Mondial-2026: la Norvège empoche son billet, l’Italie encore en barrages
Il n’y a pas eu d’incroyable retournement de situation à Milan dimanche: comme attendu, la Norvège s’est qualifiée pour le Mondial-2026 après sa victoire (4-1) contre l’Italie qui, absente des deux dernières Coupes du monde, devra elle à nouveau passer par les barrages.La Norvège qui participera pour la première fois depuis 1998 à une Coupe du monde, a terminé, grâce à un nouveau doublé de sa star Erling Haaland, à la première place du groupe I avec un carton plein de 24 points, soit six de plus que l’Italie.La Nazionale a dominé la première période devant les 69.000 spectateurs de San Siro et a ouvert la marque grâce à son grand espoir Francesco Pio Esposito, son troisième but en cinq sélections à 20 ans, sur un tir en pivot (11e).Changement radical de scénario après la pause: la Norvège, timorée jusque-là, a surclassé l’Italie.Elle a égalisé sur un raid tout en puissance d’Antonio Nusa (63e), puis Haaland a donné l’avantage à son équipe d’une superbe reprise de volée (78e), avant de mettre KO la Nazionale une minute plus tard en profitant d’une mauvaise relance (79e).Jorgen Strand Larsen a ajouté un quatrième but dans le temps additionnel (90e+3).Les “Lions” disputeront seulement leur quatrième phase finale de Coupe du monde, après 1938, 1994 et 1998. Ils affichent pour meilleur résultat un 8e de finale lors de leur dernière participation en France, où ils s’étaient inclinés contre l’Italie (1-0).Haaland et ses coéquipiers ont fini leurs éliminatoires avec un impressionnant bilan de huit victoires en autant de matches, grâce notamment aux 16 buts de l’attaquant de Manchester City qui participera l’été prochain aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique à son premier tournoi majeur.- Barrages fatals en 2018 et 2022 -Ils ont fait la différence dans leur duel pour la qualification directe avec l’Italie dès juin avec une démonstration (3-0) sous le pluie d’Oslo (3-0), dont les Azzurri ne se sont jamais remis.Ce camouflet a coûté son poste à Luciano Spalletti, moins de deux ans après sa nomination. Son successeur Gennaro Gattuso a relancé l’équipe avec cinq victoires consécutives, avant cette cinglante défaite.”On doit présenter nos excuses à nos supporters, finir ces qualifications sur une défaite aussi lourde est inacceptable”, a réagi le sélectionneur italien.”Mais il faut retenir ce qu’on a fait contre une très bonne équipe norvégienne en première période”, a insisté le champion du monde 2006.L’Italie conservait une chance de se qualifier directement pour la prochaine Coupe du monde, mais elle devait battre la Norvège par neuf buts d’écart. Mais même Gattuso n’y croyait pas et avait présenté samedi ce scénario comme “impensable”.Les quadruples champions du monde vont devoir passer fin mars par les barrages qui rappellent forcément des mauvais souvenirs au foot italien et aux tifosi.C’est en barrages que la Nazionale a chuté, contre la Suède pour la Coupe du monde 2018 (défaite 1-0, nul 0-0), et contre la Macédoine du nord (défaite 1-0), pour le Mondial-2022.L’Italie connaitra son parcours vers l’Amérique jeudi après un tirage au sort qui pourrait mettre sur sa route la Suède ou l’Ecosse.
