Sous haute tension, Shein ouvre à Paris son premier magasin pérenne au monde

Malgré les sanctions administratives et l’enquête judiciaire ouverte pour la vente de poupées sexuelles d’apparence enfantine, le géant de l’e-commerce asiatique Shein ouvre mercredi son premier magasin physique et pérenne au monde à Paris.Signe de la portée hautement polémique de cette ouverture à 13H, au 6e étage du BHV dans le centre de la capitale française, des forces de police étaient présentes dès mardi soir autour du magasin, la préfecture de police suivant l’événement avec une “attention toute particulière”.L’arrivée de la plateforme, fondée en 2012 en Chine et désormais basée à Singapour, cristallise les tensions autour de la régulation du commerce en ligne et de la mode jetable ultra-éphémère.Dernier épisode en date: la vente de poupées sexuelles d’apparence enfantine sur son site internet constatée par la Répression des fraudes, qui a déclenché un tollé politique et l’ouverture d’une enquête judiciaire. Shein a depuis assuré qu’elles avaient été retirées de la plateforme et avoir mis en place une interdiction totale des produits de type “poupées sexuelles”. Visée par une proposition de loi anti fast-fashion, l’entreprise a déjà écopé cette année en France de trois amendes pour un total de 191 millions d’euros, pour non-respect de la législation sur les cookies, fausses promotions, informations trompeuses et non-déclaration de microfibres plastiques.Depuis son annonce début octobre, le gouvernement, la mairie de Paris, des élus, des associations et des acteurs du secteur textile français ont fustigé son implantation en France.Jusqu’ici exclusivement disponible en ligne et dans des magasins éphémères, l’entreprise franchit mercredi une étape stratégique avec son implantation durable. Et pas n’importe où: dans un emblématique symbole du commerce parisien, le BHV, un joyau art déco situé face à l’hôtel de ville parisien.”Une erreur stratégique” et “un danger”, a déploré mercredi le ministre de la Ville, Vincent Jeanbrun, sur TF1.  Son collègue à l’Industrie, Sébastien Martin, a lui dénoncé chez Shein “une stratégie (…) d’agressivité qui est aussi une politique d’attaque de nos valeurs”, avant de pointer du doigt en creux le BHV: “certains acteurs économiques devraient remettre un petit peu de morale dans leur action, y compris les magasins qui décident d’accueillir ces rayons-là”, a-t-il dit sur Public Sénat.”Le BHV fait entrer le loup dans la bergerie”, s’est alarmé le co-président de l’organisation patronale Impact France, Pascal Demurger, sur Franceinfo, pour qui “le low-cost, c’est le chômage”.  Frédéric Merlin, le patron de la Société des grands magasins (SGM), propriétaire du  BHV depuis 2023, a rétorqué que “Shein, c’est 25 millions de clients en France”, mercredi sur RTL, opposant la popularité du géant asiatique aux griefs des responsables politiques. – Bientôt cinq autres magasins Shein -Si Shein est autant décrié, outre les accusations de recours à des sous-traitants sous-payés et des pratiques supposées néfastes pour l’environnement, c’est aussi parce qu’il est accusé de causer la ruine du secteur du textile et des petits commerces.Ces derniers sont particulièrement touchés par la déferlante de produits conçus en Asie, majoritairement en Chine. En 2024, 4,6 milliards de colis à moins de 150 euros ont été importés dans l’UE. Le nombre de ces colis, exemptés de droits de douane, double tous les deux ans au rythme actuel.Frédéric Merlin a déjà assuré que les produits vendus dans ce magasin ne sont pas ceux de la “marketplace” de Shein et qu’ils répondent aux normes européennes.Avant même l’arrivée de Shein au BHV, plusieurs marques françaises ont fui le grand magasin, dénonçant un partenariat en contradiction avec leurs valeurs et leurs intérêts. L’intersyndicale des salariés y est également opposée.Reste à voir si les consommateurs répondront présent. Selon une étude de l’application de shopping Joko, Shein était en 2024 l’enseigne de mode où les Français ont dépensé le plus. Cinq autres boutiques Shein ouvriront en province prochainement à Angers, Dijon, Grenoble, Limoges et Reims. Les grands magasins qui les hébergeront ne seront plus des Galeries Lafayette mais des “BHV”, le groupe Galeries Lafayette ayant rompu son contrat avec la SGM pour ne pas être associé à Shein.

