‘My greatest dream’ – Taylor Swift buys back rights to old music

Pop sensation Taylor Swift, who was locked in a feud with record executives since 2019 over ownership of her music, has bought back the rights to her entire back catalog, she said Friday.”All of the music I’ve ever made … now belongs … to me,” she wrote on her website, after years of disputes over her first six albums, a number of which she rerecorded to create copies she owns herself.”To say this is my greatest dream come true is actually being pretty reserved about it,” she wrote in the letter to her devoted followers.”To my fans, you know how important this has been to me — so much so that I meticulously re-recorded and released four of my albums, calling them Taylor’s Version.”Swift bought back the masters to her first six albums from Shamrock Capital, an LA investment firm, for an undisclosed amount.The re-recording power move came in the wake of public sparring with industry mogul Scooter Braun, her one-time manager whose company had purchased her previous label and gained a majority stake in her early work.He later sold Swift’s master rights to the private equity company.- ‘This fight’ -The situation left Swift publicly incensed: “I just feel that artists should own their work,” she said in 2019.”She’s a vocal advocate for artists’ rights,” Ralph Jaccodine, a professor at the Berklee College of Music, told AFP previously.  “She’s built her own brand.”Before her public efforts to regain control of her work, Prince, George Michael, Jay-Z and Kanye West all also fought for control of their masters — one-of-a-kind source material that dictate how songs are reproduced and sold — but none had gone so far as to re-record them completely.The queen of pop, whose recent nearly two-year-long, $2 billion Eras tour shattered records, said that she was “heartened by the conversations this saga has reignited within my industry.”Swift’s lucrative tour which wrapped last year was a showbusiness sensation, and will have helped offset the costs of buying back her catalog.The 149 shows across the world typically clocked in at more than three hours long each.Tour tickets sold for sometimes exorbitant prices and drew in millions of fans, along with many more who didn’t get in and were willing to simply sing along from the parking lot.”Every time a new artist tells me they negotiated to own their master recordings in their record contract because of this fight, I’m reminded of how important it was for all this to happen,” Swift said in her letter.

