou”. “Avec Parcoursup, j’ai l’impression qu’on sait pas trop trop à quoi s’attendre”.Comme chaque année, dans les premières heures, il sera possible seulement de consulter les résultats. C’est plus tard dans la soirée que les candidats pourront commencer à répondre aux propositions.La phase principale d’admission durera jusqu’au 10 juillet, période pendant laquelle les candidats continueront de recevoir des réponses. Ils sont souvent sur des listes d’attente, qui peuvent évoluer vite: il faut donc consulter régulièrement Parcoursup. Cette année, pour accélérer la procédure, il sera demandé aux candidats ayant des voeux en attente de classer par ordre de préférence ceux qu’ils souhaitent conserver entre le 6 et le 10 juin.Du 11 juin au 11 septembre, de nouveaux vÅ“ux seront possibles dans les formations qui disposent encore de places.Tout ce processus reste conditionné à l’obtention du bac, dont les résultats seront communiqués le 4 juillet. Parallèlement à leurs démarches pour Parcoursup, les lycéens passeront la philo le 16 juin puis les épreuves de spécialité entre le 17 et le 19 juin et le Grand oral du 23 juin au 2 juillet.Un site de mise en situation est proposé par le ministère de l’Enseignement supérieur pour aider les candidats à répondre aux propositions des formations. Un numéro vert est aussi disponible pour les guider: 0.800.400.070. L’an dernier, 94% des lycéens inscrits sur Parcoursup ont reçu au moins une proposition d’admission, selon le ministère.Pour les étudiants titulaires d’un diplôme bac+3 qui ont postulé sur la plateforme Mon master, c’est aussi l’heure du verdict ce lundi: ils ont commencé à recevoir à 9H00 les premières réponses à leurs candidatures pour des masters.

“Pic de stress” avant les résultats de Parcoursup pour les lycéens de terminale

“L’ambiance générale est au stress”, résume Serena, 17 ans. Deux mois après avoir bouclé leurs dossiers, les lycéens de terminale attendent lundi les premiers résultats de la plateforme d’inscription post-bac, qui tomberont à partir de 19H00.”Je suppose que je vais me connecter en boucle toute la soirée pour voir s’il y a des nouvelles”, dit cette élève de terminale générale dans l’Yonne, qui veut aller en classe préparatoire littéraire à Paris.”Parcoursup, c’est un peu le non-dit d’aujourd’hui. Dès que quelqu’un en parle, tout le monde lui lance un regard noir pour dire que c’est le sujet interdit”, ajoute-t-elle.Dans la procédure, “il y a des pics de stress: le moment où on doit rendre les lettres de motivation, celui où on doit rentrer tous les voeux et aujourd’hui”, dit-elle. “Ils nous maintiennent en haleine”.Chloé, 17 ans, lycéenne à Vincennes (Val-de-Marne), qui se destine aussi à des études littéraires, ne se met “pas tant la pression par rapport à ça”. “Ça ne me fait vraiment ni chaud ni froid”, assure-t-elle. “Je suis pratiquement sûre d’être acceptée dans la prépa que je veux, et sinon, je serai acceptée à la fac, et je me dis que c’est pas si mal que ça non plus”, tempère-t-elle.Parcoursup n’est “qu’une étape” qu’il faut “dédramatiser”, a déclaré lundi le ministre de l’Enseignement supérieur Philippe Baptiste. La question cruciale est celle de l’orientation, sur laquelle le gouvernement fera des annonces “dans quelques jours”, a-t-il ajouté sur franceinfo.Cette année, les lycéens avaient jusqu’à mi-mars pour inscrire leurs voeux sur la plateforme, puis jusqu’au 2 avril pour compléter leur dossier et confirmer leurs vÅ“ux. Parcoursup, qui a succédé en 2018 à APB, a recueilli les voeux de 980.000 candidats dans l’enseignement supérieur, contre 945.500 l’an dernier. Parmi eux, les plus nombreux sont des lycéens: ils sont 650.000, contre 183.000 étudiants souhaitant changer de voie.Plusieurs réponses sont possibles pour chaque formation: être accepté (oui), être accepté sous condition (oui si, pour des filières universitaires qui demandent à l’étudiant de suivre un parcours d’accompagnement pédagogique ou personnalisé), être sur liste d’attente ou encore être refusé (uniquement pour les filières sélectives).- Le bac comme condition -Elsa, 18 ans, lycéenne à Strasbourg, qui espère être prise en licence intensive de sciences sociales, dit être “dans le flou”. “Avec Parcoursup, j’ai l’impression qu’on sait pas trop trop à quoi s’attendre”.Comme chaque année, dans les premières heures, il sera possible seulement de consulter les résultats. C’est plus tard dans la soirée que les candidats pourront commencer à répondre aux propositions.La phase principale d’admission durera jusqu’au 10 juillet, période pendant laquelle les candidats continueront de recevoir des réponses. Ils sont souvent sur des listes d’attente, qui peuvent évoluer vite: il faut donc consulter régulièrement Parcoursup. Cette année, pour accélérer la procédure, il sera demandé aux candidats ayant des voeux en attente de classer par ordre de préférence ceux qu’ils souhaitent conserver entre le 6 et le 10 juin.Du 11 juin au 11 septembre, de nouveaux vÅ“ux seront possibles dans les formations qui disposent encore de places.Tout ce processus reste conditionné à l’obtention du bac, dont les résultats seront communiqués le 4 juillet. Parallèlement à leurs démarches pour Parcoursup, les lycéens passeront la philo le 16 juin puis les épreuves de spécialité entre le 17 et le 19 juin et le Grand oral du 23 juin au 2 juillet.Un site de mise en situation est proposé par le ministère de l’Enseignement supérieur pour aider les candidats à répondre aux propositions des formations. Un numéro vert est aussi disponible pour les guider: 0.800.400.070. L’an dernier, 94% des lycéens inscrits sur Parcoursup ont reçu au moins une proposition d’admission, selon le ministère.Pour les étudiants titulaires d’un diplôme bac+3 qui ont postulé sur la plateforme Mon master, c’est aussi l’heure du verdict ce lundi: ils ont commencé à recevoir à 9H00 les premières réponses à leurs candidatures pour des masters.

