Stocks waver as US government shutdown ends

Stock markets wavered on Thursday after President Donald Trump signed a spending bill to end a record-long US government shutdown.Paris rose and Frankfurt fell in European midday deals.London dropped after data showed the UK economy slowed in the third quarter, dealing another blow to the Labour government ahead of its annual budget this month.Shares in luxury fashion label Burberry jumped around five percent on London’s top-tier FTSE 100 index after the British group narrowed first half losses thanks to sizeable cost-cutting.In Asia, Tokyo, Hong Kong, Shanghai, Seoul, Singapore, Mumbai, Manila, Bangkok and Jakarta all rose. Sydney, Wellington and Taipei fell.”The ending of the US government shutdown has sparked risk-on sentiment with US futures pointing to a higher open,” said Victoria Scholar, head of investment at Interactive Investor.Lawmakers in Washington voted on Wednesday to end the 43-day stoppage that closed key services and suspended the release of data crucial to gauging the state of the world’s top economy.Investors are bracing for long-awaited reports that have been held up by the closure, particularly as the Federal Reserve assesses whether to cut rates next months, as is expected.However, the White House said figures on jobs and consumer prices for October were not likely to be released as statistics agencies were unable to collect the necessary data.Concerns also mount that this year’s AI-led market rally may have pushed valuations too high and led to a bubble in the tech sector that could burst at any time.Wall Street stocks closed mostly higher Wednesday, with the Dow climbing to a fresh record amid speculation that traders are shifting from tech into industrials.Attention was also on Tokyo after Japanese Finance Minister Satsuki Katayama said on Wednesday the government was keeping an eye on currency markets as the yen weakened.The yen came under pressure following dovish comments from Japan’s central bank that tempered bets on another interest rate hike and as the United States moved towards reopening its government.Oil prices advanced after plunging around four percent on Wednesday as OPEC’s monthly crude market report forecast an oversupply in the third quarter.That came just a month after it had predicted a deficit in the period.The commodity has come under pressure amid easing tensions in the Middle East and increasing output by OPEC and other key producers. The International Energy Agency has estimated a record surplus in 2026.- Key figures at around 1100 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.5 percent at 9,866.25 pointsParis – CAC 40: UP 0.6 percent at 8,292.80Frankfurt – DAX: DOWN 0.5 percent at 24,264.33Tokyo – Nikkei 225: UP 0.4 percent at 51,281.83 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.6 percent at 27,073.03 (close)Shanghai – Composite: UP 0.7 percent at 4,029.50 (close)New York – Dow:  UP 0.7 percent at 48,254.82 (close)Dollar/yen: DOWN at 154.67 yen from 154.80 yen on WednesdayEuro/dollar: UP at $1.1618 from $1.1587 Pound/dollar: UP at $1.3154 from $1.3129Euro/pound: UP at 88.32 pence from 88.25 penceBrent North Sea Crude: UP 0.5 percent at $63.02 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.5 percent at $58.77 per barrel

Google to pay millions to South African news outlets: watchdogThu, 13 Nov 2025 11:19:45 GMT

Google will pay more than $40 million to support South African news media, many of them floundering in a digital age, the country’s competition authority said Thursday.Tech giants, including TikTok, X and Facebook, have come under fire for anti-trust practices that the watchdog says hurt local media by limiting their ability to distribute and profit …

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Attentats du 13-Novembre: la classe politique met en avant “l’unité” d’un pays qui “a tenu”