Le parc d’éoliennes en mer s’étend en Méditerranée

La production d’énergie renouvelable en mer s’accroît en Méditerranée, où deux parcs d’éoliennes flottantes capables de fournir chacun l’électricité nécessaire à une ville de 50.000 habitants seront installés d’ici la fin de l’année, au large des côtes des Pyrénées-Orientales et de l’Aude.Contrairement à celles dont le mât est planté dans le sol marin, et qui représentent la majorité des éoliennes en mer en France, celles flottantes peuvent être installées dans des zones profondes, plus venteuses et plus loin des côtes.En cours d’assemblage à Port-la-Nouvelle (Aude), les trois premières éoliennes pilotes, positionnées avant l’été à 16 km de la station balnéaire du Barcarès, près de Perpignan, atteindront leur production maximale fin 2025. Elles vont aussi permettre d’évaluer l’impact sur l’environnement, avant l’installation de dizaines, voire de centaines d’éoliennes flottantes bien plus puissantes, alors que des écologistes dénoncent une prise en compte insuffisante des risques pour les fonds marins, les poissons et les oiseaux.Marc Hirt, directeur général d’Ocean Winds, la filiale d’Engie en charge de cette ferme pilote, a évoqué lundi à Port-la-Nouvelle, dans l’Aude, où ces trois éoliennes sont en cours d’assemblage, un probable effet “positif” de la nouvelle installation, susceptible de devenir un “récif artificiel” favorable à la vie marine.Il s’est dit “plus prudent pour l’instant” sur les effets sur les oiseaux qui pourraient être blessés ou tués par les pales des éoliennes.- Avertisseurs sonores -La mise en place de haut-parleurs émettant des sons de rapaces afin d’effrayer les oiseaux sont en cours d’essai, mais c’est encore “très expérimental”, a précisé M. Hirt devant la presse.Le préfet d’Occitanie, Pierre-André Durand a quant à lui noté qu’il y aura des retours d’expérience “cinq ans avant la mise en place des parcs commerciaux”, ce qui permettra de profiter des nouvelles connaissances.Pour Serge Briez, dont l’association Les Peuples de la mer observe et répertorie depuis quatre ans les plus de 120 espèces animales susceptibles d’être affectées par les éoliennes (dauphins, thons, flamants roses, fous de Bassan…), ce délai est insuffisant.”Cinq ans avant, l’ingénierie du projet est déjà en route”, il est trop tard pour que les résultats des expérimentations puissent avoir une véritable influence sur la conception des futures éoliennes commerciales, affirme-t-il à l’AFP.D’autre part, l'”effet récif” développera des espèces côtières pas forcément nécessaires à cet endroit-là et les bruits de rapaces “ont déjà été essayés et ça ne marche pas”, ajoute-t-il, rappelant qu’en avril, la justice a ordonné l’arrêt de deux parcs éoliens terrestres responsables de la mort d’oiseaux protégés dans l’Hérault, une première en France.Bruno Ladsous, du collectif TNE, qui dit regrouper plusieurs dizaines d’associations écologistes, souligne “ne pas être contre les éoliennes flottantes” à certaines conditions: “éloignement significatif des côtes” et “respect des couloirs migratoires” des oiseaux, “des fonds marins” et de la faune marine. “Mais ces conditions n’ont jamais été respectées”, ajoute-t-il aussitôt.- Vents réguliers -Plusieurs personnalités présentes lundi à Port-la-Nouvelle, dont la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, ou la directrice générale adjointe d’Engie Claire Waysand, ont rappelé la régularité remarquable des vents marins méditerranéens, un point favorable au déploiement de l’éolien dans cette zone.Outre la première ferme pilote, au large du Barcarès (Pyrénées-Orientales), une autre de trois éoliennes doit être déployée à l’automne au large de Port-la-Nouvelle, près de Narbonne, dans l’Aude, s’ajoutant à celle du Golfe de Fos (Bouches-du-Rhône, à une cinquantaine de km de Marseille) qui est déjà en service.Deux parcs commerciaux situés plus loin des côtes (entre 25 et 30 km, contre 16 ou 18 km pour les fermes pilotes) sont déjà prévus pour une mise en service à partir de 2031 au large de l’Occitanie, pour une production totale de 750 MW, équivalente à la consommation d’un million d’habitants.Cependant, le développement de l’éolien en mer “posé”, dont la technologie est mieux maîtrisée, a été plus rapide que celui du flottant.Ainsi, trois parcs éoliens offshore “posés” commerciaux sont déjà en service en France, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) et Fécamp (Seine-Maritime).

