Un rare exemplaire de la machine à calculer de Pascal mis aux enchères

Estimée entre deux et trois millions d’euros, l’un des neuf exemplaires existants de Pascaline, la première machine à calculer mécanique inventée en 1642 par Blaise Pascal, sera mise aux enchères le 19 novembre à Paris.”Première tentative de l’histoire de substituer le travail d’une machine à celui de l’esprit humain” pour “mécaniser le calcul mental”, ce rare instrument scientifique sera présenté dans le cadre de la vente de “la bibliothèque Léon Parcé, Paris”, a annoncé la société d’enchère londonienne Christie’s dans un communiqué.Fabriquée par le savant français à 19 ans en 1642, cette machine avait initialement été imaginée pour aider son père, président de la cour des aides de Normandie, une juridiction spécialisée dans les affaires fiscales, à “remettre de l’ordre dans les recettes fiscales” du territoire.Sur la vingtaine d’exemplaires créées par Pascal, seuls neuf “subsistent dans le monde”, dont plusieurs conservés au musée des Arts et métiers à Paris et au muséum Henri-Lecoq, à Clermont-Ferrand, dans le centre de la France. L’exemplaire présenté aux enchères “peut être considéré comme le seul encore en mains privées”, selon Christie’s.D’ici le jour de la vente, la Pascaline sera exposée à Paris du 10 au 23 septembre puis du 13 au 19 novembre, à New York du 11 au 15 octobre et à Hong Kong du 23 au 29 octobre.De trois types, les Pascaline “sont soit décimales (pour les additions, soustractions, multiplications et divisions), soit comptables (pour les calculs monétaires), soit réservées au calcul des distances et dites d’arpentage”.Le modèle mis aux enchères est “le seul” connu parmi les existants consacré au calcul des arpentages, et il est à ce jour encore fonctionnel, selon la société d’enchères.

Pakistan must ‘focus on job’ in highly charged India clash: coach

Coach Mike Hesson has told his Pakistan team to “focus on the job” in Sunday’s highly charged Asia Cup clash with arch-rivals India.The match in Dubai is the first time that the neighbours will have met in cricket since a brief but deadly border conflict in May and emotions will be running high.The New Zealander Hesson said Thursday: “I guess, from my perspective, just like any time you enter a match, whether it be a final of a world event or whatever, it’s about keeping everybody focused on the job at hand and that’ll be no different on the weekend.”The eight-nation Twenty20 tournament began on Tuesday with Afghanistan beating Hong Kong by 94 runs. India crushed hosts the United Arab Emirates by nine wickets on Wednesday.Pakistan begin their campaign against Oman on Friday, but all the talk is already of world champions India two days later.”We know that India are obviously hugely confident and rightfully so in terms of how well they’ve played,” Hesson said of the Asia Cup holders, who skittled UAE for just 57 in 13.1 overs. India cruised to victory in just 4.3 overs. Since winning the World Cup last year they have won 18 of their 21 T20Is.Hesson is excited to be part of a blockbuster, which will be watched by a packed stadium in Dubai and hundreds of millions of television viewers. “Look, I’ve certainly watched many games from afar, so certainly being on the other side of the fence, I guess, being right and amongst such a highly charged event is going to be exciting,” he added.Pakistan enter the Asia Cup with a tri-series win in the UAE also involving Afghanistan and UAE, and confidence is growing.”We’re very much focused on improving as a team, sort of day by day, and not getting too far ahead of ourselves,” said Hesson.India, Pakistan, Oman and UAE are in Group A while Sri Lanka, Afghanistan, Hong Kong and Bangladesh form Group B.The top two teams from each Group will qualify for the Super Four stage. The top two teams will then play the September 28 final in Dubai.

Chasse à l’homme aux Etats-Unis pour retrouver le meurtrier de Charlie Kirk, allié de Trump

