Jane Goodall honored in Washington by conservationists including DiCaprio

Environmental conservationists, including actor Leonardo DiCaprio and representatives of Indigenous communities, gathered in the US capital Wednesday to pay a heartfelt tribute to the celebrated primatologist Jane Goodall.Goodall, who died in October at age 91, transformed the study of chimpanzees and over her decades-long career became one of the world’s most revered wildlife advocates.”May we all honor her by carrying forward that same fierce belief that we can do better, that we must do better and that we have a responsibility to protect this beautiful natural world we all share,” DiCaprio said in his remarks at the Washington National Cathedral service.Goodall could be clear-eyed and blunt “about the greed and relentless consumption of our species,” the Hollywood star said of his late friend.”But beneath that fierce honesty was an unwavering faith that every voice matters, that we are all connected to the living world, and that each of us can make a difference,” DiCaprio said. Family members, loved ones and figures in her circle attended the ceremony in honor of the late British environmental activist, who died in Los Angeles while on a speaking tour.Navajo Nation member DeWayne “Dee” Crank said Goodall’s “lifelong advocacy reflects a harmony with Navajo beliefs, and stands as “a reminder that humanity’s strength lies in its respect for all living things and in our responsibility to protect the Earth for future generations.”Some people carried plush chimpanzees — a nod to Goodall’s groundbreaking research.And therapy dogs greeted attendees at the cathedral’s steps.In 1977 the luminary founded the Jane Goodall Institute — headquartered in Washington — to further research and conservation of chimpanzees. In 1991 she launched Roots & Shoots, a youth-led environmental program that today operates in more than 60 countries.Goodall wrote dozens of books, appeared in documentaries, and earned numerous honors, among them being made a Dame Commander by Britain and receiving the US Presidential Medal of Freedom from then-president Joe Biden.”She constantly reminded us that life was full of wonders, an interconnected tapestry of diverse creatures,” her grandson Merlin van Lawick said during his eulogy.”We promise to carry forth your light.”

A Toulouse Macron présente sa stratégie pour un espace “devenu champ de bataille”