Le parc d’éoliennes en mer s’étend en Méditerranée

La production d’énergie renouvelable en mer s’accroît en Méditerranée, où deux parcs d’éoliennes flottantes capables de fournir chacun l’électricité nécessaire à une ville de 50.000 habitants seront installés d’ici la fin de l’année, au large des côtes des Pyrénées-Orientales et de l’Aude.Contrairement à celles dont le mât est planté dans le sol marin, et qui représentent la majorité des éoliennes en mer en France, celles flottantes peuvent être installées dans des zones profondes, plus venteuses et plus loin des côtes.En cours d’assemblage à Port-la-Nouvelle (Aude), les trois premières éoliennes pilotes, positionnées avant l’été à 16 km de la station balnéaire du Barcarès, près de Perpignan, atteindront leur production maximale fin 2025. Elles vont aussi permettre d’évaluer l’impact sur l’environnement, avant l’installation de dizaines, voire de centaines d’éoliennes flottantes bien plus puissantes, alors que des écologistes dénoncent une prise en compte insuffisante des risques pour les fonds marins, les poissons et les oiseaux.Marc Hirt, directeur général d’Ocean Winds, la filiale d’Engie en charge de cette ferme pilote, a évoqué lundi à Port-la-Nouvelle, dans l’Aude, où ces trois éoliennes sont en cours d’assemblage, un probable effet “positif” de la nouvelle installation, susceptible de devenir un “récif artificiel” favorable à la vie marine.Il s’est dit “plus prudent pour l’instant” sur les effets sur les oiseaux qui pourraient être blessés ou tués par les pales des éoliennes.- Avertisseurs sonores -La mise en place de haut-parleurs émettant des sons de rapaces afin d’effrayer les oiseaux sont en cours d’essai, mais c’est encore “très expérimental”, a précisé M. Hirt devant la presse.Le préfet d’Occitanie, Pierre-André Durand a quant à lui noté qu’il y aura des retours d’expérience “cinq ans avant la mise en place des parcs commerciaux”, ce qui permettra de profiter des nouvelles connaissances.Pour Serge Briez, dont l’association Les Peuples de la mer observe et répertorie depuis quatre ans les plus de 120 espèces animales susceptibles d’être affectées par les éoliennes (dauphins, thons, flamants roses, fous de Bassan…), ce délai est insuffisant.”Cinq ans avant, l’ingénierie du projet est déjà en route”, il est trop tard pour que les résultats des expérimentations puissent avoir une véritable influence sur la conception des futures éoliennes commerciales, affirme-t-il à l’AFP.D’autre part, l'”effet récif” développera des espèces côtières pas forcément nécessaires à cet endroit-là et les bruits de rapaces “ont déjà été essayés et ça ne marche pas”, ajoute-t-il, rappelant qu’en avril, la justice a ordonné l’arrêt de deux parcs éoliens terrestres responsables de la mort d’oiseaux protégés dans l’Hérault, une première en France.Bruno Ladsous, du collectif TNE, qui dit regrouper plusieurs dizaines d’associations écologistes, souligne “ne pas être contre les éoliennes flottantes” à certaines conditions: “éloignement significatif des côtes” et “respect des couloirs migratoires” des oiseaux, “des fonds marins” et de la faune marine. “Mais ces conditions n’ont jamais été respectées”, ajoute-t-il aussitôt.- Vents réguliers -Plusieurs personnalités présentes lundi à Port-la-Nouvelle, dont la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, ou la directrice générale adjointe d’Engie Claire Waysand, ont rappelé la régularité remarquable des vents marins méditerranéens, un point favorable au déploiement de l’éolien dans cette zone.Outre la première ferme pilote, au large du Barcarès (Pyrénées-Orientales), une autre de trois éoliennes doit être déployée à l’automne au large de Port-la-Nouvelle, près de Narbonne, dans l’Aude, s’ajoutant à celle du Golfe de Fos (Bouches-du-Rhône, à une cinquantaine de km de Marseille) qui est déjà en service.Deux parcs commerciaux situés plus loin des côtes (entre 25 et 30 km, contre 16 ou 18 km pour les fermes pilotes) sont déjà prévus pour une mise en service à partir de 2031 au large de l’Occitanie, pour une production totale de 750 MW, équivalente à la consommation d’un million d’habitants.Cependant, le développement de l’éolien en mer “posé”, dont la technologie est mieux maîtrisée, a été plus rapide que celui du flottant.Ainsi, trois parcs éoliens offshore “posés” commerciaux sont déjà en service en France, à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) et Fécamp (Seine-Maritime).

