Les Guyaniens ont voté pour élire leur président, appelé à gérer la manne pétrolière

Les Guyaniens ont voté lundi pour élire leurs députés et leur président, appelés à gérer l’énorme manne pétrolière de ce pays d’Amérique du Sud disposant des plus grandes réserves de brut de la planète par habitant, sur fond de tensions avec le Venezuela voisin.”Les bureaux ont probablement tous fermé et procèdent au dépouillement”, a affirmé vers 20h (00H00 GMT) Yolanda Ward, la porte-parole de la commission électorale (Gecom), soulignant que les bureaux sont tenus de rester ouverts là où il y a une queue. “La journée s’est bien passée” malgré quelques petits incidents, a-t-elle ajouté.Les résultats sont attendus au mieux jeudi, avait annoncé Gecom dimanche. Ces élections sont complexes d’un point de vue logistique, la forêt tropicale recouvrant à plus de 95% ce pays de 850.000 habitants. “Jusqu’ici tout va bien”, a estimé Mike Singh, observateur de Transparency International, estimant toutefois que l’attente jusqu’à jeudi des résultats était une “recette pour un désastre”.  Les relations avec le voisin vénézuélien et le thème de l’Essequibo, région riche en pétrole revendiquée par Caracas, ont fait irruption dans la journée de vote. Le président sortant et candidat à sa succession Irfaan Ali a notamment apporté lundi son soutien au déploiement militaire des Etats-Unis dans les Caraïbes. “Nous soutiendrons tout ce qui permettra d’éliminer toute menace à notre sécurité (…) Nous devons tous nous unir pour combattre la criminalité transnationale, lutter contre le trafic de drogue”, a-t-il affirmé à des journalistes juste après avoir voté à Leonora.Dimanche soir, le Guyana avait dénoncé des coups de feu tirés depuis le Venezuela sur un de ses bateaux. “Les forces de sécurité sont en état d’alerte maximale. Elles sont prêtes. Nous en avons parlé tout au long de la campagne: le Venezuela est une menace”, a insisté le président.Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino Lopez, a dénoncé “un fake” et accusé le Guyana de vouloir ouvrir un “front de guerre”.Interrogé sur la possibilité d’évincer le président vénézuélien Nicolas Maduro du pouvoir, M. Ali a dit ne pas vouloir “aborder ce sujet aujourd’hui”, jour de “vote pour la victoire”.Selon la plupart des observateurs, trois favoris se détachent: Irfaan Ali (Parti populaire Progressiste PPP/C, centre gauche), l’opposant Aubrey Norton (APNU, Partenariat pour une nouvelle unité, gauche) et le populiste Azruddin Mohamed, parfois surnommé le “Trump Guyanien”, un milliardaire qui vient de créer son parti WIN (Gagner/Nous investissons dans la nation) pour bouleverser le système bipartite.- “Plus d’argent” -Le vote se dessine traditionnellement autour des lignes ethniques entre les populations d’origine indienne (PPP/C) et celles afro-guyaniennes (APNU).”A moins d’irrégularités, je pense que je serai” le prochain président, a affirmé lundi à l’AFP Aubrey Norton, en sortant du bureau de vote de Plaisance, bastion de son mouvement. “Nous avons travaillé dur pour mobiliser les gens”, a poursuivi le candidat, qui, pendant la campagne électorale, a promis “de débarrasser la société du PPP et de la pauvreté”.”C’est la première fois (que je vote). J’ai voté pour Norton. Parce qu’il est l’un des meilleurs responsables politiques. J’attends avec impatience le meilleur pour le Guyana”, a dit Grace Miller, 21 ans, qui a déposé son bulletin de vote avec son bébé dans les bras.Azruddin Mohamed, qui a fait fortune dans l’or et est sanctionné par les Etats-Unis pour évasion fiscale, promet de donner un coup de pied dans la fourmilière. Il affirme pouvoir l’emporter “parce que nous avons le soutien des communautés noires, indiennes et autochtones”.Le scrutin est à un tour. Est élu chef de l’Etat le candidat dont le parti a recueilli le plus de voix. Il peut en théorie donc être en minorité au Parlement. Le vainqueur gérera la manne pétrolière qui a permis de quadrupler en cinq ans le budget de l’Etat (6,7 milliards de dollars en 2025) avec la plus forte croissance économique d’Amérique latine (43,6% en 2024). Le Guyana, qui a commencé l’exploitation pétrolière en 2019, espère faire passer sa production de 650.000 barils par jour à plus d’un million en 2030.Les favoris promettent tous trois de “mettre plus d’argent dans les poches” des Guyaniens, de développer le pays, d’améliorer les services de santé et d’éducation ou d’augmenter les salaires, sur fond d’explosion des prix des denrées alimentaires.

