LFI déposera une motion de censure à l’Assemblée contre Sébastien Lecornu

La France insoumise déposera “dès le premier jour de la session parlementaire à l’Assemblée nationale” une motion de censure spontanée contre le gouvernement du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, a indiqué mercredi le coordinateur du mouvement Manuel Bompard sur RMC et BFMTV.Si Sébastien Lecornu ne demande pas la confiance de l’Assemblée, “dès le premier jour de la session parlementaire à l’Assemblée nationale, nous déposerons une motion de censure sur la base de l’article 49.2 de la Constitution”, a dit Manuel Bompard, dénonçant une nomination qui s’apparente pour lui à un “déni de démocratie”.Si cette motion de censure était votée par l’ensemble de la gauche et le Rassemblement national, elle renverserait le gouvernement du nouveau Premier ministre.”Les Français ont dit +On est en désaccord avec la politique d’Emmanuel Macron+. Il a quand même décidé de ne pas tenir compte du résultat, de continuer à imposer sa politique, ça fait maintenant à deux reprises que l’Assemblée nationale a censuré ses gouvernements et il continue dans la même direction. Donc, je trouve qu’il y a là évidemment quelque chose de totalement inacceptable, de totalement méprisant”, a argué le député des Bouches-du-Rhône.”Monsieur Barnier est tombé sur la base d’une motion de censure déposée en vertu de l’article 49.3 de la Constitution. Monsieur Bayrou est tombé, après avoir demandé un vote de confiance, sur l’article 49.1 de la Constitution. Et là encore, j’ai l’impression que Monsieur Macron veut faire le tour de tous les articles de la Constitution, et peut-être que Monsieur Lecornu tombera sur la base de l’article 49.2 de la Constitution”, a étayé le bras droit de Jean-Luc Mélenchon sur BFMTV et RMC.

LFI déposera une motion de censure à l’Assemblée contre Sébastien Lecornu

La France insoumise déposera “dès le premier jour de la session parlementaire à l’Assemblée nationale” une motion de censure spontanée contre le gouvernement du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, a indiqué mercredi le coordinateur du mouvement Manuel Bompard sur RMC et BFMTV.Si Sébastien Lecornu ne demande pas la confiance de l’Assemblée, “dès le premier jour de la session parlementaire à l’Assemblée nationale, nous déposerons une motion de censure sur la base de l’article 49.2 de la Constitution”, a dit Manuel Bompard, dénonçant une nomination qui s’apparente pour lui à un “déni de démocratie”.Si cette motion de censure était votée par l’ensemble de la gauche et le Rassemblement national, elle renverserait le gouvernement du nouveau Premier ministre.”Les Français ont dit +On est en désaccord avec la politique d’Emmanuel Macron+. Il a quand même décidé de ne pas tenir compte du résultat, de continuer à imposer sa politique, ça fait maintenant à deux reprises que l’Assemblée nationale a censuré ses gouvernements et il continue dans la même direction. Donc, je trouve qu’il y a là évidemment quelque chose de totalement inacceptable, de totalement méprisant”, a argué le député des Bouches-du-Rhône.”Monsieur Barnier est tombé sur la base d’une motion de censure déposée en vertu de l’article 49.3 de la Constitution. Monsieur Bayrou est tombé, après avoir demandé un vote de confiance, sur l’article 49.1 de la Constitution. Et là encore, j’ai l’impression que Monsieur Macron veut faire le tour de tous les articles de la Constitution, et peut-être que Monsieur Lecornu tombera sur la base de l’article 49.2 de la Constitution”, a étayé le bras droit de Jean-Luc Mélenchon sur BFMTV et RMC.

Les Bourses européennes ouvrent en hausse

Les Bourses européennes ont ouvert en hausse mercredi, emboîtant le pas à Wall Street au lendemain d’un triple record pour les indices américains, dans un marché soutenu par les anticipations de baisses des taux de la Réserve fédérale (Fed).La Bourse de Paris a ouvert en hausse de 0,32%, Londres de 0,22% et Francfort de 0,50%.