La Bourse de Paris termine sans entrain

La Bourse de Paris a terminé sans élan lundi, sur fond de regain des tensions commerciales entre les États-Unis et leurs partenaires.Le CAC 40 a perdu 0,19% à 7.737,20 points, en recul de 14,69 points. Vendredi, pour sa dernière séance du mois de mai, le CAC 40 avait lâché 0,36%.”Les tensions commerciales sont revenues au cÅ“ur des préoccupations”, relève Sophie Chauvellier, gérante à Dorval AM, interrogée par l’AFP.”L’imprévisibilité persistante du président américain pousse de nombreux investisseurs à rester sur la touche, en position d’observation”, abonde Jochen Stanzl, de CMC Market.Vendredi, le président américain Donald Trump a annoncé que les droits de douane sur l’acier et l’aluminium passeraient de 25% à 50% dès mercredi.Particulièrement exposée, l’Union européenne a prévenu que des “contre-mesures” européennes “prendraient automatiquement effet le 14 juillet, voire plus tôt si les circonstances l’exigeaient”, a indiqué une porte-parole.Donald Trump a aussi ravivé les tensions commerciales avec la Chine en l’accusant de ne pas respecter les termes de l’accord de détente négocié le 12 mai entre les deux pays à Genève, ce que Pékin a réfuté lundi.Selon le Wall Street Journal, le problème viendrait de la lenteur avec laquelle la Chine a accordé de nouvelles licences d’exportation de terres rares et d’autres éléments nécessaires aux semi-conducteurs et composants automobiles.”Tout laisse donc présager un été politiquement tendu sur les marchés financiers”, relève Andreas Lipkow, analyste indépendant.Les constructeurs automobiles ont souffert: Stellantis a perdu 4,78% à 8,53 euros et Renault 3,70% à 43,70 euros.Les équipementiers Valeo (-3,41% à 8,94 euros), Forvia (-1,21% à 8,18 euros) et OPMobility (-1,21% à 10,64 euros) ont aussi reculé.La biotech française Transgene a bondi de 46,13% à 0,98 euro sur la Bourse de Paris, après avoir présenté lundi des résultats concluants dans un essai clinique de phase 1 pour son vaccin contre le cancer de la tête et du cou. Le géant pharmaceutique français Sanofi (-1,84% à 85,91 euros) a annoncé lundi acquérir la biotech Blueprint, une société spécialisée dans la mastocytose systémique, une maladie immunologique rare. Pour cette acquisition, Sanofi versera 129 dollars par action, soit une valeur d’environ 9,1 milliards de dollars.

Chaleur, sécheresse: le printemps 2025 bat des records au Royaume-Uni

Le plus chaud, le plus ensoleillé et l’un des plus secs: le printemps 2025 a battu plusieurs records climatiques au Royaume-Uni, où ces conditions affectent déjà les agriculteurs et les réserves d’eau.L’agence météorologique Met Office a annoncé lundi que les températures printanières avaient dépassé de 1,4 degré la moyenne saisonnière, atteignant 9,5 degrés, un record depuis le début des relevés en 1884.Le précédent record datait du printemps dernier avec 9,37 degrés, et les “trois printemps les plus chauds ont tous eu lieu depuis 2017, témoignant de l’évolution de notre climat”, dit-elle dans son communiqué. Les mers britanniques ont aussi connu une vague de chaleur inhabituelle, avec des températures records à la surface en avril et en mai, dépassant les normales de 4 degrés dans certaines régions.Ce pays connu pour son climat océanique a également enregistré 653,3 heures de soleil de début mars à fin mai, soit 43% de plus que la moyenne, ce qui constitue un record depuis le début des relevés en 1910.”Cette combinaison de chaleur et d’ensoleillement, associée à de très faibles précipitations, a créé des conditions difficiles pour l’agriculture et les ressources en eau dans une grande partie du pays”, souligne le Met office dans son communiqué.Avec seulement 128,2 millimètres de pluie de mars à mai, il s’agit en effet “du printemps le plus sec depuis plus de 50 ans” au Royaume-Uni, depuis 1974 et ses 123,2 millimètres de précipitations.Le principal syndicat agricole britannique NFU s’est fait l’écho de l’inquiétude des agriculteurs. Certains ont commencé à à irriguer plus tôt que d’habitude, constatant que leurs semis de printemps n’avaient pas encore germé à cause du temps exceptionnellement sec.- “Préserver les réserves” -“Mi-mai, le Royaume-Uni connaissait son printemps le plus sec depuis plus d’un siècle, et bien que la météo humide récente ait légèrement amélioré les conditions, le printemps 2025 reste le sixième le plus sec depuis le début des relevés en 1836”, a conclu lundi l’agence météorologique.Dans l’ensemble du pays, les précipitations ont été inférieures de 40% à la moyenne historique.L’Angleterre, en particulier, a “connu son printemps le plus sec depuis plus de 100 ans, battu seulement par celui de 1893”, selon le Met office. Le nord-ouest de l’Angleterre a officiellement été placé en état de “sécheresse” fin mai par l’Agence de l’Environnement, qui avait convoqué quelques semaines plus tôt une réunion sur le sujet.Comme en Écosse, les niveaux des réservoirs d’eau y sont “particulièrement, voire exceptionnellement bas”, et ceux des rivières aussi, avait-elle prévenu, exhortant les compagnies d’eau britanniques à “faire davantage pour préserver les réserves”.Au-delà du Royaume-Uni, une sécheresse jamais vue depuis des décennies frappe depuis plusieurs semaines une partie du nord de l’Europe, dont le Danemark, le nord de la France et les Pays-Bas, faisant craindre pour les rendements des futures récoltes que les agriculteurs ont semé.Cette saison illustre “certains des changements que nous observons dans nos schémas météorologiques, avec des conditions plus extrêmes – notamment un temps sec et ensoleillé prolongé – qui deviennent plus fréquentes”, a souligné Emily Carlisle du Met office.Selon l’agence, “huit des dix printemps britanniques les plus chauds ont eu lieu depuis l’an 2000”. Alec Hutchings, conseiller climat au WWF, a lui estimé que “ces nouvelles données du Met Office constituent un avertissement brutal: le changement climatique n’est plus une menace lointaine – il est là, maintenant, et il faut agir immédiatement”.