Une chasse à l’homme est en cours jeudi pour retrouver le meurtrier du militant conservateur américain Charlie Kirk, fidèle allié du président Donald Trump tué par balle en plein débat public dans un pays qui déplore un regain de la violence politique.Le porte-drapeau de la jeunesse trumpiste, âgé de 31 ans, a été tué d’une balle dans le cou alors qu’il participait à une réunion devant environ 3.000 personnes dans une université de l’Utah, dans l’ouest des Etats-Unis. Si les motivations du meurtrier sont pour l’heure inconnues, il s’agit d’un acte “ciblé” qui a choqué des Etats-Unis déjà déchirés par les crispations politiques, a dit le FBI, la police fédérale.Les autorités ont annoncé jeudi avoir retrouvé l’arme du crime et disposer de “bonnes images vidéo” du tireur.”Je peux vous dire que nous avons retrouvé ce que nous considérons comme l’arme utilisée hier. C’est un fusil puissant”, a précisé Robert Bohls, le directeur de l’antenne locale du FBI, la police fédérale, assurant que les autorités “faisaient tout pour retrouver” le meurtrier.Deux personnes ont été interpellées avant d’être relâchées, selon la même source.Le président Trump a mis en cause mercredi “la gauche radicale” pour le meurtre de celui qu’il a qualifié de “martyr de la vérité et de la liberté”. “C’est un moment sombre pour l’Amérique”, a-t-il estimé, avant d’annoncer qu’il remettrait “bientôt” à la victime la médaille présidentielle de la Liberté à titre posthume.Le vice-président JD Vance, attendu dans l’Utah jeudi pour rencontrer la famille de l’influenceur conservateur, a lui rendu hommage à “un véritable ami”.- Drapeaux mis en berne-La violence politique semble s’intensifier aux Etats-Unis ces dernières années. Donald Trump a lui-même été victime de deux tentatives d’assassinat lors de la campagne électorale de 2024. Cette année, Melissa Hortman, élue démocrate au parlement du Minnesota et son époux ont été tués par un auteur qui a aussi grièvement blessé un autre élu local. La maison du gouverneur de Pennsylvanie Josh Shapiro, élu de confession juive, a été la cible d’un incendie.Le gouverneur républicain de l’Utah, Spencer Cox, a qualifié le meurtre d'”assassinat politique”, rappelant que “la peine de mort (était) toujours en vigueur ici, dans l’État de l’Utah”.Plusieurs figures trumpistes ont décrit Charlie Kirk en “martyr” tombé pour la défense des valeurs conservatrices et chrétiennes. Des dirigeants étrangers de tous bords ont également condamné ce meurtre, plusieurs le qualifiant de “politique”.”C’est très effrayant”, a confié à l’AFP près du campus Samuel Kimball, un étudiant en ingénierie informatique de 18 ans qui n’a pas assisté à l’intervention de Charlie Kirk mais se sent “aligné avec ses valeurs”.”Cela me donne l’impression que je devrais faire très attention lorsque j’exprime mes opinions politiques”, a-t-il ajouté. “Si j’étais quelqu’un qui songeait à faire de la politique, j’aurais peur de me faire tirer dessus”.Le président Trump a ordonné la mise en berne des drapeaux américains en hommage à celui qui avait été un rouage important de sa dernière campagne présidentielle.- “Pas sa place”-A gauche, la candidate malheureuse à l’élection de 2024, Kamala Harris, a estimé que “la violence politique n’a(vait) pas de place en Amérique”. L’ancien président Joe Biden a lui appelé à ce que ce type de violence “cesse immédiatement”, à l’unisson d’autres figures de la gauche: Barack Obama, Bernie Sanders ou encore le gouverneur de Californie Gavin Newsom.Originaire de la banlieue de Chicago, chrétien et défenseur du port d’armes à feu, Charlie Kirk, père de deux enfants avait abandonné ses études pour se consacrer au militantisme.Il était à la tête d’un mouvement de jeunesse, Turning Point USA. Cofondée en 2012 par l’influenceur alors âgé de 18 ans, cette association est devenue en une décennie le plus gros groupe de jeunes conservateurs aux Etats-Unis.Elle comprend une armée de militants enthousiastes, dont certains avaient été envoyés en bus à Washington à la manifestation du 6 janvier 2021 qui avait débouché sur l’invasion du Capitole.