Le président Emmanuel Macron a achevé mercredi un déplacement à Toulouse par la présentation de la stratégie française pour un espace “devenu un champ de bataille”, dernier chapitre d’une visite chargée où il a lancé un cycle de débats sur les réseaux sociaux et tenté d’apaiser les agriculteurs.”L’espace n’est plus un sanctuaire, c’est devenu un champ de bataille”, a souligné le chef de l’Etat, dans les nouveaux locaux du Commandement militaire de l’Espace installé depuis l’été dernier à Toulouse, qu’il était venu inaugurer, alors qu’à Paris, la suspension de sa réforme phare des retraites a été entérinée à l’Assemblée nationale.Persuadé que “la guerre d’aujourd’hui se joue déjà dans l’espace” et que “la guerre de demain commencera dans l’espace”, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité pour la France et l’Europe de défendre avec force leurs positions dans ce secteur.A cet égard, le président a annoncé une rallonge de 4,2 milliards d’euros supplémentaires au spatial militaire d’ici 2030 dans le cadre de l’actualisation de la loi de programmation militaire.Dans une Europe spatiale “fragile”, il a aussi estimé qu’il fallait “pousser nos champions européens pour qu’ils soient compétitifs sur le marché mondial”.- Lanceurs réutilisables -Parmi les priorités affichées pour la stratégie spatiale française, Emmanuel Macron a évoqué son souhait de “développer les futurs lanceurs autour de la réutilisation, la propulsion à bas coût, la motorisation à forte poussée qui sont les éléments de rupture et d’avancée technologique que nous avons identifiés”.Emmanuel Macron a martelé: “dépendre d’une grande puissance tierce ou d’un quelconque magnat du spatial c’est hors de question”, ajoutant: “suivez mon regard”, dans une claire allusion à Elon Musk. Il faut “faire monter en cadence l’exploitation d’Ariane 6 dont la compétitivité doit être améliorée”, a par ailleurs souligné M. Macron qui souhaite “moderniser la base de Kourou pour en faire un lieu agile, ouvert aux petits lanceurs et aux partenaires étrangers”.Avant de débuter ce chapitre consacré au spatial, M. Macron a salué la libération annoncée de l’écrivain Boualem Sansal, remerciant Alger ainsi que l’Allemagne pour son rôle joué dans ce dossier.- Mercosur: “non très ferme” -Auparavant, le chef de l’Etat a dit clairement à une délégation d’agriculteurs que le projet d’accord de libre échange entre l’UE et le Mercosur “tel qu’il existe aujourd’hui, recueillera un non très ferme de la France” en l’absence de clauses de sauvegarde, de “mesures miroirs” ou encore de “contrôles aux frontières”, a rapporté la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, à la fin de l’entretien auquel elle a également participé.Les agriculteurs mobilisés ont accueilli de manière relativement positive la clarification des exigences de la France sur le projet d’accord, tout en restant très critiques sur son contenu. D’autres mesures, sur une diminution de la taxation sur les importations d’engrais par exemple ou sur les questions spécifiquement régionales liées à l’impact du réchauffement climatique en Occitanie, ont été saluées par la FNSEA qui avec les Jeunes Agriculteurs avait appelé à manifester.Le déplacement toulousain du président a d’abord été dédié au lancement d’un cycle de débats citoyens avec la presse quotidienne régionale, Emmanuel Macron affirmant vouloir “sonner le tocsin” sur le risque que font peser les réseaux sociaux sur la démocratie française.- “Far west” -“Il n’y a pas de liberté sans responsabilité”, a-t-il martelé, n’hésitant pas à comparer les réseaux sociaux au “far west” devant 300 personnes réunies au siège du quotidien régional La Dépêche du Midi. Le président Macron, en retrait sur la scène politique intérieure depuis la dissolution ratée de 2024, entend faire des effets néfastes des écrans et des réseaux sociaux son nouveau cheval de bataille dans la dernière ligne droite du quinquennat.”L’objectif, c’est d’aller vers des décisions concrètes au début de l’année 2026″, a-t-il souligné, prônant notamment un “âge de majorité numérique”, vers 15 ans en France. A la manière des débats de l’époque des gilets jaunes, le chef de l’Etat, au centre d’un cercle de six rangées de sièges, a même admis qu’il n’excluait pas de sortir de certains réseaux, dont X, mais précisé qu’il ne le ferait pas “demain matin” car “la priorité c’est d’abord de mener la bataille en interne”.Le prochain débat citoyen similaire doit avoir lieu le 19 novembre, avec le quotidien La Voix du Nord.

A Toulouse Macron présente sa stratégie pour un espace “devenu champ de bataille”

