Chine: l’été 2025 a été “le plus chaud jamais enregistré”

La Chine a connu “l’été le plus chaud jamais enregistré” avec des records de températures et plusieurs vagues de chaleur notamment le sud du pays, a indiqué l’agence météorologique nationale.”De juin à août de cette année, de nombreuses régions en Chine ont subi des chaleurs intenses, avec une température moyenne nationale atteignant 22,31°C – l’été le plus chaud jamais enregistré”, a écrit l’Administration météorologique de Chine (CMA) dans une publication sur les réseaux sociaux lundi soir.A l’été 2024, la Chine avait déjà enregistré un record de température avec une moyenne nationale de 22,30°C.Les autorités ont averti en juillet des risques pour la santé liés à la chaleur dans de grandes parties de l’est de la Chine, avec des températures atteignant près de 40°C dans la capitale Pékin en juin.Les autorités de Shanghai ont déclaré que la ville avait enduré 27 jours de températures supérieures à 35°C en août, un record depuis le début des relevés nationaux en 1961.Des anticyclones ont contribué à des ciels plus dégagés et à une plus grande exposition à la chaleur du soleil à travers le pays cette année, selon la CMA.Malgré un bref répit en matière de chaleur dans certaines parties du pays en milieu de la semaine, des villes comme Shanghai, Hangzhou (est), ou des cités dans le bassin du Yangzi comme Hefei, Nanchang ou Wuhan vont voir à nouveau les températures maximales quotidiennes dépasser les 35°C d’ici la fin de la semaine, indique la même source.- Inondations -Des pluies abondantes ont également frappé la Chine cet été, provoquant des inondations et des glissements de terrain qui ont tué des dizaines de personnes.Au moins 44 personnes sont mortes dans les banlieues rurales de la capitale Pékin après que des inondations ont submergé des maisons en juillet.En Mongolie intérieure, région normalement aride, des touristes ont été emportés par une crue soudaine en août, tuant au moins neuf personnes.Le géant asiatique est le plus important émetteur mondial, en valeur absolue, de gaz à effet de serre contribuant à ce changement climatique. Il a promis d’arriver à un pic d’émissions d’ici 2030 et d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2060.Sur le plan mondial, 2024 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée selon l’Organisation météorologique mondiale.Cette année pourrait annoncer un nouveau record: cette semaine, des responsables au Japon, en Corée du Sud et au Royaume-Uni ont également annoncé des températures estivales moyennes inégalées.La hausse des températures partout dans le monde rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, selon les scientifiques.Le réchauffement climatique, principalement causé par la combustion fossile, n’a pas la hausse des températures pour seule conséquence.L’air plus chaud, induit plus de vapeur d’eau, et des océans plus chauds signifient aussi plus d’évaporation, provoquant des pluies et de tempêtes plus intenses.

Chine: l’été 2025 a été “le plus chaud jamais enregistré”

La Chine a connu “l’été le plus chaud jamais enregistré” avec des records de températures et plusieurs vagues de chaleur notamment le sud du pays, a indiqué l’agence météorologique nationale.”De juin à août de cette année, de nombreuses régions en Chine ont subi des chaleurs intenses, avec une température moyenne nationale atteignant 22,31°C – l’été le plus chaud jamais enregistré”, a écrit l’Administration météorologique de Chine (CMA) dans une publication sur les réseaux sociaux lundi soir.A l’été 2024, la Chine avait déjà enregistré un record de température avec une moyenne nationale de 22,30°C.Les autorités ont averti en juillet des risques pour la santé liés à la chaleur dans de grandes parties de l’est de la Chine, avec des températures atteignant près de 40°C dans la capitale Pékin en juin.Les autorités de Shanghai ont déclaré que la ville avait enduré 27 jours de températures supérieures à 35°C en août, un record depuis le début des relevés nationaux en 1961.Des anticyclones ont contribué à des ciels plus dégagés et à une plus grande exposition à la chaleur du soleil à travers le pays cette année, selon la CMA.Malgré un bref répit en matière de chaleur dans certaines parties du pays en milieu de la semaine, des villes comme Shanghai, Hangzhou (est), ou des cités dans le bassin du Yangzi comme Hefei, Nanchang ou Wuhan vont voir à nouveau les températures maximales quotidiennes dépasser les 35°C d’ici la fin de la semaine, indique la même source.- Inondations -Des pluies abondantes ont également frappé la Chine cet été, provoquant des inondations et des glissements de terrain qui ont tué des dizaines de personnes.Au moins 44 personnes sont mortes dans les banlieues rurales de la capitale Pékin après que des inondations ont submergé des maisons en juillet.En Mongolie intérieure, région normalement aride, des touristes ont été emportés par une crue soudaine en août, tuant au moins neuf personnes.Le géant asiatique est le plus important émetteur mondial, en valeur absolue, de gaz à effet de serre contribuant à ce changement climatique. Il a promis d’arriver à un pic d’émissions d’ici 2030 et d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2060.Sur le plan mondial, 2024 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée selon l’Organisation météorologique mondiale.Cette année pourrait annoncer un nouveau record: cette semaine, des responsables au Japon, en Corée du Sud et au Royaume-Uni ont également annoncé des températures estivales moyennes inégalées.La hausse des températures partout dans le monde rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses, selon les scientifiques.Le réchauffement climatique, principalement causé par la combustion fossile, n’a pas la hausse des températures pour seule conséquence.L’air plus chaud, induit plus de vapeur d’eau, et des océans plus chauds signifient aussi plus d’évaporation, provoquant des pluies et de tempêtes plus intenses.