Wall Street en hausse, confortée dans ses attentes de baisses de taux

La Bourse de New York avance jeudi, anticipant avec optimisme des baisses de taux de la Réserve fédérale (Fed) après la publication d’un indice d’inflation sans grande surprise, sur fond de dégradation du marché de l’emploi aux Etats-Unis.Vers 14H05 GMT, le Dow Jones prenait 1,00%, l’indice Nasdaq 0,42% et l’indice élargi S&P 500 gagnait 0,53%.L’indice des prix à la consommation d’août est ressorti en hausse de +0,4% sur un mois, après +0,2% en juillet, selon le ministère américain du Travail, soit légèrement au-dessus des attentes du marché.Sur un an, l’inflation a aussi accéléré à +2,9%, contre +2,7% un mois plus tôt, un chiffre cette fois en ligne avec les prévisions des analystes.”C’est positif” car une hausse des prix plus importante “aurait pu réduire la marge de manœuvre dont dispose la Fed pour baisser les taux lors de sa réunion de la semaine prochaine”, commente auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.La banque centrale des Etats-Unis doit maintenir l’inflation proche de 2% sur le long terme. Mais elle doit aussi veiller à ce que le marché de l’emploi reste dynamique.En conséquence, “la véritable nouvelle du jour concerne les demandes hebdomadaires d’allocations chômage”, estime Art Hogan.Ces dernières ont accéléré à 263.000, un chiffre plus vu depuis 2021. Les analystes s’attendaient à une stabilisation.”Cela confirme une fois de plus la faiblesse du marché du travail. Il est donc clair que le mandat de plein emploi de la Fed est au centre des préoccupations”, assure M. Hogan.Plusieurs membres de la Fed ont récemment plaidé pour un assouplissement monétaire de l’institution et son président, Jerome Powell, a laissé la porte ouverte à cette idée en raison du ralentissement du marché américain du travail.Pour Art Hogan, les données publiées jeudi permettent d’anticiper que les taux directeurs de la banque centrale américaine auront diminué de trois quarts de point de pourcentage d’ici à la fin de l’année, soit progressivement, soit avec une baisse plus agressive dès la réunion des 16 et 17 septembre.Une vision partagée par l’essentiel des analystes, selon l’outil de veille FedWatch de CME.Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à échéance 10 ans se détendait par rapport à la clôture mercredi, à 4,02% vers 13H55 GMT contre 4,05%.Côté entreprises, le spécialiste suédois du paiement fractionné Klarna (-5,36% à 43,91 dollars) était boudé pour son deuxième jour de cotation à Wall Street.Son introduction en Bourse, très attendue, lui a permis de lever plus d’un milliard de dollars.Le géant technologique Oracle reprenait son souffle (-4,36% à 314,29 dollars) après son envolée de la veille, provoquée par des prévisions colossales pour ses centres de données.Les actions à New York du géant chinois des technologies Alibaba étaient recherchées (+4,58% à 150,51 dollars), malgré une chute temporaire à la Bourse de Hong Kong. Le groupe cherche à lever 3,17 milliards de dollars via une colossale émission obligataire, selon l’agence Bloomberg. Une opération menée alors que les groupes tech chinois sont en quête désespérée d’argent frais pour financer la croissance du “cloud”, de l’IA, et gagner des parts de marché dans la livraison sur fond de guerre des prix.

Charlie Kirk killer still at large as police find gun

The gunman who shot dead US right-wing youth leader Charlie Kirk in a targeted killing remained at large Thursday but authorities said they have video images of the suspect and have recovered a “high-powered” rifle.Kirk, a 31-year-old superstar on the Republican right who was credited with helping Donald Trump return to the presidency last year, was shot while addressing a large crowd at Utah Valley University on Wednesday.The killing — described by the FBI as a “targeted event” — shocked a nation already reeling from political tensions half a year into Trump’s second term.Authorities acknowledged the gunman remained at large after having escaped into woodland.”We’re doing everything we can to find him, and we’re not sure how far he has gone yet, but we will do our best,” FBI Special Agent Robert Bohls told a media briefing.Authorities said they had secured quality images of the killer, who was of university age.”We do have good video footage of this individual. We are not going to release that at this time,” said Beau Mason, commissioner of the Utah Department of Public Safety.Bohls said the presumed murder weapon had also been found.”It is a high powered bolt action rifle. That rifle was recovered in a wooded area where the shooter had fled,” the FBI agent said.Two people initially detained for questioning were released after officials determined they had no connection to the shooting.- ‘Dark moment’ -Reflecting the intensely political nature of the incident, it was Trump, rather than law enforcement authorities, who first announced to Americans that Kirk had died from his wound.Trump then addressed the nation in a video address on social media in which he cited a “dark moment for America.”Despite no public information about the shooter’s identity or motive, the president went on to suggest that the left wing was responsible — and to pledge a wide-reaching response.”For years, those on the radical left have compared wonderful Americans like Charlie to Nazis and the world’s worst mass murderers and criminals,” he said. “This kind of rhetoric is directly responsible for the terrorism that we’re seeing.””My administration will find each and every one of those who contributed to this atrocity,” Trump said.- Shot in neck -Kirk was shot in the neck while speaking to the crowd and collapsed in his chair.Students at the university described the ensuing panic — and their broader fears as political divisions deepen across the country.”It makes me feel like I should be very careful about expressing my political ideas,” said Samuel Kimball, a software engineering student, told AFP.Utah Governor Spencer Cox, a Republican, called the killing a “political assassination.”Kirk, who supporters have hailed as a “martyr” for conservative ideals, had an outsized influence in US politics.He co-founded Turning Point USA in 2012 to drive conservative viewpoints among young people, his natural showmanship making him a go-to spokesman on television networks.Kirk used his enormous audiences on TikTok, Instagram and YouTube to build support for anti-immigration policies, outspoken Christianity and gun ownership, and to spread carefully edited clips of his interactions during debates at his many college events.Three months ago, a Minnesota man shot dead a Democratic lawmaker and her husband in their home, and Trump survived an assassination attempt during his election campaign in July 2024.Vice President JD Vance was due to travel to Utah to meet Kirk’s family Thursday, a source familiar with the plans said, after he canceled a trip to New York to mark the 9/11 attacks anniversary.

