In Senegal, the last of Dakar’s ‘bubble homes’ at riskWed, 03 Sep 2025 05:33:16 GMT

Marieme Ndiaye emerged from her igloo-shaped home in Senegal’s capital, its 1950s space-age aesthetic in sharp contrast with the boxy, multi-storey apartments being built nearby.The little concrete house is a head-turner, seemingly better suited for a sci-fi movie than the average Dakar residential block where it is located.In the 1950s, around 1,200 of the tidy …

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US Open: choc Djokovic-Alcaraz en demi-finales, Sabalenka qualifiée sur forfait

En gémissant puis en dansant, Novak Djokovic a rejoint mardi Carlos Alcaraz en demi-finales de l’US Open, la N.1 mondiale Aryna Sabalenka se qualifiant elle sans jouer pour le dernier carré, où elle retrouvera Jessica Pegula, sa victime en finale de l’édition 2024.- Djokovic serre les dents -Malmené physiquement par le finaliste sortant à New York Taylor Fritz (4e au classement ATP), Novak Djokovic s’est montré plus réaliste que l’Américain pour s’imposer en quatre sets mardi en quarts de finale: 6-3, 7-5, 3-6, 6-4.Il a célébré sa victoire en esquissant quelques pas de danse pour sa fille, qui vient de fêter son anniversaire loin de son père.”C’était un match incroyablement serré, j’ai eu de la chance d’écarter plusieurs balles de break à des moments importants dans le deuxième set”, a soufflé le vainqueur.”Durant l’essentiel des deuxième et troisième sets, il (Fritz, NDLR) était le meilleur joueur sur le court”, a jugé un Djokovic soulagé d’avoir maintenu en vie son rêve d’un 25e titre record en Grand Chelem.Dans les deux premiers sets, a jugé Fritz, “je trouve qu’il a commis beaucoup plus d’erreurs que d’habitude (…) et j’ai eu tellement de balles de break. Donc normalement, je ne peux pas ressortir de ces deux premiers sets mené deux manches à rien. Je dois mieux jouer”.Son tombeur retrouvera vendredi dans le dernier carré le N.2 mondial Carlos Alcaraz, qu’il avait dominé en quarts de finale de l’Open d’Australie en janvier lors de leur dernière confrontation.”Les deux jours à venir vont être vraiment cruciaux pour mettre mon corps en condition, le préparer à se battre durant cinq sets si nécessaire” contre l’Espagnol, a affirmé Djokovic.”Je ne vais en tout cas pas hisser le drapeau blanc en entrant sur le court”, a promis le Serbe.Eliminé l’an dernier au deuxième tour, Alcaraz est revenu à New York le couteau entre les dents et s’est imposé mardi 6-4, 6-2, 6-4 contre le Tchèque Jiri Lehecka (21e).Souvent dépeint comme un joueur inconstant, coupable de relâchements soudains en plein match, Alcaraz a tenu la barre trois sets durant, comme aux tours précédents, et n’a concédé aucune balle de break.En quête de la place de numéro un mondial, Alcaraz est certain de détrôner Jannik Sinner s’il remporte le titre à New York.”C’est vraiment dur de ne pas penser” à la place de N.1, a admis Alcaraz après sa victoire. “Mais à chaque fois que je pénètre sur le court, j’essaye de ne pas l’avoir en tête. Si j’y songeais trop, je me mettrais beaucoup de pression”, a-t-il ajouté.Mercredi, les deux derniers quarts de finale opposeront Jannik Sinner à Lorenzo Musetti (10e) et Alex De Minaur (8e) à Felix Auger-Aliassime (27e).- Sabalenka retrouve Pegula -Dans le tableau féminin, Aryna Sabalenka a bénéficié mardi du forfait sur blessure de la Tchèque Marketa Vondrousova (60e), qu’elle devait affronter en quarts de finale.”Durant un entraînement aujourd’hui, j’ai senti mon genou de nouveau et après consultation avec le médecin du tournoi, j’ai décidé de ne pas risquer d’aggraver la blessure”, a écrit dans un communiqué la lauréate de Wimbledon en 2023, précisant que la lésion datait de son match précédent.Ce retrait a planté le décor des retrouvailles entre Sabalenka et Pegula, après une finale serrée à New York l’an passé, remportée par la N.1 mondiale, 7-5, 7-5.Plus tôt mardi, l’Américaine s’était promptement extraite de son quart de finale face à la Tchèque Barbora Krejcikova (62e), 6-3, 6-3, émoussée par un marathon de trois heures en huitièmes de finale face à l’Américaine Taylor Townsend.En cinq matches, Pegula n’a toujours pas abandonné le moindre set.”J’ai eu un tableau assez dégagé jusqu’ici”, a reconnu l’Américaine, “mais j’ai aussi fait le boulot, ce qui m’a permis d’emmagasiner de la confiance.”Les deux derniers quarts de finale du tableau féminin opposeront mercredi Iga Swiatek (2e) à Amanda Anisimova (9e) et Naomi Osaka (24e) à Karolina Muchova (13e).