Mondial-2026: la Norvège empoche son billet, l’Italie encore en barrages
Il n’y a pas eu d’incroyable retournement de situation à Milan dimanche: comme attendu, la Norvège s’est qualifiée pour le Mondial-2026 après sa victoire (4-1) contre l’Italie qui, absente des deux dernières Coupes du monde, devra elle à nouveau passer par les barrages.La Norvège qui participera pour la première fois depuis 1998 à une Coupe du monde, a terminé, grâce à un nouveau doublé de sa star Erling Haaland, à la première place du groupe I avec un carton plein de 24 points, soit six de plus que l’Italie.La Nazionale a dominé la première période devant les 69.000 spectateurs de San Siro et a ouvert la marque grâce à son grand espoir Francesco Pio Esposito, son troisième but en cinq sélections à 20 ans, sur un tir en pivot (11e).Changement radical de scénario après la pause: la Norvège, timorée jusque-là, a surclassé l’Italie.Elle a égalisé sur un raid tout en puissance d’Antonio Nusa (63e), puis Haaland a donné l’avantage à son équipe d’une superbe reprise de volée (78e), avant de mettre KO la Nazionale une minute plus tard en profitant d’une mauvaise relance (79e).Jorgen Strand Larsen a ajouté un quatrième but dans le temps additionnel (90e+3).Les “Lions” disputeront seulement leur quatrième phase finale de Coupe du monde, après 1938, 1994 et 1998. Ils affichent pour meilleur résultat un 8e de finale lors de leur dernière participation en France, où ils s’étaient inclinés contre l’Italie (1-0).Haaland et ses coéquipiers ont fini leurs éliminatoires avec un impressionnant bilan de huit victoires en autant de matches, grâce notamment aux 16 buts de l’attaquant de Manchester City qui participera l’été prochain aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique à son premier tournoi majeur.- Barrages fatals en 2018 et 2022 -Ils ont fait la différence dans leur duel pour la qualification directe avec l’Italie dès juin avec une démonstration (3-0) sous le pluie d’Oslo (3-0), dont les Azzurri ne se sont jamais remis.Ce camouflet a coûté son poste à Luciano Spalletti, moins de deux ans après sa nomination. Son successeur Gennaro Gattuso a relancé l’équipe avec cinq victoires consécutives, avant cette cinglante défaite.”On doit présenter nos excuses à nos supporters, finir ces qualifications sur une défaite aussi lourde est inacceptable”, a réagi le sélectionneur italien.”Mais il faut retenir ce qu’on a fait contre une très bonne équipe norvégienne en première période”, a insisté le champion du monde 2006.L’Italie conservait une chance de se qualifier directement pour la prochaine Coupe du monde, mais elle devait battre la Norvège par neuf buts d’écart. Mais même Gattuso n’y croyait pas et avait présenté samedi ce scénario comme “impensable”.Les quadruples champions du monde vont devoir passer fin mars par les barrages qui rappellent forcément des mauvais souvenirs au foot italien et aux tifosi.C’est en barrages que la Nazionale a chuté, contre la Suède pour la Coupe du monde 2018 (défaite 1-0, nul 0-0), et contre la Macédoine du nord (défaite 1-0), pour le Mondial-2022.L’Italie connaitra son parcours vers l’Amérique jeudi après un tirage au sort qui pourrait mettre sur sa route la Suède ou l’Ecosse.
Présidentielle au Chili : insécurité et migrants sans papiers au coeur du scrutin
Les Chiliens ont voté dimanche pour élire leur président entre deux favoris, la communiste modérée Jeannette Jara et l’ultraconservateur José Antonio Kast, lors d’un scrutin dominé par les inquiétudes liées à la criminalité et à la migration irrégulière. Pour la première fois depuis la fin de la dictature d’Augusto Pinochet en 1990, la droite radicale pourrait revenir au pouvoir.Les bureaux de vote ont commencé à fermer à 18H00 locales (21H00 GMT), ouvrant la voie au dépouillement, au terme d’une journée marquée par de longues files d’attente pour ce scrutin obligatoire. Plus de 15,6 millions d’électeurs étaient appelés à départager huit candidats.”Il faut améliorer la question de la délinquance. Tout est horrible (…) Un changement est nécessaire”, a déclaré à l’AFP Joaquin Castillo, un étudiant de 23 ans en votant à Santiago.Jeannette Jara, candidate de la coalition de centre gauche au pouvoir, arrive en tête des sondages, devant son rival d’extrême droite José Antonio Kast. Mais lors d’un probable second tour, elle serait battue par un candidat de droite ou d’extrême droite, du fait du report des voix.L’extrême droite est aussi portée par Johannes Kaiser, député libertarien en forte progression dans les sondages, souvent présenté comme la version chilienne du président argentin Javier Milei.Bien que le Chili reste l’un des pays les plus sûrs du continent, la criminalité y a sensiblement augmenté. Le taux d’homicides a augmenté de 2,5 à 6 pour 100.000 habitants en une décennie et 868 enlèvements ont été recensés l’an dernier, en hausse de 76% par rapport à 2021, selon les autorités.