A l’occasion de la commémoration jeudi des dix ans des attentats du 13-Novembre 2015, l’ensemble de la classe politique a mis en avant “l’unité” d’un pays qui “a tenu face au terrorisme”. Voici les principales déclarations publiées sur X.L’ex-chef de l’Etat François Hollande”Rien ne s’oublie. Rien ne s’efface. (…) Mais la mémoire n’a de sens que si elle rappelle aux vivants leur obligation : défendre la liberté et la démocratie”, écrit celui qui était président de la République au moment des faits et est aujourd’hui redevenu député de Corrèze.Le Premier ministre Sébastien Lecornu”La première garantie, y compris pour que les services de l’Etat puissent faire preuve d’efficacité et de réactivité dans la protection de nos concitoyens (…), c’est de s’assurer de l’unité politique inébranlable vis-à-vis de celles et ceux qui incarnent à ce moment là l’Etat”, a relevé mercredi à l’Assemblée le chef du gouvernement.Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale”Rien n’effacera le 13 novembre. Rien n’affaiblira l’unité que nous devons aux victimes, à leurs proches, et à notre pays”.Gérard Larcher, président du Sénat”Le terrorisme a aujourd’hui changé de visage mais n’a pas disparu (…) La République doit rester plus que jamais mobilisée car il en va de son avenir”.Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l’Assemblée”Ce que nous voulons commémorer, c’est le souvenir d’une tragédie, du chagrin, et du lien indissoluble qui nous réunit en tant que peuple. Ce lien nous survivra non pas pour dix ans de plus, mais sans doute pour des siècles”.Olivier Faure, Premier secrétaire du PS”Les fanatiques de Daesh voulaient abattre nos libertés, éteindre notre goût de la fête, faire taire nos liesses, en finir avec la fraternité pour mieux fracturer notre pays. Nous avons tenu ensemble”.Bruno Retailleau, président des LR”Face à la menace terroriste qui perdure, face aux risques de la radicalisation et de l’entrisme islamiste nous devons rester unis, lucides et intraitables”.Jean-Luc Mélenchon, fondateur de LFI”La lutte sans faille contre le terrorisme ne doit jamais faiblir. Et ne jamais donner prise à la division de notre peuple que les assassins ont pour premier objectif”.Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes.”Notre mémoire collective se concentre de plus en plus sur le Bataclan, au détriment des autres lieux touchés (…) De Manuel Dias, le premier à tomber à Saint-Denis, aux blessés du Comptoir Voltaire, le dernier bar attaqué, toutes doivent être chéries dans nos cœurs et nos esprits”.

Nicolas Sarkozy rejugé dans le dossier du financement libyen du 16 mars au 3 juin

Nicolas Sarkozy retournera-t-il en prison ? L’ancien président, lourdement condamné en première instance et qui clame son innocence, jouera son avenir du 16 mars au 3 juin à l’occasion du procès en appel à Paris dans l’affaire du financement libyen.Les dates de ce nouveau procès ont été annoncées par la cour d’appel de Paris, à l’issue d’une réunion qui se tenait jeudi matin avec les avocats de l’ensemble des parties.Le 25 septembre, l’ancien chef de l’État, aujourd’hui âgé de 70 ans, a été condamné en première instance à cinq ans de prison avec mandat de dépôt assorti d’une exécution provisoire pour association de malfaiteurs, et à une amende de 100.000 euros. Il a aussitôt fait appel.Le tribunal correctionnel de Paris l’a reconnu coupable d’avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye du dictateur Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007. Celui qui clame son innocence depuis le début de l’affaire a été incarcéré pendant trois semaines à la prison de la Santé à Paris, une détention inédite pour un ex-président dans l’histoire de la République française et qui a suscité de vifs débats.Pour les juges, le mandat de dépôt avec exécution provisoire était justifié par la “gravité exceptionnelle” des faits. Pour Nicolas Sarkozy, il a été motivé par “la haine”.Il a été libéré sous contrôle judiciaire lundi par la cour d’appel de Paris, qui a estimé qu’il présentait des garanties de représentations suffisantes et ne risquait pas de fuir avant son procès en appel. La justice lui a toutefois imposé une interdiction de quitter la France, d’entrer en contact avec les autres prévenus et un certain nombre de personnes, et de façon plus inattendue avec le ministre de la Justice en exercice, actuellement Gérald Darmanin, ou tout membre de son cabinet ou cadre judiciaire susceptible de bénéficier d’informations sur les procédures.- Un seul prévenu encore incarcéré -A ses côtés, seront rejugées à partir de mi-mars neuf autres personnes. Parmi les prévenus figurent deux anciens proches collaborateurs de M. Sarkozy, Claude Guéant – condamné à six ans de prison mais sans mandat de dépôt – et Brice Hortefeux – qui a écopé pour sa part de deux ans de prison, une peine à effectuer sous bracelet à domicile assortie de l’exécution provisoire.Autre prévenu à être rejugé, l’intermédiaire Alexandre Djouhri, condamné à six ans de prison et trois millions d’euros d’amende en première instance, et incarcéré depuis.Le tribunal correctionnel de Paris a par ailleurs prononcé le 25 septembre l’extinction de l’action publique pour l’intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine, mort deux jours plus tôt au Liban, et pour un autre  ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, Thierry Gaubert, qui avait déjà été condamné pour les mêmes faits dans une procédure distincte. Il a aussi relaxé trois personnes, Eric Woerth, ancien ministre du Travail et du Budget sous Nicolas Sarkozy, et qui fut le trésorier de sa campagne présidentielle de 2007; Edouard Ullmo, un ancien vice-président exécutif d’Airbus; et le Saoudien Ahmed Bugshan, frère d’un autre prévenu, Khalid Bugshan, condamné pour sa part par défaut à trois ans de prison et 4 millions d’euros d’amende.Mais le parquet national financier (PNF) a interjeté appel pour l’ensemble des prévenus, à l’exception d’Ahmed Bugshan.Lundi, quelques heures après sa sortie de prison, Nicolas Sarkozy a indiqué sur le réseau social X qu’il allait préparer son procès en appel, afin de prouver son innocence. “La vérité triomphera”, a-t-il assuré.D’ici là, une autre échéance judiciaire capitale l’attend.Déjà condamné définitivement dans l’affaire des écoutes, l’ancien président saura le 26 novembre si la Cour de cassation valide ou non sa condamnation en appel dans l’affaire Bygmalion, à un an d’emprisonnement dont six mois ferme aménageables pour le financement illégal de sa campagne présidentielle perdue de 2012.