En Afghanistan, l’espoir de trouver des rescapés du séisme se réduit

Au troisième jour d’opérations de secours en Afghanistan, l’espoir de trouver des rescapés du séisme meurtrier s’amenuise mercredi, tandis que les survivants vivent dans des conditions précaires, sans savoir de quoi demain sera fait.Après un séisme de magnitude 6 survenu dans la nuit de dimanche à lundi, la terre a de nouveau tremblé mardi soir dans des provinces frontalières du Pakistan, replongeant des milliers de familles dans l’horreur.La quasi-totalité des victimes (1.411 morts, 3.124 blessés) de ce tremblement de terre, l’un des plus meurtriers de l’histoire du pays, ont été recensées par les autorités talibanes dans la province de Kounar, mais celles de Laghman et de Nangarhar ont également été frappées.Dans le district de Nourgal, à Kounar, des habitants sont encore sous les décombres et sont difficiles à secourir, a rapporté à l’AFP Ijaz Ulhaq Yaad, un haut fonctionnaire local.Les glissements de terrain rendent très difficile l’accès à certains villages et hameaux.L’ONG Save the children a rapporté qu’une de ses équipes avait marché 20 km pour “atteindre un village coupé du monde par des éboulements, transportant de l’équipement médical sur leurs dos”.- “Normaliser” -En deux jours, le ministère de la Défense a organisé 155 vols d’hélicoptère pour évacuer quelque 2.000 blessés et leurs proches vers des hôpitaux de la région.A Mazar Dara, un village de Kounar, une petite clinique mobile a été déployée pour apporter des soins d’urgences à des blessés, mais aucune tente n’a été montée pour abriter les rescapés, a constaté un correspondant de l’AFP.Ces deux derniers jours, les autorités talibanes n’ont pas fait état de plan pour l’après-séisme, que ce soit en termes d’aide financière aux sinistrés, de stratégie de relogement, et, à plus long terme, de reconstruction.Hamdullah Fitrat, porte-parole adjoint du gouvernement, a indiqué qu’un camp avait été établi dans le district de Khas Kunar pour stocker les fournitures d’urgence, tandis que deux autres centres ont été ouverts près de l’épicentre pour “gérer le transfert des blessés, l’enterrement des martyrs et les opérations de secours pour les rescapés”.D’après l’ONU, des centaines de milliers de personnes pourraient être touchées par le drame.- Risque d’épidémies -L’Afghanistan, dont les autorités talibanes ne sont reconnues que par Moscou, souffre des récentes coupes dans l’aide humanitaire internationale, américaine en tête.Face au désastre, les agences onusiennes ont toutes lancé des campagnes d’appel au don et ont déjà débloqué cinq millions de dollars du fonds mondial d’intervention d’urgence de l’ONU.Mais des ONG sur le terrain indiquent que leurs opérations sont touchées de plein fouet par les coupes budgétaires et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déjà dit, mardi soir, manquer de trois millions de dollars pour mettre en oeuvre sa réponse d’urgence.L’agence onusienne a par ailleurs souligné dans un communiqué, le risque d’apparition d’épidémies, “au sein de populations déplacées déjà vulnérables”.Après leur retour au pouvoir en 2021, les talibans ont été confrontés au séisme le plus meurtrier en 25 ans: en 2023, dans la région d’Hérat, à l’autre extrémité de l’Afghanistan, plus de 1.500 personnes avaient été tuées et plus de 63.000 habitations détruites.L’Afghanistan est fréquemment frappé par des tremblements de terre, en particulier dans la chaîne montagneuse de l’Hindou Kouch, près de la jonction des plaques tectoniques eurasienne et indienne.Depuis 1900, le nord-est de ce pays a connu 12 séismes d’une magnitude supérieure à 7, selon Brian Baptie, sismologue au British Geological Survey.