Sous haute tension, Shein ouvre à Paris son premier magasin pérenne au monde

Malgré les sanctions administratives et l’enquête judiciaire ouverte pour la vente de poupées sexuelles d’apparence enfantine, le géant de l’e-commerce asiatique Shein ouvre mercredi son premier magasin physique et pérenne au monde à Paris.Signe de la portée hautement polémique de cette ouverture à 13H, au 6e étage du BHV dans le centre de la capitale française, des forces de police étaient présentes dès mardi soir autour du magasin, la préfecture de police suivant l’événement avec une “attention toute particulière”.L’arrivée de la plateforme, fondée en 2012 en Chine et désormais basée à Singapour, cristallise les tensions autour de la régulation du commerce en ligne et de la mode jetable ultra-éphémère.Dernier épisode en date: la vente de poupées sexuelles d’apparence enfantine sur son site internet constatée par la Répression des fraudes, qui a déclenché un tollé politique et l’ouverture d’une enquête judiciaire. Shein a depuis assuré qu’elles avaient été retirées de la plateforme et avoir mis en place une interdiction totale des produits de type “poupées sexuelles”. Visée par une proposition de loi anti fast-fashion, l’entreprise a déjà écopé cette année en France de trois amendes pour un total de 191 millions d’euros, pour non-respect de la législation sur les cookies, fausses promotions, informations trompeuses et non-déclaration de microfibres plastiques.Depuis son annonce début octobre, le gouvernement, la mairie de Paris, des élus, des associations et des acteurs du secteur textile français ont fustigé son implantation en France.Jusqu’ici exclusivement disponible en ligne et dans des magasins éphémères, l’entreprise franchit mercredi une étape stratégique avec son implantation durable. Et pas n’importe où: dans un emblématique symbole du commerce parisien, le BHV, un joyau art déco situé face à l’hôtel de ville parisien.”Une erreur stratégique” et “un danger”, a déploré mercredi le ministre de la Ville, Vincent Jeanbrun, sur TF1.  Son collègue à l’Industrie, Sébastien Martin, a lui dénoncé chez Shein “une stratégie (…) d’agressivité qui est aussi une politique d’attaque de nos valeurs”, avant de pointer du doigt en creux le BHV: “certains acteurs économiques devraient remettre un petit peu de morale dans leur action, y compris les magasins qui décident d’accueillir ces rayons-là”, a-t-il dit sur Public Sénat.”Le BHV fait entrer le loup dans la bergerie”, s’est alarmé le co-président de l’organisation patronale Impact France, Pascal Demurger, sur Franceinfo, pour qui “le low-cost, c’est le chômage”.  Frédéric Merlin, le patron de la Société des grands magasins (SGM), propriétaire du  BHV depuis 2023, a rétorqué que “Shein, c’est 25 millions de clients en France”, mercredi sur RTL, opposant la popularité du géant asiatique aux griefs des responsables politiques. – Bientôt cinq autres magasins Shein -Si Shein est autant décrié, outre les accusations de recours à des sous-traitants sous-payés et des pratiques supposées néfastes pour l’environnement, c’est aussi parce qu’il est accusé de causer la ruine du secteur du textile et des petits commerces.Ces derniers sont particulièrement touchés par la déferlante de produits conçus en Asie, majoritairement en Chine. En 2024, 4,6 milliards de colis à moins de 150 euros ont été importés dans l’UE. Le nombre de ces colis, exemptés de droits de douane, double tous les deux ans au rythme actuel.Frédéric Merlin a déjà assuré que les produits vendus dans ce magasin ne sont pas ceux de la “marketplace” de Shein et qu’ils répondent aux normes européennes.Avant même l’arrivée de Shein au BHV, plusieurs marques françaises ont fui le grand magasin, dénonçant un partenariat en contradiction avec leurs valeurs et leurs intérêts. L’intersyndicale des salariés y est également opposée.Reste à voir si les consommateurs répondront présent. Selon une étude de l’application de shopping Joko, Shein était en 2024 l’enseigne de mode où les Français ont dépensé le plus. Cinq autres boutiques Shein ouvriront en province prochainement à Angers, Dijon, Grenoble, Limoges et Reims. Les grands magasins qui les hébergeront ne seront plus des Galeries Lafayette mais des “BHV”, le groupe Galeries Lafayette ayant rompu son contrat avec la SGM pour ne pas être associé à Shein.