Les Guyaniens ont voté pour élire leur président, appelé à gérer la manne pétrolière

Les Guyaniens ont voté lundi pour élire leurs députés et leur président, appelés à gérer l’énorme manne pétrolière de ce pays d’Amérique du Sud disposant des plus grandes réserves de brut de la planète par habitant, sur fond de tensions avec le Venezuela voisin.”Les bureaux ont probablement tous fermé et procèdent au dépouillement”, a affirmé vers 20h (00H00 GMT) Yolanda Ward, la porte-parole de la commission électorale (Gecom), soulignant que les bureaux sont tenus de rester ouverts là où il y a une queue. “La journée s’est bien passée” malgré quelques petits incidents, a-t-elle ajouté.Les résultats sont attendus au mieux jeudi, avait annoncé Gecom dimanche. Ces élections sont complexes d’un point de vue logistique, la forêt tropicale recouvrant à plus de 95% ce pays de 850.000 habitants. “Jusqu’ici tout va bien”, a estimé Mike Singh, observateur de Transparency International, estimant toutefois que l’attente jusqu’à jeudi des résultats était une “recette pour un désastre”.  Les relations avec le voisin vénézuélien et le thème de l’Essequibo, région riche en pétrole revendiquée par Caracas, ont fait irruption dans la journée de vote. Le président sortant et candidat à sa succession Irfaan Ali a notamment apporté lundi son soutien au déploiement militaire des Etats-Unis dans les Caraïbes. “Nous soutiendrons tout ce qui permettra d’éliminer toute menace à notre sécurité (…) Nous devons tous nous unir pour combattre la criminalité transnationale, lutter contre le trafic de drogue”, a-t-il affirmé à des journalistes juste après avoir voté à Leonora.Dimanche soir, le Guyana avait dénoncé des coups de feu tirés depuis le Venezuela sur un de ses bateaux. “Les forces de sécurité sont en état d’alerte maximale. Elles sont prêtes. Nous en avons parlé tout au long de la campagne: le Venezuela est une menace”, a insisté le président.Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino Lopez, a dénoncé “un fake” et accusé le Guyana de vouloir ouvrir un “front de guerre”.Interrogé sur la possibilité d’évincer le président vénézuélien Nicolas Maduro du pouvoir, M. Ali a dit ne pas vouloir “aborder ce sujet aujourd’hui”, jour de “vote pour la victoire”.Selon la plupart des observateurs, trois favoris se détachent: Irfaan Ali (Parti populaire Progressiste PPP/C, centre gauche), l’opposant Aubrey Norton (APNU, Partenariat pour une nouvelle unité, gauche) et le populiste Azruddin Mohamed, parfois surnommé le “Trump Guyanien”, un milliardaire qui vient de créer son parti WIN (Gagner/Nous investissons dans la nation) pour bouleverser le système bipartite.- “Plus d’argent” -Le vote se dessine traditionnellement autour des lignes ethniques entre les populations d’origine indienne (PPP/C) et celles afro-guyaniennes (APNU).”A moins d’irrégularités, je pense que je serai” le prochain président, a affirmé lundi à l’AFP Aubrey Norton, en sortant du bureau de vote de Plaisance, bastion de son mouvement. “Nous avons travaillé dur pour mobiliser les gens”, a poursuivi le candidat, qui, pendant la campagne électorale, a promis “de débarrasser la société du PPP et de la pauvreté”.”C’est la première fois (que je vote). J’ai voté pour Norton. Parce qu’il est l’un des meilleurs responsables politiques. J’attends avec impatience le meilleur pour le Guyana”, a dit Grace Miller, 21 ans, qui a déposé son bulletin de vote avec son bébé dans les bras.Azruddin Mohamed, qui a fait fortune dans l’or et est sanctionné par les Etats-Unis pour évasion fiscale, promet de donner un coup de pied dans la fourmilière. Il affirme pouvoir l’emporter “parce que nous avons le soutien des communautés noires, indiennes et autochtones”.Le scrutin est à un tour. Est élu chef de l’Etat le candidat dont le parti a recueilli le plus de voix. Il peut en théorie donc être en minorité au Parlement. Le vainqueur gérera la manne pétrolière qui a permis de quadrupler en cinq ans le budget de l’Etat (6,7 milliards de dollars en 2025) avec la plus forte croissance économique d’Amérique latine (43,6% en 2024). Le Guyana, qui a commencé l’exploitation pétrolière en 2019, espère faire passer sa production de 650.000 barils par jour à plus d’un million en 2030.Les favoris promettent tous trois de “mettre plus d’argent dans les poches” des Guyaniens, de développer le pays, d’améliorer les services de santé et d’éducation ou d’augmenter les salaires, sur fond d’explosion des prix des denrées alimentaires.

