L’action Nestlé chute après un nouveau changement abrupt à la tête du groupe.
L’action du géant suisse de l’alimentation Nestlé chute mardi en Bourse après le licenciement de son directeur général à l’issue d’une enquête interne sur une relation amoureuse avec une subordonnée, marquant un nouveau changement abrupt à la tête de l’entreprise.Dans un communiqué publié lundi soir, Nestlé a annoncé le licenciement “avec effet immédiat” du Français Laurent Freixe, qui avait repris les commandes du groupe il y a tout juste un an, et son remplacement par Philipp Navratil, le patron de Nespresso. A 08H10 GMT, l’action Nestlé perdait 1,81% à 74,12 francs suisses, pesant sur le SMI, l’indice de référence de la Bourse suisse en baisse de 0,43%.”La saga Nestlé continue”, a réagi Jean-Philippe Bertschy, analyste chez Vontobel, dans un commentaire boursier. Selon lui, “une des premières priorités” du nouveau directeur général va être de “sortir Nestlé de l’actuel cycle de gros titres négatifs”. Le groupe, secoué par un scandale autour de ses eaux en bouteilles qui avait débuté en France, a indiqué que le licenciement de M. Freixe fait suite à une enquête ordonnée par le conseil d’administration “concernant une relation amoureuse non déclarée avec une subordonnée directe”, “ce qui constitue une infraction au code de conduite professionnelle de Nestlé”, précise le communiqué. Ce changement intervient un an seulement après son entrée en fonction, en septembre 2024, à la suite de la brusque éviction de son prédécesseur, l’Allemand Mark Schneider. Considéré comme un vétéran de l’entreprise, M. Freixe, 63 ans, s’était alors vu confier la mission de relancer des ventes qui s’étaient étiolées face à la vague d’inflation. Ce nouveau changement de directeur général “pourrait conduire à une incertitude paralysante”, juge Patrik Schwendimann, analyste à la Banque cantonale de Zurich. Mais “dans un scénario positif”, cela pourrait aussi “accélérer” le retour en force de Nestlé, Philipp Navratil apparaissant comme un “bon compromis” entre ses deux prédecesseurs, selon lui.Mark Schneider, qui avait mis l’accent sur les nouvelles tendances de consommation, avait été recruté en dehors du groupe pour apporter “une bouffée d’air frais de l’extérieur” alors que le choix de Laurent Freixe avait marqué un retour “aux recettes éprouvées de Nestlé”, a rappelé l’analyste dans une note de marché. M. Navratil pourrait, lui, “apporter une bouffée d’air frais de l’intérieur”, d’après M. Schwendimann. De nationalité suisse et autrichienne, M. Navratril, 49 ans, est entré chez Nestlé en 2001 en tant qu’auditeur, puis a s’était vu confier différents postes en Amérique centrale. En 2013, il avait pris la tête des activités de café et boissons de Nestlé au Mexique, avant de rejoindre en 2020 les activités de café à l’échelle du groupe. En 2024, il avait été promu à la tête de Nespresso.
Kim Jong Un en Chine pour un moment historique avec Xi et Poutine
Un train supposé transporter Kim Jong Un est arrivé mardi après-midi à Pékin où le dirigeant nord-coréen doit assister mercredi à un défilé militaire géant au côté des présidents chinois et russe.La présence de Kim Jong Un à la parade qui célébrera mercredi matin les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale s’annonce historique.Un vidéaste de l’AFP a vu un convoi portant le drapeau nord-coréen et similaire à celui déjà employé par lui dans le passé approcher de la gare de Pékin.M. Kim n’a pas quitté son pays reclus et soumis à de lourdes sanctions internationales depuis un déplacement en Russie en septembre 2023. Ce sera seulement sa neuvième sortie de Corée du nord depuis son accession au pouvoir fin 2011, sans compter deux brefs passages dans la zone démilitarisée à la frontière avec la Corée du Sud. L’agence sud-coréenne Yonhap a aussi annoncé l’arrivée dans la capitale chinoise du train présumé convoyer M. Kim, au terme d’un trajet de 1.300 kilomètres et d’environ une journée. Son arrivée et son voyage sont entourés du plus grand secret, comme une grande part de ses activités.L’agence nord-coréenne KCNA a publié des photos de Kim Jong Un fumant une cigarette sur le quai avant d’embarquer à bord du train vert olive à liseré or. Un autre cliché le montre tout sourire assis avec des collaborateurs à une table de travail devant le drapeau national dans un compartiment à boiseries.Kim Jong Un fait partie des 26 chefs d’Etat et de gouvernement du monde entier invités à l’évènement monumental prévu autour du président Xi Jinping. Le président russe Vladimir Poutine y assistera également.La mise en scène protocolaire est gardée secrète. Le Renseignement sud-coréen s’attend à ce que M. Kim reçoive un “traitement exceptionnel” et à ce qu’il soit placé au côté des présidents chinois et russe, a dit un député sud-coréen à sa sortie d’un briefing avec ces services. Les spéculations vont bon train sur une rencontre ultérieure Kim-Xi-Poutine.A elle seule, l’apparition de Kim Jong Un en public au milieu d’un certain nombre de dirigeants étrangers lors du défilé, voire de la réception qui suivra, serait inédite.Avec cette image, la Chine frapperait un grand coup dans un contexte de rivalité exacerbée avec les Etats-Unis. Le défilé parachèvera une séquence où la Chine s’est employée à faire la démonstration de son emprise diplomatique et de sa puissance militaire.La sécurité à Pékin a été considérablement renforcée en vue du défilé. Des soldats ont pris position sur les ponts et au coin des rues. Des kilomètres de barrières métalliques ont été prépositionnées le long des avenues. Les Pékinois se creusent la tête pour savoir comment ils se déplaceront mercredi en contournant les quartiers interdits à la circulation.M. Kim s’était rendu quatre fois en Chine auparavant.