Belgian festival axes German orchestra over Israeli conductor

A Belgian festival said Thursday it stood by its decision to axe a leading German orchestra’s performance over concerns about its Israeli conductor — despite furious protests from Israel and Berlin.Belgium’s foreign minister distanced himself Thursday from the decision by Flanders Festival Ghent, where the Munich Philharmonic was to perform on September 18, led by its future chief conductor, Israel’s Lahav Shani.Israel’s ambassador to Belgium described the move as “anti-Semitic” and accused festival organisers of “racism”.”There are words to describe discriminating a person based solely on his origin,” ambassador Idit Rosenzweig-Abu wrote on X.Shani, who officially takes over as conductor of the Munich orchestra for the 2026/27 season, is currently music director of the Israel Philharmonic.As a result, festival organisers said Wednesday they were “unable to provide sufficient clarity about his attitude” towards the Israeli government, whose ongoing war against the Palestinian militant group Hamas in Gaza has triggered international uproar.”We have chosen to refrain from collaboration with partners who have not distanced themselves unequivocally from that regime,” the organisers said in a statement, while also noting Shani had “spoken out in favour of peace and reconciliation several times in the past”.Organisers added that “the current situation” was leading to “emotional reactions”, and they wanted to “maintain the serenity” of the event, according to the statement.German Culture Minister Wolfram Weimer called the move a “disgrace for Europe”.”Under the guise of supposed criticism of Israel, a cultural boycott is being carried out here,” he said in a statement.Germany has traditionally been one of Israel’s staunchest international allies, although Berlin has grown more critical as Israel’s campaign in Gaza grinds on.Belgian Foreign Minister Maxime Prevot said the cancellation seemed “excessive”. “We must not confuse the Jewish community and Israelis with Netanyahu’s policies,” he told local radio RTBF, referring to Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu. But the Ghent festival defended its decision, which it said came “after careful deliberation”, denying accusations of anti-Semitism.”In the past, and again next year, we have often hosted Israeli and Jewish musicians,” said artistic director Jan Van den Bossche. “There can absolutely be no question of anti-Semitism here.”Israel launched its retaliatory offensive in the Gaza Strip following Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel.The catastrophic humanitarian conditions in Gaza as a result of Israel’s campaign and ongoing blockade have fuelled widespread public anger in Europe, although the region’s governments have been divided on how to respond.bur-sr-mad-ub/ec/rh/phz