Les Guyaniens ont voté pour élire leur président, appelé à gérer la manne pétrolière

Les Guyaniens ont voté lundi pour élire leurs députés et leur président, appelés à gérer l’énorme manne pétrolière de ce pays d’Amérique du Sud disposant des plus grandes réserves de brut de la planète par habitant, sur fond de tensions avec le Venezuela voisin.”Les bureaux ont probablement tous fermé et procèdent au dépouillement”, a affirmé vers 20h (00H00 GMT) Yolanda Ward, la porte-parole de la commission électorale (Gecom), soulignant que les bureaux sont tenus de rester ouverts là où il y a une queue. “La journée s’est bien passée” malgré quelques petits incidents, a-t-elle ajouté.Les résultats sont attendus au mieux jeudi, avait annoncé Gecom dimanche. Ces élections sont complexes d’un point de vue logistique, la forêt tropicale recouvrant à plus de 95% ce pays de 850.000 habitants. “Jusqu’ici tout va bien”, a estimé Mike Singh, observateur de Transparency International, estimant toutefois que l’attente jusqu’à jeudi des résultats était une “recette pour un désastre”.  Les relations avec le voisin vénézuélien et le thème de l’Essequibo, région riche en pétrole revendiquée par Caracas, ont fait irruption dans la journée de vote. Le président sortant et candidat à sa succession Irfaan Ali a notamment apporté lundi son soutien au déploiement militaire des Etats-Unis dans les Caraïbes. “Nous soutiendrons tout ce qui permettra d’éliminer toute menace à notre sécurité (…) Nous devons tous nous unir pour combattre la criminalité transnationale, lutter contre le trafic de drogue”, a-t-il affirmé à des journalistes juste après avoir voté à Leonora.Dimanche soir, le Guyana avait dénoncé des coups de feu tirés depuis le Venezuela sur un de ses bateaux. “Les forces de sécurité sont en état d’alerte maximale. Elles sont prêtes. Nous en avons parlé tout au long de la campagne: le Venezuela est une menace”, a insisté le président.Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino Lopez, a dénoncé “un fake” et accusé le Guyana de vouloir ouvrir un “front de guerre”.Interrogé sur la possibilité d’évincer le président vénézuélien Nicolas Maduro du pouvoir, M. Ali a dit ne pas vouloir “aborder ce sujet aujourd’hui”, jour de “vote pour la victoire”.Selon la plupart des observateurs, trois favoris se détachent: Irfaan Ali (Parti populaire Progressiste PPP/C, centre gauche), l’opposant Aubrey Norton (APNU, Partenariat pour une nouvelle unité, gauche) et le populiste Azruddin Mohamed, parfois surnommé le “Trump Guyanien”, un milliardaire qui vient de créer son parti WIN (Gagner/Nous investissons dans la nation) pour bouleverser le système bipartite.- “Plus d’argent” -Le vote se dessine traditionnellement autour des lignes ethniques entre les populations d’origine indienne (PPP/C) et celles afro-guyaniennes (APNU).”A moins d’irrégularités, je pense que je serai” le prochain président, a affirmé lundi à l’AFP Aubrey Norton, en sortant du bureau de vote de Plaisance, bastion de son mouvement. “Nous avons travaillé dur pour mobiliser les gens”, a poursuivi le candidat, qui, pendant la campagne électorale, a promis “de débarrasser la société du PPP et de la pauvreté”.”C’est la première fois (que je vote). J’ai voté pour Norton. Parce qu’il est l’un des meilleurs responsables politiques. J’attends avec impatience le meilleur pour le Guyana”, a dit Grace Miller, 21 ans, qui a déposé son bulletin de vote avec son bébé dans les bras.Azruddin Mohamed, qui a fait fortune dans l’or et est sanctionné par les Etats-Unis pour évasion fiscale, promet de donner un coup de pied dans la fourmilière. Il affirme pouvoir l’emporter “parce que nous avons le soutien des communautés noires, indiennes et autochtones”.Le scrutin est à un tour. Est élu chef de l’Etat le candidat dont le parti a recueilli le plus de voix. Il peut en théorie donc être en minorité au Parlement. Le vainqueur gérera la manne pétrolière qui a permis de quadrupler en cinq ans le budget de l’Etat (6,7 milliards de dollars en 2025) avec la plus forte croissance économique d’Amérique latine (43,6% en 2024). Le Guyana, qui a commencé l’exploitation pétrolière en 2019, espère faire passer sa production de 650.000 barils par jour à plus d’un million en 2030.Les favoris promettent tous trois de “mettre plus d’argent dans les poches” des Guyaniens, de développer le pays, d’améliorer les services de santé et d’éducation ou d’augmenter les salaires, sur fond d’explosion des prix des denrées alimentaires.