- Efforts américains contrariés -“Cette visite montre que la Corée du Nord est acceptée en tant que membre d’un groupe de nations dirigé par la Chine, qui inclut également la Russie. Elle montre que la Chine tolère – sans pour autant s’en réjouir – les relations actuelles entre la Corée du Nord et la Russie”, alliée mais aussi rivale, estime Christopher Green, spécialiste de la péninsule coréenne à l’International Crisis Group.Les trois pays ont des relations étroites remontant à la guerre froide. La Corée du Nord est devenue l’un des grands alliés de la Russie dans la guerre en Ukraine, lui envoyant des milliers de soldats et des armes.Environ 2.000 soldats nord-coréens ont été tués dans le conflit, a affirmé le député sud-coréen Lee Seong-kweun citant un briefing aux parlementaires du Renseignement national.De leur côté, MM. Xi et Poutine ont affiché leur entente au début d’entretiens à Pékin. Le président russe, arrivé dimanche, a évoqué des relations à un “niveau sans précédent”. Son collègue a salué une relation de “collaboration stratégique complète”.Les deux pays sont engagés dans une épreuve de force avec l’Occident et les Etats-Unis.
Kim Jong Un en Chine pour un moment historique avec Xi et Poutine
Un train supposé transporter Kim Jong Un est arrivé mardi après-midi à Pékin où le dirigeant nord-coréen doit assister mercredi à un défilé militaire géant au côté des présidents chinois et russe.La présence de Kim Jong Un à la parade qui célébrera mercredi matin les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale s’annonce historique.Un vidéaste de l’AFP a vu un convoi portant le drapeau nord-coréen et similaire à celui déjà employé par lui dans le passé approcher de la gare de Pékin.M. Kim n’a pas quitté son pays reclus et soumis à de lourdes sanctions internationales depuis un déplacement en Russie en septembre 2023. Ce sera seulement sa neuvième sortie de Corée du nord depuis son accession au pouvoir fin 2011, sans compter deux brefs passages dans la zone démilitarisée à la frontière avec la Corée du Sud. L’agence sud-coréenne Yonhap a aussi annoncé l’arrivée dans la capitale chinoise du train présumé convoyer M. Kim, au terme d’un trajet de 1.300 kilomètres et d’environ une journée. Son arrivée et son voyage sont entourés du plus grand secret, comme une grande part de ses activités.L’agence nord-coréenne KCNA a publié des photos de Kim Jong Un fumant une cigarette sur le quai avant d’embarquer à bord du train vert olive à liseré or. Un autre cliché le montre tout sourire assis avec des collaborateurs à une table de travail devant le drapeau national dans un compartiment à boiseries.Kim Jong Un fait partie des 26 chefs d’Etat et de gouvernement du monde entier invités à l’évènement monumental prévu autour du président Xi Jinping. Le président russe Vladimir Poutine y assistera également.La mise en scène protocolaire est gardée secrète. Le Renseignement sud-coréen s’attend à ce que M. Kim reçoive un “traitement exceptionnel” et à ce qu’il soit placé au côté des présidents chinois et russe, a dit un député sud-coréen à sa sortie d’un briefing avec ces services. Les spéculations vont bon train sur une rencontre ultérieure Kim-Xi-Poutine.A elle seule, l’apparition de Kim Jong Un en public au milieu d’un certain nombre de dirigeants étrangers lors du défilé, voire de la réception qui suivra, serait inédite.Avec cette image, la Chine frapperait un grand coup dans un contexte de rivalité exacerbée avec les Etats-Unis. Le défilé parachèvera une séquence où la Chine s’est employée à faire la démonstration de son emprise diplomatique et de sa puissance militaire.La sécurité à Pékin a été considérablement renforcée en vue du défilé. Des soldats ont pris position sur les ponts et au coin des rues. Des kilomètres de barrières métalliques ont été prépositionnées le long des avenues. Les Pékinois se creusent la tête pour savoir comment ils se déplaceront mercredi en contournant les quartiers interdits à la circulation.M. Kim s’était rendu quatre fois en Chine auparavant.- Efforts américains contrariés -“Cette visite montre que la Corée du Nord est acceptée en tant que membre d’un groupe de nations dirigé par la Chine, qui inclut également la Russie. Elle montre que la Chine tolère – sans pour autant s’en réjouir – les relations actuelles entre la Corée du Nord et la Russie”, alliée mais aussi rivale, estime Christopher Green, spécialiste de la péninsule coréenne à l’International Crisis Group.Les trois pays ont des relations étroites remontant à la guerre froide. La Corée du Nord est devenue l’un des grands alliés de la Russie dans la guerre en Ukraine, lui envoyant des milliers de soldats et des armes.Environ 2.000 soldats nord-coréens ont été tués dans le conflit, a affirmé le député sud-coréen Lee Seong-kweun citant un briefing aux parlementaires du Renseignement national.De leur côté, MM. Xi et Poutine ont affiché leur entente au début d’entretiens à Pékin. Le président russe, arrivé dimanche, a évoqué des relations à un “niveau sans précédent”. Son collègue a salué une relation de “collaboration stratégique complète”.Les deux pays sont engagés dans une épreuve de force avec l’Occident et les Etats-Unis.