“Bloquons tout”: 75 interpellations dans l’agglomération parisienne

Plusieurs actions et 75 interpellations, selon la police, ont été dénombrées mercredi matin dans l’agglomération parisienne notamment à la suite de blocages ou tentatives de blocage du périphérique dans le cadre de la mobilisation “Bloquons tout”, a-t-on appris auprès de la Préfecture de police.Les forces de l’ordre ont procédé à 75 interpellations dans l’agglomération parisienne, selon des chiffres transmis à l’AFP par la préfecture de police vers 08H30.Quelque 6.000 policiers et gendarmes sont mobilisés dans la capitale, où différentes actions ont été constatées par des journalistes de l’AFP. A l’aube, une centaine de jeunes militants de la mouvance autonome a bloqué un dépôt de bus dans le 18e arrondissement de Paris, avant l’intervention des forces de l’ordre autour de 06H15 avec des gaz lacrymogènes, a constaté une journaliste de l’AFP. Aux alentours de 07H00, une cinquantaine de jeunes vêtus de noir et le visage masqué a ensuite brièvement bloqué le périphérique parisien à hauteur de la porte de Clignancourt, érigeant une barricade à l’aide de blocs de béton, puis se dispersant rapidement avant l’arrivée des forces de l’ordre. Vers 07H20, les policiers procédaient au déblaiement de la chaussée, l’action ayant provoqué un important bouchon, d’après la journaliste de l’AFP.Porte de Bagnolet, une unité des forces de l’ordre a interpellé vers 06H30 plusieurs jeunes manifestants descendus sur le périphérique, a constaté une journaliste de l’AFP.Des manifestants ont également tenté de bloquer la porte de Montreuil, à l’est de Paris, vers 07H30. Les forces de l’ordre sont rapidement intervenues, faisant notamment usage de gaz lacrymogènes. Une trentaine de motos de la Brav-M (brigade de la répression de l’action violente motorisée) est entrée sur le périphérique dans les deux sens, selon une reporter de l’AFP.Les pompiers de Paris sont intervenus porte de Bagnolet et porte de Montreuil pour éteindre des feux de barricades, ont-ils indiqué à l’AFP. Plusieurs lycées parisiens ont fait l’objet de blocages ou tentatives de blocages, comme les lycées Henri-IV et Lavoisier dans le 5e arrondissement, ou le lycée Voltaire dans le 11e, d’après des journalistes sur place.   Des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre ont été observés autour du lycée Hélène Boucher dans le 20e arrondissement, avec barricades, jets de projectiles, poubelles et vélos calcinés.sc-ch-mk-dmv-slb/asl/pta

Young Ivorian workers snub Abidjan to settle in rural westWed, 10 Sep 2025 06:50:42 GMT

Abou Fofana spent his student years making the most of the opportunities on offer in Abidjan, Ivory Coast’s bustling economic capital of six million people.But after finishing his studies and newly qualified in farming, the 33-year-old decided to move back to his hometown in the country’s west.Sangouine, a fraction of Abidjan’s size with 63,000 inhabitants, …

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Deal avec Trump: von der Leyen attendue au tournant au Parlement européen