Xi and Putin round on West at regional summit in China

Presidents Xi Jinping and Vladimir Putin took turns Monday to swipe at the West during a gathering of Eurasian leaders aimed at putting Beijing front and centre of regional relations.The Shanghai Cooperation Organisation (SCO)touts itself as a non-Western style of collaboration between 10 countries in the region and seeks to be an alternative to traditional alliances.Xi told leaders including Belarusian President Alexander Lukashenko and India’s Prime Minister Narendra Modi that the global situation was becoming more “chaotic and intertwined”.The Chinese leader also slammed “bullying behaviour” from certain countries — a veiled reference to the United States.”The security and development tasks facing member states have become even more challenging,” he said in his address in the northern port city of Tianjin.”With the world undergoing turbulence and transformation, we must continue to follow the Shanghai spirit…and better perform the functions of the organisation.”Putin used his speech to defend Russia’s Ukraine offensive, blaming the West for triggering the three-and-a-half year conflict that has killed tens of thousands and devastated much of eastern Ukraine.”This crisis wasn’t triggered by Russia’s attack on Ukraine, but was a result of a coup in Ukraine, which was supported and provoked by the West,” Putin said.Ukraine’s foreign ministry urged China to work towards peace during Putin’s visit, saying in a statement from Kyiv they “would welcome a more active role” for Beijing to help find peace “based on respect for the UN Charter”.Putin meanwhile praised Turkey’s mediation efforts in the conflict as he met Turkish counterpart Recep Tayyip Erdogan.And Putin later met his Iranian counterpart Masoud Pezeshkian, the Kremlin said, with the pair expected to discuss Iran’s nuclear programme.- ‘Always insightful’ -Earlier, leaders from the 10 countries — China, India, Russia, Pakistan, Iran, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tajikistan, Uzbekistan and Belarus — posed for a group photo on a red carpet.Xi, Putin and Modi were seen chatting, flanked by their translators. Modi and Putin were photographed holding hands and held talks in the afternoon.Russian state media reported the pair spent nearly an hour talking “face-to-face” in Putin’s armoured presidential car before an official meeting.”Conversations with him are always insightful,” Modi posted on X alongside a photograph of them travelling in the car.Before their meeting, Modi praised the “special and privileged strategic partnership” with Moscow and added that India wanted both sides in the Ukraine conflict to “find stable peace”.- ‘Mutual trust’ -The SCO summit kicked off on Sunday, days before a massive military parade in Beijing to mark 80 years since the end of World War II.The member states signed a declaration Monday agreeing to strengthen cooperation in sectors such as security and economy, China’s Xinhua news agency said. Xinhua added that the leaders also admitted Laos as an observer country, or “dialogue partner” — the summit already has 16 observers.Xi held a flurry of back-to-back meetings with leaders including Lukashenko — one of Putin’s staunch allies — and Modi, who is on his first visit to China since 2018.Modi told Xi that India was committed to taking “forward our ties on the basis of mutual trust, dignity and sensitivity”. The world’s two most populous nations are intense rivals, competing for influence across South Asia, and fought a deadly border clash in 2020. A thaw began last October, when Modi met Xi for the first time in five years at a summit in Russia.Their rapprochement deepened as US President Donald Trump pressured both Asian economic giants with trade tariffs.More than 20 leaders are attending the bloc’s largest meeting since it was founded in 2001.Many of the assembled dignitaries will be in Beijing on Wednesday to watch the military parade, which will also be attended by North Korean leader Kim Jong Un.A train carrying Kim passed into China early Tuesday, South Korea’s Yonhap news agency reported, citing the North’s state-run radio service.burs-jxb/ksb/tc/tym