- “reculer sur tant d’avancées ” -Cette violence inédite a éclipsé les aspirations de changement qui avaient porté au pouvoir en 2022 le président de gauche Gabriel Boric et sa promesse, finalement avortée, d’une nouvelle Constitution pour remplacer celle héritée de Pinochet.”Il manque de la poigne au Chili, on est trop laxistes (…) Il faut fermer la frontière et renvoyer tous les sans-papiers”, a déclaré à l’AFP Raul Lueiza, un ouvrier du bâtiment de 64 ans, après avoir voté dans un quartier populaire de Santiago.”Si l’extrême droite gagne, nous allons reculer sur tant d’avancées obtenues pour les femmes”, estime pour sa part Patricia Orellana, une vendeuse de 56 ans, disant avoir voté pour Mme Jara.La campagne a été dominée par les discours sécuritaires, auxquels Jeannette Jara elle-même s’est ralliée. Membre du Parti communiste depuis l’adolescence, l’ancienne ministre du Travail de 51 ans assure n’avoir “aucun complexe en matière de sécurité”, défendant notamment un contrôle migratoire renforcé. “Exacerber la peur ne suffit pas pour gouverner un pays”, a-t-elle cependant déclaré après avoir déposé son bulletin dans l’urne à Santiago.José Antonio Kast, 59 ans, fils d’un ancien soldat allemand qui a servi pendant la Seconde Guerre mondiale puis a émigré au Chili, brigue la présidence pour la troisième fois. Son discours cible les 337.000 étrangers en situation irrégulière, en majorité des Vénézuéliens, dans un contexte d’inquiétude face à l’arrivée de groupes criminels étrangers. Une majorité de Chiliens associe la montée de la criminalité à l’immigration irrégulière.”Nous avons besoin d’unité pour affronter les problèmes (…) liés à la sécurité”, a déclaré le dirigeant du Parti républicain, père de neuf enfants, en votant dans la capitale. Il promet des expulsions massives, la construction d’un mur à la frontière, le renforcement de l’armement de la police et le déploiement de l’armée dans les zones critiques.Johannes Kaiser, lui, porte des propositions encore plus radicales. Le député libertarien de 49 ans promet lui aussi des expulsions massives, mais veut en outre envoyer les migrants ayant un casier judiciaire dans la mégaprison construite par le président Nayib Bukele au Salvador.”Ce qui se joue ici, c’est de savoir si la déconnexion de l’Amérique latine avec les États-Unis et le monde libre va continuer de s’accentuer”, a-t-il déclaré en réponse à une question de l’AFP après avoir voté à Santiago. Le scrutin fait figure de test pour la gauche sud-américaine, battue récemment en Argentine et en Bolivie, et confrontée à des élections décisives en Colombie et au Brésil en 2026.Les Chiliens renouvellent également la Chambre des députés et la moitié du Sénat.
Mondial-2026: le Portugal écrase l’Arménie et se qualifie sans Ronaldo
Sans sa star Cristiano Ronaldo, suspendue après son expulsion en Irlande, le Portugal s’est qualifié pour le Mondial-2026 en écrasant l’Arménie (9-1), dimanche à Porto, grâce notamment à des triplés de Bruno Fernandes et Joao Neves.Premier du groupe F avec quatre succès, un nul et une défaite, le Portugal a validé son ticket pour la Coupe du monde de l’été prochain aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada, sa neuvième participation à une phase finale.”Nous sommes à la Coupe du monde ! Allez le Portugal !” a écrit le grand absent du match, CR7, sur X.Face à une faible équipe arménienne, dernière du groupe, les Lusitaniens ont démarré fort, avec une ouverture du score dès la 7e minute par le défenseur Renato Veiga, son premier but en sélection.Une dizaine de minutes plus tard, l’Arménie a créé la surprise en égalisant grâce à un but de Spertsyan (18e).Privé de Cristiano Ronaldo, exclu jeudi lors de la défaite contre l’Irlande (2-0) à la suite d’un coup de coude, le Portugal a mis un peu de temps à réagir mais tout est ensuite allé très vite.En deux minutes, les deux joueurs du PSG, l’attaquant Gonçalo Ramos (2-1, 28e) et le milieu de terrain Joao Neves (3-1, 30e) ont creusé l’écart.Juste avant la pause, Neves a marqué à nouveau sur un coup franc magistral laissant Avagyan sans réaction (4-1, 41e). Quelques minutes plus tard Bruno Fernandes a transformé un penalty (5-1, 45e+3).En seconde période, Bruno Fernandes a encore brillé, déclenchant une frappe puissante après un service de Ramos (6-1, 52e). Bruno Fernandes (7-1, 72e) et Joao Neves (8-1, 81e) ont signé chacun un triplé avant que Francisco Conceiçao ne scelle l’éclatante victoire de la Seleçao 9-1, 90e+2). “Maintenant, nous pouvons vraiment rêver de la Coupe du monde. J’ai été très satisfait de la réaction des joueurs”, a réagi le sélectionneur Roberto Martinez.Deuxième du groupe F, l’Irlande, seule équipe à avoir battu le Portugal durant les qualifications, s’est qualifiée pour les barrages en s’imposant en Hongrie 3-2.