En Afghanistan, l’espoir de trouver des rescapés du séisme se réduit

Au troisième jour d’opérations de secours en Afghanistan, l’espoir de trouver des rescapés du séisme meurtrier s’amenuise mercredi, tandis que les survivants vivent dans des conditions précaires, sans savoir de quoi demain sera fait.Après un séisme de magnitude 6 survenu dans la nuit de dimanche à lundi, la terre a de nouveau tremblé mardi soir dans des provinces frontalières du Pakistan, replongeant des milliers de familles dans l’horreur.La quasi-totalité des victimes (1.411 morts, 3.124 blessés) de ce tremblement de terre, l’un des plus meurtriers de l’histoire du pays, ont été recensées par les autorités talibanes dans la province de Kounar, mais celles de Laghman et de Nangarhar ont également été frappées.Dans le district de Nourgal, à Kounar, des habitants sont encore sous les décombres et sont difficiles à secourir, a rapporté à l’AFP Ijaz Ulhaq Yaad, un haut fonctionnaire local.Les glissements de terrain rendent très difficile l’accès à certains villages et hameaux.L’ONG Save the children a rapporté qu’une de ses équipes avait marché 20 km pour “atteindre un village coupé du monde par des éboulements, transportant de l’équipement médical sur leurs dos”.- “Normaliser” -En deux jours, le ministère de la Défense a organisé 155 vols d’hélicoptère pour évacuer quelque 2.000 blessés et leurs proches vers des hôpitaux de la région.A Mazar Dara, un village de Kounar, une petite clinique mobile a été déployée pour apporter des soins d’urgences à des blessés, mais aucune tente n’a été montée pour abriter les rescapés, a constaté un correspondant de l’AFP.Ces deux derniers jours, les autorités talibanes n’ont pas fait état de plan pour l’après-séisme, que ce soit en termes d’aide financière aux sinistrés, de stratégie de relogement, et, à plus long terme, de reconstruction.Hamdullah Fitrat, porte-parole adjoint du gouvernement, a indiqué qu’un camp avait été établi dans le district de Khas Kunar pour stocker les fournitures d’urgence, tandis que deux autres centres ont été ouverts près de l’épicentre pour “gérer le transfert des blessés, l’enterrement des martyrs et les opérations de secours pour les rescapés”.D’après l’ONU, des centaines de milliers de personnes pourraient être touchées par le drame.- Risque d’épidémies -L’Afghanistan, dont les autorités talibanes ne sont reconnues que par Moscou, souffre des récentes coupes dans l’aide humanitaire internationale, américaine en tête.Face au désastre, les agences onusiennes ont toutes lancé des campagnes d’appel au don et ont déjà débloqué cinq millions de dollars du fonds mondial d’intervention d’urgence de l’ONU.Mais des ONG sur le terrain indiquent que leurs opérations sont touchées de plein fouet par les coupes budgétaires et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déjà dit, mardi soir, manquer de trois millions de dollars pour mettre en oeuvre sa réponse d’urgence.L’agence onusienne a par ailleurs souligné dans un communiqué, le risque d’apparition d’épidémies, “au sein de populations déplacées déjà vulnérables”.Après leur retour au pouvoir en 2021, les talibans ont été confrontés au séisme le plus meurtrier en 25 ans: en 2023, dans la région d’Hérat, à l’autre extrémité de l’Afghanistan, plus de 1.500 personnes avaient été tuées et plus de 63.000 habitations détruites.L’Afghanistan est fréquemment frappé par des tremblements de terre, en particulier dans la chaîne montagneuse de l’Hindou Kouch, près de la jonction des plaques tectoniques eurasienne et indienne.Depuis 1900, le nord-est de ce pays a connu 12 séismes d’une magnitude supérieure à 7, selon Brian Baptie, sismologue au British Geological Survey.