Govt gestures leave roots of Indonesia protests intact
Government gestures to calm deadly protests in Indonesia have done little to address the economic inequality and hardship fuelling the unrest, leaving deep resentment to linger and flare up again, experts say.The country’s worst violence in decades left at least six people dead and 20 missing, with rallies over lavish perks for lawmakers descending into angry riots against police after officers were filmed running over a young delivery driver.Southeast Asia’s biggest economy recorded a surge in growth in the second quarter of the year on the back of manufacturing and export demand, which President Prabowo Subianto hailed, but everyday Indonesians are not seeing the data reflected in their wallets.Instead they view a corrupt political class enriching itself and failing to listen to the public, while inequality grows between the rich and the poor, experts said.”This is caused by economic issues. Some economic policies left the public quite annoyed or even angry,” said Nailul Huda, economist at the Center of Economics and Law Studies (CELIOS).”If economic growth is true, it will be felt by the lower-class society. Terminations are everywhere, and layoffs have increased up to 30 percent, which is quite high,” he added.Lavish benefits for lawmakers including a $3,000 housing allowance, which is nearly 10 times the minimum wage in the capital Jakarta, stirred the initial anger in protests last week before the driver’s death.The protests made Prabowo and parliament leaders U-turn and offer to revoke some perks, including issuing a moratorium on overseas visits.But their moves have likely not gone far enough to address the underlying grievances of the wider public.”The government appears insensitive to these concerns,” said Nailul. “This has become the root of the administration’s problems over the past four days.”Rising anger against the elite has manifested itself in looting, including the homes of several politicians.It has not been confined to capital Jakarta either, with local and provincial council buildings set on fire or attacked with rocks and Molotov cocktails in cities across the country. – ‘Govt fails to deliver’ -Prabowo had already faced smaller protests in February over widespread budget cuts to fund populist policies, including a billion-dollar free meal programme and new sovereign wealth fund Danantara.”The budgets that were supposed to be utilised by other sectors are being diverted to popular programmes which most likely still have many problems,” said Jahen Fachrul Rezki, an economic researcher at the University of Indonesia.Around 42,000 people were also laid off between January and June, a 32 percent rise on last year, according to the Ministry of Manpower. “It might be true that our economy is expanding, but who’s benefiting from the growth? Probably just capital owners,” Jahen said.A cost-of-living crisis is being felt by many as the country struggles with a shrinking middle class and slower income growth compared to rising prices because of inflation, according to Jahen.”The government claimed that we have an increase of rice supply, but it is not reflected in the price,” he said.According to Statistics Indonesia on Monday, the price of the staple good increased by more than six percent on last year.The number of people living below the poverty line in metropolitan Jakarta — a megalopolis of around 11 million people — was up from 362,000 in 2019 to 449,000 as of September 2024, government data says.”The government initially promised during the campaign that there would be job opportunities, education, and no more layoffs,” said Nailul. “But the government fails to deliver.”- ‘A matter of time’ -One of Prabowo’s early moves was to announce Indonesia would hike its value-added tax to 12 percent, before reversing after a backlash and saying it would only apply to luxury goods.”It is neither feasible nor wise for the government to raise VAT rates when people’s purchasing power is declining,” said Nailul.The death of the delivery driver, Affan Kurniawan, also stoked anger because workers like him have faced bigger pay deductions and longer working hours due to the economic situation.Such conditions mean many Indonesians will still feel the economic pain in the coming months, leaving the door open for fresh protests.”The protests on the streets probably will come down in the next few days, but it’s just a matter of time until public anger resurfaces again,” said Ray Rangkuti, political analyst at think tank Lingkar Madani.”Because we’re not addressing the issues, we’re just covering them up,” Rangkuti added.