Les eurodéputés attendent des explications de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen mercredi à Strasbourg sur l’accord commercial avec Donald Trump qui laisse nombre d’entre eux amers.Elle devrait aussi s’exprimer sur la situation géopolitique particulièrement tendue, après des opérations de la Pologne d’interception de drones “hostiles” entrés dans son espace aérien au cours d’une attaque russe contre l’Ukraine voisine.Sur l’accord commercial avec Trump, la cheffe de l’exécutif européen aura fort à faire pour rassurer les parlementaires lors de ce traditionnel “discours sur l’état de l’Union” durant lequel elle doit présenter ses grandes orientations politiques.”C’est une rentrée difficile. L’Europe est perçue comme assez faible”, convient une source au sein de la Commission. Mais “sur Trump, le juge de paix, ce n’est pas l’accord, c’est l’après. S’il ne respecte pas l’accord, il faudra être très dur”, insiste ce responsable, sous couvert d’anonymat.La fébrilité reste de mise à Strasbourg comme à Bruxelles plus d’un mois après la poignée de main entre Donald Trump et Ursula von der Leyen.D’autant que le milliardaire américain multiplie les menaces contre la législation européenne sur le numérique, dont l’amende géante infligée par la Commission européenne à Google vendredi, qu’il a fustigée.Ursula von der Leyen aura “probablement un ton plus offensif” pour “essayer de faire passer la pilule, de vendre son accord” aux eurodéputés, grince Marina Mesure, membre du groupe de la gauche radicale.- “Humiliation” -Le Parlement européen a très mal accueilli ce “deal” avec Donald Trump scellé fin juillet: 15% de taxes américaines avec des exceptions pour des produits de l’UE comme l’aéronautique, assorties de promesses de l’Europe d’acheter massivement de l’énergie américaine et de réduire des taxes sur une série de produits made in USA.”Tout le monde s’accorde sur le fait que c’est un mauvais deal” qui “traduit la faiblesse de l’Europe”, tranche la cheffe du groupe centriste Valérie Hayer. Mais Ursula von der Leyen avait un “mandat” d’Etats membres comme l’Allemagne et l’Italie, et les industriels voulaient de la prévisibilité pour les mois qui viennent, reconnaît-elle.Plus de la moitié des Européens (52%) ont ressenti de “l’humiliation” avec cet accord, selon un sondage publié dans le média Le Grand Continent et réalisé par l’institut Cluster17 dans cinq pays.Les eurodéputés devront se prononcer dans les semaines qui viennent sur l’un des volets de l’accord, la baisse des taxes européennes. Les centristes entretiennent le suspense et les sociaux-démocrates menacent de voter contre.L’argument “selon lequel un mauvais accord vaut mieux que rien du tout est totalement inacceptable”, a tonné mardi la cheffe du groupe social-démocrate, Iratxe Garcia Pérez.La droite, dont est issue Ursula von der Leyen, assume quant à elle un vote en faveur de cet accord, même à contrecœur. Les droits de douane, “ça ne nous fait pas plaisir”, mais il faut de la stabilité et s’adapter à la “réalité” voulue par le président américain, a défendu le chef du Parti populaire européen (PPE), Manfred Weber.Même position chez les eurodéputés italiens du parti de Giorgia Meloni, qui siègent dans l’un des trois groupes d’extrême droite du Parlement.En matière diplomatique, Ursula von der Leyen sera également très attendue sur la guerre à Gaza, au lendemain de raids israéliens au Qatar visant des responsables du Hamas, mouvement islamiste palestinien.Depuis des mois, l’Union européenne semble paralysée diplomatiquement tant ses divisions sont nombreuses.Les dissonances se manifestent jusqu’au sein de la Commission, où la socialiste espagnole Teresa Ribera a qualifié la situation à Gaza de “génocide”, déplorant l’inaction des 27 Etats membres.”Débattre des mots divise l’Europe. Ca ne nous aide pas, ça ne nous apporte pas plus de crédibilité”, lui a rétorqué Manfred Weber.Sur le dossier ukrainien, Ursula von der Leyen ne manquera pas à l’inverse de souligner la mobilisation des Européens.Une série de pays dont la France et l’Allemagne ont promis des garanties de sécurité à Kiev si le conflit avec la Russie s’arrête: un soutien militaire au sol, en mer ou dans les airs afin de dissuader Moscou d’attaquer à nouveau.En attendant, l’UE prépare un 19e paquet de sanctions, qui pourrait cibler certains pays achetant des hydrocarbures russes, selon des diplomates à Bruxelles.