Indonésie: le bilan des inondations à Bali et Florès grimpe à 19 morts

Le bilan des inondations qui frappent les îles indonésiennes touristiques de Bali et Florès est passé à 19 morts, ont indiqué jeudi les services de secours qui ont également fait état de cinq personnes portées disparues.Un précédent bilan établi mercredi soir faisait état de 13 morts.Des pluies torrentielles qui ont commencé mardi soir ont provoqué des inondations et glissements de terrain dans sept districts de Bali, a indiqué le porte-parole de l’agence de gestion des catastrophes, Abdul Muhari, dans un communiqué.A Bali, le bilan est passé de 9 à 14 morts et deux disparus, a-t-il ajouté, sans mentionner la présence d’étrangers parmi les victimes.Au total, plus de 500 personnes ont été évacuées vers des installations publiques converties en abris temporaires, dont des écoles, mosquées ou bâtiments municipaux.”Les agents continuent de mener des interventions d’urgence, comme la recherche de victimes et la gestion des inondations et des glissements de terrain”, a déclaré M. Abdul.Les intempéries ont également touché l’île de Florès, située à environ 800 km à l’est de Bali, dans la province de Nusa Tenggara Est, isolant 18 villages alors que l’accès routier et les services de télécommunications ont été coupés.Sur cette île, point de départ vers l’île de Komodo depuis la ville de Labuan Bajo, le bilan est monté à 5 morts après la découverte jeudi du corps d’un enfant, a indiqué le chef de l’agence de secours Tahur Rahman.Trois personnes sont également portées disparues sur l’île, dans le district de Nagekeo. Les conditions météorologiques se sont améliorées à Bali, ont constaté jeudi des journalistes de l’AFP sur place. Mais l’Agence indonésienne de météorologie, de climatologie et de géophysique (BMKG) a indiqué cette semaine que des pluies modérées pourraient reprendre dans des provinces comme Bali entre vendredi et lundi prochain.L’Indonésie est sujette aux crues soudaines et aux glissements de terrain pendant la saison des pluies, généralement de novembre à avril. De fortes précipitations peuvent également se produire en dehors de cette période.Le changement climatique a également accru l’intensité des tempêtes, entraînant des pluies plus abondantes, des crues soudaines et des rafales plus violentes.En mars, des inondations et des glissements de terrain sur l’île de Java, consécutifs à de fortes pluies, nt fait trois morts et cinq disparus.En janvier, au moins 25 personnes sont mortes en raison des intempérioes dans le centre de Java.Pour l’ONG 350.org, qui milite pour le développement des énergies renouvelables, les récentes inondations à Bali et Florès rappellent que la crise climatique est une “menace urgente” qui exige une action de la part des dirigeants mondiaux, y compris de la part du président indonésien Prabowo Subianto.”Nous exhortons le président Prabowo à veiller à ce que l’Indonésie ait un objectif ambitieux de réduction des émissions et un plan concret pour passer à 100% d’énergies renouvelables”, a déclaré Suriadi Darmoko, un responsable de 350.org, dans un communiqué.Très gros producteur et consommateur de charbon, l’Indonésie s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, avec la fermeture de centrales électriques au charbon et le développement des énergies renouvelables, dont le nucléaire.

New York marks 9/11 attacks against divided backdrop

New York on Thursday marked the devastating attacks of September 11, 2001, 24 years after the plane hijackings that claimed almost 3,000 lives and forever changed the United States.Memorial events were held at Ground Zero in Manhattan where the World Trade Center’s twin towers were destroyed in coordinated attacks that also saw a jetliner crashed into the Pentagon in Washington.Another jet, Flight 93, crashed into the Pennsylvania countryside when passengers overran the hijacker and took control of the aircraft.This year’s gathering takes place against a febrile atmosphere following the killing of conservative political activist Charlie Kirk in Utah.Vice President JD Vance had been due to attend events in New York but will reportedly travel to Utah in the wake of the killing.Kirk — a close ally of President Donald Trump — was shot in the neck while speaking at an event at Utah Valley University on Wednesday.The United States has faced a rash of political violence in recent months, with the killing of Kirk following the targeted killing of a Democratic Minnesota lawmaker and her husband and the firebombing of a Democratic governor’s residence.New York is in the grip of a divisive mayoral election campaign in which socialist Democratic candidate Zohran Mamdani is facing off against former governor Andrew Cuomo and sitting mayor Eric Adams.New Yorkers go to the polls on November 4.Adams attended the ceremony Thursday alongside former mayor Rudy Giuliani who led the city through the tragedy.Trump has repeatedly attacked Mamdani, a Muslim and naturalized US citizen, calling him a “communist lunatic,” while one Republican lawmaker has called for Mamdani to be deported. Mamdani holds a 22 point lead in the race, according to the latest polling from The New York Times and Siena.”It was this horrific day that was also for many New Yorkers the moment at which they were marked an ‘other,'” Mamdani told The New York Times, describing the surge in Islamophobic attacks that followed 9/11.New York marked a citywide moment of silence at 8:46 a.m. (1246 GMT), the time that hijacked Flight 11 struck the North Tower of the World Trade Center.Places of worship across the city then sounded their bells to mark the impact as families of the victims read the names of those killed at ground zero. The official death toll was 2,977 including the passengers and crew of the four hijacked planes, victims in the twin towers, firefighters, and personnel at the Pentagon. The death toll excludes the 19 Al-Qaeda hijackers.