Foot: Alexis Sanchez, 36 ans, quitte l’Udinese et signe à Séville

La star du football chilien Alexis Sanchez, passé notamment par le FC Barcelone, Marseille et l’Inter Milan, a résilié à 36 ans son contrat avec l’Udinese, en Italie, et s’est engagé pour une saison avec le Séville FC, qui évolue en première division espagnole, ont annoncé lundi les deux clubs.”Avec une carrière à la portée de très peu de joueurs et après avoir joué pour de nombreux clubs parmi les plus grands du monde, Alexis arrive à Nervión (le quartier sévillan où se trouve le stade du club, NDLR) pour apporter son expérience et son sens du but”, a déclaré le club espagnol, 12e de la Liga après trois journées.”C’est ici que se séparent les chemins de l’Udinese et d’Alexis Sanchez. Le club et la légende du club blanc et noir sont parvenus à un accord pour mettre un terme à son contrat”, avait indiqué un peu plus tôt l’Udinese dans un communiqué.”Alexis restera pour toujours notre +Niño Maravilla+”, conclut le communiqué en référence au surnom de l’attaquant chilien.Sanchez avait rejoint l’Udinese en août 2024 en provenance de l’Inter Milan. L’international chilien avait débuté sa carrière en Europe dans ce même club de l’Udinese, en 2008, avant de rejoindre le Barça (2011-14), Arsenal (2014-18), Manchester United (2018-20), l’Inter Milan (2019-22 et 2023-24) et Marseille (2022-23).Durant sa carrière en club, Sanchez, vainqueur de la Copa America en 2015 et 2016 avec le Chili, a inscrit 220 buts en 796 matches toutes compétitions confondues, mais aucun durant son second passage à Udine.

Italie: le vétéran anglais Jamie Vardy, 38 ans, rejoint la Cremonese

L’ancien international anglais Jamie Vardy s’est engagé lundi à 38 ans avec la Cremonese, de retour cette saison en Serie A et victorieuse de ses deux premiers matches de championnat.”StradiVardy est là”, a annoncé sur ses réseaux sociaux la Cremonese en commentaire d’une photo de Vardy posant aux côtés d’un Stradivarius, célèbre violon fabriqué aux XVIIème siècle à Crémone dans l’atelier du luthier Antonio Stradivari. Vardy a signé un contrat d’un an, jusqu’en juin 2026, avec la Cremonese, assorti d’une option pour une saison supplémentaire, a précisé son nouveau club.Vardy a fait l’essentiel de sa carrière à Leicester, inscrivant 200 buts en 500 matches toutes compétitions confondues entre 2012 et 2025 pour les “Foxes”. Il a remporté avec Leicester le titre de champion d’Angleterre en 2016, considéré comme le sacre le plus retentissant de l’histoire de la Premier League, sous la conduite de l’Italien Claudio Ranieri.L’attaquant, sacré meilleur buteur de Premier League en 2019-20 (23 buts), a également remporté la Coupe d’Angleterre, en 2021, et a été sélectionné à 26 reprises en équipe d’Angleterre (7 buts).Pour sa première -et probable dernière- expérience à l’étranger, Vardy va rejoindre une équipe qui surprend les observateurs.La Cremonese, de retour dans l’élite après deux années d’absence, a fait sensation lors de la première journée en battant l’AC Milan (2-1) à San Siro.Le club lombard a confirmé le week-end dernier avec un nouveau succès, contre un autre promu Sassuolo (3-2), et occupe la 3e place du Championnat d’Italie, avec le même nombre de points que les co-leaders, le champion en titre Naples et la Juventus Turin.