Le président Emmanuel Macron a achevé mercredi un déplacement à Toulouse par la présentation de la stratégie française pour un espace “devenu un champ de bataille”, dernier chapitre d’une visite chargée où il a lancé un cycle de débats sur les réseaux sociaux et tenté d’apaiser les agriculteurs.”L’espace n’est plus un sanctuaire, c’est devenu un champ de bataille”, a souligné le chef de l’Etat, dans les nouveaux locaux du Commandement militaire de l’Espace installé depuis l’été dernier à Toulouse, qu’il était venu inaugurer, alors qu’à Paris, la suspension de sa réforme phare des retraites a été entérinée à l’Assemblée nationale.Persuadé que “la guerre d’aujourd’hui se joue déjà dans l’espace” et que “la guerre de demain commencera dans l’espace”, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité pour la France et l’Europe de défendre avec force leurs positions dans ce secteur.A cet égard, le président a annoncé une rallonge de 4,2 milliards d’euros supplémentaires au spatial militaire d’ici 2030 dans le cadre de l’actualisation de la loi de programmation militaire.Dans une Europe spatiale “fragile”, il a aussi estimé qu’il fallait “pousser nos champions européens pour qu’ils soient compétitifs sur le marché mondial”.- Lanceurs réutilisables -Parmi les priorités affichées pour la stratégie spatiale française, Emmanuel Macron a évoqué son souhait de “développer les futurs lanceurs autour de la réutilisation, la propulsion à bas coût, la motorisation à forte poussée qui sont les éléments de rupture et d’avancée technologique que nous avons identifiés”.Emmanuel Macron a martelé: “dépendre d’une grande puissance tierce ou d’un quelconque magnat du spatial c’est hors de question”, ajoutant: “suivez mon regard”, dans une claire allusion à Elon Musk. Il faut “faire monter en cadence l’exploitation d’Ariane 6 dont la compétitivité doit être améliorée”, a par ailleurs souligné M. Macron qui souhaite “moderniser la base de Kourou pour en faire un lieu agile, ouvert aux petits lanceurs et aux partenaires étrangers”.Avant de débuter ce chapitre consacré au spatial, M. Macron a salué la libération annoncée de l’écrivain Boualem Sansal, remerciant Alger ainsi que l’Allemagne pour son rôle joué dans ce dossier.- Mercosur: “non très ferme” -Auparavant, le chef de l’Etat a dit clairement à une délégation d’agriculteurs que le projet d’accord de libre échange entre l’UE et le Mercosur “tel qu’il existe aujourd’hui, recueillera un non très ferme de la France” en l’absence de clauses de sauvegarde, de “mesures miroirs” ou encore de “contrôles aux frontières”, a rapporté la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, à la fin de l’entretien auquel elle a également participé.Les agriculteurs mobilisés ont accueilli de manière relativement positive la clarification des exigences de la France sur le projet d’accord, tout en restant très critiques sur son contenu. D’autres mesures, sur une diminution de la taxation sur les importations d’engrais par exemple ou sur les questions spécifiquement régionales liées à l’impact du réchauffement climatique en Occitanie, ont été saluées par la FNSEA qui avec les Jeunes Agriculteurs avait appelé à manifester.Le déplacement toulousain du président a d’abord été dédié au lancement d’un cycle de débats citoyens avec la presse quotidienne régionale, Emmanuel Macron affirmant vouloir “sonner le tocsin” sur le risque que font peser les réseaux sociaux sur la démocratie française.- “Far west” -“Il n’y a pas de liberté sans responsabilité”, a-t-il martelé, n’hésitant pas à comparer les réseaux sociaux au “far west” devant 300 personnes réunies au siège du quotidien régional La Dépêche du Midi. Le président Macron, en retrait sur la scène politique intérieure depuis la dissolution ratée de 2024, entend faire des effets néfastes des écrans et des réseaux sociaux son nouveau cheval de bataille dans la dernière ligne droite du quinquennat.”L’objectif, c’est d’aller vers des décisions concrètes au début de l’année 2026″, a-t-il souligné, prônant notamment un “âge de majorité numérique”, vers 15 ans en France. A la manière des débats de l’époque des gilets jaunes, le chef de l’Etat, au centre d’un cercle de six rangées de sièges, a même admis qu’il n’excluait pas de sortir de certains réseaux, dont X, mais précisé qu’il ne le ferait pas “demain matin” car “la priorité c’est d’abord de mener la bataille en interne”.Le prochain débat citoyen similaire doit avoir lieu le 19 novembre, avec le quotidien La Voix du Nord.

A Toulouse Macron présente sa stratégie pour un espace “devenu champ de bataille”