Wall Street recule, plombée par le regain des tensions commerciales sino-américaines

La Bourse de New York a ouvert en baisse lundi, débutant la semaine dans le rouge avec la reprise des tensions commerciales entre Washington et Pékin et en raison de nouvelles annonces douanières de Donald Trump sur l’acier et l’aluminium.Dans les premiers échanges, le Dow Jones reculait de 0,41%, l’indice Nasdaq perdait 0,27% et l’indice élargi S&P 500 lâchait 0,29%.

Bangladesh launches fresh reform bid

Bangladesh’s caretaker government launched a fresh bid on Monday to seek agreement between rival political parties on critical democratic reforms after a mass uprising last year.The South Asian nation of around 170 million people has been in political turmoil since former prime minister Sheikh Hasina was ousted by a student-led revolt in August 2024, ending her iron-fisted rule of 15 years.The National Consensus Commission is headed by Muhammad Yunus, the 84-year-old Nobel Peace Prize winner who is leading the caretaker government as its chief adviser until elections are held.”Let’s not miss this opportunity”, Yunus said in a speech at the opening as a second round of meetings began. “The remaining differences can be narrowed”.Last month the consensus commission said political parties had failed to reach agreement.Yunus has previously said he inherited a “completely broken down” system of public administration, and said it required a comprehensive overhaul to prevent a future return to authoritarian rule.He set up six commissions to do that work, overseen by the consensus commission, which he heads.On May 26, Ali Riaz, the commission’s vice president, said that despite marathon efforts — stretching over 45 sessions with 38 political parties and alliances — they had not reached a deal in the first round.Several political parties, especially the powerful Bangladesh Nationalist Party (BNP) have demanded an election date be set.Salahuddin Ahmed, a senior BNP leader, last week said there was growing impatience at the pace of progress made by the reform commission.”How many times do they want to stage the drama of reforms?” he said. “A first launch, followed by a second… This is nothing but dancing with bananas”.Contentious issues include whether a prime minister can serve more than two terms, and the process for selecting the president.Hasina’s rule saw widespread human rights abuses, and her government was accused of politicising courts and the civil service, as well as staging lopsided elections to dismantle democratic checks.Yunus has said polls could be held as early as December but that holding them later — with the deadline of June 2026 — would give the government more time for reform.