Mondial-2026: Mission remplie sans saveur en Azerbaïdjan pour la bleusaille
L’équipe des remplaçants français s’est logiquement imposée en Azerbaïdjan (3-1), après un début de match raté, mais peu de joueurs ont marqué des points, dimanche à Bakou pour la fin des qualifications du Mondial-2026.Les places sont chères pour compléter la liste du mois de mai. Certains jeunes internationaux ont su saisir l’aubaine, avec un onze de départ entièrement renouvelé après la victoire contre l’Ukraine (4-0) qui a composté le billet pour la Coupe du monde.Maghnès Akliouche (30) a ouvert son compteur en sélection et Malo Gusto a signé deux passes décisives, une pour le Monégasque, une pour Jean-Philippe Mateta (17).L’attaquant de Crystal Palace est très loin de la Coupe du monde aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada (11 juin-19 juillet), il a profité des nombreuses absences pour découvrir la sélection (Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Marcus Thuram…) mais il a signé son deuxième but en trois sélections.Sa réalisation, d’une puissante tête en extension sur un centre de Gusto, illustre bien son profil d’avant-centre de pointe qui a conduit Didier Deschamps à l’appeler.- “Semaine positive” pour Akliouche -Le capitaine Kylian Mbappé rentré à Madrid pour ménager sa cheville droite, après avoir qualifié les Bleus d’un doublé contre l’Ukraine jeudi (4-0), “pour les joueurs à vocation offensive, ce sera un match pour pouvoir marquer des points et faire des stats”, avait prévenu le capitaine d’un soir Ibrahima Konaté.Dans ce match sans enjeu, Akliouche a essayé d’éclairer le jeu avant d’être relayé par Rayan Cherki (62), qui avait déçu contre l’Ukraine dans un rôle de meneur axial.”C’est important d’être décisif pour un joueur offensif comme moi, je suis content, a réagi le jeune Monégasque (23 ans) qui vivait sa première titularisation en cinq sélections. La semaine a été positive.”Hugo Ekitike, après une entrée “tonitruante” selon le sélectionneur contre l’Ukraine, où il a marqué son premier but, a été moins en vue.Enfin Christopher Nkunku a produit un match trop neutre, avec tête non cadrée (27), contre un adversaire nettement inférieur, mais qui ne s’est jamais découragé dans son stade Tofiq Bahramov où le public enthousiaste a même fait la “ola” à 3-1.- Khéphren Thuram a cru marquer -“Il y a beaucoup de joueurs offensifs” qui aspirent à une place dans la liste pour le Mondial, “en comptant les nombreux absents sur ce rassemblement”, a prévenu Deschamps, qui dévoilera sa liste “mi-mai”.Autre aspirant au grand voyage américain cet été, mais au milieu de terrain, Khéphren Thuram a vraiment cru marquer lui aussi son premier but en Bleu, mais il a vu l’arbitrage vidéo lui refuser ce plaisir une fois (41), puis il a été frustré une seconde fois quand le but du 3-1 sur une de ses frappes a finalement été attribué au gardien Shakhrudin Magomedaliyev (45).Mais son duo avec Warren Zaïre-Emery a globalement contrôlé les Azerbaïdjanais.En revanche, Lucas Chevalier n’a pas pu marquer les esprits pour sa première sélection, lui qui rencontre quelques difficultés pour totalement convaincre au Paris Saint-Germain.Il n’est pas resté invaincu plus de trois minutes car les Bleus ont complètement raté leur début de match, comme s’ils étaient déjà en vacances, et encaissé dès la 4e minute le premier but de l’histoire de l’Azerbaïdjan contre la France.Renat Dadashov a trop facilement marqué au coeur d’une défense passive, après un débordement de Rahman Dashdamirov pas contenu par Malo Gusto.Le latéral droit de Chelsea s’est racheté en adressant un bon centre pour Mateta qui a vite égalisé, et les Tricolores se sont ressaisi.Mais Chevalier comme Gusto ont une place bien assurée dans la hiérarchie Bleue, comme doublures de Mike Maignan et Jules Koundé.La relève Bleue n’a plus montré grand-chose dans une seconde période éteinte. Pas sûr que ça suffise pour gagner une place dans la liste.