En Afghanistan, l’espoir de trouver des rescapés du séisme se réduit

Au troisième jour d’opérations de secours en Afghanistan, l’espoir de trouver des rescapés du séisme meurtrier s’amenuise mercredi, tandis que les survivants vivent dans des conditions précaires, sans savoir de quoi demain sera fait.Après un séisme de magnitude 6 survenu dans la nuit de dimanche à lundi, la terre a de nouveau tremblé mardi soir dans des provinces frontalières du Pakistan, replongeant des milliers de familles dans l’horreur.La quasi-totalité des victimes (1.411 morts, 3.124 blessés) de ce tremblement de terre, l’un des plus meurtriers de l’histoire du pays, ont été recensées par les autorités talibanes dans la province de Kounar, mais celles de Laghman et de Nangarhar ont également été frappées.Dans le district de Nourgal, à Kounar, des habitants sont encore sous les décombres et sont difficiles à secourir, a rapporté à l’AFP Ijaz Ulhaq Yaad, un haut fonctionnaire local.Les glissements de terrain rendent très difficile l’accès à certains villages et hameaux.L’ONG Save the children a rapporté qu’une de ses équipes avait marché 20 km pour “atteindre un village coupé du monde par des éboulements, transportant de l’équipement médical sur leurs dos”.- “Normaliser” -En deux jours, le ministère de la Défense a organisé 155 vols d’hélicoptère pour évacuer quelque 2.000 blessés et leurs proches vers des hôpitaux de la région.A Mazar Dara, un village de Kounar, une petite clinique mobile a été déployée pour apporter des soins d’urgences à des blessés, mais aucune tente n’a été montée pour abriter les rescapés, a constaté un correspondant de l’AFP.Ces deux derniers jours, les autorités talibanes n’ont pas fait état de plan pour l’après-séisme, que ce soit en termes d’aide financière aux sinistrés, de stratégie de relogement, et, à plus long terme, de reconstruction.Hamdullah Fitrat, porte-parole adjoint du gouvernement, a indiqué qu’un camp avait été établi dans le district de Khas Kunar pour stocker les fournitures d’urgence, tandis que deux autres centres ont été ouverts près de l’épicentre pour “gérer le transfert des blessés, l’enterrement des martyrs et les opérations de secours pour les rescapés”.D’après l’ONU, des centaines de milliers de personnes pourraient être touchées par le drame.- Risque d’épidémies -L’Afghanistan, dont les autorités talibanes ne sont reconnues que par Moscou, souffre des récentes coupes dans l’aide humanitaire internationale, américaine en tête.Face au désastre, les agences onusiennes ont toutes lancé des campagnes d’appel au don et ont déjà débloqué cinq millions de dollars du fonds mondial d’intervention d’urgence de l’ONU.Mais des ONG sur le terrain indiquent que leurs opérations sont touchées de plein fouet par les coupes budgétaires et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déjà dit, mardi soir, manquer de trois millions de dollars pour mettre en oeuvre sa réponse d’urgence.L’agence onusienne a par ailleurs souligné dans un communiqué, le risque d’apparition d’épidémies, “au sein de populations déplacées déjà vulnérables”.Après leur retour au pouvoir en 2021, les talibans ont été confrontés au séisme le plus meurtrier en 25 ans: en 2023, dans la région d’Hérat, à l’autre extrémité de l’Afghanistan, plus de 1.500 personnes avaient été tuées et plus de 63.000 habitations détruites.L’Afghanistan est fréquemment frappé par des tremblements de terre, en particulier dans la chaîne montagneuse de l’Hindou Kouch, près de la jonction des plaques tectoniques eurasienne et indienne.Depuis 1900, le nord-est de ce pays a connu 12 séismes d’une magnitude supérieure à 7, selon Brian Baptie, sismologue au British Geological Survey.