Equipe de France: Second couteau Pavard ?

Plus titulaire depuis longtemps en Bleu, Benjamin Pavard est revenu le même jour en Ligue 1, en signant lundi soir à l’Olympique de Marseille, et en équipe de France, où Didier Deschamps l’a appelé pour le début de la campagne qualificative au Mondial-2026.Déclassé. La saison dernière le champion du monde 2018 n’a joué que 13 minutes en sélection, restant sur le banc le reste du temps, notamment pendant tout l’Euro-2024 en Allemagne.L’éternel buteur du France-Argentine (4-3) du Mondial-2018 en plaisantait l’été dernier. “Actuellement, je suis plutôt sur le banc côté gauche”, souriait-il amèrement au camp de base de l’équipe de France à Paderborn où on l’interrogeait sur son meilleur poste.Le néo-Marseillais n’était pas dans la liste initiale des joueurs retenus pour les matches contre l’Ukraine, vendredi à Wroclaw (Pologne), puis l’Islande, mardi 9 septembre au Parc des Princes. Mais Didier Deschamps l’a rappelé à la suite de la blessure de William Saliba.Ibrahima Konaté gêné par des crampes et Lucas Hernandez manquant de temps de jeu au Paris Saint-Germain, Pavard, 29 ans, peut espérer rejouer en Bleu lors de cette fenêtre internationale, plutôt en charnière, Koundé s’étant imposé à droite.- “Très heureux” -Couronné champion du monde côté droit, Pavard avait rappelé, après le Mondial-2022 où il n’a disputé qu’un match, sa préférence pour la défense centrale. Mais DD l’avait alors repris publiquement, incluant Jules Koundé dans son avertissement, pour rappeler que s’il les convoquait pour jouer dans le couloir il ne fallait pas faire la fine bouche.Depuis, Pavard n’a plus rien réclamé. “C’est le choix du coach, je m’adapte, que ce soit latéral droit ou central, que ce soit sur le banc ou pour jouer, je suis prêt”, disait-il pendant l’Euro-2024.”Il sait que si il fait appel à moi, je vais répondre présent, parce que je suis un compétiteur. Quand je ne joue pas je reste positif. A l’entraînement je me donne à 100%”, insistait le Milanais, toujours parmi les plus adroits dans les concours de frappes à la fin des séances.Après deux ans à l’Inter Milan, un titre de champion d’Italie et une finale – désastreuse – de Ligue des champions contre le PSG (5-0 le 31 mai dernier), il s’est rapproché du public français et va retrouver la Ligue 1, quittée à l’âge de 20 ans après 25 matches joués avec le Losc.Il a posté une vidéo sur X où il se dit “très heureux de rejoindre l’Olympique de Marseille”, juste après avoir signé son contrat depuis sa chambre de Clairefontaine, où il avait été dispensé du décrassage de lundi soir pour régler ses affaires contractuelles.Pavard était arrivé souriant au château, montrant aux photographes l’alliance qu’il porte depuis son mariage cet été sur la côte amalfitaine avec le mannequin Kleofina Pnishi.- “Concurrence saine” -“L’équipe de France, ça passe au-dessus de tout. Porter ce maillot de jeu, c’est un rêve d’enfant”, dit souvent l’ancien du Bayern Munich (2019-2023).S’il reste un des joueurs les plus expérimentés du groupe avec ses 55 sélections, le Nordiste n’en a récolté que dix ces trois dernières saisons et a perdu son statut de titulaire régulier depuis l’Euro-2021, où il jouait latéral droit. En sélection, il a connu le meilleur et le pire, à l’image de ses deux dernières titularisations. Après un doublé chez lui à Lille contre l’Écosse (4-1) en octobre 2023, il avait coulé avec le navire lors du match suivant contre l’Allemagne (défaite 2-0), à Lyon en amical.”Ce sont les choix du sélectionneur, je les respecterai toujours”, expliquait-il à Adil Rami dans l’émission Téléfoot la saison dernière “La concurrence, c’est positif, je la vis bien, grâce à une concurrence saine tu avances, tu élèves ton niveau. Je resterai toujours le même si on a besoin de moi”, ajoutait-il.Il peut encore surgir au second poteau, Pavard…