Deal avec Trump: von der Leyen attendue au tournant au Parlement européen

Les eurodéputés attendent des explications de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen mercredi à Strasbourg sur l’accord commercial avec Donald Trump qui laisse nombre d’entre eux amers.Elle devrait aussi s’exprimer sur la situation géopolitique particulièrement tendue, après des opérations de la Pologne d’interception de drones “hostiles” entrés dans son espace aérien au cours d’une attaque russe contre l’Ukraine voisine.Sur l’accord commercial avec Trump, la cheffe de l’exécutif européen aura fort à faire pour rassurer les parlementaires lors de ce traditionnel “discours sur l’état de l’Union” durant lequel elle doit présenter ses grandes orientations politiques.”C’est une rentrée difficile. L’Europe est perçue comme assez faible”, convient une source au sein de la Commission. Mais “sur Trump, le juge de paix, ce n’est pas l’accord, c’est l’après. S’il ne respecte pas l’accord, il faudra être très dur”, insiste ce responsable, sous couvert d’anonymat.La fébrilité reste de mise à Strasbourg comme à Bruxelles plus d’un mois après la poignée de main entre Donald Trump et Ursula von der Leyen.D’autant que le milliardaire américain multiplie les menaces contre la législation européenne sur le numérique, dont l’amende géante infligée par la Commission européenne à Google vendredi, qu’il a fustigée.Ursula von der Leyen aura “probablement un ton plus offensif” pour “essayer de faire passer la pilule, de vendre son accord” aux eurodéputés, grince Marina Mesure, membre du groupe de la gauche radicale.- “Humiliation” -Le Parlement européen a très mal accueilli ce “deal” avec Donald Trump scellé fin juillet: 15% de taxes américaines avec des exceptions pour des produits de l’UE comme l’aéronautique, assorties de promesses de l’Europe d’acheter massivement de l’énergie américaine et de réduire des taxes sur une série de produits made in USA.”Tout le monde s’accorde sur le fait que c’est un mauvais deal” qui “traduit la faiblesse de l’Europe”, tranche la cheffe du groupe centriste Valérie Hayer. Mais Ursula von der Leyen avait un “mandat” d’Etats membres comme l’Allemagne et l’Italie, et les industriels voulaient de la prévisibilité pour les mois qui viennent, reconnaît-elle.Plus de la moitié des Européens (52%) ont ressenti de “l’humiliation” avec cet accord, selon un sondage publié dans le média Le Grand Continent et réalisé par l’institut Cluster17 dans cinq pays.Les eurodéputés devront se prononcer dans les semaines qui viennent sur l’un des volets de l’accord, la baisse des taxes européennes. Les centristes entretiennent le suspense et les sociaux-démocrates menacent de voter contre.L’argument “selon lequel un mauvais accord vaut mieux que rien du tout est totalement inacceptable”, a tonné mardi la cheffe du groupe social-démocrate, Iratxe Garcia Pérez.La droite, dont est issue Ursula von der Leyen, assume quant à elle un vote en faveur de cet accord, même à contrecœur. Les droits de douane, “ça ne nous fait pas plaisir”, mais il faut de la stabilité et s’adapter à la “réalité” voulue par le président américain, a défendu le chef du Parti populaire européen (PPE), Manfred Weber.Même position chez les eurodéputés italiens du parti de Giorgia Meloni, qui siègent dans l’un des trois groupes d’extrême droite du Parlement.En matière diplomatique, Ursula von der Leyen sera également très attendue sur la guerre à Gaza, au lendemain de raids israéliens au Qatar visant des responsables du Hamas, mouvement islamiste palestinien.Depuis des mois, l’Union européenne semble paralysée diplomatiquement tant ses divisions sont nombreuses.Les dissonances se manifestent jusqu’au sein de la Commission, où la socialiste espagnole Teresa Ribera a qualifié la situation à Gaza de “génocide”, déplorant l’inaction des 27 Etats membres.”Débattre des mots divise l’Europe. Ca ne nous aide pas, ça ne nous apporte pas plus de crédibilité”, lui a rétorqué Manfred Weber.Sur le dossier ukrainien, Ursula von der Leyen ne manquera pas à l’inverse de souligner la mobilisation des Européens.Une série de pays dont la France et l’Allemagne ont promis des garanties de sécurité à Kiev si le conflit avec la Russie s’arrête: un soutien militaire au sol, en mer ou dans les airs afin de dissuader Moscou d’attaquer à nouveau.En attendant, l’UE prépare un 19e paquet de sanctions, qui pourrait cibler certains pays achetant des hydrocarbures russes, selon des diplomates à Bruxelles.