Rentrée télé: 4 millions de téléspectateurs pour Salamé, jusqu’à 1,5 million pour Hanouna
Pour ses débuts au 20h00 de France 2, Léa Salamé a été regardée lundi soir par 4 millions de téléspectateurs en moyenne, toujours loin derrière le JT de TF1 (5,4 millions), selon les chiffres de Médiamétrie publiés mardi.L’autre star qui faisait sa rentrée télé, Cyril Hanouna, a attiré entre 1,3 et 1,5 million de téléspectateurs durant la dernière heure de sa nouvelle émission “Tout beau tout 9” sur W9, de 20h15 à 21h15.Léa Salamé, ex-star de la matinale de la radio France Inter, a pris les rênes du JT de France 2 à la place d’Anne-Sophie Lapix. Elle a pour mission de combler l’écart d’audience qui s’est creusé avec le JT de TF1 présenté par Gilles Bouleau.Pour ses débuts, elle a réalisé un score qualifié de “décevant” par le site spécialisé Puremédias, qui relève tout de même que “le 20 heures de France 2 n’avait pas atteint les 4 millions de téléspectateurs depuis le 5 mai”.”L’année dernière, pour sa rentrée le mercredi 4 septembre 2024, Anne-Sophie Lapix avait convaincu 4,03 millions de fidèles”, relève Puremédias.Le premier JT de Léa Salamé a réalisé une part d’audience (proportion des téléspectateurs qui le suivaient) de 21,1%, contre 28,7% pour celui de Gilles Bouleau.Tous ces chiffres correspondent à la première partie des deux journaux. Sur la seconde, durant laquelle Gilles Bouleau interviewait le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, TF1 est toujours largement en tête (5,4 millions contre 3,7 million).Pour sa part, Cyril Hanouna a fait un retour en direct à la télé six mois après l’arrêt de sa précédente émission, “Touche pas à mon poste” (“TPMP”) sur C8.Cette chaîne, qui a cumulé 7,6 millions d’euros d’amendes à cause des dérapages de son animateur vedette, a cessé d’émettre après le non-renouvellement de sa fréquence par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel.Entouré de ses chroniqueurs, Cyril Hanouna a proposé lundi une émission proche de celle qu’il présentait précédemment. Découpée en plusieurs partie, elle a attiré de 800.000 téléspectateurs (6,8% de PDA) entre 18h25 et 19h15 à 1,5 million (7,7% de PDA) entre 21h00 et 21h15, tranche la plus suivie.Bien que les comparaisons soient difficiles en raison des découpages, ces ordres de grandeur sont comparables à ceux des audiences de “TPMP”.
Le RN pense obtenir la majorité absolue en cas de dissolution
Le vice-président du Rassemblement national Sébastien Chenu a estimé mardi que son parti pouvait “avoir une majorité absolue” à l’Assemblée nationale si des législatives anticipées étaient organisées à la suite d’une nouvelle dissolution. “Des sondages nous invitent à penser qu’on peut faire la course en tête et moi je crois que nous pouvons avoir une majorité absolue”, a déclaré le responsable d’extrême-droite sur RMC-BFMTV.Il a affirmé croire que “l’écroulement du bloc central” pourrait “amener une majorité Rassemblement national et alliés” de l’UDR d’Eric Ciotti, car le RN est selon lui “le garant de la stabilité” souhaitée par les Français.Interrogé sur des alliances possibles avec d’autres partis que celui d’Éric Ciotti, il a rejeté tout “bidouillage de cuisines ou d’arrières-salles”. “Ensuite, il y aura des députés, peut-être, d’autres bancs qui diront effectivement +leurs solutions valent le coup d’être mises en œuvre et on ira ou les voter ou tout simplement, on ne s’y opposera pas+”, a-t-il détaillé.Le président du parti d’extrême-droite Jordan Bardella, qui vise le poste de Premier ministre en cas de majorité, est “le bienvenu” pour être candidat aux législatives, a précisé Sébastien Chenu, assurant par ailleurs que Marine Le Pen, touchée par une peine d’inéligibilité pour détournement de fonds publics, “utilisera tous les moyens légaux, qui lui permettront d’être candidate”. Le Premier ministre François Bayrou va demander lundi la confiance de l’Assemblée nationale sur son projet de budget pour 2026. Il a très peu de chance de l’obtenir, la gauche et le Rassemblement national ayant annoncé leur intention de voter contre.