Nicolas Sarkozy rejugé dans le dossier du financement libyen du 16 mars au 3 juin

Nicolas Sarkozy retournera-t-il en prison ? L’ancien président, lourdement condamné en première instance et qui clame son innocence, jouera son avenir du 16 mars au 3 juin à l’occasion du procès en appel à Paris dans l’affaire du financement libyen.Les dates de ce nouveau procès ont été annoncées par la cour d’appel de Paris, à l’issue d’une réunion qui se tenait jeudi matin avec les avocats de l’ensemble des parties.Le 25 septembre, l’ancien chef de l’État, aujourd’hui âgé de 70 ans, a été condamné en première instance à cinq ans de prison avec mandat de dépôt assorti d’une exécution provisoire pour association de malfaiteurs, et à une amende de 100.000 euros. Il a aussitôt fait appel.Le tribunal correctionnel de Paris l’a reconnu coupable d’avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye du dictateur Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007. Celui qui clame son innocence depuis le début de l’affaire a été incarcéré pendant trois semaines à la prison de la Santé à Paris, une détention inédite pour un ex-président dans l’histoire de la République française et qui a suscité de vifs débats.Pour les juges, le mandat de dépôt avec exécution provisoire était justifié par la “gravité exceptionnelle” des faits. Pour Nicolas Sarkozy, il a été motivé par “la haine”.Il a été libéré sous contrôle judiciaire lundi par la cour d’appel de Paris, qui a estimé qu’il présentait des garanties de représentations suffisantes et ne risquait pas de fuir avant son procès en appel. La justice lui a toutefois imposé une interdiction de quitter la France, d’entrer en contact avec les autres prévenus et un certain nombre de personnes, et de façon plus inattendue avec le ministre de la Justice en exercice, actuellement Gérald Darmanin, ou tout membre de son cabinet ou cadre judiciaire susceptible de bénéficier d’informations sur les procédures.- Un seul prévenu encore incarcéré -A ses côtés, seront rejugées à partir de mi-mars neuf autres personnes. Parmi les prévenus figurent deux anciens proches collaborateurs de M. Sarkozy, Claude Guéant – condamné à six ans de prison mais sans mandat de dépôt – et Brice Hortefeux – qui a écopé pour sa part de deux ans de prison, une peine à effectuer sous bracelet à domicile assortie de l’exécution provisoire.Autre prévenu à être rejugé, l’intermédiaire Alexandre Djouhri, condamné à six ans de prison et trois millions d’euros d’amende en première instance, et incarcéré depuis.Le tribunal correctionnel de Paris a par ailleurs prononcé le 25 septembre l’extinction de l’action publique pour l’intermédiaire franco-libanais Ziad Takieddine, mort deux jours plus tôt au Liban, et pour un autre  ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, Thierry Gaubert, qui avait déjà été condamné pour les mêmes faits dans une procédure distincte. Il a aussi relaxé trois personnes, Eric Woerth, ancien ministre du Travail et du Budget sous Nicolas Sarkozy, et qui fut le trésorier de sa campagne présidentielle de 2007; Edouard Ullmo, un ancien vice-président exécutif d’Airbus; et le Saoudien Ahmed Bugshan, frère d’un autre prévenu, Khalid Bugshan, condamné pour sa part par défaut à trois ans de prison et 4 millions d’euros d’amende.Mais le parquet national financier (PNF) a interjeté appel pour l’ensemble des prévenus, à l’exception d’Ahmed Bugshan.Lundi, quelques heures après sa sortie de prison, Nicolas Sarkozy a indiqué sur le réseau social X qu’il allait préparer son procès en appel, afin de prouver son innocence. “La vérité triomphera”, a-t-il assuré.D’ici là, une autre échéance judiciaire capitale l’attend.Déjà condamné définitivement dans l’affaire des écoutes, l’ancien président saura le 26 novembre si la Cour de cassation valide ou non sa condamnation en appel dans l’affaire Bygmalion, à un an d’emprisonnement dont six mois ferme aménageables pour le financement illégal de sa campagne présidentielle perdue de 2012.