Le président Emmanuel Macron a achevé mercredi un déplacement à Toulouse par la présentation de la stratégie française pour un espace “devenu un champ de bataille”, dernier chapitre d’une visite chargée où il a lancé un cycle de débats sur les réseaux sociaux et tenté d’apaiser les agriculteurs.”L’espace n’est plus un sanctuaire, c’est devenu un champ de bataille”, a souligné le chef de l’Etat, dans les nouveaux locaux du Commandement militaire de l’Espace installé depuis l’été dernier à Toulouse, qu’il était venu inaugurer, alors qu’à Paris, la suspension de sa réforme phare des retraites a été entérinée à l’Assemblée nationale.Persuadé que “la guerre d’aujourd’hui se joue déjà dans l’espace” et que “la guerre de demain commencera dans l’espace”, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité pour la France et l’Europe de défendre avec force leurs positions dans ce secteur.A cet égard, le président a annoncé une rallonge de 4,2 milliards d’euros supplémentaires au spatial militaire d’ici 2030 dans le cadre de l’actualisation de la loi de programmation militaire.Dans une Europe spatiale “fragile”, il a aussi estimé qu’il fallait “pousser nos champions européens pour qu’ils soient compétitifs sur le marché mondial”.- Lanceurs réutilisables -Parmi les priorités affichées pour la stratégie spatiale française, Emmanuel Macron a évoqué son souhait de “développer les futurs lanceurs autour de la réutilisation, la propulsion à bas coût, la motorisation à forte poussée qui sont les éléments de rupture et d’avancée technologique que nous avons identifiés”.Emmanuel Macron a martelé: “dépendre d’une grande puissance tierce ou d’un quelconque magnat du spatial c’est hors de question”, ajoutant: “suivez mon regard”, dans une claire allusion à Elon Musk. Il faut “faire monter en cadence l’exploitation d’Ariane 6 dont la compétitivité doit être améliorée”, a par ailleurs souligné M. Macron qui souhaite “moderniser la base de Kourou pour en faire un lieu agile, ouvert aux petits lanceurs et aux partenaires étrangers”.Avant de débuter ce chapitre consacré au spatial, M. Macron a salué la libération annoncée de l’écrivain Boualem Sansal, remerciant Alger ainsi que l’Allemagne pour son rôle joué dans ce dossier.- Mercosur: “non très ferme” -Auparavant, le chef de l’Etat a dit clairement à une délégation d’agriculteurs que le projet d’accord de libre échange entre l’UE et le Mercosur “tel qu’il existe aujourd’hui, recueillera un non très ferme de la France” en l’absence de clauses de sauvegarde, de “mesures miroirs” ou encore de “contrôles aux frontières”, a rapporté la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, à la fin de l’entretien auquel elle a également participé.Les agriculteurs mobilisés ont accueilli de manière relativement positive la clarification des exigences de la France sur le projet d’accord, tout en restant très critiques sur son contenu. D’autres mesures, sur une diminution de la taxation sur les importations d’engrais par exemple ou sur les questions spécifiquement régionales liées à l’impact du réchauffement climatique en Occitanie, ont été saluées par la FNSEA qui avec les Jeunes Agriculteurs avait appelé à manifester.Le déplacement toulousain du président a d’abord été dédié au lancement d’un cycle de débats citoyens avec la presse quotidienne régionale, Emmanuel Macron affirmant vouloir “sonner le tocsin” sur le risque que font peser les réseaux sociaux sur la démocratie française.- “Far west” -“Il n’y a pas de liberté sans responsabilité”, a-t-il martelé, n’hésitant pas à comparer les réseaux sociaux au “far west” devant 300 personnes réunies au siège du quotidien régional La Dépêche du Midi. Le président Macron, en retrait sur la scène politique intérieure depuis la dissolution ratée de 2024, entend faire des effets néfastes des écrans et des réseaux sociaux son nouveau cheval de bataille dans la dernière ligne droite du quinquennat.”L’objectif, c’est d’aller vers des décisions concrètes au début de l’année 2026″, a-t-il souligné, prônant notamment un “âge de majorité numérique”, vers 15 ans en France. A la manière des débats de l’époque des gilets jaunes, le chef de l’Etat, au centre d’un cercle de six rangées de sièges, a même admis qu’il n’excluait pas de sortir de certains réseaux, dont X, mais précisé qu’il ne le ferait pas “demain matin” car “la priorité c’est d’abord de mener la bataille en interne”.Le prochain débat citoyen similaire doit avoir lieu le 19 novembre, avec le quotidien La Voix du Nord.