Chaleur, sécheresse: le printemps 2025 bat des records au Royaume-Uni

Le plus chaud, le plus ensoleillé et l’un des plus secs: le printemps 2025 a battu plusieurs records climatiques au Royaume-Uni, où ces conditions affectent déjà les agriculteurs et les réserves d’eau.L’agence météorologique Met Office a annoncé lundi que les températures printanières avaient dépassé de 1,4 degré la moyenne saisonnière, atteignant 9,5 degrés, un record depuis le début des relevés en 1884.Le précédent record datait du printemps dernier avec 9,37 degrés, et les “trois printemps les plus chauds ont tous eu lieu depuis 2017, témoignant de l’évolution de notre climat”, dit-elle dans son communiqué. Les mers britanniques ont aussi connu une vague de chaleur inhabituelle, avec des températures records à la surface en avril et en mai, dépassant les normales de 4 degrés dans certaines régions.Ce pays connu pour son climat océanique a également enregistré 653,3 heures de soleil de début mars à fin mai, soit 43% de plus que la moyenne, ce qui constitue un record depuis le début des relevés en 1910.”Cette combinaison de chaleur et d’ensoleillement, associée à de très faibles précipitations, a créé des conditions difficiles pour l’agriculture et les ressources en eau dans une grande partie du pays”, souligne le Met office dans son communiqué.Avec seulement 128,2 millimètres de pluie de mars à mai, il s’agit en effet “du printemps le plus sec depuis plus de 50 ans” au Royaume-Uni, depuis 1974 et ses 123,2 millimètres de précipitations.Le principal syndicat agricole britannique NFU s’est fait l’écho de l’inquiétude des agriculteurs. Certains ont commencé à à irriguer plus tôt que d’habitude, constatant que leurs semis de printemps n’avaient pas encore germé à cause du temps exceptionnellement sec.- “Préserver les réserves” -“Mi-mai, le Royaume-Uni connaissait son printemps le plus sec depuis plus d’un siècle, et bien que la météo humide récente ait légèrement amélioré les conditions, le printemps 2025 reste le sixième le plus sec depuis le début des relevés en 1836”, a conclu lundi l’agence météorologique.Dans l’ensemble du pays, les précipitations ont été inférieures de 40% à la moyenne historique.L’Angleterre, en particulier, a “connu son printemps le plus sec depuis plus de 100 ans, battu seulement par celui de 1893”, selon le Met office. Le nord-ouest de l’Angleterre a officiellement été placé en état de “sécheresse” fin mai par l’Agence de l’Environnement, qui avait convoqué quelques semaines plus tôt une réunion sur le sujet.Comme en Écosse, les niveaux des réservoirs d’eau y sont “particulièrement, voire exceptionnellement bas”, et ceux des rivières aussi, avait-elle prévenu, exhortant les compagnies d’eau britanniques à “faire davantage pour préserver les réserves”.Au-delà du Royaume-Uni, une sécheresse jamais vue depuis des décennies frappe depuis plusieurs semaines une partie du nord de l’Europe, dont le Danemark, le nord de la France et les Pays-Bas, faisant craindre pour les rendements des futures récoltes que les agriculteurs ont semé.Cette saison illustre “certains des changements que nous observons dans nos schémas météorologiques, avec des conditions plus extrêmes – notamment un temps sec et ensoleillé prolongé – qui deviennent plus fréquentes”, a souligné Emily Carlisle du Met office.Selon l’agence, “huit des dix printemps britanniques les plus chauds ont eu lieu depuis l’an 2000”. Alec Hutchings, conseiller climat au WWF, a lui estimé que “ces nouvelles données du Met Office constituent un avertissement brutal: le changement climatique n’est plus une menace lointaine – il est là, maintenant, et il faut agir immédiatement”.