Dix ans après, la lente reconstruction des survivants et proches de victimes du 13-Novembre

Le soir du 13 novembre 2015, leur vie a basculé. Eva et Bilal ont été grièvement blessés. Stéphane, Eric, Aurélie, Sophie ont perdu un fils, une fille, un compagnon, un père. Une décennie après ces attentats, ils se confient.”J’ai une énorme cicatrice au bras”, décrit Eva, 35 ans, pull rouge à manches longues sur les épaules. L’été, la Parisienne sent les regards “inquisiteurs” et a songé à la chirurgie réparatrice, mais “sur les peaux noires, c’est un peu compliqué”. “Ca fait dix ans, elle fait aussi partie de moi”, juge la trentenaire, qui raconte publiquement son histoire pour la première fois.  Le vendredi 13 novembre 2015, Eva fête l’anniversaire de sa meilleure amie au bar La Belle Equipe. Elle fume en terrasse avec trois copines lorsque les jihadistes sèment la mort. Le souvenir du “silence effroyable” entre les deux rafales est toujours présent. Les commandos du groupe Etat islamique abattent 21 personnes, dont leur ami, Victor Muñoz. Elle prend “entre 4 et 5” balles sur la partie gauche du corps, son pied notamment est touché, sa jambe amputée en-dessous du genou.Aujourd’hui, Eva, qui porte une prothèse, va “plutôt bien” même si “la vie n’est pas facile tous les jours”. “C’est compliqué d’avoir confiance en son corps, en soi, aussi bien pour le travail que pour trouver quelqu’un”, explique cette jeune femme qui suit une formation pour un projet d’entrepreneuriat au Sénégal.Elle retourne boire des verres en terrasse. Mais “plus jamais de dos”. – “Encore très fragile” -A l’approche du 13 novembre 2025, l’AFP s’est entretenue avec une dizaine de rescapés ou proches de victimes de ces attentats qui ont fait 130 morts et des centaines de blessés près du Stade de France à Saint-Denis, sur les terrasses et au Bataclan à Paris. Pour se reconstruire, certains ont trouvé refuge dans l’écriture, ont témoigné dans des écoles, des liens entre victimes se sont tissés. Souvent, ils appréhendent la date anniversaire.   “Elle nous hante tout le temps”, explique Bilal Mokono, précisant avoir “toujours très mal dormi” depuis ce soir-là. Blessé par un kamikaze près du Stade de France, ce quinquagénaire reçoit chez lui, en banlieue parisienne, dans son fauteuil roulant. Il raconte avoir perdu l’usage de ses jambes après l’attentat car son “cerveau ne reconnaît plus” qu’il a des jambes, “comme un appareil connecté, la connexion Internet s’est barrée”. Il n’entend toujours “plus rien” de l’oreille gauche, avec un bras droit “toujours très fragilisé”.Au Stade de France, la seule personne tuée s’appelait Manuel Dias, 63 ans. “Je trouve que c’est important de marquer les 10 ans”, témoigne sa fille, Sophie Dias. “L’absence est là tous les jours et la difficulté, on la vit au quotidien. Et ça, il ne faut vraiment pas l’oublier”, exhorte celle qui parle longuement de ce “papa unique”.”Je suis encore très fragile”, confie la quadragénaire, pour qui il est “impossible de prendre les transports en commun, de [s]e rendre au cinéma par exemple, de manger sur une terrasse”.Vous avez peur que votre père soit oublié? “Complètement”, répond-elle, sans hésiter.A l’inverse, Fabien Petit, beau-frère de Nicolas Degenhardt, fauché à 37 ans par 13 balles de fusils d’assaut sur la terrasse de la Bonne Bière, comme quatre autres personnes, anticipe l’oubli. “On ne va pas vivre que sur le 13 novembre”, estime-t-il, évoquant notamment “plein d’actes de barbarie” qui se sont déroulés depuis en France. Fabien pense aller “mieux” même si “les larmes” montent en parlant de ce drame. “On a été suivis par un psychologue, psychiatre, pour moi. Il y a un moment donné, ça n’allait pas du tout, j’avais des idées noires”, se remémore-t-il. “Le procès nous a fait du bien aussi”.  – “Je vais bien” -Les dix mois de procès, en 2021-2022, aboutissant notamment à la condamnation à la perpétuité incompressible de Salah Abdeslam, seul membre vivant des commandos, Aurélie Silvestre les a racontés de manière “assez intime” dans “Déplier le coeur” (Editions du Seuil), son deuxième livre sur le 13-Novembre.Son compagnon, Matthieu Giroud, a été tué au Bataclan, comme 89 autres personnes.  “Quand on est impacté par un attentat, il y a une déflagration qui est telle que tout s’envole. J’ai l’impression qu’écrire, ça me permet de récupérer un peu les débris et de les mettre ensemble”, développe-t-elle.”Dans les circonstances qui sont les miennes, je vais bien, je vais très bien. Après, ce n’est évidemment pas simple. J’élève seule deux enfants dont le père a été assassiné”, assène-t-elle, le regard vif.  “Ma petite fille qui est là ne le connaîtra jamais puisqu’il est mort quand j’étais enceinte d’elle”, ajoute Aurélie.Ce soir d’octobre, dans une librairie du 13e arrondissement, elle est venue assister au lancement du livre d’Arthur Dénouveaux, “Vivre après le Bataclan” (Editions Cerf).Aujourd’hui, “80% de mon paysage affectif est composé de victimes”, avec qui “on peut rire très fort, on peut pleurer aussi”, souligne Aurélie. Elle raconte son histoire dans des classes et en prison.    – “+Vous serez seul+” -Quand la fille d’Eric Ouzounian, Lola, 17 ans, est morte au Bataclan, un psy l’a prévenu: “Vous ne ferez pas le deuil et vous serez seul”. “Dix ans après, c’est toujours aussi juste. On ne fait pas le deuil d’un enfant”, constate, autour d’un café et d’une cigarette, ce journaliste de 60 ans.En 2015, il avait refusé de se rendre à l’hommage aux Invalides, critiquant, dans une tribune au Huffington Post, la “lourde responsabilité” de l’Etat, qui avait laissé se développer, affirmait-il, des “zones de désespoir”, des “+quartiers sensibles+”, d’où étaient originaires certains jihadistes, et mené une “politique désastreuse” au Moyen-Orient, notamment en Syrie.Aujourd’hui, il estime que les conditions de vie dans ces quartiers ne se sont pas améliorées et leur population “toujours” aussi “méprisée par la République”. Et Eric de déplorer que “ni Nicolas Sarkozy, ni François Hollande” n’aient admis avoir “mis le pays en danger” par “des actions de politique étrangère inconsidérées”.    Interrogé par l’AFP, François Hollande lui a répondu, rappelant que ces jihadistes n’avaient pas visé “n’importe quel lieu”: un stade, des terrasses de café, une salle de spectacle. “Nous sommes la liberté, la vie en commun, le pluralisme. C’est ça qui est insupportable pour les terroristes”, estime l’ancien président. Rescapé de La Belle Equipe, Roman témoigne notamment pour que, dans la mémoire collective, on ne se souvienne pas uniquement du massacre au Bataclan.”Parfois, on se sent oublié”, regrette cet homme de 34 ans, assis en terrasse d’un café parisien.Le programme de recherche “13-Novembre” a mis en évidence un “effondrement des références au Stade de France et aux terrasses” comme lieux des attentats du 13-Novembre identifiés par la population française, au fil des années, rappelle l’historien Denis Peschanski et le Bataclan reste le lieu le plus cité, malgré une forte baisse.      Quelques années après, Roman, lui, est devenu prof. “Je me suis dit qu’enseigner l’histoire-géo, c’était important pour ne pas que ça se reproduise et transmettre aux jeunes ce qui nous est arrivé aussi à travers l’Histoire.” 