Hopes of US shutdown deal fail to sustain market rally

Stock markets fluctuated Wednesday as optimism that the US government shutdown was nearing an end and another Federal Reserve interest rate cut was on the horizon failed to sustain a rally.Traders broadly welcomed an expected vote to reopen the government, after the longest shutdown in US history effectively stemmed the flow of official economic data and closed down vital services.The House of Representatives appeared likely to vote Wednesday on a spending bill to solve the budget standoff after eight Democrats broke ranks in the Senate on Monday.But the news failed to sustain a rally across the board on US markets — the Dow rising while the tech heavy Nasdaq and the S&P 500 fell back in the first few hours of trading. In Europe, Paris hit a new record and Frankfurt also rose after a mixed day on Asian markets.”The end of the shutdown is positive for financial markets as we should get a clear read on economic data in the next week or so,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.However, she said the prospect of a resumption of government services was fuelling demand for “risk assets”.The dearth of key data points left investors and the Federal Reserve unable to make informed decisions on policy.Adam Sarhan of 50 Park Investments said traders were now waiting for another possible tech rally later in the month.”Investors are going to wait for the next bullish catalyst, which could be Nvidia, arguably the most important AI stock out there right now,” Sarhan said. The chipmaker is set to report earnings on November 19.Traders had been spooked on Tuesday by news that Japanese investment titan SoftBank had sold all its shares in US chip giant Nvidia for $5.8 billion, without giving a reason.Shares in Nvidia fell three percent on Tuesday but clawed that back Wednesday, and SoftBank plunged as much as 10 percent in Tokyo after Wednesday’s open before closing down 3.5 percent.Meanwhile, expectations grew that the Fed would cut rates in December after data from private payrolls firm ADP pointed to a slower rate of hiring.”Is it a problem? It depends for whom,” said Ipek Ozkardeskaya, Senior Analyst at Swissquote bank. “It’s certainly a problem for politicians, but not for investors.”She said investors needed that kind of jobs data to justify a rate cut, which in turn would lower the cost of the borrowing and make their huge AI investments more affordable.- Key figures at around 1640 GMT -New York – Dow:  UP 0.7 percent at 48,247.24 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.2 percent at 6,835.20New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.7 percent at 23,304.46London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,911.42 (close)Paris – CAC 40: UP 1.0 percent at 8,241.24 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.2 percent at 24,381.46 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.4 percent at 51,063.31 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.9 percent at 26,922.73 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 4,000.14 (close)Euro/dollar: UP at $1.1591 from $1.1588 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3130 from $1.3168Dollar/yen: UP at 154.66 yen from 154.10 yenEuro/pound: UP at 88.28 pence from 87.99 penceWest Texas Intermediate: DOWN 4.1 percent at $58.50 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 3.8 percent at $62.71 per barrel

US military personnel do not risk prosecution for drug strikes: Justice Dept

The US Justice Department on Wednesday defended lethal military strikes on suspected drug traffickers, brushing aside charges they may amount to extrajudicial killings that merit legal prosecution.”The strikes were ordered consistent with the laws of armed conflict, and as such are lawful orders,” a Justice Department spokesperson said.US service members who participate in the strikes, which have left at least 76 people dead, do not risk prosecution, the spokesperson said.”Military personnel are legally obligated to follow lawful orders and, as such, are not subject to prosecution for following lawful orders.”UN High Commissioner for Human Rights Volker Turk urged Washington on Monday to investigate the legality of the strikes on the alleged drug-running boats, saying there were “strong indications” they constitute “extrajudicial killings.”The US military has carried out a series of strikes in the Caribbean and the Pacific in recent weeks on boats Washington claims are ferrying drugs. The latest took place in the Pacific over the weekend and left six people dead, Defense Secretary Pete Hegseth said.The Washington Post reported Wednesday that the Justice Department had drafted a classified opinion in July laying out the legal basis for the strikes that shields personnel taking part from potential future prosecution.President Donald Trump’s administration has said in a notice to Congress that the United States is engaged in “armed conflict” with Latin American drug cartels, describing them as terrorist groups as part of its justification for the strikes.Turk, in an interview with AFP, said the operations against suspected drug traffickers should be considered “law enforcement operations,” which fall under international human rights law.In such cases, “the use of lethal force has to be extremely limited,” Turk said. “It has to be the absolute last resort in the face of an immediate attack. That’s not what we’re seeing.”Asked if he believed the strikes could constitute extrajudicial killings, Turk said: “There are strong indications that they are, but they need to investigate this.” The Trump administration has built up significant military forces in Latin America in what it says is a campaign to stamp out drug trafficking.Venezuelan President Nicolas Maduro, who has been indicted on drug charges in the United States, has claimed that the military buildup is part of a plot to oust him.