Mondial-2026: Mission remplie sans saveur en Azerbaïdjan pour la bleusaille
L’équipe des remplaçants français s’est logiquement imposée en Azerbaïdjan (3-1), après un début de match raté, mais peu de joueurs ont marqué des points, dimanche à Bakou pour la fin des qualifications du Mondial-2026.Les places sont chères pour compléter la liste du mois de mai. Certains jeunes internationaux ont su saisir l’aubaine, avec un onze de départ entièrement renouvelé après la victoire contre l’Ukraine (4-0) qui a composté le billet pour la Coupe du monde.Maghnès Akliouche (30) a ouvert son compteur en sélection et Malo Gusto a signé deux passes décisives, une pour le Monégasque, une pour Jean-Philippe Mateta (17).L’attaquant de Crystal Palace est très loin de la Coupe du monde aux Etats-Unis, au Mexique et au Canada (11 juin-19 juillet), il a profité des nombreuses absences pour découvrir la sélection (Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Marcus Thuram…) mais il a signé son deuxième but en trois sélections.Sa réalisation, d’une puissante tête en extension sur un centre de Gusto, illustre bien son profil d’avant-centre de pointe qui a conduit Didier Deschamps à l’appeler.- “Semaine positive” pour Akliouche -Le capitaine Kylian Mbappé rentré à Madrid pour ménager sa cheville droite, après avoir qualifié les Bleus d’un doublé contre l’Ukraine jeudi (4-0), “pour les joueurs à vocation offensive, ce sera un match pour pouvoir marquer des points et faire des stats”, avait prévenu le capitaine d’un soir Ibrahima Konaté.Dans ce match sans enjeu, Akliouche a essayé d’éclairer le jeu avant d’être relayé par Rayan Cherki (62), qui avait déçu contre l’Ukraine dans un rôle de meneur axial.”C’est important d’être décisif pour un joueur offensif comme moi, je suis content, a réagi le jeune Monégasque (23 ans) qui vivait sa première titularisation en cinq sélections. La semaine a été positive.”Hugo Ekitike, après une entrée “tonitruante” selon le sélectionneur contre l’Ukraine, où il a marqué son premier but, a été moins en vue.Enfin Christopher Nkunku a produit un match trop neutre, avec tête non cadrée (27), contre un adversaire nettement inférieur, mais qui ne s’est jamais découragé dans son stade Tofiq Bahramov où le public enthousiaste a même fait la “ola” à 3-1.- Khéphren Thuram a cru marquer -“Il y a beaucoup de joueurs offensifs” qui aspirent à une place dans la liste pour le Mondial, “en comptant les nombreux absents sur ce rassemblement”, a prévenu Deschamps, qui dévoilera sa liste “mi-mai”.Autre aspirant au grand voyage américain cet été, mais au milieu de terrain, Khéphren Thuram a vraiment cru marquer lui aussi son premier but en Bleu, mais il a vu l’arbitrage vidéo lui refuser ce plaisir une fois (41), puis il a été frustré une seconde fois quand le but du 3-1 sur une de ses frappes a finalement été attribué au gardien Shakhrudin Magomedaliyev (45).Mais son duo avec Warren Zaïre-Emery a globalement contrôlé les Azerbaïdjanais.En revanche, Lucas Chevalier n’a pas pu marquer les esprits pour sa première sélection, lui qui rencontre quelques difficultés pour totalement convaincre au Paris Saint-Germain.Il n’est pas resté invaincu plus de trois minutes car les Bleus ont complètement raté leur début de match, comme s’ils étaient déjà en vacances, et encaissé dès la 4e minute le premier but de l’histoire de l’Azerbaïdjan contre la France.Renat Dadashov a trop facilement marqué au coeur d’une défense passive, après un débordement de Rahman Dashdamirov pas contenu par Malo Gusto.Le latéral droit de Chelsea s’est racheté en adressant un bon centre pour Mateta qui a vite égalisé, et les Tricolores se sont ressaisi.Mais Chevalier comme Gusto ont une place bien assurée dans la hiérarchie Bleue, comme doublures de Mike Maignan et Jules Koundé.La relève Bleue n’a plus montré grand-chose dans une seconde période éteinte. Pas sûr que ça suffise pour gagner une place dans la liste.