Deal avec Trump: von der Leyen attendue au tournant au Parlement européen

Les eurodéputés attendent des explications de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen mercredi à Strasbourg sur l’accord commercial avec Donald Trump qui laisse nombre d’entre eux amers.Elle devrait aussi s’exprimer sur la situation géopolitique particulièrement tendue, après des opérations de la Pologne d’interception de drones “hostiles” entrés dans son espace aérien au cours d’une attaque russe contre l’Ukraine voisine.Sur l’accord commercial avec Trump, la cheffe de l’exécutif européen aura fort à faire pour rassurer les parlementaires lors de ce traditionnel “discours sur l’état de l’Union” durant lequel elle doit présenter ses grandes orientations politiques.”C’est une rentrée difficile. L’Europe est perçue comme assez faible”, convient une source au sein de la Commission. Mais “sur Trump, le juge de paix, ce n’est pas l’accord, c’est l’après. S’il ne respecte pas l’accord, il faudra être très dur”, insiste ce responsable, sous couvert d’anonymat.La fébrilité reste de mise à Strasbourg comme à Bruxelles plus d’un mois après la poignée de main entre Donald Trump et Ursula von der Leyen.D’autant que le milliardaire américain multiplie les menaces contre la législation européenne sur le numérique, dont l’amende géante infligée par la Commission européenne à Google vendredi, qu’il a fustigée.Ursula von der Leyen aura “probablement un ton plus offensif” pour “essayer de faire passer la pilule, de vendre son accord” aux eurodéputés, grince Marina Mesure, membre du groupe de la gauche radicale.- “Humiliation” -Le Parlement européen a très mal accueilli ce “deal” avec Donald Trump scellé fin juillet: 15% de taxes américaines avec des exceptions pour des produits de l’UE comme l’aéronautique, assorties de promesses de l’Europe d’acheter massivement de l’énergie américaine et de réduire des taxes sur une série de produits made in USA.”Tout le monde s’accorde sur le fait que c’est un mauvais deal” qui “traduit la faiblesse de l’Europe”, tranche la cheffe du groupe centriste Valérie Hayer. Mais Ursula von der Leyen avait un “mandat” d’Etats membres comme l’Allemagne et l’Italie, et les industriels voulaient de la prévisibilité pour les mois qui viennent, reconnaît-elle.Plus de la moitié des Européens (52%) ont ressenti de “l’humiliation” avec cet accord, selon un sondage publié dans le média Le Grand Continent et réalisé par l’institut Cluster17 dans cinq pays.Les eurodéputés devront se prononcer dans les semaines qui viennent sur l’un des volets de l’accord, la baisse des taxes européennes. Les centristes entretiennent le suspense et les sociaux-démocrates menacent de voter contre.L’argument “selon lequel un mauvais accord vaut mieux que rien du tout est totalement inacceptable”, a tonné mardi la cheffe du groupe social-démocrate, Iratxe Garcia Pérez.La droite, dont est issue Ursula von der Leyen, assume quant à elle un vote en faveur de cet accord, même à contrecœur. Les droits de douane, “ça ne nous fait pas plaisir”, mais il faut de la stabilité et s’adapter à la “réalité” voulue par le président américain, a défendu le chef du Parti populaire européen (PPE), Manfred Weber.Même position chez les eurodéputés italiens du parti de Giorgia Meloni, qui siègent dans l’un des trois groupes d’extrême droite du Parlement.En matière diplomatique, Ursula von der Leyen sera également très attendue sur la guerre à Gaza, au lendemain de raids israéliens au Qatar visant des responsables du Hamas, mouvement islamiste palestinien.Depuis des mois, l’Union européenne semble paralysée diplomatiquement tant ses divisions sont nombreuses.Les dissonances se manifestent jusqu’au sein de la Commission, où la socialiste espagnole Teresa Ribera a qualifié la situation à Gaza de “génocide”, déplorant l’inaction des 27 Etats membres.”Débattre des mots divise l’Europe. Ca ne nous aide pas, ça ne nous apporte pas plus de crédibilité”, lui a rétorqué Manfred Weber.Sur le dossier ukrainien, Ursula von der Leyen ne manquera pas à l’inverse de souligner la mobilisation des Européens.Une série de pays dont la France et l’Allemagne ont promis des garanties de sécurité à Kiev si le conflit avec la Russie s’arrête: un soutien militaire au sol, en mer ou dans les airs afin de dissuader Moscou d’attaquer à nouveau.En attendant, l’UE prépare un 19e paquet de sanctions, qui pourrait cibler certains pays achetant des hydrocarbures russes, selon des diplomates à Bruxelles.

Anger, fear as gang violence explodes in Cape TownWed, 10 Sep 2025 06:34:22 GMT

A streak of killings in South Africa’s dangerous ganglands in Cape Town has led communities to demand protection as city officials say they lack the resources to stop the violence.”One gangster, one bullet,” scores chanted at a recent march led by an anti-gang group in the sprawling Cape Flats area after authorities recorded 59 murders …

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