Jailed writer Sansal on way to Germany after Algeria pardonWed, 12 Nov 2025 18:07:09 GMT

Jailed French-Algerian writer Boualem Sansal was on his way to Germany for medical treatment on Wednesday after Algiers agreed to a German request that he be pardoned.German President Frank-Walter Steinmeier, who on Monday had urged Algeria to free the 81-year-old, confirmed he was en route and thanked Algeria’s President Abdelmadjid Tebboune for the “humanitarian gesture”. Germany …

Jailed writer Sansal on way to Germany after Algeria pardonWed, 12 Nov 2025 18:07:09 GMT Read More »

Jailed writer Sansal on way to Germany after Algeria pardon

Jailed French-Algerian writer Boualem Sansal was on his way to Germany for medical treatment on Wednesday after Algiers agreed to a German request that he be pardoned.German President Frank-Walter Steinmeier, who on Monday had urged Algeria to free the 81-year-old, confirmed he was en route and thanked Algeria’s President Abdelmadjid Tebboune for the “humanitarian gesture”. Germany has taken charge of the transfer and treatment of Sansal, who has prostate cancer, according to his family.Sansal was given a five-year jail term in March, accused of undermining Algeria’s territorial integrity after he told a far-right French outlet last year that France had unjustly transferred Moroccan territory to Algeria during the 1830 to 1962 colonial period.Algeria views those ideas — which align with longstanding Moroccan territorial claims — as a challenge to its sovereignty.He was arrested in November 2024 at Algiers airport. Because he did not appeal March’s ruling, he was eligible for a presidential pardon.Steinmeier urged Algeria to make a humanitarian concession “given Sansal’s advanced age and fragile health condition”, and said Germany would take charge of his “relocation to Germany and subsequent medical care”.- ‘Mercy and humanity’ -French President Emmanuel Macron had also urged Algeria’s Tebboune to show “mercy and humanity” by releasing the author. On Wednesday, Macron thanked his counterparts in both Algiers and Berlin for their roles in Sansal’s release, saying it was “the result of France’s constant efforts and a method based on respect, calm and rigor”.Sansal’s daughter Sabeha Sansal, 51, told AFP of her relief by telephone from her home in the Czech Republic.”I was a little pessimistic because he is sick, he is old, and he could have died there,” she said. “I hope we will see each other soon.”A prize-winning figure in North African modern francophone literature, Sansal is known for his criticism of Algerian authorities as well as of Islamists.He acquired French nationality in 2024.Appearing in court without legal counsel on June 24, Sansal had said the case against him “makes no sense” as “the Algerian constitution guarantees freedom of expression and conscience”.When questioned about his writings, Sansal asked: “Are we holding a trial over literature? Where are we headed?”His case has become a cause celebre in France, but his past support for Israel and his 2014 visit there have made him largely unpopular in Algeria.The case has also become entangled in the diplomatic crisis between Paris and Algiers, which has led to the expulsion of officials on both sides, the recall of ambassadors and restrictions on holders of diplomatic visas.Another point of contention was the sentencing to seven years in prison of French sportswriter Christophe Gleizes in Algiers on accusations of attempting to interview a member of the Movement for the Self-Determination of Kabylie (MAK), designated a terrorist organisation by Algeria in 2021.Both Sansal and Gleizes’s prosecution came amid the latest rise in tensions between Paris and Algiers, triggered in July 2024 when Macron backed Moroccan sovereignty over the disputed Western Sahara, where Algeria backs the pro-independence Polisario Front. Macron said Wednesday he was “available to discuss with (Tebboune) all matters of interest to our two countries”.- Civil servant turned novelist -An economist by training, Sansal worked as a senior civil servant in his native Algeria, with his first novel appearing in 1999.”The Barbarians’ Oath” dealt with the rise of fundamentalist Islam in Algeria and was published in the midst of the country’s civil war, which left some 200,000 people dead, according to official figures.He was fired from his post in the industry ministry in 2003 for his opposition to the government but continued publishing.His 2008 work “The German Mujahid” was censored in Algeria for drawing parallels between Islamism and Nazism.He has received several international prizes for his work, including in France and Germany.In recent years Germany has offered refuge to several high-profile prisoners from other countries.The late Russian opposition leader Alexei Navalny was treated at Berlin’s Charite hospital after being poisoned in August 2020.Last year Germany welcomed several other high-profile Russian dissidents as part of a historic prisoner swap with Moscow.