Mali army base and airport in Timbuktu targeted in attackMon, 02 Jun 2025 16:12:26 GMT

A Malian army base came under attack on Monday and shells were fired at the airport in the northern city of Timbuktu where heavy gunfire was heard, the army, local officials and residents said.Junta-ruled Mali has since 2012 faced attacks from groups linked to Al-Qaeda and the Islamic State group as well as separatist movements …

Mali army base and airport in Timbuktu targeted in attackMon, 02 Jun 2025 16:12:26 GMT Read More »

Le chacal doré poursuit son expansion en France

La présence d’un chacal doré a été confirmée pour la première fois dans les Alpes-de-Haute-Provence, attestant de l’expansion du canidé en France, a annoncé lundi l’Office français de la biodiversité (OFB).L’animal, à mi-chemin entre renard et loup, avec lesquels il peut facilement être confondu, avait été filmé en avril sur la commune de Castellane. Les spécialistes ont depuis confirmé sa présence au terme d’une “validation rigoureuse”, indique dans un communiqué l’OFB.La première observation du chacal doré en France remonte à 2017 en Haute-Savoie et sa présence a depuis été observée dans 13 départements différents, dans toutes les régions françaises hormis la Bourgogne-Franche-Comté.”C’est une espèce qui est en expansion mais qui n’est pas encore très présente” en France, a expliqué à l’AFP Pierre-Yves Quenette, chef du service conservation et gestion des espèces à enjeux particuliers à l’OFB.Le chacal doré est présent en Europe depuis plus de 2000 ans mais était resté essentiellement cantonné aux Balkans jusque dans les années 1960, avec aujourd’hui de grosses populations en Bulgarie. Il a depuis entamé une nouvelle phase de colonisation vers l’Europe occidentale.”Pour l’instant on n’a constaté aucune reproduction” sur le territoire français, souligne Pierre-Yves Quenette. Mais deux adultes ont été observés ensemble en Camargue en novembre dernier, laissant suggérer “l’installation probable d’un groupe familial”, selon l’OFB.L’animal omnivore, qui pèse entre 7 et 17 kilos, ne s’est pas fait remarquer par des dommages sur les élevages, contrairement au loup. Son régime s’apparente plutôt à celui du renard, avec lequel il peut entrer en concurrence.”C’est un prédateur très généraliste: il mange aussi des petits rongeurs, il peut être charognard, il est assez opportuniste”, remarque Pierre-Yves Quenette.