US Open: choc Djokovic-Alcaraz en demi-finale, Sabalenka qualifiée sur forfait

En gémissant puis en dansant, Novak Djokovic a rejoint mardi Carlos Alcaraz en demi-finales de l’US Open, la N.1 mondiale Aryna Sabalenka se qualifiant elle sans jouer pour le dernier carré, où elle retrouvera Jessica Pegula, sa victime en finale de l’édition 2024.- Djokovic serre les dents -Malmené physiquement par le finaliste sortant à New York Taylor Fritz (4e au classement ATP), Novak Djokovic s’est montré plus réaliste que l’Américain pour s’imposer en quatre sets mardi en quarts de finale: 6-3, 7-5, 3-6, 6-4. Il a célébré sa victoire en esquissant quelques pas de danse pour sa fille, qui vient de fêter son anniversaire et dont il a raté l’anniversaire puisqu’il est toujours en lice à New York.”C’était un match incroyablement serré, j’ai eu de la chance d’écarter plusieurs balles de break à des moments importants dans le deuxième set”, a soufflé le vainqueur dans son interview d’après-match.”Durant l’essentiel des deuxième et troisième sets, il (Fritz, NDLR) était le meilleur joueur sur le court. Je n’ai pas senti que je dominais depuis le fond de court”, a ajouté un Djokovic soulagé d’avoir maintenu en vie son rêve d’un 25e titre record en Grand Chelem.Il retrouvera dans le dernier carré le N.2 mondial Carlos Alcaraz, qu’il avait dominé en quarts de finale de l’Open d’Australie en janvier lors de leur dernière confrontation.Eliminé l’an dernier au deuxième tour, l’Espagnol est revenu à New York le couteau entre les dents et s’est imposé mardi 6-4, 6-2, 6-4 contre le Tchèque Jiri Lehecka (21e).Souvent dépeint comme un joueur inconstant, coupable de relâchements soudains en plein match, Alcaraz a tenu la barre trois sets durant, comme aux tours précédents, et n’a concédé aucune balle de break.”Aujourd’hui, j’ai eu droit à la version Grand Chelem de Carlos”, a résumé Lehecka. “Ce n’est même pas que j’ai fait un mauvais match, (…) il avait réponse à tout.”En quête de la place de numéro un mondial, Alcaraz est certain de détrôner Jannik Sinner s’il remporte le titre à New York.”C’est vraiment dur de ne pas y penser (à la place de N.1)”, a admis Alcaraz après sa victoire, “mais à chaque fois que je pénètre sur le court, j’essaye de ne pas l’avoir en tête. Si j’y songeais trop, je me mettrais beaucoup de pression.”En attendant la demi-finale programmée vendredi, le N.2 mondial, amateur de golf, a prévu d’aller taper la petite balle blanche dans les prochains jours.Mercredi, les deux derniers quarts de finale opposeront Jannik Sinner à Lorenzo Musetti (10e) et Alex De Minaur (8e) à Felix Auger-Aliassime (27e).- Sabalenka retrouve Pegula -Dans le tableau féminin, Aryna Sabalenka a bénéficié mardi du forfait sur blessure de la Tchèque Marketa Vondrousova (60e), qu’elle devait affronter en quart de finale.”Durant un entraînement aujourd’hui, j’ai senti mon genou de nouveau et après consultation avec le médecin du tournoi, j’ai décidé de ne pas risquer d’aggraver la blessure”, a écrit dans un communiqué la lauréate de Wimbledon en 2023, précisant que la lésion datait de son match précédent.Ce retrait a planté le décor des retrouvailles entre Sabalenka et Pegula, après une finale serrée à New York l’an passé, remportée par la N.1 mondiale, 7-5, 7-5.”Ce serait cool de pouvoir prendre ma revanche”, a déclaré Pegula.Plus tôt mardi, l’Américaine s’était promptement extraite de son quart de finale face à la Tchèque Barbora Krejcikova (62e), 6-3, 6-3, émoussée par un marathon de trois heures en huitièmes de finale face à l’Américaine Taylor Townsend.L’ancienne numéro 2 mondiale a notamment été trahie par son service (40% de premières balles passées au premier set).En cinq matches, Pegula n’a toujours pas abandonné le moindre set.”J’ai eu un tableau assez dégagé jusqu’ici”, a reconnu l’Américaine, “mais j’ai aussi fait le boulot, ce qui m’a permis d’emmagasiner de la confiance.”Les deux derniers quarts de finale du tableau féminin opposeront mercredi Iga Swiatek (2e) à Amanda Anisimova (9e) et Naomi Osaka (24e) à Karolina Muchova (13e).

Tunisia sees European tourist numbers rebound decade after attackWed, 03 Sep 2025 04:11:18 GMT

Ten years after a beach attack that killed 30 Britons and delivered a crippling blow to Tunisia’s tourism industry, European holidaymakers are finally returning in what authorities hope will be record-breaking numbers.In June 2015, a Tunisian university student slipped a rifle out of a beach umbrella and opened fire on vacationers outside a hotel in …

Tunisia sees European tourist numbers rebound decade after attackWed, 03 Sep 2025 04:11:18 GMT Read More »