Le gouvernement accuse LFI de propager des “fake news” sur “l’interdiction” des découverts bancaires

La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a accusé mercredi La France Insoumise de propager des “fake news” en disant que la France va interdire les découverts bancaires dans le cadre d’une directive européenne qui doit entrer en vigueur en novembre 2026.”Nous ne sommes pas en train d’interdire les découverts”, a martelé Maud Bregeon, interviewée sur CNEWS/Europe 1.Les règles d’attribution des découverts bancaires vont être durcies, en application d’une directive européenne, avec pour conséquence possible des difficultés de liquidités pour certains clients.En réaction, La France Insoumise a lancé fin octobre une pétition, qui a recueilli plus de 54.000 signatures, contre “l’interdiction” des découverts bancaires.”Ne commençons pas à relayer les fake news de M. Bompard, de Mme Panot ou de M. Mélenchon”, a répondu Maud Bregeon mercredi.”Ce que fait La France insoumise là est d’une extrême gravité. La France Insoumise s’empare d’un sujet, l’instrumentalise à des fins politiques, fait des tracts, ment aux Français sur un sujet qui touche environ 45% de la population”, a-t-elle insisté.La directive européenne visant à encadrer strictement les découverts bancaires a été adoptée par le Parlement européen, une mesure qui a été ratifiée par une ordonnance signée par Emmanuel Macron en septembre.Jusqu’à présent, chaque banque fixe les conditions de durée, de montant et de taux d’intérêt qui permettent à un client d’avoir un solde débiteur, c’est-à-dire d’être temporairement “dans le rouge”. En contrepartie, le client doit payer à sa banque des intérêts, sources non négligeables de revenus pour un établissement bancaire.Or, à partir du 20 novembre 2026, les banques auront davantage d’impératifs. Elles auront l’obligation de faire une analyse de solvabilité du client – c’est-à-dire étudier sa capacité à rembourser en analysant ses revenus et ses charges – même pour les découverts inférieurs à 200 euros et de moins d’un mois.Si un client est surendetté ou a des revenus que la banque estime trop faibles, le découvert pourra lui être refusé, y compris s’il est d’un montant très limité.

Attack on key city in Sudan’s Kordofan region kills 40: UNWed, 05 Nov 2025 09:24:41 GMT

An attack on a funeral in the key city of El-Obeid in Sudan’s central Kordofan region killed 40 people, the UN said Wednesday, as paramilitaries looked poised to launch an offensive.The United Nations’ humanitarian office did not specify when the attack took place or who was behind it, but said that the situation in the …

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‘No one could stop it’: Sudanese describe mass rapes while fleeing El-FasherWed, 05 Nov 2025 09:15:04 GMT

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